| Sujet: [EN COURS] - Carys Matheson Mar 9 Avr - 23:25 | |
Identity Card Feat "Lucho JACOB"(c) Insuline |
Carys Matheson. C'est ainsi que mes parents m'ont prénommé, ou du moins c'est ce que prétendent les lettres noires qui s'étalent sur le registre de l'état civil. Mon prénom m'a été donné par ma mère qui aimait sa consonance exotique ; enfin ça c'était avant qu'un de ses collègues de bureau, Gallois, ne lui fasse remarquer qu'en réalité c'était un prénom de fille. Peu importait à vrai dire, puisque je ne me souviens pas d'avoir entendu mon prénom prononcé par un de mes deux parents. Ma mère ne le disait jamais, quant à mon père... J'imagine qu'il avait du oublier comment je m'appelais à force de me surnommer « petit con » et autres joyeusetés du même type. Je suis né il y a 24 ans à Joplin, une petite ville paumée du Missouri, parce que ma mère, mystique au possible, avait décidé que c'était là que je devais venir au monde quand bien même nous habitions dans la banlieue new-yorkaise. Encore heureux qu'elle n'ait pas eu l'idée de me faire naître au Mexique, en hommage à ses origines hispaniques... Un sacré numéro ma mère, pour sûr. Un peu comme mon père d'ailleurs, mais pas pour les mêmes raisons. Allez savoir pourquoi j'ai voulu suivre ses traces en devenant flic. Sans doute ai-je un côté masochiste...
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; (L'utilisation d'un lecteur exportable n'est pas obligatoire, vous pouvez aussi nous citer le nom de l'artiste et celui de la chanson qui, selon vous, conviendrait bien à votre personnage.)
BLABLABLA ▬ Histoire ; (En 1,200 mots minimum, pensez à ce que le caractère de votre personnage ressorte dans le récit, qu'il ne s'agisse pas d'une histoire qui ne nous apprend rien sur la façon d'être actuelle du perso.)
BLABLABLA Wanna know more ? ▬ La plus grande honte du personnage ; (En 60 mots minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
BLABLABLA ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; « Ce gosse, il a le mal en lui... » C'était ce que son père avait toujours dit de lui, sans qu'il ne comprenne jamais vraiment ses raisons. En tous cas, pas avant d'avoir été en âge d'en saisir toutes les implications. Mais, Carys, gamin, avait fini par y croire ; en plus son père était policier alors le mal, il le connaissait, il le côtoyait de près, il devait bien savoir de quoi il parlait. Pendant longtemps, il avait voulu lui prouver le contraire, faisant de son mieux pour le rendre fier, mais quoiqu'il fasse, il lisait toujours la même déception obstinée dans les yeux de son père, comme si rien ne pouvait changer l'opinion désastreuse que son paternel avait de lui. Avec le temps, il avait fini par penser que si son géniteur le haïssait autant, c'était peut-être parce qu'il pensait que cet enfant n'était pas de lui. Après tout, quoi d'autre aurait pu motiver une telle rancune ? Mais il n'y avait pas à douter en regardant leurs yeux à tous deux teintés de ce gris si particulier, qu'ils étaient du même sang. Et puis, un jour, Carys en eut assez et puisque son père restait persuadé qu'il était de la mauvaise graine, il entreprit de lui donner raison. « Il a une âme de tueur... » répétait-il, sans cesse. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; Paradoxalement son paradis a été ses deux années passés au centre de détention juvénile de Hillbrook, New York. Là, il y avait trouvé ses premiers vrais amis, Samuel et James, tous deux condamnés pour des faits un peu plus graves que ses propres fautes à lui (l'un pour meurtre sans préméditation, l'autre pour divers braquages à main armée), lesquels étaient bien vite devenus comme des frères pour l'enfant unique qu'il avait toujours été. Certes, leur première rencontre ne s'était pas aussi bien passé qu'on aurait pu l'espérer, puisque les deux autres lui étaient tout de même tombés dessus pensant pouvoir en faire un souffre-douleur en raison de sa faible carrure, mais Carys s'était défendu comme un beau diable et il avait finalement gagné leur respect. Il ne les avait fréquenté qu'une année avant leur transfert au Centre Robert N. Davoren de la prison de Rikers Island. Malgré leur séparation, ils continuèrent de communiquer par courriers interposés, chacun promettant aux deux autres de se retrouver à leur sortie. Et ils tinrent tous les trois leurs promesses, devenant ai ▬ Point faible du personnage ; (En 60 mots minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
BLABLABLA ▬ Point fort du personnage ; (En 60 mots minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
BLABLABLA ▬ Casier judiciaire ; Arrêté à 13 ans pour des incivilités de petite ampleur telles qu'une dégradation des biens publics (quelques graffitis sur des bâtiments et quelques bris de glace des arrêts de bus), il est condamné par la cour à 120 heures de travaux d'intérêt général. Récidivant un peu plus gravement plus tard pour agression (passage à tabac d'un lycéen qui avait refusé de lui donner des cigarettes) puis pour détention illégale de stupéfiants (on avait alors trouvé sur lui plusieurs grammes de marijuana), il sera envoyé à Hillbrook pour deux ans. Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; Céline ou Khâlee ▬ Âge ; 26 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; au départ je ne sais plus. J'y ai été à un moment avec un perso qui s'appelait Laszlo Anderson (ft Jamie Dornan). Allez savoir pourquoi j'ai zappé ce forum '_'. ▬ Connexion ; 7/7. ▬ Code du règlement ;
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Chapi ; Chapo ; Pipipo ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ;
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- Seth Carter Campbell a écrit:
« J'ai voulu me nettoyer. » Et ses lèvres se posent sur le poignet blanc de Zachk, le souillant de son sang, mais il n'en a cure sur le moment. Il a l'air d'un gamin perdu pourtant Dieu seul sait que cela ne durera pas longtemps et qu'une fois remis de ses démons intérieurs, qu'une fois les fantômes du passé endormis pour de bon, il redeviendra le tortionnaire de cet ange qu'il a su prendre dans ses filets. Et malgré tout, il l'aime, ce gamin fragile qui lève vers lui ses grands yeux bleus et qui lui donne souvent l'impression d'être une divinité toute puissante. C'est un amour étrange et malade, un sentiment que peu de gens pourraient comprendre car il est teinté de passion violente et d'étreintes douloureuses mais c'est une façon comme une autre d'aimer, une façon qui ne déguise pas les sentiments derrière des faux-semblants et qui ne prétend pas être ce qu'elle n'est pas. Choquante peut-être, mais sincère et vraie. « Tu n’as plus rien à craindre, je suis là. » Les lèvres du jeune homme embrassent son front et il le laisse faire, avec un sourire un peu pâle, comme les mots de Zachkariel font leur chemin dans son esprit. Dans l'esprit de n'importe qui, cela aurait été considéré comme des paroles gentilles et rassurantes mais le criminel voit cela tout autrement. Pour lui, ce n'est qu'une façon de le rabaisser ; comme s'il avait besoin de ce gringalet pour être en sécurité, comme s'il ne pouvait pas se protéger lui-même. Cependant, il ne lui fait pas la remarque, encore un peu trop dans l'éther pour réagir et s'offusquer. L'étudiant dépose le gant de toilette sur sa bouche, entreprenant de le laver délicatement de son sang et Seth ne peut s'empêcher de le rapprocher de Marie-Madeleine, la pécheresse. Il esquisse un demi-sourire, comme il se dit que ses parents l'ont sans doute un peu trop traîné à l'église quand il était gamin pour qu'il ait une aisance aussi déconcertante à voir des scènes religieuses partout. « Tu ne dois pas te faire du mal pour les autres. Ni pour Hanna, ni pour Katarina. Tu entends ? Ne te fais plus jamais mal à ce point, Seth… Tu m’as fait peur. » Campbell penche la tête sur le côté, sans comprendre. On ne doit pas se faire du mal à cause des gens, hein ? Zachkariel était mal placé pour donner des leçons de morale, lui qui laissait Seth le frapper, lui briser les os et l'esprit et qui, s'il n'allait pas jusqu'à en redemander encore, ne faisait pourtant rien pour s'y dérober. Seth fronce légèrement les sourcils, alors qu'à nouveau, il le prend comme un affront plutôt que comme des paroles touchantes. Ainsi, il ne mérite pas que Zachkariel souffre pour lui, c'est ça ? Les mots sont totalement déformés et vidés de leurs sens par rapport à la réalité initiale mais l'esprit malade de Seth est traître et lui fait bien souvent voir les choses sous un angle différent de ce qu'elles sont réellement.
Il laisse Zachk l'embrasser parce que, même en colère contre lui, ses baisers sont une chose dont il refuse de se priver. Parce que c'est tellement bon de sentir ses lèvres se poser sur les siennes, la sensation de leurs langues qui se mélangent. D'ailleurs c'est encore mieux lorsque Zachk pleure et supplie et que Seth lui prend ces baisers de force, le menton du jeune homme bien pris entre ses doigts à la poigne puissante. Rien qu'à l'idée, il sent ses prunelles qui s'allument, se sentant presque beaucoup mieux tout à coup, tandis que déjà, il imagine Zachk à sa botte et qu'il en baverait presque. « Je te pardonne. Tu ne voulais pas, tout ça n’est pas ta faute. C’est eux qui viennent et qui te font du mal Seth. » Il lui pardonne ? Les poings de Campbell se serrent malgré lui, son corps traduisant par là-même sa colère et la façon qu'avait son esprit de tout mal interprété. Zachkariel n'avait rien à lui pardonner, après tout il ne lui était pas supérieur et il n'avait aucun droit suffisant sur lui pour l'abreuver de sa soi-disant clémence et de sa magnanimité. Il pense à lever la main pour lui retourner une gifle mais les doigts du jeune homme sur son visage l'apaisent presque aussitôt alors ses phalanges se desserrent d'elles-mêmes, tandis que ses iris caressent du regard le sourire doux de Zachkariel et qu'il soupire, comme soulagé tout à coup. « Ne pense plus à elle, d’accord ? Je suis là. » Seth a un sourire touché, malgré lui, malgré cette apparente violence qu'il cache en lui ; il est clair qu'il peut être le diable en personne par moment mais qu'il sait aussi être doux comme un agneau. Car, même s'il aime mal, il aime sans retenue, comme il a aimé Hanna à s'en brûler les ailes il aime Zachkariel à en brûler les siennes. Il ne se relève pas, car il est bien là, par terre, le carrelage lui procure une sensation de fraîcheur qui apaise sa peau brûlante, se contentant d'attirer Zachk contre lui, enfouissant son visage dans la nuque du jeune homme, ses doigts se perdant dans ses cheveux. Il le tient contre lui, de cette façon de longues secondes, ses lèvres abîmées embrassant la peau du Serdaigle malgré la douleur. Son regard redécouvre une marque violette qu'il lui a laissé lors d'un précédent ébat ou lors d'une crise de colère et il sourit, satisfait de voir que cette peau porte toujours son empreinte jusqu'au plus profond de sa chair. « Tu seras toujours là, pas vrai ? » Il murmure dans sa nuque. « Toujours à moi quoiqu'il arrive ? » C'est une question rhétorique, il n'attend pas vraiment de réponse car Zachk a donné sa parole et qu'on ne reprend pas la parole donnée, surtout pas celle donnée à Seth ; Hanna en a fait les frais. Il appuie son front contre celui du jeune homme, le regardant droit dans les yeux, sans ciller. Le retour de Hanna par procuration l'a mis tellement en colère, une colère que même les caresses de Zachk ne peuvent évacuer et qui le consumera si elle reste trop longtemps en lui. C'est ce qu'il croit en tous cas et dans un sens, il a sans doute raison. « Zachk... S'il te plaît... » Ce n'est qu'un souffle, qu'une demande d'autorisation implicite et il sait que l'étudiant ne lui refusera pas ce qu'il lui demande parce que Zachk est ainsi, dévoué, même si son bonheur passe alors après. Et s'il ne veut pas, alors tant pis, comme d'habitude, Seth se passera de son consentement. « Ca brûle à l'intérieur, Zachkariel. Cette rage... elle va me rendre fou à lier, j'te jure. » Ses mains s'accrochent à la chemise du jeune homme avec force, les jointures de ses phalanges devenant blanches sous le coup de la pression. « S'il te plaît, laisse-moi... » ...te fracasser contre le mur une fois ou deux ? te tabasser un petit peu le temps que je me calme ? te casser un os dont tu ne te sers pas trop souvent ? Aucune fin ne lui parait bonne alors il laisse sa phrase en suspens, ses prunelles toujours plantées dans les siennes. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Lucho Jacob ▬ Multicompte(s) ; Nope. ▬ Un dernier truc à dire ? ; J'suis dans une période sur-active, j'avoue. Ca fait quelques jours que je cherche un forum solide et actif, sympa, bref, la perle. J'ai cherché, cherché, cherché, mais bon, c'est comme plein de trucs, on en entend parler mais on les voit jamais. Du coup j'ai cherché dans mes anciens forums, sans trouver la motiv' d'en reprendre un... et puis... TDS a popé, comme ça... Et pis voilà, si j'suis là c'est sans doute que j'y crois, moi, que vous soyez les perles que je cherche ! (a)
Dernière édition par Carys Matheson le Sam 13 Avr - 12:03, édité 4 fois |
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Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
| Sujet: Re: [EN COURS] - Carys Matheson Mar 9 Avr - 23:38 | |
Laszlo, ça me dit quelque chose (ou alors il est tard et je ferais mieux d'aller me coucher ) Anyway, re-bienvenue ici, en espérant que le forum soit ta perle effectivement. Si tu as besoin, tu peux t'adresser au staff, bon courage pour ta fiche |
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