|| Identité du personnage ||

~ Nom :Marshall
~ Prénom :Cora
~ Âge :25 ans
~ Nationalité :Américaine
~ Groupe :Les Hors la Loi
~ Statut et activité dans la vie :
Cora n’est pas stable de nature et a toujours collectionné les emplois les plus divers. Changer de vie ne lui fait pas peur, elle ne sait faire que ça, n’étant pas ancrée dans la monotonie. C’est d’ailleurs ce trait de sa personnalité, celui de l’aventurière, qui l’a entrainé à accepter cette mission condamnable: celle d’Indique de la Mafia russe. Actuellement, pour les besoins de son travail, elle est serveuse au Morrison's Bar. Ainsi, elle se fait passer pour quelqu‘un de digne et des plus banal.
~ Orientation sexuelle :Cora est hétérosexuelle. Cependant, rien ne lui empêche d’être attirée par une femme. Elle part d’ailleurs du principe qu’on ne peut pas connaître sa vraie nature sans avoir connu des expériences. Or, elle n’en a point connu avec la gente féminine.

|| En savoir plus ? ||

~ Relations : (5 lignes minimum - Relations amoureuses, amicales, sexuelles...)

DALE E. MORRISON La relation que Cora entretient avec le jeune homme pourrait être qualifiée d’exceptionnelle. En effet, la jeune femme n’a habituellement aucun remord par rapport à son travail, par rapport à ses mensonges, concernant son identité secrète ainsi que ses mauvaises fins. N’ayant point d’attache, appréciant le changement, franchir les limites, le vice, elle ne possède que très peu de relations basées sur la sincérité, voire aucune. Elle côtoie du monde, sans se plonger dans une amitié quelconque, sans se plonger dans une relation amoureuse. Or, face à Dale, les choses sont différentes. Elle se met à l’apprécier pour ce qu’il est, et elle se montre même désireuse d’entretenir un lien exclusif avec lui. Parfois, elle se met même à éprouver l’envie de lui dire la vérité, l’envie de le protéger, l’envie de stopper cette mission. Ne réalise t-elle pas qu’’elle est en train de se mettre dans un sale pétrin ? Bien sûr que si, c’est d’ailleurs pour cela qu’elle se montre assez distante avec le jeune homme. Une partie d’elle voudrait obéir aux ordres, une autre voudrait tout abandonner, et devenir quelqu’un de respectable et respecté.

LA MAFIA RUSSE Cora possède quelques échanges avec les membres de la mafia, ils sont tout simplement ses collègues. Il lui arrive d’en apprécier quelques uns, cependant, la jeune femme se montre très méfiante envers eux. Elle sait bel et bien qu’ils ne sont pas fréquentables, la plupart étant sans scrupules et particulièrement violents. Elle reste donc distante avec la majorité de ses diverses connaissances. Cela pourrait d’abord laisser penser que Cora n’est pas comme eux, quelqu’un d’insensible. A moins qu’elle les évite parce qu’elle a quelque chose à se reprocher ? S’ils venaient à découvrir son impossibilité à briser Dave et à découvrir ses divers mystères, ils la tueraient sans états d’âme, elle en est persuadée.

ELIXIR H. MORRISON Comment faire comprendre à quelqu’un qu’on ne l’aime pas ? Si Cora ne devait pas se montrer hypocrite, douce et gentille, il va de soit qu’elle aurait su comment s’y prendre avec cette petite peste, possédant aussi l’avantage d’être la sœur d’un homme particulièrement charmant et adorable. A moins qu’elle ne le sache déjà, Marshall peut-être pas aussi douée que cela pour jouer la comédie. Si elle savait à quel point d’ailleurs…vu l’attitude d’Elixir, elle ne tardera sans doute pas à s’apercevoir que quelque chose cloche. Dommage, la jeune femme blonde n’est peut-être pas aussi cruelle au point d’en venir à bout avec la gamine, avant qu’il ne soit trop tard…

~ Physique : (10 lignes minimum)
Quotidiennement, on dit souvent que le physique importe peu. Cela sert régulièrement à en rassurer plus d’un, n’ayant pas eu la chance d’être gâtés par la nature. Cependant, aux yeux de Cora, ce sont des mensonges. Le physique importe. Sans son coté de blonde pulpeuse, elle ne serait pas arrivée là, c’est indéniable. Un joli petit sourire, une mine radieuse, un regard sensuel l’a aidé plus d’une fois à arriver à ses fins. Son coté de jeune femme attirante a toujours été pour elle un véritable atout, et c’est déterminée qu’elle se sert bien volontiers de ses dons dans le but d’obtenir ce qu’elle désire, ou bien ce dont elle a besoin. Physiquement, ce qui attire chez elle, c’est probablement des traits extrêmement fins, lisses, proches de la perfection, en plus de son teint plutôt pâle, blanchâtre, lui donnant un coté de princesse de comtes de fées, ou bien de poupée en porcelaine. Ses cheveux longs dorés, tantôt raides, tantôt ondulés et somptueux vous donnent envie de glisser une de vos mains dedans. Rares sont les personnes parvenant à se passer d’examiner ces yeux couleur océan, légèrement étirés, vous donnant par la même occasion l’envie de plonger dedans et lui donnant la capacité de maintenir la relation avec n‘importe quel interlocuteur. Elle met en avant ces atouts grâce à du maquillage, tout de même assez discret, Cora n’appréciant pas le terme de pot de peinture, appréciant aussi son coté naturel. Ainsi, ses yeux bleu cristallin ainsi que ses lèvres pulpeuses ressortent, elle accentue cette perfection paraissant chez elle innée. Au niveau des chaussures, sa grandeur naturelle lui évite de porter constamment des talons, ce qui ne serait pas du tout pratique lorsque parfois, pour les besoins de ses missions, elle se retrouve sur le terrain. Elle possède de plus deux cotés en elle: celle de la jeune femme un peu superficielle, se basant sur la mode pour se vêtir, des décolletés facilitant des futures demandes pour les besoins de son job. Il y a aussi celle de la jeune femme éternellement naturelle, qui se fiche bien de sa tenue et qui se contente d’un vieux jean, d’un vieux tee shirt, de chaussures de sport. Style adopté sur le terrain qui provoque les moqueries de certains, mais quelle importance ?!

~ Caractère : (15 lignes minimum)
Au niveau du caractère de Cora, la complication se fait sentir. La jeune femme est très difficile à cerner. Fillette, Marshall était définie comme quelqu’un de délicat, courtois, intelligente, incarnant en quelque sorte la perfection. Une future femme modèle devenant par la même occasion une snobe, une prétentieuse, une hypocrite. Ceci étant lié à son milieu social. Heureusement ou peut-être malheureusement, celle-ci s’est aperçu de la grandeur de son rang. C’est adolescente qu’elle a commencé à développer un coté de jeune fille rebelle, pas très à l’aise avec la morale, avec les règles d’ordre social, voulant à tout prix clamer son imperfection, car à ses yeux, personne n’est parfait. Et ceux qui clament haut et fort leur splendeur sont peut-être bien les moins honnêtes. Elle a commencé à faire preuve d’une adoration extrême pour le vice, rendant ses parents fous, honteux, lui provoquant une joie sans pareille tant ils la dégoutaient. Elle n’était plus droite, elle n’était plus prétentieuse, elle était vraie, sincère, elle prenait goût pour le risque et pour les amusements en tous genres. Mais elle était seule, extrêmement seule. C’est-ce coté de solitaire qui a d’ailleurs puisé sa détermination, son coté de battante. Elle s’est trouvée obligée de devenir maligne, forte, de posséder de la répartie et de développer un amour pour le risque et le changement, la séduction même, dans le but de survivre. Elle est devenue pour ainsi dire une hors la loi, une délinquante d’après sa famille. Et elle représente aujourd’hui la honte des Marshall. Mais derrière ce masque se cache un individu qui a extrêmement souffert. Derrière cet humour, ce coté de femme pleine de vie et de gentillesse se cache quelqu’un de fragile, de sensible, de romantique, dont le rêve le plus fou serait de se stabiliser, d’arrêter tout cela, de former une famille: celle qu’elle n’a jamais pu avoir. Et c’est-ce coté là qui la mène aujourd’hui à sa perte, qui la pousse à ressentir de la culpabilité par rapport à Dale. Parallèlement, elle a une peur bleue de ce coté là, choisissant en fait la facilité.

~ Définition de l'enfer pour le personnage : (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
L’enfer pour Cora, ça serait de former une famille. Ceci est aussi secrètement son plus grand rêve, mais elle possède la crainte que ce souhait s’exécute, et qu’elle devienne ainsi comme ses parents, préférant la luxure, l’argent, à la sincérité et à l’amour. Elle ne supporterait pas de revivre cette vie une seconde fois, mais surtout d’être la coupable d’une future destruction. Ainsi, elle a une peur bleue qu’un homme tel que Dale la conduise à sacrifier sa vie de Hors la Loi, à éprouver des remords et à finir par se détourner de ce job, qui est certes vicieux, mais qui est bien plus confortable moralement. Devenir quelqu’un de digne est un parcours de combattant, plus que d’affronter son regard devant le miroir. En ce sens, elle possède aussi une peur bleue que la mafia découvre ses faiblesses. Tout individu est effrayé par la mort, par l’inconnu. Tenant aussi au jeune homme qui est sa principale cible, elle craint d’avance le moment où elle sera obligée de provoquer son élimination.

~ Définition du paradis pour le personnage : (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Ce qui lui provoquerait la plus grande joie, ça serait de justement parvenir à changer. Car honnêtement, son coté de fugitive n’est pas si confortable que cela d’une manière psychologique. Commettre des actes non glorieux provoque une certaine culpabilité chez un être humain, en lutte contre soi même, entrainé dans une guerre avec lui-même. Une guerre avec elle-même, c’est parfaitement ce qu’elle vit. Elle rêverait de laisser tomber tout cela, et de pouvoir enfin connaître le bonheur avec un homme qu’elle aimera, des enfants qu’elle aimera d’autant plus. Au niveau des revenues, il va de soit qu’être riche ou pauvre n’aura aucune importance, bien au contraire, avoir des revenues correctes l’empêchera de devenir comme sa génitrice. En ce sens, une maison paisible, située à la campagne est aussi en accord avec ses rêves de petite fille. Malheureusement, Cora ne croit pas au paradis. Sa vie d’autrefois la poussait à croire à l’enfer, juste l’enfer.

~ Taux de criminalité et pourquoi : (sur 100, immuable et explications)
Cora possède un taux de criminalité de trente et cinq, ce qui est plutôt faible. Tout simplement pour la raison qu’elle a commis quelques actes répréhensibles: débauche, vols, manipulations, mais qu’elle n’a pas encore été forcée à commettre des meurtres, des trafics, les crimes les plus graves et surtout les plus extrêmes. Secrètement, tuer un homme serait d’ailleurs une énorme crainte. Aura-t-elle le choix ? Pourra t-elle éviter de tels massacres ? Elle possède la malheureuse impression que la mafia se moque bel et bien de ses états d’âme…

~ Histoire : (25 lignes minimum)

« La richesse est comme de l'eau salée : plus on en boit, plus elle altère ; il en est de même aussi de la gloire. »

Très belle citation ayant l’avantage d’en éclairer plus d’un concernant la vie de Cora Marshall. Celle-ci est née dans une famille qualifiée de très aisée, de noble. Pourtant, la richesse n’a toujours été que de nature financière, à son plus grand désespoir. Désespoir ? Ce mot associé à celui de la gloire pourrait en faire sourciller plus d’un. Particulièrement les personnes dans le besoin, et cela pourrait être compréhensible. Comment se plaindre du fait de vivre confortablement ? Du fait de pouvoir claquer du doigt, et d’avoir en retour un objet désiré ? Oh cela n’a pas toujours été comme cela. A première vue, dès les premières années de sa vie baignant et élevée dans les mondanités, Marshall était une fillette gracieuse, droite, basée sur des principes et une élégance démesurés. Ne voyant que par le pouvoir, l’argent, et l’hypocrisie allant avec, elle ne fréquentait que les individus possédant un niveau de vie extrêmement élevé, les gens jugés de « supérieurs » dans la société, une tonne de lias de billets faisant l’amabilité et l’exemplarité d’un être, quelle stupidité. Pourtant, elle se mit à croire en ces conceptions écœurantes, influencée par son milieu, et deux parents qui voulaient faire de leur fille la parfaite héritière, le père se mettant en tête de réserver une place importante dans l’entreprise familiale à son futur Jules, Connor Mc Gregor, pendant que la demoiselle se tuerait à la tâche…en tant que femme au foyer cotée dans le monde de la bourgeoisie. Femme au foyer était un bien grand mot. En effet, Cora passa plus de temps avec les domestiques qu’avec sa propre mère, ce qui lui pèsera beaucoup par la suite. Comment répéter l’histoire en observant madame Marshall accompagnée par ses divers amants, pendant que monsieur Marshall faisait de même avec ses secrétaires ? Ces souvenirs écœurants ont construit son goût pour l’aventure, pour l’instabilité, la jeune femme en est aujourd’hui persuadée. Elle passera donc la majeure partie de ses journées avec Katie, sa nounou, une femme au faible rang, certes, mais pleine de splendeur. C’est elle qui lui fera ouvrir les yeux, et c’est grâce à celle-ci que la fillette aux cheveux dorés se sortira de cette sale emprise, de ce sale domaine. C’est avec elle qu’elle pourra se sentir vraie, c’est avec elle qu’elle aura le droit de commettre bien des écarts, d’avoir des gestes déplacés, d’être vraie et non une simple image. Malheureusement, les Marshall verront l’influence de cette nounou d’un autre point de vue, et ils la vireront quelques temps plus tard, inventant un problème de santé à Cora. Elle ne la reverra jamais, et il lui faudra attendre des années avant de découvrir la vérité et d’avoir une confirmation à propos de la bonté et de la sincérité de ses parents.

Cette absence ne l’empêchera point de devenir une vraie teigne à l’adolescence, de se rendurcir, et de contourner les règles. La fillette bien élevée deviendra une jeune fille rebelle, se moquant éperdument de ce monde de riches grotesque ayant pour désavantage de lui provoquer des infâmes nausées. C’est en découvrant la raison du départ de sa nourrice, celle qu’elle considérait comme une mère, comme celle qu’elle n’avait jamais eu en fait, qu’elle se rendra compte de bien des choses. Pour dire vrai, elle enverra tout valser. Ce petit ami égocentrique et snobe qu’elle possédait depuis l’enfance, avec qui elle aurait du finir sa vie d’après les deux familles dominatrices. Elle sera une des seule à leur tenir tête. Par exemple elle oubliera son coté de lumière, son coté d’élève modèle, pour apprendre à se dé parfaire et à manquer quelques cours, voire la majorité (en école privée quelle honte!) pour aller faire les cent coups avec des individus réputés pour ne pas être fréquentables (une classe sociale inférieure, quelle arrogance). Elle sera surprise bien souvent dans la rue, entourée de ses copains, ayant souvent dans la bouche des mots qu’on pourrait qualifier de vulgaires. Mais qui font tellement du bien, lorsqu’on a pour habitude de se montrer digne, courtois, de tenter d’être quelqu’un de bien et de respectueux. Il va de soit que ce retournement de situation sera difficile à gérer pour les Marshall, ayant la honte de leur vie, la famille réputée en prenant un coup au niveau de son image de marque, l’entreprise aussi par la même occasion. Alors imaginez le coté rebelle de Cora se renforçant. Car en prime, il y aura les premiers vols, les premières cuites dignes de ce nom, et pour couronner le tout une humiliation publique infligée à ses parents lors d’une réception…elle débauchera ensuite le fils Parkson, dans l’établissement, mais je vous épargnerai les détails. Pourquoi tant d’offenses ? La jeune femme était différente des autres individus de son rang social. Ce milieu la répugnait, elle n’était pas une diva, et elle détestait la mesquinerie de ce monde, ces gens là se sentant si inférieurs qu’ils pensaient que leur argent leur donnerait une meilleure place dans cette société, dans la vie de tous les jours. Dépenser pour se sentir noble. Rabaisser autrui pour se sentir à la hauteur. Se mentir à soi même. Peut-être qu’au fond la fille Marshall avait sa part de splendeur elle aussi, enfouie au fond d’elle-même, faisant toute sa différence. Cependant, ils ne l’ont jamais perçu, les actes représentant l’intérieur de la personne en quelque sorte, son essence, et la blondinette finira chassée de la maison après cet énième acte condamnable de rébellion.

"Il n'y a pas une seule vertu qui n'ait quelque alliage de vice ; et guère de vice, sinon même aucun vice, qui n'ait pas en lui un petit grain de vertu."

Ils ne la laisseront pas sans un sous, néanmoins, cependant la décision de la jeune femme les pousseront à couper totalement les ponts. Elle ne profitera donc pas de leur richesse pour s’en sortir, mais se débrouillera elle-même, ayant toujours eu cette force de caractère, probablement acquis grâce à Katie à ses yeux. Elle accumulera petit job sur petit job, passant de serveuse, à danseuse de nuit, à vendeuse, et autres jobs que son ancien monde aurait trouvé honteux et dévalorisant. Malgré cette incapacité à avoir la vie dont n’importe qui rêverait, elle sera toujours fière d’elle-même, fière d’avoir couper les ponts, fière d’avoir remué le Queens, fière de gagner sa vie par elle-même. Sa détermination, sa répartie, son charisme et son intelligence lui permettront de vaincre l’adversité, de ne pas se faire marcher dessus alors qu’elle devra faire ses preuves. De plus, son histoire passé ayant laissé bien des traces, son petit air de femme parfois haineuse, ne se laissant pas faire, refera surface dans certaines situations. C’est en ce sens qu’elle se fera repérer par la mafia Russe. Un nouveau challenge. Qu’elle acceptera sans sourciller ? En effet. Après tout, elle n’avait plus rien. Plus de famille, pas de petit ami fixe, Cora appréciant le changement dans sa vie, et paraissant bien trop passionnée pour se jeter dans les bras du premier venu (de manière définitive, car la jeune femme appréciait beaucoup les relations sans lendemain, n’aimant pas s’engager). Pas d’emploi stable. Mais possédant des atouts en main: son physique et son caractère. Elle se sentit donc en phase avec la mafia Russe, semblant être la jeune femme idéale pour ce genre de travail. Aujourd’hui, il y a donc du piment dans sa vie, ce qui provoque en elle une excitation sans pareille. Après tout s’il y avait bien une chose qu’elle détestait dans son enfance, c’était cette monotonie déconcertante. Ici, elle est félicitée pour ses vices. Elle serait sans doute humiliée par ses parents s’ils connaissaient sa situation, mais qu’importe ! Après tout, elle met en avant son coté manipulatrice, et elle aime le clamer, eux passent leur temps à se voiler le face, chose qui n’est pas plus digne en soit. Sur ce principe de manipulation, elle travaille aujourd’hui en tant que serveuse au Morrison’s bar. Serveuse le jour, telle un membre de la société normal, bien intégré, mais indique de la mafia Russe la nuit, hors la loi. Elle a pour mission d’en savoir plus sur Dave E. Morrisson. Mentir est sensée la faire jubiler, lui donner de l’adrénaline, sachant qu’elle éprouve un certain plaisir à exécuter toute mission, à arriver à ses fins. Les choses devraient donc paraitre extrêmement faciles aux yeux de la jeune femme à la chevelure dorée. Sauf que son coté de sentimentale bien caché au fond d’elle refait surface. Elle se met à éprouver des remords par rapport à son attitude face à sa cible du moment, visiblement adorable. Est-ce que ce fait pourrait laisser présager la fin des vices ? A moins que ce fait exprime tout simplement un futur danger quelconque…