Feat "Sasha Pivovarova" (c) FoX

_« Lola mary BROWN »_ _____ This is who I am _____ Je m'appelle Lola, Lola Mary Brown de mon vrai nom. A vrai dire tout le monde m'appelle Lola simplement Lola. Parfois mon talent de cuisinière me vaut le surnom de Brownie - plutôt mignon il faut l'avouer. Sinon, j'ai vingt cinq ans et je suis née le seize août mille neuf cent quatre-vingt cinq, en caroline du sud, près d'Abbeville où je vivais avant mes quinze ans. J'habite dans le Queen avec ma sœur et je suis une très bonne journaliste, sans me vanter; J'ai finis première de ma promotion, s'il vous plait ! Malgré ça, j'en suis réduite à travailler dans un bureau minable parce que j'avais écris un article pas très sympa sur un homme et cela m'a valut mon poste de journaliste, de l'hôpital et de la rééducation. Ce n'est pas la partie préféré de mon histoire, mais bon, c'est la vie. Ah et sinon je suis célibataire, mais très attirée par mon voisin, un peu immature parfois. Voilà ma petite vie en quelques lignes. Ah et dernière particularité, je souris et rigole tout le temps, c'est pour ça qu'on m'aime je crois.

_____ Wanna know more ? _____

▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;

SONG ♫

▬ La plus grande honte du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)

Une honte ? A vrai dire, j'assume toutes mes conneries. Je suis très franche et j'ai rarement des secrets, la honte et moi, ça fait deux. J'arrive toujours à me sortir confortablement des situations un peu étranges - même la fois où je suis sortie des toilettes et que ma jupe était coincée dans ma culotte. La dernière en date, serait peut-être les coups que l'on m'a porté. J'ai un peu regretté d'avoir écrit mon article et j'étais un peu honteuse de dévoiler un visage tuméfié à mes proches. Mais finalement je me dis qu'on doit pouvoir être libre de tout dans la vie et que se ne sont que des épreuves à passer. Ah si, j'ai noyé le poisson rouge de ma sœur une fois, parce que j'étais jalouse. Il faut pas m'en vouloir j'étais petite et je lui ai jamais dit, j'espère qu'elle ne le découvrira jamais !

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)

Ah l'enfer … Je sais pas comment je peux définir ça. Après ce que j'ai pu vivre, je me dis que l'enfer ça doit être vraiment horrible. Je m'imagine pas non plus le genre d'endroit avec des flammes partout, rouge et noir où le Diable est assit sur son trône à rire de tous ses suppôts. Je sais pas si ça existe. Mais y'a des situations dans la vie qui ressemble à l'enfer. A commencer par mon agression. J'ai eu peur, j'ai eu mal, j'ai regretté … A vrai dire l'enfer c'est un peu ça, c'est un mélange de toutes les souffrances et les points négatifs qui peuvent exister sur terre. J'espère, réellement, ne jamais connaître l'enfer.

▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)

Le paradis, c'est pas cet endroit tout blanc, dans les nuages avec un portail en or et tout ? Je suis pas croyante ni rien, mais un truc auquel j'ai toujours cru c'est bien ça. Une belle mort après la vie. Où on retrouverait tous nos proches perdus. On flotterait comme sur la lune, on pourrait toucher les étoiles et la vie ne serait faite que de moments merveilleux. Bon tout ça évidement, c'est de la fiction, ça doit pas exister mais on peut toujours rêver non ? En tout cas, si le paradis est sur terre, je pense que j'y ai un peu goûté. Ma famille, mes amis, les moments avec eux... Tout ça c'est magique, c'est beau … C'est paradisiaque !

▬ Taux de criminalité et pourquoi ; (sur 100, immuable et explications. Soyons bien clairs, le taux de criminalité représente une sorte de casier judiciaire. Il se base donc sur des FAITS et non sur des suppositions. Ce n'est pas parce que votre personnage est un impulsif qu'il aurait 30 % de criminalité. Il faut les "mériter " ces %. Exemple de ce qui fait grimper les % : Agressions, vols, homicides, piratages, dégradations, manque de respect aux forces de l'ordre, casier judiciaire, détention de drogues etc etc etc ... De plus, ne feront grimper le pourcentage que les actions ayant une existence aux yeux des autorités. Se faire arrêter 4 fois ivre mort au volant vous vaudra donc un taux plus élever que d'avoir tuer 4 personnes sans jamais vous faire prendre.)

2 ou 3 /100
C'est juste, tous les pvs qui ont pu s'accumuler sur mon pare-brise. Ah et aussi parfois dans mes articles de journaux j'ai du critiquer ou insulter la société mais ça ne fait pas de moi une criminelle pour autant.

_____ Behind the screen ? A player ! _____

▬ Prénom ou pseudo ; Moby Dick
▬ Âge ; 16 ans
▬ Où avez-vous connu le forum ; En voyageant sur la toile ... Des partenariats il me semble.
▬ Exemple de RP ;

Spoiler:

▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 4-5/7
▬ Code du règlement ;

Spoiler:

▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement)
▬ Célébrité sur l'avatar ; Sasha Pivovarova
▬ Multicompte(s) ; Aucun
▬ Un dernier truc à dire ? ; Youpla Boom !!

« Rêver un rêve impossible
Porter le chagrin des departs
Bruler d'une possible fièvre
Partir ou personne ne part »
Jacques Brel
La caroline du sud, un bel état, où il fait bon toute l'année. A première vue rien à dire seulement voilà, quand on a toujours imaginé de grands buildings, des panneaux publicitaires géants, une animation permanente dans les rues d'une grande ville, on se met facilement à rêver d'un ailleurs beaucoup plus beau qu'Abbeville.
C'est le cas de notre principale intéressée, Lola. A l'époque où la jolie blonde vivait encore en Caroline du Sud avec sa petite tribu, il n'était pas rare de la voir allongée dans l'herbe ou assise devant sa fenêtre à espérer un jour découvrir les lumières d'une grosse ville ainsi que son agitation. Et elle n'était pas la seule, sa petite sœur Hermina, trois ans plus jeune qu'elle, avait cette même envie d'évasion, de découverte. Il aura fallut attendre quinze années pour Lola avant que son rêve devienne réalité.
« Les Filles, nous partons ! »
Les deux adolescentes, assises confortablement sur un fauteuil regardaient leurs parents avec insistance.
« - Partir, mais où ça ? , demanda la plus jeune
- New-York nous attends mes demoiselles ! Allez op, faites vos valises, on a déjà tout prévu, les meubles seront livrés dans notre loft de Staten Island. »
Les demoiselles n'en revenaient pas et elles montèrent à toute vitesse dans leur chambre afin de remplir de grosses valises de leurs vêtements et objets préférés.
« - Mina, mais Mina !!! Est-ce que tu te rend compte ?! New-York, NEW-YORK !!! » Cria Lola en effectuant des petits sauts sur son lit avant d'atterrir sur sa sœur dans un éclat de joie. A cet instant, les jeunes devaient être les plus heureuses du monde et ça se voyait. Comment leur parents avaient-ils pu leur cacher ce déménagement, c'est la question qu'elles se posaient mais à vrai dire cela n'avait aucune importance, elles quittaient la Caroline du Sud, pour de bon !

« Lola ! As-tu seulement vu comment tu t'es habillée ? Ce n'est pas une tenue décente! »
Dans l'aéroport, l'aînée des Brown n'arrêtait pas une seconde. Cette hyperactive ne quittait pas son sourire depuis la nouvelle du départ. A la remarque de sa mère, la blondinette jeta un coup d'œil en direction de ses vêtements.
« Mais m'man ! Le short déchiré c'est la mode ! Puis on s'en fou, j'avais chaud je me changerais en arrivant … »
Encore des paroles en l'air mais justifiées. Lola ne savait plus vraiment à quoi penser depuis tout à l'heure tellement l'euphorie était présente. Elle ne faisait pas attention à ce qu'elle pouvait dire ou faire. New-York ne fut jamais aussi proche et la jeune blonde n'avait de cesse de s'agiter et ce n'est pas l'avion qui eu le don de la calmer.
Elle se trouvait à côté de sa sœur. Les deux Brown avaient prit possession de l'endroit. Entre gadgets électronique, magazines, gâteaux … elles s'autorisaient même à chanter à voix haute malgré le rappel à l'ordre de passagers mécontents d'un tel bordel. Les parents essayaient en vain de les calmer, leur proposant de dormir, de regarder un film … Mais vous vous doutez bien que la rébellion était de mise.
« Haaaaaaaaa ! Lola regarde ! »
La demoiselle grimpa sur sa sœur se penchant vers le hublot. Quelques nuages masquaient un peu le paysage mais les jeunes filles pouvaient apercevoir la terre américaine, plus particulièrement leur destination.
« - Là là !! Tu crois que c'est la statue de la liberté ? Demanda Hermina
- Mais non! C'est l'empire State Bulding, t'es bête ou quoi ? La statue elle est bleue!
- N'importe quoi, elle est Verte
- Mais nan j'te dis, elle est BLEUE !
- Hein maman que la statue de la liberté elle est verte ?
- Mais oui ma chérie, répondit finalement la femme un peu agacée par l'excitation des jeunes filles
- Mais n'importe quoi, répliqua Lola vexée de ne pas avoir raison »
Elle reprit sa position sur le siège et finit par se calmer, les bras croisés sous sa poitrine. Elle enfonça ses écouteurs dans ses oreilles et ne dit plus mots jusqu'à la fin de voyage. Peu importe la couleur de la statue de la liberté, l'important était qu'à présent leur nouveau domicile se trouvait dans la ville dont elles avaient toujours rêvé et que la statue, elles auraient tout le temps d'aller la voir et de discutailler sur sa couleur. New-York s'offrait enfin aux Brown !



« Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris
et qui éclate quand on la touche. »
Balzac

Depuis son arrivée à New-York trop de choses se passèrent. Au début, les visites de la ville n'en finissaient pas. Il en fallait toujours plus à Lola ou Hermina, jamais satisfaites. Puis elles grandirent encore et encore. Il était temps pour Lola d'intégrer la Fordham. Une université des plus prestigieuses. Passionnée de journalisme depuis son plus jeune âge, la blonde s'investit un maximum, tellement d'ailleurs, qu'elle finit première de sa promotion, pour la plus grand joie de sa famille et pour sa plus grande fierté. Les propositions d'emplois se multiplièrent et la jeune femme finit par accepter un poste au « New-York Time ». Tout se passaient merveilleusement bien.
Lola avait même pu quitter sa famille pour prendre une petite maison dans le Queen, vu son bon salaire. Hermina fut blessée par ce départ, mais l'aînée lui promit de la prendre chez elle dès sa majorité. Promesse tenue, la plus jeune emménagea avec sa grande sœur Une duo inséparable depuis leur plus jeune âge. Ensemble pour toujours, c'est ce qu'elles se sont promis.
Et puis, il y a a peu près deux ans, Lola fit la rencontre de Garrett. Le voisin très canon …

Deux ans plus tôt :

Lola venait de se lever. Il était onze heure, c'était son jour de congé. Grasse matinée obligatoire alors. Dans son jogging molletonné, son débardeur froissé et ses cheveux en bataille, Lola avait l'air d'une fille qui venait de passer une bonne nuit. La maison était très calme ce matin, Hermina était partie à l'université, bref tout allait pour le mieux. Afin de se réveiller comme il se doit et de réanimer un peu la petite maison, Lola alluma la chaine hifi, décidant de passer un CD de Lenny Kravitz au volume maximum. C'est donc tout en dansant et en chantant à tue-tête que la blondinette prit son petit déjeuner. Évidement, elle attendait de pied ferme le moindre emmerdeur qui viendrait lui demander de baisser sa musique, mais pour l'instant, personne, et c'était tant mieux. Ses jours de congé commençaient pour la plupart de cette manière, musique à fond histoire de faire le plein d'énergie. Un coup d'œil vers l'horloge lui indiqua que le facteur devait être passé. Par conséquent, la lettre que miss Brown attendait de pied ferme devait être arrivée. En pyjama, elle ouvrit donc la porte de sa maison et sortit dans le quartier consulter sa boite aux lèvres. En l'ouvrant, elle tira la liasse de lettres présentes, ainsi que son magasine qu'elle recevait chaque semaine. Toujours dehors, elle regarda le courrier, sa lettre n'était toujours pas là, tant pis. Puis c'est là qu'elle croisa le regard du beau voisin. En relevant la tête, elle scruta les environs et un beau jeune homme, à sa droite, lui adressa un sourire. Le sourire rendu, Lola décida de s'approcher. Même de loin il était beau, mais de près, encore plus. La demoiselle était charmée
« - Salut, je t'ai jamais vu avant … T'es nouveau ?
-Oui, je viens d'emménager … Ah, j'm'apelle Garrett.
- Garrett ? J'aime beaucoup ce prénom … moi c'est Lola ! J'habite la maison juste là, dit-elle en désignant l'habitation du doigt
- Oui, je m'en doute, je t'ai vu sortir … Cool la musique, remarqua t-il toujours en souriant
- Ahem, oui. Ça me permet de me réveiller en fait …
- C'est bien. Le quartier est vachement sympa !
- Oui c'est vrai, t'as visité la ville un peu ?
- Pas entièrement, j'ai vu deux, trois coins pas mal …
- Si tu as besoin de quelqu'un pour te servir de guide, n'hésite pas, osa t-elle proposer
- D'accord, merci. Bon je dois te laisser, faut que je m'installe encore. A une prochaine peut-être ?
- Oui j'espère, à bientôt … »
Elle recula, sans le quitter des yeux, ravie de cette rencontre … Et depuis ce jour, Lola ne cessa de penser à ce garçon. Elle fait un maximum pour le voir, lui propose des sorties, vient chez lui à l'improviste …
Seulement voilà, quelques jours après sa rencontre avec le voisin, Hermina rentra toute contente et se mit à s'extasier de la beauté, de l'intelligence et de l'humour de Garrett … Depuis ce jour, les demoiselles luttent pour l'avoir en première. Mais Lola est persuadée que Garrett la choisira elle, parce qu'elle est plus âgée et qu'elle est la première à l'avoir vu.



« Il restera toujours la peur. Un homme peut détruire toute chose en lui même: l'amour, la foi, la haine et même le doute. Mais aussi longtemps qu'il tient à la vie, il ne peut détruire la peur. »
Joseph Conrad

La nuit venait de tomber et l'américaine clôturait un article pour le « New-York-Time ». Elle quitta son bureaux, tranquillement, un sourire habituel sur les lèvres. Son regard était fixé sur son portable, elle consulta ses messages, les appels manqués et quelques mails qu'elle n'avait pas eu le temps d'ouvrir au travail tout à l'heure. La blonde salua la réceptionniste qui n'aillait pas non plus tarder à quitter l'endroit. En sortant, elle leva les yeux vers Manhattan, toujours plein d'agitation et celui la fit doublement sourire. Elle descendit les quelques marches devant le building et put voir, compte tenu de l'heure, que son bus était déjà passé depuis un bout de temps. Lola fut contrainte de se diriger vers le métro. Elle n'aimait pas trop cet endroit de nuit mais elle n'avait pas le choix si elle voulait rentrer chez elle. L'endroit était désert, hormis deux trois personnes que Lola ne regarda que rapidement. Les wagons arrivèrent bien vite et la fille Brown monta dans le dernier, sans se presser et sans regarder autour d'elle. Le premier siège qui se présenta à elle, elle le prit et eut à peine le temps de s'asseoir qu'un coup de genou entra en contact avec son nez. La blonde ne put empêcher un cri de s'échapper de sa gorge.
« Mais c'est qui ce bord... »
La jeune femme ne put finir sa phrase en apercevant le visage de son agresseur. Elle connaissait bien cette figure pour cause, elle a écrit un article sur cet homme il y a peu de temps; un article pas des plus flatteurs.
« Espèce de Salo*e … T'es contente maintenant ? J'ai tout perdu à cause de ton article de merde … »
Lola ne pouvait rien répondre face à cela. Elle s'apprêtait quand même à dire quelque chose mais l'homme la devança et attrapa ses beaux cheveux pour la projeter vers le sol.
« Arrêtez … » supplia t-elle en pleurant
L'homme se mit à rire avant s'assener un nouveau coup dans son genou cette fois. Puis un autre, sur son visage.
« Mais je viens juste de commencer … Tout le monde m'a tourné le dos avec tes conneries ! Tu vas voir ce que c'est que de se sentir rejeté et d'être démoli, petite conne ! »
Une nouvelle secousse, causée cette fois par un poing sur son oeil. La jeune femme apercevait des traces de son sang sur le sol, elle était effrayée, apeurée et tétanisée. Son persécuteur descendait un arrêt après le sien et elle n'eut pas le choix; elle dut rester dans le wagon avec son bourreau. Malgré les nombreuses supplications de la fille Brown, l'homme ne s'arrêta pas et lui procura des coups plus forts et plus cruels les uns que les autres.
Son calvaire finit par s'arrêter, l'homme la laissa là, au bord du métro. Lola souffrait, pleurait et essayait de compresser son nez douloureux qui ne cessait de saigner. Son genou lui procurait une douleur horrible dans toute la jambe et son visage était bien endommagé. Puis elle pensa à Hermina et fit l'effort de se lever juste pour elle. Si la cadette voyait sa soeur dans cet état, elle serait apeurée, il fallait faire bonne figure et prendre sur sois; ce que fit Lola. Malgré la douleur, elle réussit à rejoindre le domicile familial et fut accueillit par Mina, qui l'emmena à l'hôpital le plus proche sans attendre une seconde. Diagnostique : Un genou brisé, un nez cassé et de nombreuses tuméfactions qui devraient bientôt disparaître avec un peu de repos. Pour le reste, il faudra des opérations et de la rééducation.
Évidemment, Lola perdit son emploi, les gens avaient pris peur suite à cet événement. Cela fait maintenant quatre ou cinq mois que ça s'est passé. Malgré son parcours remarquable, personne ne voulut d'elle par la suite. Cependant, elle trouva un emploi dans un petit journal sans gloire mais qui lui permet de garder un salaire convenable. Seul inconvénient ? Le patron. Un gros pervers qui passe son temps à lui mettre des mains au cul , à l'épier de haut en bas et à saliver comme un obsédé. Heureusement que Lola n'a jamais été violente et que malgré ce drame, elle a gardé sa joie de vivre parce que sinon, la patron ne ferait pas long feu.

Preums ! Bienvenue et bon courage pour ta fiche (:

Welcomee

bienvenue à NYC miss
bon courage pour ta fiche ^^