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 [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black

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MessageSujet: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeLun 21 Avr - 22:51



Identity Card


Feat "Teresa Palmer"
[TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black 2vb4nx0
(c) Stilinski.



    Je m’appelle Juliana, Juliana Cole, mais de manière générale, tout le monde m’appelle Julia. C’est plus court, ça sonne mieux et, surtout, je préfère largement. On raconte que mon prénom était celui de ma mère biologique et, bien que je ne sache d’elle qu’une lettre impersonnelle écrite il y a 26 ans, je déteste penser à elle. Elle m’a abandonnée, peu de temps après ma naissance, sur les marches d’une Église de San Antonio. Comprenez donc que je ne la porte pas spécialement dans mon cœur. Son acte, il m’a affaibli pour la vie. J’ai été aimée et choyée par ma famille adoptive. Mais, aujourd’hui encore, j’ai peur d’être abandonnée, peur d’échouer également. Ça m’empêche aussi de m’affirmer et d’avancer, parce que ça m’a rendue discrète. Mon job, c’est le plus bel exemple de ce trauma. Je le déteste. Être serveuse, ce n’était pas mon rêve quand j’étais gamine. Mais, je ne le quitte pas. Je ne m’en vais pas parce que, même si je voudrais faire autre chose, je ne sais absolument pas comment m’y prendre. Alors, je reste là. Je continue à servir des ivrognes. Soit, en ce qui concerne ma vie sentimentale, il semblerait que je sois célibataire… sauf, qu’éperdument amoureuse de Gabriel, je lui suis entièrement fidèle et totalement dévouée. Certes, je ne manque pas de caractère, on me décrit souvent comme quelqu’un de têtu, impulsif, excessif et lunatique également. Mais, on dit également que je suis douce, attachante, sympathique, tolérante, tenace et authentique. Ce qu’on oublie de raconter, par contre, c’est que je suis totalement dépendante. Pour tout avouer, je souffre d’addiction, à un tel point que tout, absolument tout ce qui me procure du bien-être ou du plaisir, est susceptible de me faire basculer dans une dépendance incontrôlable, et ce, malgré une farouche détermination à vouloir me réguler. Je fais des efforts pourtant, je n’y arrive pas toujours. (groupe : CITYZENS) 



Once upon a time...


Une chanson pour commencer cette présentation ? ; (L'utilisation d'un lecteur exportable n'est pas obligatoire, vous pouvez aussi nous citer le nom de l'artiste et celui de la chanson qui, selon vous, conviendrait bien à votre personnage.)
Asaf Avidan - Love it or leave it

Histoire ;

A savoir:


Je suis épuisée, mais je n’ai pas le courage de me lever. Même la faim qui tiraille mon estomac ne suffit pas vraiment à me pousser hors de mon lit. Ça m’arrive parfois. Peut-être plus fréquemment que je ne veux bien l’admettre. Je suis en proie au vague à l’âme et, après une nuit de travail couplée à l’insomnie, je ne parviens pas à trouver le sommeil. Je pense, je réfléchis. Je cogite et je soupire sur cette peur maladive d’être à nouveau abandonnée. La première fois, j’ai honteusement été jetée sur le parvis d’une Église comme une vulgaire merde, un rebu, une indésirable confiée aux bons soins d’un curé avec pour seule explication, une lettre. Une lettre à lire le jour de ma majorité. Une missive pathétique où ma génitrice, femme mariée coupable d’adultères, préféra se séparer du fruit de ses entrailles pour préserver ses noces. L’enflure. Elle n’a pas pu assumer et aujourd’hui, je suis là, la vingtaine bien sonnée à me débattre avec mes traumas, mes craintes les plus profondes et mon ingratitude.

J’ai été adoptée par des gens biens, des gens honnêtes, des gens dévoués à mon bien-être. Tyra, pieuse épouse stérile de son état avait toujours rêvé être mère. Elle nourrissait cet espoir depuis sa plus tendre enfance. Aussi, à l’annonce de son infertilité, n’a-t-elle pas hésité un instant à me recueillir sous les recommandations de la paroisse. J’étais, d’après ses souvenirs, un poupon dodu et facile à vivre. Je respirais la santé. Aux yeux de ces gens de bien, ces grenouilles de bénitier bien pensantes, j’étais un cadeau du ciel, un don de Dieu pour compenser leur douleur. Alors, dès mon plus jeune âge, j’ai senti peser sur mes frêles épaules le lourd fardeau de la perfection. Tirée à quatre épingles, je me devais de les accompagner à la messe. Mes résultats scolaires étaient la seule préoccupation de mon papa qui, du haut de son statut de bourgeois coincé, graissa la patte des directeurs d’écoles élitistes. Et, j’ai bien réussi. Je n’ai pas eu le choix. Je craignais qu’il cesse de m’aimer si je n’étais pas à la hauteur de leurs espérances. Pourtant, j’ai osé. J’ai osé annoncer à mon paternel que cette carrière d’avocate qu’il m’envisageait ne m’intéressait pas vraiment, que mon souhait, le mien, c’était de rejoindre une académie d’art pour apprendre le métier de réalisateur. Trop discrète pour fouler les planches de Broadway, je voulais raconter des histoires en utilisant les images. Je voulais les traiter, les habiller de musique et faire rêver les gens passionnés, les gens comme moi. Je me rappelle parfaitement la réaction de mon père. Je n’avais que 11 ans, pourtant le souvenir est net, incisif. Dans son regard se sont succédé déception et colère. Puis, haussant le ton pour la première fois depuis mon arrivée dans cette maison bénie, il s’est mis à hurler après moi. Mon choix ne valait rien, sa décision prévalait sur mes désirs et j’ai courbé l’échine. Je me suis pliée à ses exigences à contrecœur, persuadée d’être capable d’accepter de les satisfaire malgré mes projets. Sombre conne. Nos relations n’ont fait que se dégrader après cette soirée-là.

J’ai commencé à mentir pour sortir, à falsifier mes résultats scolaires, à fumer des cigarettes avec mes copines dans les toilettes de l’école pour impressionner un mec qui ne m’a jamais calculée. J’ai raté une année, j’ai été renvoyée. La petite merveille revêtait dangereusement le lest d’un boulet qu’on traîne à ses pieds et, lorsque la vérité éclata sur mes frasques, j’écopai d’un sermon de mon papa, de ma mère, de mon oncle et du Diacre de la paroisse. Il m’a fallu battre des lances avec des hommes et des femmes dont j’ignorais tout et qui ne savent de moi que le tableau peu flatteur qu’on dressait de ma personnalité. À leurs yeux, je n’étais plus qu’une enfant rebelle et irresponsable que l’on aliénait à grands coups de chantage : « Si tu continues, on te mettra dehors »sérinait-il souvent, alors quand il décida de m’envoyer à New York, chez son frère, je n’ai pas protesté. J’ai feins la docilité et j’ai préparé mes bagages pour vivre auprès de son ainé méconnu réputé austère. Je ne l’avais rencontré que peu de fois. Fatigué par son âge déjà avancé, il se déplaçait peu. Toutefois, il était alerte et vif. Son regard brillait de cette lueur d’intelligence semblable à celle de mon père. La différence, c’est qu’il avait de l'esprit, il était plus tolérant également et, à ses côtés, je me suis construit une identité propre, mais surtout aussi fragile qu’un château de cartes.

Le souffle d’un mâle suffit à détruire mes efforts pour toucher du doigt l’indépendance que je convoitais. Un homme paradoxal qui m’incita à ouvrir la boîte de Pandore. Entre la drogue, l’alcool et le sexe, ma vie flirtait dangereusement avec la décadence. J’en suis tombée amoureuse à contrecœur. Il a éveillé mon champ des possibles, il était la possibilité d’une île. Avec lui, j’effleurais du bout des doigts mes rêves idéalisés d’émancipation. Le retour à la réalité fut rude cependant. Particulièrement rude et, en toute logique, j’aurais probablement dû le quitter, m’enfuir, filer à l’anglaise en quête d’un avenir plus sain, plus stable. Or, pour moi, pas de happy end. Pas de End tout court, et pour ma pénitence, j’écopai d’une peine de réclusion à perpétuité. Désormais, je ne retrouvai de place au cœur de ma famille que si j'éconduis Gabriel. Impensable. Inenvisageable. Crédulement éprise, je rassemble mes maigres affaires et je m’en vais comme je suis venue : avec cette désagréable sensation de n’être rien. Personne. Néant.

Je ne prétendrai certainement pas qu’en frappant à la porte de chez Kostas, je n’ai pas craint qu’il me jette à son tour. Au contraire, mes jambes tremblaient et mon cœur battant s’inquiétait d’avoir été trop excessif. Que je le préfère à mes proches n’était ni la garantie d'une réciprocité, ni l’assurance de former enfin un couple. Nous n’en étions pas un à l’époque. Nous ne le sommes pas davantage aujourd’hui. Pourtant, devant mon visage penaud peut-être s’est-il senti impliqué. Il m’hébergea quelques jours avant de m’offrir une maison légèrement retirée. Il me légua une voiture également. Un petit bijou de mécanique qui lui couta les yeux de la tête. Alors, oui, naïvement, j’imaginai qu’il m’aimait autant qu’il n’adorait mes formes. Je me suis bercée d’illusions jusqu’à ce que je comprenne que mon exclusivité dans son existence n'était réel que dans ma tête. Il cumulait les conquêtes et les aventures. Il m’offrait une bonne occasion de le quitter, mais je suis restée pourtant. Je me suis accrochée à ses phalanges avec la force du désespoir. Je ne supporterais pas un nouvel abandon. Je ne survivrais pas d’être réduite à peu de chose tant il compte pour moi. Je me laisse donc entraîné malgré moi dans le tourbillon qu’est sa vie. Je me veux paradoxe à l'aide de jeux de dupe tandis que je me tiens sciemment à sa disposition. Je supporte ses manières dégradantes, ses crises de colère, ses humeurs instables, son peu de considération pour mes états d’âme, ses façons de cultiver ma reconnaissance, parce que sans lui – c’est indéniable – j’aurais sans doute fini dans la rue à vendre mon corps pour quelques poignées de biftons sales.

Évidemment, je me serais détestée. Vouée aux enfers, j’aurais abhorré croiser mon reflet dans un miroir. Aujourd’hui, il est le seul que je voudrais haïr de toutes mes forces. Je ne suis, à ses yeux, qu’un objet dont on jouit en toute impunité. La preuve étant, il a quitté la ville sans même venir me saluer. Il est parti sans prendre le temps de me dire au revoir dignement. Il m’a simplement fait passer le message par ce chef de sécurité déplacé comme un pion afin qu’il puisse veiller sur moi. J’aurais pu être flattée. Vraiment. Or, j’ai suffoqué chaque seconde de son absence. Durant ces longs mois où – j’en suis certaine – il roucoula en Grèce sous le couvert d’un marché juteux, j’ai actionné le mode robot, survivant difficilement aux symptômes de la dépendance. Bon sang, comme je m’en veux. Je m’en veux de lui accorder tant d’importance. Je m’en veux de lui accorder autant de place. Je m’en veux de m’inquiéter pour lui, de souffrir pour lui, de me battre avec lui. Je m’en veux au point de chercher inlassablement dans mon âme dévastée des trésors de courage insoupçonné. J’en suis incapable pourtant. Je crois – à mon grand damn – que je ne suis bonne qu’à en être amoureuse. C’est la seule chose que je fais correctement. Je ne suis que ça, une femme amoureuse un peu perdue entre deux sentiments contradictoires à son égard : la noblesse de l’amour et l’opprobre de la haine.

Wanna know more ?


La plus grande honte du personnage ; (En 60 mots minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Lire dans les yeux de mon père toute sa déception quand j’ai décidé de couper les ponts avec ma famille. Ils se sont investis corps et âme pour moi, pour ma réussite et moi, je n’ai pas été fichue de les rendre fière de moi. Pourquoi ? Parce que je ne suis pas capable de faire les bons choix. J’agis avec le cœur, pas avec la tête. Au contraire, je n’aurais à souffrir de ce pincement au cœur quand je pense à mes parents.

Définition de l'enfer pour le personnage ; (En 60 mots  minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
Je pourrais répondre : m’obliger à prendre l’avion, seule, en pleine turbulence, pour finalement mourir noyée. Mais, la réalité, ce serait de me retrouver seule. Absolument toute seule. Pas parce que je l’aurais voulu, non, mais parce que tout le monde autour de moi m’aurait abandonnée. Je suis incapable de vivre seule, j’ai besoin de port d’attache et de point de repère. Si j’en perds un, je survis. Si je les perds tous, je meurs.

Définition du paradis pour le personnage ; (En 60 mots  minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
A l’heure actuelle, je serais probablement la plus heureuse des femmes : si  Gabe arrêtait de m’entretenir comme si j’étais une pute privée, s'il s'installait avec moi, si je trouvais un job qui me plait vraiment, si je pouvais renouer des contacts avec mes parents, si je pouvais tout essayer sans avoir peur de plonger dans la dépendance et, finalement, si je pouvais m'installer sur une île au soleil. Laquelle, je m'en fous, tant qu'il y a du soleil.  »

Point faible du personnage ; (En 60 mots  minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
Gabriel ! Je ne supporterais pas le perdre. S’il s’en allait, je sais pas comment je m’y prendrais pour me relever. Je ne sais même si j’y parviendrais d’ailleurs. J’ai déjà goûté à l’expérience de l’absence, et je sais que j’ai détesté. Donc, pour le moment, je m’emploie à essayer de m’en sortir avant qu’il se lasse de moi, parce que mon autre faiblesse, c’est mon égo qui, lunatique, m’oblige tantôt à m’écraser, tantôt à me battre comme une lionne pour me protéger.

Point fort du personnage ; (En 60 mots  minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
Certes, je suis authentique, je ne peux aimer ou détester que sincèrement. Mais, ça n’implique pas que je sois naïve. Je suis parfaitement consciente de ma situation, et je ne fais donc jamais rien par hasard. Je ne parle pas sans réfléchir. Je n’agis pas non plus sans peser le pour et le contre de mes actions. Dans ma tête, ça turbine à du dix mille. Pas le choix. Si je ne calcule pas tout ce que je fais, je me ferais trop facilement manger, à cause de mes soucis d’addiction. Cette conscience de tout, ça me permet de les empêcher de devenir une faiblesse au quotidien. Par exemple, j’ai, jusqu’ici, toujours éviter le jeu…. Poker, blackjack, roulette, je n’ai jamais approché d’un casino car je sais que je pourrais y laisser un autre pan de mon âme.

Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.)
- Conduite en état d’ivresse
- Excès de vitesse
- Infraction au code de la route.
- Consommation de drogues

Behind the screen...


Prénom ou pseudo ; C.
Âge ; Me fâchez pas !!
Où avez-vous connu le forum ; Je le connais depuis longtemps. Mais, c'est Gabe qui me l'a proposé.
Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) Souvent. Très souvent.
Code du règlement ;
Spoiler:
Exemple de RP ;
Spoiler:
Célébrité sur l'avatar ; Teresa Palmer
Multicompte(s) ; Nope
Un dernier truc à dire ? ; Euh... tu sais qu'il est tard quand "Au field de la nuit" commence sur TF1 ?


Dernière édition par Julia Cole le Mar 22 Avr - 2:46, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeLun 21 Avr - 22:55

oh Teresa :brille:

Bienvenue mam'zelle ! :cabaret:
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Anja Malkovski
Reine des Glaces
Gott weiss ich will kein Engel sein

Anja Malkovski


MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club


Feuille de personnage
ÂGE DU PERSONNAGE: 35 ans
CASIER JUDICIAIRE:
RANG DE CRIMINALITÉ: CRIMINEL
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeLun 21 Avr - 22:58

Bienvenue à New-York !

Tu peux te tourner vers le staff si tu as besoin. Bon courage pour ta fiche Wink
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https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5603-terminee-anja-malkovski-you-re-gonna-wish-you-never-had-met-me#448670 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5612-anja-malkovski-as-cold-as-ice#449254 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5611-anja-malkovski-better-not-stand-in-my-way#449243 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t6045-anja-malkovski-there-s-a-devil-laying-by-your-side#497519 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t6037-agence-malkovski-pour
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeLun 21 Avr - 22:59

Merci beaucoup les filles !!
Excellent choix d'avatar en plus...
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeLun 21 Avr - 23:02

Bienvenue chez nous également ! Bon courage pour ta fiche. Very Happy
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeLun 21 Avr - 23:29

Va falloir arranger la couleur de ce coeur !

Bienvenue sur le forum & bonne continuation pour ta fiche super :étoile:
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeMar 22 Avr - 0:00

Merci Gabrielle !
Et, à mon avis, il y a du travail, et personne veut s'y coller...
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeMar 22 Avr - 0:45

Bienvenue miss, bon courage pour ce qui te reste à écrire Wink
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeMar 22 Avr - 1:23

Merci Aaron =D
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitimeMar 22 Avr - 2:24

Je m'occupe de lire ta fiche et je valide ton code règlement en passant pom

[TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black Tumblr_mgg75dAwGW1rkl2tuo1_500
Bravo !

Tu es une future victime de la Fatalité

La pauvre petite, elle est touchante je trouve. En espérant qu'elle trouve assez de force pour s'éloigner de Gabriel !

En tant que nouvelle victime potentielle, tu peux maintenant faire ta fiche de liens, de sujets, recenser ton métier, comprendre le système de points, voter pour le forum, lire les frappes pour te mettre dans le bain, et te rendre sur cette page où d'autres liens pourront t'être utiles.

Bon jeu parmi nous et n'oublie pas : Personne n'est maître de son destin !

Fatalité
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MessageSujet: Re: [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black   [TERMINEE] Julia ~ I look inside myself and see my heart is black I_icon_minitime

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