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| | [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life | |
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| Sujet: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Jeu 26 Sep - 22:32 | |
Identity Card
Feat "Laura Linney"(c) Milky Way |
▬ Nom ; Tolliver (nom d'épouse Tolke) ▬ Prénom(s) ; Marianne, Jane ▬ Surnom(s) ; Aucun. Enfin, pas à ma connaissance. ▬ Âge ; 41 ans (26 septembre 1973) ▬ Nationalité ; Américaine. ▬ Groupe ; Cityzen. ▬ Statut et activité dans la vie ; Ancienne présentatrice télé, cancéreuse à plein temps et fraichement divorcée. ▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle. Normalement.
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
A Game Called Life - Leftover Cuties
Wanna know more ?
▬ Relations ; (100 mots minimum - Relations amoureuses, amicales, sexuelles ; Ce qui lui plait chez les autres, ce qui ne lui plait pas chez les autres ... Ceci est une approche de la façon dont votre personnage se comporte avec autrui.)
Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours eu du mal avec les femmes. Oui, cela semble assez stupide étant donné que j'en suis moi-même une, mais les centres d'intérêt des femmes en général n'ont jamais vraiment été les miens et c'est pour cela que je ne me suis jamais vraiment sentie proche d'elles. Lorsqu'à l'école j'entendais les autres filles parler de maquillage, de fringues, de bijoux et autres trucs rose bonbon, ça m'exaspérait profondément. Moi je préférais porter des pantalons, courir partout et jouer au ballon avec les garçons plutôt que de jouer à la poupée. Bon aujourd'hui je portes des vêtements un peu plus féminins et je snobe (un peu) moins les femmes, mais je suis toujours beaucoup plus à l'aise en compagnie des hommes. ▬ Physique ; (100 mots minimum)
A mon âge, il n'y a plus grand chose à voir. Certes je ne tombe pas encore en lambeaux, mais on peut voir que j'ai plusieurs décennies à mon compteur. J'ai de bonnes pattes d'oies aux coins des yeux, de petites rides sur le front et la cellulite et les vergetures ont colonisé mes cuisses. Mes yeux bleus ont perdu de leur éclat et mes cheveux blonds sont très fins et parsemés de petits cheveux blancs. Sans compter les kilos amassés au fil des ans, le joli teint grisâtre dû à ma maladie et une lésion de mélanome dans mon dos. Ceci est un portrait peu flatteur, mais qui reflète malheureusement très bien la réalité. A 41 ans, je ne suis plus aussi jeune et fraîche qu'autrefois. ▬ Caractère ; (400 mots minimum)
D'après mon ex-mari je suis " une vieille bonne femme aigrie et frigide (non, pas barjot) ", ce qui est absolument charmant, vous en conviendrez. Mais son opinion ici nous importe peu, même si pour le aigrie il n'a pas tout à fait tort. Au fil des années passées avec lui je le suis devenue un peu, à force de supporter son sale caractère et ses infidélités. Ca m'a aussi et surtout rendue aigrie envers les hommes en général et envers l'amour, avec lequel je n'étais pas vraiment copine à la base. Je suis aussi devenue un peu cynique avec le temps et mes " blagues rigolotes " virent parfois à l'humour noir. Les gens commencent à se demander ce qu'il est advenu de la, je cite " si charmante et si joviale Marianne ". Hé bien elle en a marre de feindre la bonne humeur et la gentillesse, voilà ce qu'il s'est passé. Cela fait des années que je feins une attitude de femme parfaite, gentille, marrante, épouse aimante et attentionnée afin de cacher ce que je ressens vraiment. Attention, je ne suis pas non plus devenue la pire des pestes, mais avec mon divorce j'ai appris à arrêter de cacher les choses telles qu'elles le sont vraiment. Maintenant tout le monde a bien compris que je hais mon ex-mari du plus profond de mon coeur, et j'ai arrêté de faire semblant d'apprécier des gens que je déteste. Je suis plus ou moins redevenue la Marianne d'avant mon mariage, en une version un peu plus cynique et solitaire. J'ai perdu la plupart de mes amis en déménageant à San Francisco, mais au final cela ne me dérange pas plus que ça ; je ressens moins le besoin d'avoir de la compagnie, et encore moins celui de m'ouvrir à quelqu'un. Je n'ai jamais été très " confidences " et n'ai jamais beaucoup aimé dévoiler mes sentiments. Les sujets graves, les sentiments profonds… Ben je les laisse enfouis profondément. Même avec mes pères j'ai du mal à parler de ces choses là. Et comme j'ai également une tendance à être très protectrice avec mes proches, j'aime encore moins parler de choses qui pourraient les inquiéter ; je ne veux pas qu'ils se fassent du souci pour moi. Je préfère rester dans ma carapace où je ne pourrai blesser personne. Vous pouvez donc me parler de tout ce que vous voulez, mais pas de choses profondes. Enfin, pas de choses profondes qui me concernent. Les sujets d'actualité sérieux, les débats en tout genre ou les causes à défendre, ça il n'y a pas de soucis. Je suis même en général plutôt à fond quand il faut discuter de choses comme ça, et peux même être assez virulente quand il s'agit de quelque chose qui me tient à coeur. ▬ La plus grande honte du personnage ; (En 60 mots minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Une dispute avec mes pères quand j'étais ado. Je ne me rappelle plus quel en était l'objet (sûrement une connerie avec mon groupe d'amis), mais je me rappelle très bien des mots que j'ai prononcés. Au cours de la dispute j'ai traité mes pères de " sales pédés ", j'ai dit à Chris (mon deuxième père) que de toute façon il n'était pas mon père, que notre famille n'était pas naturelle ni normale. Même si j'étais une ado en pleine crise, que je ne pensais pas ce que je disais et qu'après nous nous sommes réconciliés, j'ai toujours eu énormément de remords d'avoir blessé Chris, lui qui nous avait élevées comme ses enfants, aimées, et que nous avions toujours considéré comme notre père bien que la loi, elle, ne le fasse pas. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
Perdre mes pères et ma soeur. Ma famille est la seule chose que j'aie, elle est mon seul point de repère et la seule chose à laquelle je me raccroche ; si je les perdais, je me retrouverais seule et désespérée avec pour seule compagnie le cancer qui me ronge. Sans eux, on peut vraiment dire que je ne suis rien et que je n'ai plus rien. Je n'ai plus de boulot, plus de mari, pas vraiment de hobby, et le peu d'amis que j'ai n'en sont pas vraiment (gens de la haute, hypocrites et profiteurs ; ce ne sont pas des gens sur lesquels je pourrais compter pour me soutenir dans cette épreuve). ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Sans hésitation, je pourrais tout de suite vous répondre que ce serait être débarrassée de cette saloperie de cancer, pour pouvoir enfin vivre sereinement avec ma famille et prendre un nouveau départ. Après les dix pénibles années que j'ai passées avec mon ex-mari, je n'avais franchement pas besoin de ça… (d'ailleurs si ses parties génitales pouvaient également tomber en poussière, cela me ferait le plus grand plaisir.) ▬ Point faible du personnage ; (En 60 mots minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
Mes pères ; ou plutôt, leur sexualité. Avoir deux papas n'a jamais été facile. Pas pour ma soeur et moi qui n'avons jamais eu de soucis avec ça, les avons toujours considérés comme nos deux parents et n'avons jamais souffert du manque d'une mère ; c'est le regard des gens et leurs commentaires haineux qui étaient (et sont toujours) difficiles à supporter et qui blessent. Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis battue avec des enfants à l'école ou bien celles où je me suis disputée avec des gens après avoir entendu des réflexions homophobes. Si j'ai bien un point faible, c'est celui là. Je prends comme une attaque personnelle tout commentaire négatif sur les homosexuels. ▬ Point fort du personnage ; (En 60 mots minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
Mon optimisme peut-être ? J'ai tendance à toujours essayer de voir le bon côté des choses, à trouver du positif dans n'importe quelle situation, même la plus négative. Je n'aime pas partir défaitiste ou voir tout en noir. En ce qui concerne ma maladie, par exemple, même si je ne suis évidemment pas heureuse de l'avoir, je me dis que grâce à elle j'aurais au moins enfin trouvé le courage et la force de quitter mon ex-mari, ce que je n'ai pas réussi à faire en dix ans de mariage (oui c'est un peu naïf, mais on fait ce qu'on peut). ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.)
- Consommation d’alcool avant l’âge légal - Conduite d’une voiture sans permis de conduire - Vol à l'étalage - Divers tags sur des murs - Tapage nocturne - Consommation de marijuana (que des conneries de gamin quoi)
Behind the screen...
▬ Prénom ou pseudo ; Milky Way ▬ Âge ; Prenez le vôtre et rajoutez-y quelques années de plus ou de moins. ▬ Où avez-vous connu le forum ; Étiqueté à l’orteil de Jane Bonham. ▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 4/7 J'essaierai de passer au moins une fois par jour en semaine, mais je serai plus disposée à RP le week-end. ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK par Anja ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Se réveiller. Se lever. Enfiler ses pantoufles. Tous ces gestes qui pourraient paraître d'une extrême banalité aux yeux de n'importe qui n'allaient bientôt plus l'être pour moi. A vrai dire, ils avaient même dépassé le stade de la banalité et n'avaient plus aucune signification depuis bien longtemps pour moi. Je les faisais sans vraiment m'en rendre compte, tel un automate programmé à les répéter encore et encore. Ces gestes étaient vides de sens, sans aucune utilité ni aucune raison d'être. Ils n'étaient ni plus ni moins que de simples informations envoyées par mon cerveau. Je n'y portais plus aucun intérêt, comme tout ce que je faisais depuis maintenant quelques mois. Tout avait perdu de son sens, de sa saveur. Tout était dérisoire et futile à mes yeux, sans aucun intérêt. La vie et ses plaisirs, les amis, même le simple fait de respirer, de parler et de marcher. Tout ce qui avait pu compter pour moi était parti en lambeaux et s'était désagrégé jusqu'à ce qu'il ne reste plus que de la poussière, qui avait à son tour fini par disparaître. Les rêves, je n'en avais plus ; le seul que j'avais eu m'avais pourri l'existence et était la cause de tous mes malheurs. Il m'avait détruite, avait détruit ma vie, annihilé ma conscience et dévoré mon âme. Il n'avait laissé de moi qu'un petit tas de cendres, tristes restes du brasier qui m'avait consumé pendant plus de sept ans. J'avais sacrifié jusqu'à ma dignité afin d'atteindre ce rêve tant convoité, j'avais tout risqué, y compris ma vie, et j'avais perdu. Dans le combat " Jane contre le mannequinat " c'était le mannequinat qui avait gagné par K.O. J'avais été mise au tapis et jamais plus ne m'en relèverais. Tout effort était vain et inutile, j'avais abandonné depuis bien longtemps. Je n'étais plus ce poisson qui se débattait sur la berge, luttant pour sa survie, non, j'étais celui sans vie qui s'était écrasé contre les rochers. J'avais arrêté de lutter et avait trouvé un moyen pour mettre fin à tout ça, pour détruire cette souffrance, cette douleur et enfin pouvoir être en paix. Il n'y avait plus qu'à passer à l'action. Comme d'habitude, l'épicier me fixait. Encore cette pauvre alcoolique de mannequin ; que va-t-elle prendre cette fois-ci ? Du rhum, de la vodka ? Ou va-t-elle me prendre de la nourriture aujourd'hui ? Ne t'inquiètes pas, bientôt tu n'aura plus à me supporter ; tu n'aura plus à supporter mon manque d'amabilité, mon air maussade ni les relents d'alcool qui émanent de ma personne. Profite de cet instant car ce sera le dernier où tu me verra. Mais je sais bien que je ne te manquerai pas ; tout comme je manquerai à très peu de monde. Ces personnes là pouvaient se compter sur les doigts d’une main. Très peu de gens se souciaient de ma personne et s'en étaient jamais soucié. Mes parents, fut un temps, Gabrielle, Pandora et Jarvis. Les autres avaient assisté à ma décadence ou y avaient même participé, se délectant de ma chute. Ils s'en étaient régalé, eux ces prédateurs avides de chair fraîche. Et même après mon trépas, ils continueraient de s'en délecter. Mon cadavre à peine refroidi, les journalistes allaient se jeter dessus tels des charognards sur une carcasse. Ils suceraient jusqu'à la moindre goutte d'information qu'ils pourraient récolter et s'en régaleraient jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus rien en tirer. Alors après une semaine à faire la une des journaux, à passer aux informations ou à passer de bouches à oreilles, ma mort finirait par les lasser et ne deviendrait plus qu'anecdotique, relayée au rang des faits divers. Plus personne ne se soucierait alors de cette mannequin droguée et alcoolique qui avait mis fin à ses jours dans son appartement. Non, plus personne, à part les rares qui auraient gardé une place pour moi dans leur coeur. Après un dernier regard à mon ami l'épicier j'attrapais ma bouteille, resserrais mon manteau autour de moi et sortis de la boutique. Le vent glacial m'attaqua de tous côtés mais je n'en eu cure ; peu m'importait à présent le fait d'être malade. J'aurais même pu courir nue dans la rue si je n'avais craint d'y mourir de froid (mort ô combien ridicule). Je me fichais bien que le vent s'engouffre entre les pans de mon manteau, qu'il me gèle les mains ou le bout du nez ; je me fichais d'avoir le nez qui coule ou de tousser à en faire trembler les murs. Avant la fin de la journée, tout ceci n'aurait plus aucune importance. Alors je continuais à marcher, marcher, sans me soucier de tout ce qu'il se passait autour de moi. Les passants étaient pour moi pareils à une cohorte de fantômes que je ne faisais que traverser et que jamais plus je ne reverrais. Je les écartais sans forcément me soucier de la manière dont je le faisais ou de à qui je le faisais. Leurs ombres disparaissaient aussi vite qu'elles étaient apparues devant moi et ne laissaient rien derrière elles mis à part le fugace souvenir de leur frôlement. Je fus sur le pas de la porte de mon appartement plus vite que je ne l'aurais cru. J'avais un peu perdu la notion du temps et avais oublié que l'épicerie se trouvait en bas de chez moi et que par conséquent l'aller-retour serait bref. J'introduisis donc les clés dans la serrure, ouvris la porte et la refermais. Je m'avançais dans le salon de ma démarche d'automate et jetais mon sac, mes clés et mon manteau sur le canapé. La bouteille de whisky, elle, se retrouva soigneusement posée sur la table à côté de mon ordinateur. Sans même m'arrêter ni prendre le temps de souffler, je me dirigeais vers ma chambre afin de récupérer un dossier dans ma table de nuit, avant d'aller vers la cuisine afin de prendre un verre dans un des placards. Je retournais vers le salon avec mon butin en mains et le déposais, à son tour, sur la table du salon. Ultime et plus important détour à faire : celui par la salle de bain. J'ouvris l'armoire à pharmacie qui se trouvait au dessus des toilettes et saisis trois boîtes de médicaments avant de la refermer. De retour au salon, les médicaments vinrent se poser près de la bouteille d'alcool, de l'ordinateur et du dossier. Je m'assis devant eux et contemplais quelques minutes mes derniers compagnons, ceux qui m'accompagneraient, malgré eux, dans mon voyage. Après un moment qui me sembla éternel, je descendis doucement du canapé et m'accroupis en face de la table basse. J'ouvris le plus calmement du monde les boîtes les unes après les autres et disposais méthodiquement les cachets les uns à côté des autres. J'alignais derrière eux leurs contenants et ouvris la bouteille de whisky, dont je déversais une partie du contenu dans le verre posé à côté. Je refermais la bouteille, la reposais à sa place et me tournais vers mon ordinateur. Le plus dur allait venir. Je le sortis de son mode veille et retournais sur l'onglet internet qui était ouvert, celui de ma boîte mail. Un courrier y attendait sagement d'être envoyé depuis une demie-heure. Le dernier email que j'enverrais. - Citation :
- From : Jane Bonham
To : Pandora Whise Object : Goodbye.
Ma chère Pandora,
Je ne saurais dire combien ton aide et ton soutien m'ont été précieux ces dernières années. Tu as toujours été là pour me sortir des pires situations, des pires cellules et jamais je ne t'ai adressé un quelconque remerciement ni montré la moindre reconnaissance. Je n'ai jamais compris et ne comprendrais jamais pourquoi tu as fait tout ceci pour moi, mais je tenais à te remercier ; du fin fond de ce qu'il reste de mon coeur nécrosé, merci. Merci d'avoir essayé de me sauver de cette décadence dans laquelle je n'ai cessé de tomber. J'espère que tu pardonnera mon geste et ne m'en blâmera pas, mais tout ceci est devenu bien trop dur à supporter pour moi et je dois y mettre un terme. Tu trouvera mon testament sur ma table basse ; une lettre t'y es adressée, grâce à laquelle tu comprendra bien des choses, notamment les nombreuses raisons qui m'ont poussées à commettre cet acte. Remets l'autre papier à Gabrielle Peterson, la photographe ; il est pour elle.
Avec mes remerciements et mes excuses les plus sincères, Ton éternelle protégée, Jane. Envoyé. Je ne pouvais maintenant plus reculer. Je pris délicatement le verre de whisky d'une main, sans trembler, et saisis deux cachets de l'autre. Je les avalais l'un après l'autre, tirant une grimace lorsque l'alcool me brûla l'oesophage. J'attrapais d'autres cachets, les avalais à leur tour et fis subir le même sort aux autres jusqu'à ce qu'il n'en reste plus un seul. Je reposais le verre sur la table et retournais m'asseoir sur le canapé. Combien de temps cela allait-il prendre ? Je n'en avais aucune idée. Quinze, vingt, trente minutes... Le temps m'était, de toutes façons, compté. Restait à savoir ce que j'allais faire du peu qu'il me restait. Une idée, que j’aurais dû avoir plus tôt, me traversa l'esprit. Il me restait, en fin de compte, deux mails à envoyer. J'espérais jute avoir le temps de le faire. Peu importe, je n'avais rien à perdre et attrapais mon ordinateur, que je posais sur mes genoux. Les cachets n'avaient pas encore commencé à faire effet et j'allais profiter du peu temps qu'il me restait. Par chance, j'avais laissé ma boîte mail ouverte. - Citation :
- From : Jane Bonham
To : Gabrielle Peterson Object : Thank you.
Ma Gaby,
Je n'ai jamais eu l'occasion de te remercier d'avoir toujours été là pour moi, d'avoir été cette amie si fidèle, dévouée et aimante que tu étais. Avant de te rencontrer, jamais je n'aurais pensé que quelqu'un puisse s'intéresser à moi ni avoir ne serait-ce que de l'affection pour moi ; tu as balayé ces idées préconçues que j'avais et m'a montré qu'il existait encore des personnes aussi pleines de bonté que tu l'es, prêtes à se lier d'amitié avec une personne comme moi. Alors merci Gabrielle, merci. Sans toi, certaines épreuves auraient été bien plus difficiles à traverser. Tu as su m'entourer de ton affection, de ta tendresse et de ta gentillesse et jamais des mots ne seraient assez forts pour exprimer toute ma gratitude. J'espère que tu pardonnera mon geste. Je te lègue tout ce que je possède, de mon appartement à mon linge de maison en passant par ma vaisselle. C'est un bien piètre lot de consolation, j'en conviens, mais c'est la seule manière que j'ai trouvée pour te remercier.
Encore milles fois merci d'avoir été là pour moi et de m'avoir offert ton amitié, Ton amie qui t'aimera éternellement, Jane. Au moment où ma souris appuyait sur le " envoyer " je commençais à ressentir une légère nausée. Cela devait faire une dizaine de minutes que j'avais pris les médicaments et ils commençaient déjà à faire effet. Ce qui signifiait que je n'en avais plus pour très longtemps. Il fallait que je me dépêche de taper le deuxième mail avant de perdre conscience. - Citation :
- From : Jane Bonham
To : Samuel Grant Object : None.
Des mots ne seraient pas assez forts pour dire combien je te hais. Si je suis devenue ce que je suis aujourd'hui, c'est en partie à cause de toi ; tu le sais aussi bien que moi et je parie même que tu en es fier. C'est à toi que je dois d'en arriver là... Les nausées avaient commencé à se faire plus violentes et j'avais désormais du mal à rester concentrée sur ce que j'écrivais, tant mon estomac se soulevait. Mais il fallait que je termine, il le fallait. - Citation :
- ... aujourd'hui. Sois fier Samuel, ton petit chef-d'oeuvre est enfin prêt pour le grand saut. Grâce à toi et à ton petit coup de pouce, j'ai fini par trouver le courage de mettre fin à cette existence ; toi qui a pris tant de soin à m'achever, aucun doute que cela te ravira. Ta haine et ton mépris des autres ont finalement porté leurs fruits Grant.
Je ne te souhaiterais pas de subir le même sort, bien que tu le mérites, parce que je ne suis finalement pas aussi pourrie que toi. J'espère simplement que les flammes de ton Enfer finiront par te dévorer entièrement.
Jane. J'eus à peine le temps de cliquer sur " envoyer " que la douleur s'intensifiait de nouveau. Fébrile, je poussais l'ordinateur sur le canapé, à côté de moi, et me levais en m'aidant du bras du canapé alors que des bourdonnements commençaient à se faire entendre dans mes oreilles. Un pas, puis deux, puis un troisième plus maladroit et je me retrouvais contre la fenêtre, les larmes aux yeux. Maintenant que j'y étais, j'avais peur, j'étais terrorisée. Terrorisée par cet inconnu, terrorisée par ce qui m'attendait. Mais le soulagement que je ressentais d'échapper enfin à cet Enfer surpassait ma peur. J'allais enfin être libérée. Libérée par cette douleur qui s'intensifiait chaque seconde un peu plus et par ces bourdonnements qui devenaient de plus en plus aigus. J'essayais de faire un nouveau mouvement... En vain. Je tombais sur la moquette dans un bruit sourd, mais la tête et le corps prêts à exploser. J'y étais ; j'allais enfin mourir. Tout allait être remis à sa place. Noir. Tout est à sa place. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Laura GODDESS Liney. ▬ Multicompte(s) ; Seulement dans ma tête. ▬ Un dernier truc à dire ? ; Je vous aime, TDS. Ça fait du bien d’être revenue à la maison (et pardon pour l'exemple de RP déprimant ><)
Dernière édition par Marianne J. Tolliver le Sam 12 Oct - 19:41, édité 6 fois |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Jeu 26 Sep - 22:33 | |
▬ Histoire ; (800 mots minimum.)Chapitre 1 : What Is And What Should Never Be.
J’avais six ans lorsque j’ai compris que ma famille n’était vraiment pas ordinaire. C’était le jour de ma première rentrée des classes. La maîtresse nous demanda de présenter notre famille. Quand mon tour arriva je parlais de la mienne, tout naturellement, comme les autres l’avaient fait, mais elle me stoppa en plein milieu. « Comment ça tu as deux papas, ça n’existe pas ! Tout le monde a un papa et une maman. » « Ben non maîtresse, moi j’ai pas de maman, j’ai que deux papas. » « Arrête donc de raconter des bêtises Marianne et retourne à ta place. » « Mais je dis pas de bêtises, c’est vrai ! » « Va t’asseoir !! » Voilà donc comment se passer ma première matinée à l’école. Je ne compris pas du tout pourquoi la maîtresse m’avait grondée. J’avais bien deux papas, et ça avait toujours été comme ça. Ma maman, je ne l’avais jamais connue, elle était partie quand ma sœur jumelle et moi avions six mois. Ce n’était qu’une inconnue pour moi. Mes parents, c’était mes deux papas. Pour moi c’était tout à fait normal, c’était ma famille et je l’aimais comme elle était. Je n’avais jamais vraiment eu conscience jusqu’à ce jour qu’elle n’était pas « normale ». Je savais qu’il y avait des enfants qui avaient un papa et une maman, ou juste un papa ou une maman, ou même deux mamans comme certaines amies de mes papas, et je pensais que c’était courant, que toutes les familles étaient comme ça, différentes. J’étais même rudement contente d’avoir deux papas alors que les autres n’en avaient qu’un. Quand j’en parlais à d’autres enfants que je rencontrais dans les parcs, ils trouvaient ça un peu bizarre, mais en général ils me disaient que c’était plutôt cool (bon certains des fois s’en allaient sans dire un mot, mais je me disais que c’était parce qu’ils étaient jaloux). Je n’avais jamais été confrontée à des réactions d’adultes. Et après cette journée je commençais malheureusement à me rendre compte de l’hostilité de certains à l’égard de ma famille « pas si normale que ça ». Je voyais les regards d’incompréhension ou de dégoût de la plupart des parents à la sortie des classes lorsque mes papas venaient me chercher, je commençais aussi à remarquer le regard des gens lorsque ma famille se promenait dans la rue, j’entendais les réflexions, et cela me rendait incroyablement triste. Leurs réactions déclenchaient, et chez ma sœur et chez moi, une incompréhension totale (puisqu’elle aussi ne s’était jamais vraiment rendue compte de tout ça). Chapitre 2 : Rock and Roll
Plus les années passèrent, plus ma sœur et moi fûmes confrontées aux réactions haineuses des gens. Ophélia, elle, ne répondait jamais aux gens, alors que moi je montais tout de suite sur mes grands chevaux dès que j’entendais un seul commentaire que je jugeais déplacé. J’ai toujours réagi au quart de tour et cela m’a valu de nombreux ennuis pendant ma scolarité. Que ce soit en primaire, au collège et même encore au lycée, je me suis souvent battue avec des élèves parce que le ton était monté trop rapidement. Le pire fut pendant l’adolescence, pendant laquelle je me rebellais. Je traînais avec une bande de garçons pas tous très recommandables et je fis pas mal de conneries avec eux. Entre tags, conduite d’une voiture sans permis (j’avais piqué la voiture de mon père et je me suis faite chopper…), tapage nocturne et vol à l’étalage, je n’étais pas toute blanche. Je finis par me calmer pendant ma dernière année de lycée, avant d’entrer à l’université. Je voulais entrer à l’école de journalisme de l’université de Colombia depuis pas mal de temps, c’était mon rêve de devenir journaliste depuis que j’étais toute petite, et mes pères me firent bien comprendre que si je continuais mes conneries, ils ne me paieraient pas mon école. Ca eut le mérite de me calmer instantanément. Je ne voulais ni passer à côté de mon rêve, ni galérer pendant plus d’un an à travailler pour pouvoir payer mon inscription, et j’avais bossé assez dur à l’école pour juger mériter cette école. Je me fis donc une raison et réussi, tant bien que mal, à diminuer mes conneries, jusqu’à les arrêter complètement (même si je ne me gênais pas pour continuer à fumer un joint en cachette ou boire une bière avec des amis). Chapitre 3 : Good Times Bad Times
Après cinq années d’études éprouvantes, deux stages et des centaines de nuits blanches, j’eus enfin mon diplôme en poche et pu me lancer, avec la meilleure volonté et tout l’espoir du monde, dans la vie active. Mais ce furent encore des années de galère qui m’attendirent. Le journalisme audiovisuel n’est pas le métier le plus facile du monde, et réussir à décrocher un poste de présentateur relève de l’exploit. Je passais donc par plein de petits boulots plus ou moins reluisants entre miss météo, reportages inutiles sur le plus grosse pizza du monde, journal de nuit sur des chaînes que personne ne regardait, j’en passe et des meilleures. Ce ne fut qu’au bout de quatre ans qu’on me donna enfin ma chance. Le producteur d’une petite chaîne de télévision locale cherchait un animateur pour un nouveau projet d’émission télé ; une émission culturelle diffusée en deuxième partie de soirée où l’on inviterait des artistes originaux, défrayant la chronique, des gens un peu hors du commun, et tout ça dans une ambiance détendue et potache. Le projet m’intéressa beaucoup et c’est donc sans peu d’espoir je leur envoyais mes vidéos, pensant être rejetée une fois de plus, mais je fus sélectionnée pour le casting à ma plus grande surprise. Et lorsque l’on m’annonça que j’étais prise, j’en tombais carrément des nues. Le producteur me dit avoir « aimé mon sens de l’humour et de la répartie » et que « c’était exactement ce dont ils avaient besoin pour cette émission ». C’était bien la première fois que ces facettes de ma personnalité plaisaient dans ce milieu, où elles avaient plutôt tendance à me causer du tort. Ce boulot était donc l’opportunité dont je rêvais depuis des années, et je comptais bien m’y engager à fond. Au début la critique fut assez sceptique quant à l’émission, mais elle commença rapidement à gagner en popularité auprès du public et des médias locaux. Moi qui avais été une totale inconnue pendant des années, je commençais à devenir la star d’une chaîne de télévision locale et à être reconnue dans la rue. C’était une situation étrange, mais grisante. Au bout de deux mois à l’antenne le titre de l’émission passa même à Marianne le soir, accentuant mon narcissisme grandissant. Chapitre 4 : Whole Lotta Love
Après trois ans à l’antenne l’émission s’arrêta, faute d’audiences. Nous venions d’entrer dans le troisième millénaire et les gens se fichaient des émissions culturelles, ils étaient devenus friants de shows débiles et autres télé-réalités en tout genre. Redescendre de mon piédestal et me retrouver subitement au chômage après trois ans de gloire fut dur, et je passais des mois à déprimer, errant chez moi ou dans les bars comme un zombie. Ce fut pendant cette période que je rencontrais mon ex-mari. Il possédait une grosse compagnie d’aéronautique à San Francisco et était en ville pour faire affaire avec des clients. Au début je ne comptais pas m’attacher ni développer avec lui une relation qui irait au-delà du sexe, comme je l’avais toujours fait. Nous nous vîmes plusieurs fois pendant qu’il était en ville, puis nous nous revîmes lorsqu’il revint quelques temps plus tard, et encore et encore… Sans que je ne m’en rende compte, nous commençâmes à développer ce que j’avais toujours fui : une relation de couple et des sentiments. Cette période était difficile pour moi, entre déprime et recherche de boulot, et je me laissais aller à ces réconfortantes sensations sans essayer de les combattre. Mais au fur et à mesure que les mois passaient la relation à distance commença à devenir de plus en plus difficile, et un problème se posa : que faire ? Continuer comme ça indéfiniment, y mettre un terme ou essayer d’avancer ? Avec sa boîte il ne pouvait déménager à New York, ce serait donc à moi de me déplacer à l’autre bout du pays, n’ayant rien d’autre que ma famille me retenant dans la grosse pomme. Après une très longue hésitation, des doutes, des pleurs et des nuits blanches, je décidais de partir à San Francisco et de laisser sa chance à cet homme. A 30 ans j’aimais vraiment pour la première fois de ma vie, et pour la première fois de ma vie je mettais également un homme avant mon travail. Chapitre 5 : Going to California
Contrairement à ce que je pensais, je ne réussis jamais à retrouver de vrai boulot une fois arrivée à San Francisco. La célébrité de mon émission n’avait jamais dépassé les frontières de New York et les producteurs californiens se fichaient d’une petite starlette de télévision locale. Je luttais pourtant tant bien que mal, passants de cuisantes déceptions à cuisantes déceptions, jusqu’à ce que je me marie et finisse par abandonner l’idée de retrouver un jour ma gloire ternie. Je ne voulais pas revivre toutes les années de galère que j’avais vécues, et me laissais donc finalement entretenir par mon mari. Comme une bonne moitié des mariages le mien fut heureux au début. J’aimais mon mari qui était gentil, attentionné, et je n’avais jamais eu une vie amoureuse ni sexuelle aussi épanouie. Bref, tout était bien dans le meilleur des mondes. Mais cela ne dura pas. Après deux ans de mariage, vint le premier adultère. Je fus complètement dévastée mais après maintes supplications de sa part décidais de lui laisser une deuxième chance et de rester. Mais quelle sotte fus-je… Il recommença un an plus tard, mais je décidais cette fois-ci de carrément fermer les yeux, souffrant en silence. Et les années s’écoulèrent ainsi. Lui me trompant à droite à gauche, moi fermant les yeux sur toutes ses infidélités, son comportement détestable, et notre mariage s’écroulant. Mais j’étais devenue trop dépendante de son argent et je n’avais pas le courage de le quitter ni de tout recommencer à zéro. Je restais donc dans cette routine où je le détestais de plus en plus, lui ainsi que tous ses pseudos-bobos que j’étais forcée de fréquenter et devant lesquels je devais continuer à faire bonne figure. Ce furent deux ans de bonheur, pour huit ans d’Enfer. Chapitre 6 : Babe I'm Gonna Leave You
Ce fut cette étrange tâche brune dans mon dos, il y a quelques mois, qui fut le déclencheur de ma prise de conscience. Cette étrange tâche brune qui avait une forme et une couleur inquiétante, et que je m’empressais d’aller montrer à mon dermatologue. Après plusieurs examens, son verdict fut sans appel : Mélanome, stade 2. Je fus terrifiée lorsque j’entendis ces mots au téléphone. Cancer de la peau. Presque quarante-et-unes années en étant en bonne santé, en faisant attention à tout, et voilà que le grand C me tombait dessus. J’avais du mal à y croire. Même si le docteur m’affirmait qu’à ce stade le cancer se soignait très bien et qu’il n’était pas fatal, je n’en restais pas moins terrorisée. Ce soir-là je regardais mon mari rentrer du travail, sans dire un mot, me demandant comment j’avais bien pu gâcher ces dix dernières années de ma vie pour lui. C’était terminé, j’allais arrêter de me pourrir la vie et de me rendre malade à le supporter. J’allais en finir avec lui et reprendre ma vie en main. J’allais rentrer à New York, retrouver ma famille que je n’avais pas vue depuis longtemps et me battre contre cette saloperie de cancer. J’allais enfin retrouver ma vie et me consacrer à des choses qui en valaient vraiment la peine.
Dernière édition par Marianne J. Tolliver le Sam 12 Oct - 19:35, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Jeu 26 Sep - 22:36 | |
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| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Jeu 26 Sep - 22:37 | |
Pouleeeette Rebienvenue parmi nous ! |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Jeu 26 Sep - 23:05 | |
Merciiiiiii les filles *distribue plein de bisous et de câlins* |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Jeu 26 Sep - 23:14 | |
Rebienvenue |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
| Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Jeu 26 Sep - 23:32 | |
Re-bienvenue, je valide ton code du règlement. Bon courage pour ce qu'il te reste à écrire |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Ven 27 Sep - 0:06 | |
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| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Ven 27 Sep - 0:16 | |
LAINE. Viens ici que j'te pelote et que j'te tricote Rebienvenue ma pouule |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Ven 27 Sep - 8:30 | |
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| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Ven 27 Sep - 17:57 | |
Merci à toutes <3
*se laisse peloter par Puce et va faire un câlin à Biche*
Si tout se passe bien la fiche sera finie à la fin du week-end ! |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Ven 27 Sep - 18:17 | |
Re-bienvenue, si j'ai bien compris. |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Lun 30 Sep - 12:17 | |
Dumby |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Mar 1 Oct - 12:34 | |
COUCOU TOI. |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Lun 7 Oct - 4:20 | |
Il te reste trois jours pour terminer ta fiche |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Lun 7 Oct - 8:02 | |
Okay, merci. Ca devrait être fini d'ici ces trois jours Sinon je vous demanderai un délai. |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Mar 8 Oct - 9:06 | |
Désolée du DP >< Je pourrais avoir un petit délai de deux jours s'il vous plait ? (c'est presque fini mais je suis pas sûre de pouvoir écrire aujourd'hui) |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
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| Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Mar 8 Oct - 12:48 | |
On te laisse jusque dimanche, j'espère que ce sera suffisant |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Sam 12 Oct - 19:40 | |
Fiche finie ! \o/ (merci encore pour le délai <3) |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life Sam 12 Oct - 23:50 | |
Je m'occupe de lire ta fiche edit : Et j'ai rien à redire, sauf qu'il faut brûler tous ses homophobes ! Et que le mariage c'est nul Bon jeu parmi-nous petite cancéreuse ! |
| | | | Sujet: Re: [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life | |
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| | | | [Terminée - Délai accordé 13/10] Marianne J. Tolliver ▬ A Game Called Life | |
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