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  [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »

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MessageSujet: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 19:02



Identity Card
Feat "Hugh Laurie"
 [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » V627
(c) Copyright


    Je suis Clyde Jock Ridway. J’ai décidé d’arrêté de fêter mes anniversaires à 30ans, ne supportant plus le temps qui passe. De nationalité américaine, je suis d’origine écossaise. Mon métier ? Tout et n’importe quoi. Garagiste, dealer, receleur… C’est ça que mes clients aiment chez moi, mon côté multi fonction. Travaillant exclusivement avec les italiens il m’arrive de faire une entorse au règlement quand ma vie est menacée. Célibataire & sans enfant, je ne pense pas que cela changera un jour. Pas parce que je ne le veux pas mais parce que je n’ai plus l’âge. Mon humour qui laisse à désirer et mon ironie sont mes marques de fabrique. Je suis considéré par certains comme étant un HORS-LA-LOI car la police serait sans doute ravie de pouvoir me mettre la main dessus, pas parce que je suis un gros poisson mais pour les infos que je possède.


Once upon a time...


Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Michel Berger ▬ Paradis Blanc
« Y a tant de vagues, et tant d'idées
Qu'on arrive plus à décider
Le faux du vrai
Et qui aimer ou condamner
Le jour où j'aurai tout donné
Que mes claviers seront usés
D'avoir osé
Toujours vouloir tout essayer
Et recommencer là où le monde a commencé »


Histoire ;
Je suis ce que la société a voulu faire de moi. Sans opposer aucune résistance, j'ai suivi bêtement le troupeau. Ma mère est morte de désespoir à cause de moi. Fatiguée d'attendre que je rentre à la maison, d'aller me chercher au commissariat alors que j'étais encore défoncé. Moi, son seul enfant, je lui parlais comme si elle était une moins que rien. J'aurais voulu lui dire que je l'aimais, que toutes les horreurs que j'ai pu lui dire, c'était des mensonges. Je ne pensais pas à mal. Elle est morte avant que je puisse lui dire et mon père se mit à me haïr. Déjà à l'époque, il ne m'aimait pas vraiment, il me considérait comme un parasite, la honte de la famille. Mais depuis qu'elle n'est plus là, il attendait fébrilement que je meure d'une overdose et que j'aille cramer en enfer. Je le méritais sincèrement, pour le nombre de fois où j’ai fait pleurer ma mère.

Quand on est jeune, on est forcément con. On sait que trop boire d'alcool est dangereux pour la santé, mais on le fait quand même. Les balles nous frôlent, mais ne nous traversent pas. Et même quand l'une d'entre elles, arrive à atteindre l'un dès notre, ça ne change rien, on est triste deux minutes et on l'oubli on se vidant une bouteille. S'il y a de l'alcool et des filles pas coincées au même endroit, ça se transforme en fête. Il n'y avait pas d'heure ni même d'endroit précis. Ca pouvait commencer à 10h du matin sur la pelouse du voisin, comme à 22h du soir, dans une station de métro. Mais l'alcool comme le reste à un prix. On commence toujours par taxer dans le porte-monnaie des parents. Les petites sommes se font rarement remarquer, mais dès qu'on veut plus, il faut trouver un nouveau plan. Et celui-ci était d'aller voler à la supérette d'à côté. Elle était toujours tenue par des étudiants qui disaient rarement quoi que ce soit, ils n'avaient que ce boulot minable pour payer leurs études. On débarque à trois et on s'éparpille dans les rayons, on planque ce qu'on peut planquer sous nos pulls miteux. La première fois, ça marche, on est accueilli en héros par notre bande. Deuxième fois, on se sent invincible, à croire qu'on pourrait voler le magasin entier que personne ne l'oserait l'ouvrir. Et puis ce fut le coup de trop, limite on est sortis sans rien cacher, les bras charger d'alcool. Ce cafard d'étudiant avait prévenu la police et hop', maintenant je devenais le cleptomane drogué et alcoolique du quartier. La honte de la famille. Celui qui a 22 piges n'avait aucun diplôme et ne ferait sans doute jamais rien de bon de sa vie. Quand on est jeune, les conséquences on n’y pense jamais, il n'y a que vers mes 25 ans que j'ai compris que ces bêtises sans importance, je devais les trainer comme un boulet toute ma vie. Qu'importe que je devienne un citoyen modèle, tout ce que l'Amérique aura retenu de moi c'est des erreurs de parcours comme Monsieur et Madame tout le monde aurait pu faire. Sauf que moi, je me suis fait attraper comme un bleu. A la suite de cela, tout le quartier ne parlait plus que de moi et de l'échec que j'étais devenu. Ils disaient que cela venait de la trop grande gentillesse de ma mère, mais ils ne soupçonnaient même pas une seule seconde que leurs chères têtes blondes étaient bien plus débauchées que moi. J'étais ce virus qui avait contaminé leur petite vie tranquille.

L'enfer doit sans doute ressembler à une prison. Pour s'occuper les détenus cherchaient à s'inventer des pseudos rivalités simplement pour se battre et essayer de faire passer le temps. Mais les méchants eux, ne simulaient pas, leur envie de vous démolir le portrait n'était pas feinte. Devant ces hommes, il valait mieux baisser les yeux si on aimait un tant soit peau la vie. Dans ce genre de situation, le but du jeu consistait à devenir « ami » avec l'un d'eux. Tous les moyens sont bons et le mot d'ordre est « service ». Si je voulais que mon séjour se passe bien, je devais les aider pour tout et n'importe quoi. Mon chien de garde se nommait Rick affectueusement appelé « le boucher du Michigan » il avait eu l'autorisation de se mêler aux autres depuis que sa psy ne l'avait plus jugée dangereux. Son 1m95 et sa carrure de lutteur en effrayait plus d'un et glacé le sang de certains quand ils apprenaient de quelle façon il tuait ses victimes. Je lui payais des clopes et lui donnait mon urine quand il faisait le dépistage antidrogue et j'avais la permission de pouvoir m'asseoir à côté de lui.

Le type qui partageait ma cellule était un camé qui attendait avec impatience sa dose de méthadone. Il ressemblait à un chien qui allait enfin avoir son os adoré. Il n'arrêtait pas de me raconter comment il a fait pour se mettre dans cet état, de cette fille qu'il aimait à la folie et de ce cambriolage chez une dame agrée qui a fait un arrêt cardiaque au moment où son vieux cerveau a compris qui avait un cambrioleur chez elle. Le pauvre gars a pris 4 ans de prison et sa bien-aimée l'a largué pour un qui lui au moins était en liberté. Les prisons étaient remplies de type qui ne cherchait pas à faire mal, leurs histoires se résumaient à avoir rencontré les mauvaises personnes au moment le plus crucial de leur vie.

C’est enfermé que je pris réellement conscience que la mafia n’était pas une légende. Rick m’a rapidement appris que si je parlais à cette personne, je ne pouvais pas parler à celle-là car leurs patrons se battaient pour les mêmes quartiers. Il me parlait, les yeux brillants, du fric qu’il était possible de se faire et surtout que devenir ami avec l’un d’eux pouvait me faire sortir de prison plus tôt que prévu. Cette info n’était absolument pas négligeable. J’ai promis à mon garde du corps que si j’arrivais à sortir avant la fin de ma peine, j’irais convaincre sa famille d’aller le voir au moins une fois au parloir.
J'entrepris de me lier d'amitié avec un petit malfrat qui répondait au nom de Santorum et qui bossait pour la mafia italienne. Pour qu'il ait un minimum de confiance en moi, j'ai provoqué une altercation avec l'un de ses ennemis. Par chance, j'ai gagné. Santorum voyant cela et étonné par cette bagarre me demanda des explications « par simple curiosité ». Je lui racontai que je n'aimais pas les Russes. J'inventai un passé sortant tout droit de mon imagination. J'étais pour lui un type qui avait perdu un paquet de fric à cause des Russes et depuis ce jour j'essayais par tous les moyens de sortir pour récupérer ce qui m'appartenait. Il se sentit concerné par mon histoire et me proposa de m'aider si en échange je faisais quelque chose pour lui. Il était plus facile pour la mafia de faire sortir de prison quelqu'un qui n'a strictement rien à voir avec eux plutôt que l'un des leurs.

J’étais tellement obsédé par le fait de vouloir être libre, sans y faire gaffe, j’ai signé un pacte avec le diable et toute sa famille.
Deux semaines plus tard, j’étais libre.

L’avocat grassement payé de la famille avait trouvé un tout petit vice de forme qui remettait en cause mon arrestation. A ma sortie, le grand chef m’attendait dehors, adossé contre sa BMW toute rutilante. La liberté avait l’étrange odeur de la marijuana. Transporteur de drogue et occasionnellement d’arme. Voilà mon nouveau boulot. Impossible de refuser le job, il m’aurait troué la peau juste après avoir osé dire « non ».

Les premiers jours, j’avais le sentiment que tous les flics de New York me suivaient. J’avais réussi à me trouver un petit appartement miteux dans l’un des quartiers les moins fréquentables de la ville. Avec mon casier judiciaire, aucun propriétaire ne me faisait confiance. Dormir avec toute cette drogue minablement cachée sous mon lit, ça me rendait paranoïaque.

Mes journées n'étaient qu'une copie de la précédente. Réglé comme du papier à musique, je commençais à bosser vers les 11h, avec un rendez-vous avec le patron pour qu'il m'indique où livrer la marchandise et ainsi de suite. C'est en pleine mission secrète que ma vie trouva un sens quand nos regards se croisèrent. Je fus foudroyé. Cette femme était incroyable, elle avait le don de voir toujours le meilleur chez les personnes. C'est après 3 mois de relations, fou amoureux d'elle et ne supportant pas de lui mentir une seconde plus, j'osai lui avouer ce que je faisais réellement. Elle ne me jugea pas, mais me demanda d'arrêter. Elle n'avait pas envie de vivre la peur au ventre. Seulement, on ne peut pas quitter le monde des affaires comme ça. Il ne suffit pas de dire « C'était sympa mais j'arrête » pour que le bosse accepte de vous laisser tranquillement partir. C'est toujours une histoire de « tu vas me rendre un dernier service » qui s'éternise. Au final on n'arrête pas vraiment, on se retrouve un mi-temps. Pour ne pas éveiller les soupçons de ma chère & tendre. Je revins vers mon premier amour en me faisant embaucher dans un garage où j'effectuais des réparations sur tous types de véhicules.

Ma vie me convenait parfaitement. Même au-delà de ce que j'avais pu espérer. Mais le bonheur, il va, il vient, mais ne reste réellement jamais. Du jour au lendemain, le lit qu'on avait acheté me semblait devenu bien vide, bien trop grand pour moi. Sur la table de la cuisine, un simple bout de papier froissé avec écrit « merci » d'une écriture précipitée. Il n'y avait plus rien dans les placards. Il ne restait que son odeur dans le petit appartement. A ce moment précis, quelque chose en moi se brisa dans un bruit assourdissant. Et je compris que rien n'est éternel.

A la suite de cela j'ai passé mes journées comme une loque, affalé sur le canapé, à mater les chaînes de ventes. A acheter la première bêtise avec un semblant d'utilité. Je crois que c'est à ce moment que je suis devenu ce que je suis. Je l'ai attendu. Un mois, deux mois et puis le troisième arrive bien vite. On oublie de payer l'électricité et l'eau, car on a plus d'argent. Que des centimes pour pleurer. Alors, c'est tellement facile de replonger, de reprendre ce train de vie si facile. Transporter de la drogue d'un point A à un point B, planquer de l'argent chez soi et de temps en temps et prendre quelques filles à la maison pour qu'elle puisse se refaire une santé, garder des flingues pour rendre service. J'ai gagné assez d'argent pour continuer à attendre son retour sur le canapé.

Et puis au bout de 2 ans, j'ai compris que je ne la reverrais plus jamais franchir le seuil de cet appartement. Il n'y avait plus rien à espérer, attendre que le temps passe et que les blessures guérissent. Je me jetai à corps perdu dans le travail, je ne rentrais plus chez moi, préférant décuver dans les bars plutôt qu'affronter le silence assourdissant de mon chez moi. Je combattais ma peine à coup de whisky et si cela n'était pas suffisant, j'allais me perdre dans d'autres bras à la peau blanche et gracile. Je fermais les yeux, me laissant porter par le courant, ne cherchant plus à lutter contre quoi que ce soit.

Aujourd'hui, j'ai 44 ans, je transporte toujours des choses illicites et fait quelques à côté quand l'offre est intéressante. Mes plus gros clients et à ceux à qui je dois fidélité jusqu'à ce que la mort ou la prison nous sépare sont les Italiens. Je travaille avec quelques gangs de temps en temps pour leur donner un coup de pouce. Les Russes ne sont pas mes plus grands fans et je tente de les éviter au maximum, mais quand l'un de leurs chiens de garde me pointe un calibre sur la tempe je ne peux refuser, vu que c'est demandé si gentiment. Ma discrétion & ma rapidité d'exécution sont appréciées, j'ai ma petite réputation et les grands de ce trafic parallèle savent que je suis l'homme de la situation pour les opérations délicates. Je fais de temps en temps quelques réparations sur des voitures dans un garage, histoire de faire un peu couverture, mais je sais que cela ne fait pas illusion longtemps face à la police si un jour ils arrivent à remonter jusqu'à moi.

Wanna know more ?


La plus grande honte du personnage ;
Trop de choses sur la conscience. Pour vous c'est quoi la « honte » ? Le fait de sortir dans la rue avec les pantoufles toujours aux pieds, ou d'avoir déçu des personnes ? Pour ma part, c'est la deuxième option. Je m'en veux, si vous saviez de toute la peine que j'ai pu causer à ma mère. Je le savais que dans le fond, elle ne voulait que mon bien et m'aider. Je n'ai pas su comment réagir sur le moment. Tout ce que j'ai trouvé à faire pour me rendre intéressant c'est enchainer connerie sur connerie. Combien de fois j'ai rêvé de voir ses vieux crever pour enfin être libre. Et quand ma mère nous a quittés pour un monde meilleur, un monde sans moi, j'ai senti le sol se dérober sous pieds, j'ai perdu une partie de mon être à ce moment. Ce n'est pas comparable à un chagrin d'amour, car on finit par oublier. C'était pire. J'ai cru la détester alors que toutes les fibres de mon être l'aimaient plus que de raison. C'était ma mère.

Définition de l'enfer pour le personnage ;
L'enfer, c'est ouvrir la boîte de médoc' du côté de la notice. Essayer de monter un meuble et se rendre compte qu'il manque une vise. Se cogner le petit orteil dans le coin du mur. Rire à ses propres blagues bidon. Commencer à danser en se croyant seul dans un rayon de super marché et se rendre compte que non. Galérer à ouvrir un stupide bocal de cornichons. Se tromper en chantant les paroles d'une chanson. Le lendemain de cuite. Une bouteille de whisky vide. Se couper en se rasant. Se faire réveiller à 5 du mat' par le réveil de la voisine. Avaler de travers. Chercher pendant une heure les clefs de la maison alors qu'elles sont sur la table basse. Se couper avec une feuille. Avoir le rhume et ne plus avoir de mouchoir. Ne plus avoir de cigarette le dimanche jour où les tabacs sont fermés. Dante devrait revoir sa vision de l'enfer.

Définition du paradis pour le personnage ;
Avoir une vie différente. Bien ranger. Une femme, deux enfants : un garçon et une fille et puis un chien. Avoir pu apprendre à son fiston à faire du vélo et puis par la suite l'emmener voir des matchs de football américain. Prendre peur en voyant sa fille grandir et commencer à sortir avec des garçons. La vraie vie tout simplement. C'est ce que j'aurais aimé connaitre. Ma vie actuelle n'est pas toute noire, il y a le frisson à certains moments. Mais cela ne remplacera jamais le bonheur d'avoir une famille, une femme qui vous accueil à la maison râlant un peu sur votre retard. J'imagine. Je suis un homme et par définition, je suis faible et je ne pourrais renoncer aux streap-teaseauses de la boîte en face de chez moi. Surtout que j'ai des réductions.

Point faible du personnage ;
Mon humour. Plus sérieusement le fait d’être isolé. Dans ce milieu on ne parle pas d’amis, mes de clients, patron, collègues… On ne sait pas vraiment à qui faire confiance car les balances sont en recrudescence en ce moment. Avoir des amis, ça peut aider en cas de coup dur, quand par exemple après une grosse dispute avec votre copine qui vous met à la porte, ou quand on a besoin d’argent. Être seul, je l’ai longtemps voulu pour éviter toutes formes de désillusions qui caractérise la nature humaine. Pour éviter d’avoir mal. Le genre de douleur qui ne part pas avec de la morphine. Est-ce que cela fait de moi un lâche ? Je le sais, un jour j’aurai besoin d’aide, le genre d’aide qui pourrait me sauver la vie, et il n’y aura personne qui sera prêt à risquer sa tête pour moi. C’est triste.

Point fort du personnage ;
Mon charme, mon humour, ma grande beauté... Enfaite non.

En réalité, si dans le métier on me reconnait à ma juste valeur et que je suis tant apprécié c'est grâce à ma discrétion. Je sais quand il ne faut pas parler, garder sa place, être efficace. Je ne suis pas le seul qui fait ce genre de choses mais j'aime croire que c'est moi le meilleur. Ma discrétion va de pair avec le fait que je sais garder les informations pour moi. Une tombe. De ce fait là, je n'ai jamais été considéré comme un traitre et n'est de problème avec personne sauf la police. Je sais qu'ils remontent les réseaux en commençant par arrêter les petites mains comme moi. J'ai peur. De terminer ma vie en quatre murs, parce que je sais qu'à présent, je n'ai pris que des mauvaises décisions.

Casier judiciaire ;
■ Officiel
Consommation de drogue
Coups et blessures sur agent fédéral
Ivresse sur la voie publique
Conduite en état d’ivresse
Outrage public à la pudeur
Incitation à la consommation d’alcool sur des mineurs


■ Non officiel
Dealer
Blanchiment d'argent
Recel
Atteinte sexuelle sur mineur ( dans sa jeunesse ) les charges on étaient abandonné, pas assez de preuve.

Behind the screen...


Prénom ou pseudo ; Lou
Âge ; Moi aussi j'ai arrêté de fêter mes anniversaires à partir de 15ans
Où avez-vous connu le forum ; Je suis une revenante
Connexion ; 5/7
Code du règlement ;
Spoiler:
Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement)
Exemple de RP ;
Spoiler:
Célébrité sur l'avatar ; Hugh Laurie
Multicompte(s) ; //
Un dernier truc à dire ? ; C'EST L'HISTOIRE DE LA VIE \o/



© New-York, The Dark Side


Dernière édition par Clyde J. Ridway le Dim 9 Juin - 20:05, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 19:17

Bienvenue parmi nous !

N'hésite pas à t'adresser au staff si tu as des questions, bon courage pour ce qu'il te reste à écrire, si c'est le cas Wink

J'ai validé ton code règlement !
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 19:21

Bienvenue ! Very Happy (ou rebienvenue, si je ne m'abuse ?)
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 19:24

Bienvenue chez nous. Ou plutôt RE-bienvenue!
Ce choix d'avatar mon dieu.... :bave:
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 19:25

Oh, re-bienvenue à Clyde! Smile

Bonne chance pour cette re-fiche Wink
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 19:28

Re-Bienvenue :cabaret:
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 19:44

    ET OUIII, j'étais là avant, pour ceux qui se souviennent de moi :dent:
    J'ai essayé d'améliorer ma précédente fiche 8D Normalement c'est Okay' mais je préfère faire encore une bonne re-lecture pour voir si j'ai pas laissé des erreurs bêtes.
    EDIT ; Terminée \o/
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Anja Malkovski
Reine des Glaces
Gott weiss ich will kein Engel sein

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CRÉDIT(S) : Fatal†Error
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PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club


Feuille de personnage
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CASIER JUDICIAIRE:
RANG DE CRIMINALITÉ: CRIMINEL
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 20:15

Re-bienvenue Clyde Smile

Je vais m'occuper de lire ta fiche par contre pour te valider il faudra que tu aies un avatar. Je ne sais pas si tu en as mis un ou pas en tout cas il ne s'affiche pas et je ne le vois pas ^^
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https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5603-terminee-anja-malkovski-you-re-gonna-wish-you-never-had-met-me#448670 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5612-anja-malkovski-as-cold-as-ice#449254 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5611-anja-malkovski-better-not-stand-in-my-way#449243 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t6045-anja-malkovski-there-s-a-devil-laying-by-your-side#497519 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t6037-agence-malkovski-pour
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 21:17

J'en ai un, pour te montrer :
Spoiler:
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 21:19

Choix sympa d'avatar.
reBienvenue! Cash
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Anja Malkovski
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 22:18

Au temps pour moi. Je ne vois ni ton avatar ni celui de la fiche, ça doit être un petit bug ^^

Et je te valide donc, sans grande surprise. N'oublie pas de remplir ton casier judiciaire dans ton profil !
Tu connais la maison, bon jeu Smile
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitimeDim 9 Juin - 22:47

Bon retour parmi nous Smile
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen »    [TERMINEE] Clyde J. Ridway ; « Killer Queen » I_icon_minitime

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