Preston Connely ▬ Monsieur le Maire arrive { Terminée }

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Preston Connelly.
~ Jamais tu ne feras la loi dans MA ville ! ~

|| Identité du personnage ||

Nom :

Connely.

Prénom :

Preston, Williams, Andrew.

Surnom :

Il ne possède pas vraiment de surnoms surement parce qu'il serait beaucoup trop osé de donner un petit surnom au maire d'une ville aussi prestigieuse que celle de New York.

Âge :

57 ans.

Nationalité :

Americaine.

Groupe :

Autorités

Statut et activité dans la vie :

Maire de New York.

Orientation sexuelle :

Heterosexuel.

|| En savoir plus ? ||

Relations :

Etant le maire d’une ville aussi grande que celle de New York, Preston connaît de nombreuses personnes avec qui il s’entend plus ou moins bien. Nous pouvons commencer par les membres de sa famille, véritable soutien selon lui mais qui semble filer du mauvais coton d’après quelques rumeurs qui ne parviennent pas jusqu’aux oreilles de notre adorable maire. Sa femme, Neil Connely, est une femme respectable en apparence mais qui se rapproche un peu trop près des hors la loi sans qu’il ne le sache. Puis, il y a son fils, Alexander, qui n’a pas réellement la valeur de l’argent et qui commence à filer du mauvais coton en s’endettant dans le poker. Puis, il y a également les amis de la famille comme Taz Wilcox, le chef des pompiers que Preston considère comme un excellent ami à qui il n’irait certainement pas se confier ( il ne se confie à personne ) mais avec qui il papoterait volontiers. Et … il y a cette horde d’ennemis, assoiffée de sang et qui n’espère qu’une chose : sa mort. Les mafiosi craignent son nom, certains malfrats craignent pour leur marché et il sait qu’il risque sa vie à chaque discours, à chaque sortie … mais cela ne l’empêchera jamais de pousser encore plus loin sa bataille contre le crime surtout contre ce Cash, le cow boy qu’il aimerait voir se balancer au bout d’une corde. L’assassin de sa femme, de son unique amour, celui qui a détruit sa vie vient de s’évader et se croit libre : quelle erreur !

Physique :

Preston a cinquante sept ans alors n’allez pas imaginer qu’il s’agit d’un homme plein d’énergie prêt à faire un sprint de dix mètres sans s’essouffler. L’armée lui a tout de même donnée une carrure plus que impressionnante et Preston n’a jamais réellement arrêté le sport, ce qui lui permet de conserver quelques muscles plutôt impressionnant pour un homme de son âge. Grand, toujours vêtu d’un costume richissime qu’il a acheté dans une des boutiques les plus huppées de la grande avenue, il est une personne charismatique et emblématique pour les personnes de la ville qui le voit un peu comme un héros. Son regard est à vous couper le souffle, des yeux plus que clairs qui semblent vous percer au plus profond de votre âme n’est pas sans vous effrayer. Oh il sait qu’il ne possède plus son charme d’antan mais il a toujours ce même sourire charmeur, cette petite mine malicieuse qui lui arrive encore de charmer quelques demoiselles sans s’en rendre compte à moins qu’elles ne soient davantage attirées par son portefeuille et sa notoriété. Ses cheveux grisonnants lui donnent un air de gouverneur selon les dires de quelques journaux féminins et cela le rassure car cela veut dire qu’il ne ressemble pas à un vieux croulant sur une canne … quoiqu’un de ses médecins lui a conseillé de réfléchir à la possible nécessité d’une canne. Refus catégorique mais sa hanche commence à lui faire mal… A réfléchir. Il possède une voix assez entrainante, celle d’un orateur qui a l’habitude de parler aux foules et qui sait trouver les mots justes pour toucher les personnes là où il faut, quand il faut. Preston est donc un homme de cinquante sept ans qui reste dans le coup et qui tient toujours sur ses deux jambes, il ne se laisse pas impressionner par les jeunots qui lui font face et n'est pas prêt à se laisser marcher sur les pieds par des abrutis qui se trouvent devant lui et qui croient pouvoir gouverner la ville sans aucun souci niveau éthique. La guerre est lancée et les traces de fatigue présentes sur le visage du maire nous montrent qu'il n'est pas prêt de les laisser gagner.

Caractère :

Un père militaire, une mère institutrice dans une école privée, il n’a pas eut la chance d’avoir une éducation laxiste mais une éducation digne de celle qu’un père général peut donner à son fils. Il est donc devenu malgré ce qu’il aurait aimé être une personne dès plus strictes qui se rend chaque dimanche à l’église pour remercier le seigneur de le laisser encore en vie aujourd’hui pour combattre le crime. Il est un peu devenu une réplique de son père qu’il a toujours considéré comme un modèle d’excellence. Autoritaire et droit, il n’a jamais été du genre à marcher de travers, à commettre des erreurs ou encore à aller traficoter avec les criminels. On ne mélange pas les torchons et les serviettes, voilà ce qui était pour lui un dicton à suivre plus qu’à la lettre. Cultivé et intelligent, il s’est tout de même rendu compte qu’il ne pourrait pas réussir ses objectifs s’il restait uniquement du côté de la légalité et de la droiture. En effet, comme l’avait dit Machiavel dans le Prince : « la fin justifie les moyens ». Si sa cause – sa fin – est juste, il peut tout de même se permettre d’emprunter un chemin moins juste et c’est ce qu’il fait sans acquis de conscience puisqu’il considère cela comme une croisade contre les criminels. Il adore jouer sur son image de sauveur et de croiseur, mais il sait que cela ne plait pas forcement à tout le monde puisque la Pieuvre ( les mafias réunies ) ont des tentacules posés sur chaque domaine et c’est donc une guerre difficile qui se trouve face à lui. Toutefois, Preston est trop fier pour baisser les bras et pour leur offrir la victoire, il n’est pas prêt pour la défaite et est même prêt à risquer sa vie pour parvenir à éliminer ces criminels de sa ville si chère à ses yeux. N’attendez pas de lui de doux compliments, des félicitations, c’est une personne qui choisit ses amis avec un certains art et qui ne parle pas à n’importe qui. Il distribue ses compliments au compte goute et n’hésite pas une seule minute à dire ce qu’il pense dans les médias sans prendre réellement de gants pour les dires ; les gens n’attendent pas le beau parleur mais ils recherchent un homme d’action qui n’a pas peur de poser les cartes sur tables …

Définition de l'enfer pour le personnage :

Pour l’instant, ce qui lui fait le plus peur c’est de reperdre son épouse au cours d’un attentat ou alors de perdre son fils. Bien sûr, il ne le dit pas et ne le dira jamais. Il n’est pas du genre à étaler ses sentiments sous les projecteurs et même devant les personnes concernées, ce serait une preuve de faiblesses. Se retrouver seul contre tous lui fait également un peu peur mais ce qui l’effraie, ce qui serait un réel enfer à ses yeux, c’est certainement qu’il subisse une défaite cuisante face aux mafiosi.

Définition du paradis pour le personnage :

La victoire. Voir une ville sans criminel, sans racket, sans crime, sans meurtre, sans viol, sans mafieux, une ville où tout le monde se sentirait en sécurité. Voilà ce qui serait à ses yeux le paradis, il voudrait qu’on le voit comme le premier à être parvenu à éradiquer toutes ces viles personnes sans aucun état d’âme.

Taux de criminalité et pourquoi :

50 sur 100 puisqu'il cherche à combattre justement les criminels mais malheureusement il est obligé d'utiliser des méthodes peu légales pour parvenir à ses fins. Mais, il n'est pas prêt à plonger entièrement dans le crime, personne n'est parvenu à trouver les arguments justes pour le toucher dans cette direction ...

~ Histoire :

Dallas, 1952. Sa mère est une institutrice dans une école plutôt réputée de la ville alors que son père est un général dans l’armée américaine, ce qui lui coutera la vie. Sans père, il doit donc grandir seul avec sa mère assumant le rôle de l’homme de maison sans broncher, sans dire un mot, sans se plaindre pour ne pas faire souffrir davantage la femme qui marche la tête haute et qui feint le bonheur. Il doit donc se rendre à la messe tous les dimanches habillé de son plus beau costume, il doit aller dans la même école de sa mère et ne rien dire devant les railleries de ses camarades qui n’hésitent pas à se moquer de lui, du fait qu’il n’ait pas de père tout en répétant les rumeurs qui circulaient sur Judith, sa mère. En effet, une femme aussi jeune qui élève un enfant toute seule, soulève bon nombre de rumeurs comme le fait qu’elle était une prostituée, que cet enfant était un bâtard, que des tas d’hommes rentraient chez elle … Bref, son enfance ne fut pas un moment des plus agréables de sa vie et il refuse de se souvenir de tout cela. Il s’agit du passé, non ?

« Connely. Le sergent cherche à te parler. » Vietnam. Saloperie de Vietnam. La guerre. Les balles. La mousson. La pluie. Les maladies. Les morts. Les lettres. Les larmes. Les rires. Les femmes. Les enfants. Ces hommes capables de tout pour venir nous buter. Il déteste également cette période de sa vie mais il se souvient encore de cet éclat qui brillait autour de lui puisqu’il était devenu un stratège plutôt doué.
« Je ne pense pas qu’il soit une bonne idée de faire partie une troupe dans cette direction, sauf mon respect, sergent. » Avait-il dit tout en pointant du doigt la zone sur cette carte humide. Son sergent était une personne respectable et ouverte plutôt tranquille qui avait complètement oublié les codes en arrivant au Vietnam. Ici, il n’y avait plus aucun code, plus aucun grade, ils étaient tous dans la même merde comme le disait si bien ce même sergent. Le sergent arqua un sourcil en entendant sa remarque et lui fit un geste de la main pour l’inviter à poursuivre. « La dernière fois qu’une troupe ait partie là-bas, nous avons plus de cinq blessés et deux morts. Ils connaissent parfaitement cette zone contrairement à nous qui marchons à l’aveugle. Je pense qu’il faudrait justement contourner cette zone pour voir le derrière … voir ce qu’il protège pour pouvoir les prendre par surprise. Surtout qu’il me semble que nous serions en hauteur par rapport à eux, c’est une cuvette. » Avait-il dit avec un petit sourire au bord des lèvres, se rendant compte qu’il allait enfin pouvoir tuer du chintok comme tout le monde disait à l’époque. Puis, il y eut tout cela : Musique militaire. Sourires. Des femmes et des enfants applaudissaient le plus fort possible. Parfums mélangés dans l’air donnant mal à la tête. Rires. Larmes. Vive émotion. Ils rentraient du Vietnam. Sa mère ne lui avait pas vraiment pardonné le fait d’être partie sans même lui dire au revoir mais il ne voulait pas la faire souffrir davantage … c’est ce qu’il s’était dit. Elle était là dans la foule, un mouchoir dans ses longs doigts fins pour essuyer les larmes qui perlaient au coin de ses yeux. Elle était émue de voir son fils devenu aussi gradé en si peu de temps quoique la guerre fut trop longue à ses yeux. Son fils marchait alors tel un héros.
Une voix, un costume noir, un sourire malicieux : « Bienvenue chez les services secrets américains. »

« Je croyais qu’on pourrait se voir ce soir Preston. »
« J’ai beaucoup trop de travail et j’ai encore un dossier à rendre ce soir … Je suis désolé. »
« D’accord mais n’oublie pas que demain, tu as rendez-vous avec ta femme. »
« Comment veux-tu que je t’oublie, ma beauté ? » Dit-il avec un sourire aux lèvres alors qu’il était au téléphone avec sa femme. Il entendit son rire à travers le combiné puis une terrible explosion. Puis, plus rien hormis le gresillement du téléphone foutu au cours de l’explosion. Son cœur fit un bond dans sa poitrine, il lâcha son téléphone qui s’explosa en plusieurs morceaux sur le sol avant de courir prendre sa voiture pour se rendre dans le Queens où se trouvait sa femme. Arrivé sur les lieux, il vit une lourde fumée noire s’élever dans les airs et le chef des pompiers, son ami, était là mais ne semblait pas pouvoir faire grand-chose. Une voiture noire. Son cœur battait de plus en plus fort. Une larme vint lui caresser l’œil droit qu’il reprima aussitôt par un sanglot. Sa femme. C’était sa femme.
« Laissez-moi passer, bon sang, je suis son époux. » Dit-il en montrant sa plaque au policier qui veillait à ce que personne ne franchisse la ligne. Il le laissa passer et Preston courrut aussitôt pour voir s’il y avait ne serait-ce qu’un survivant mais personne … Voiture piégée. C’est tout ce qu’on lui dit pour calmer sa douleur et son chagrin.

« New Yorkais. New Yorkaises. Je sais pertinemment ce qu’il se passe dans les rues de cette ville, je sais exactement ce qui vous fait peur à chacun, que vous craigniez pour vos fils, vos femmes, vos époux à chaque fois qu’ils franchissent le seuil de votre porte. Je le sais puisque j’ai perdu ma femme, en 2000, suite à un attentat à la voiture piégée. Oui, ces lâches ont visé ma femme … une médecin, bénévole dans plusieurs associations, mère d’un enfant. On l’a tué sans aucun état d’âme et sans se rendre compte qu’il s’agissait d’une innocente. Nous sommes plusieurs à être dans ce cas et c’est pour cette raison qu’il faut que nous unissons nos forces pour vaincre le crime. Ils ne sont pas plus nombreux que nous, nous sommes les plus nombreux et nous allons les arrêter. Si je suis le maire de cette ville, si votre choix se porte sur moi, je vous fais la promesse de vous protéger, vous et votre famille. Je vous fais la promesse de rendre les rues de cette ville plus sûre … » C’était le discours d’un homme plutôt charismatique et âgé que l’on connaissait pour sa carrière brillante. Il passait chaque jour à la télévision et tout le monde entendant la voix rassurante et convaincue de cet homme qui fut élu maire de New York sans grand souci.

Tiens tiens MONSIEUR le Maire ... Je me ferai un plaisir de lire cette fiche =)
En attendant, le code est bon et le staff se sent flatté par tous ces compliments, merci.
Fait signe quand la fiche et fini, bon courage !

TATA MCDO !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! I love you

Bienvenue

|| Le joueur et le hors-jeu ||

~ Prénom/Pseudo : Et bien j’ai tout un tas de surnoms, pseudos mais ils sont tous plus ou moins pathétiques. Le dernier en date est « Reine du burger » mais on m’appelle TataMacdo ( le rapport avec les burgers est vite fait ), sinon vous pouvez toujours m’appeler Emilie, je crois que je répondrais encore à ce prénom.
~ Age : 20 ans.
~ Votre avis sur New York, The Dark Side : OMFG ! J’ai lu le contexte deux fois, j’ai relu ce contexte, je suis allée voir les personnages prédéfinis, j’ai hésité pendant plusieurs semaines et mon choix s’arrête finalement sur le Maire. LE maire qui a totalement la classe et qui m’éclate déjà ! Je le trouve plus que bien construit et super innovant par rapport à la presse, aux rapports de police : félicitations !
~ Où avez-vous connu le forum ? Sons of Anarchy.
~ Niveau de RP : En lignes, j’en sais rien du tout car je n’ai pas la même résolution d’écran que vous ( je le déduis souvent en étant sur les forums ^^ ) mais je peux aller jusqu’à deux pages word quand je suis ultra motivée et que l’on me donne de quoi faire.[/i]
~ Exemple de RP :

Spoiler:

« Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé. »
Nelson Mandela

Qui a dit que la vie de tueurs à gages était une vie de tout repos, une vie tranquille et sereine dans laquelle on n’a aucune règle à suivre ? Car si c’est ce que vous croyez aujourd’hui, allez poser quelques questions à ces deux énergumènes qui se retrouvent ensemble dans la même pièce et je suis certaine qu’ils riront ensemble, en une parfaite harmonie d’un rire franc et décidé. En effet, les tueurs à gages n’ont pas une vie de tout repos et je ne parle pas uniquement de leurs nombreux voyages à l’hôpital. La journée avait pourtant si bien commencée, Helena ne s’y était même pas attendu et pourtant, elle vous dira qu’elle a un instinct animal plus qu’important : elle arrive toujours à avoir ce sixième sens, ce don réservé uniquement aux femmes qui montre qu’elles peuvent pressentir pas mal de choses. Elle s’était levée de bonne heure pour entamer une journée banale et bien triste pour une jeune femme aussi jeune qu’elle : douche, petit déjeuner, nourrir les poissons, le courrier, le boulot. Une vraie petite routine qui ne la dérangeait pas, bien loin de là. Certains pourraient croire qu’elle était triste et déçue de cette vie monotone mais en réalité, cette vie ne la dérangeait pas, elle la rassurait. En effet, il n’y avait jamais de mauvaises surprises ni même de surprises : tout était programmé, tout était préparé pour que ses gestes soient machinaux et qu’elle n’ait pas besoin de réfléchir trop longtemps … Elle tenait de son père à ce qu’il paraitrait ; lui-aussi était fidèle à sa montre et possédait une vie rythmée par le tic-tac de l’horloge.

Helena avait reçu un message, elle avait un nouveau contrat qui l’attendait. Ce n’était pas trop tôt ! Il faut dire que c’était la seule chose qui parvenait à rythmer la vie de cette rouquine inquiétante. Réussir à terminer ses contrats dans des délais plus que brefs était son but, elle s’était lancée dans une guerre secrète avec son frère aînée qui était aux Etats-Unis. Il fallait qu’elle monte dans la hiérarchie plus vite que lui. Que dites-vous ? Débile ? Certainement. Et, elle en avait conscience mais elle était la petite dernière de la famille et elle avait par conséquent toujours quelque chose à prouver aux aînés ; ici, c’était qu’elle méritait tout autant qu’eux sa place dans la Triade et qu’elle méritait également sa réputation bien que certaines personnes se plaisaient à cracher sur celle-ci au grand dam d’Helena qui aurait tant aimé pouvoir les éviscérer sur place. Oui, parce qu’Helena déteste qu’on parle sur son dos ou que l’on « casse du sucre sur son dos », c’était quelque chose qui lui était intolérable et croyez-moi, certaines personnes à la Triade étaient plus que doués pour faire ce genre de choses … et elle le savait. D’ailleurs, en parlant de Triade, c’était dans ce QG qu’elle se rendait aujourd’hui. Piètre conductrice, la jeune femme préféra prendre le bus bien qu’elle détestait qu’ils soient bondés. Se recroqueviller sur elle-même pour éviter les coups de coude la rendait complètement dingue à moins qu’elle ne le fût déjà.

Une fois arrivée sur place, elle dut affronter le regard de quelques connaissances qu’elle détestait poliment et cordialement avec un sourire des plus hypocrites et qu’elle ne savait pas faire. La jeune femme marchait d’un pas décidé, sachant pertinemment qu’elle était légèrement en retard au rendez-vous … rendez vous ? Bien sûr, j’allais oublier de préciser que pour ce contrat, elle allait devoir « collaborer » avec un membre de la Triade, oh elle ne savait pas encore de qui il s’agissait mais elle espérait que ça ne soit pas cette Sara ou encore ce satané russe qui était toujours prêt pour lui faire des croche pieds. Quand elle poussa la porte de cette maudite salle et que son regard se posa sur Wagner, elle crut que le temps venait d’arrêter. N’allez pas voir une quelconque référence au coup de foudre durant lequel le temps est sensé s’arrêter. Non, il s’agissait plutôt de la foudre ou alors de l’épée de Damoclès au-dessus de nos têtes qui venait justement de s’abattre sur le crâne de cette norvégienne. Elle ne parvenait certainement pas à cacher sa surprise et elle se contenta de fermer la porte derrière elle comme si tout allait pour le mieux … mais elle avait étrangement une folle envie de cigarettes : la poisse ! A la place, elle s’empara de la paille qui dépassait de son gobelet de milk shake pour en boire une longue gorgée … bien que nous étions au beau milieu de la matinée. La jeune femme avait arrêté de fumer et s’était donc tournée vers cette boisson glacée au grand dam de sa nutritionniste, du moins si elle en avait une. Son futur collaborateur – puisque c’était ainsi qu’elle devait le nommer maintenant – était assis à une table en train de lire un dossier et venait tout juste de lever les yeux vers elle. Bon et bien, elle considérait cette journée comme foutue à moins qu’elle ne décide de s’amuser un peu avec les nerfs de l’Aîné.

« Tiens ! L’ancien ! Cela faisait longtemps. »

Dit-elle d’une voix presque amusée mais dans laquelle on pouvait entendre un peu d’agacement à l’idée de devoir travailler avec lui.

Puis, elle s’installa ou plutôt s’affala sur une chaise tout en posant son gobelet de milk shake sur cette table. Elle avait un petit quelque chose de désinvolte et de certainement agaçant – elle en avait conscience – mais elle s’était toujours dit que c’était ainsi qu’elle était et qu’elle resterait fidèle à elle-même jusqu’à la tombe. La jeune femme tendit alors le cou pour voir ce qu’il était en train de lire avant de prononcer de cette voix douce possédant une pointe de candeur :

« Alors de quoi s’agit-il cette fois ? Tu veux peut-être que je te le lise ? … Non mais parce que je sais qu’à un certains âge, on rencontre quelques problèmes de vue. »

Elle avait dit cela d’une voix taquine et presque détestable, puis, elle pencha la tête sur le côté avec un sourire malicieux qui aurait attendri n’importe qui sauf Wagner qui avait certainement plus envie de lui tirer une balle entre les deux yeux qu’autre chose. C’est qu’elle pouvait être énervante quand elle en avait décidé ainsi.

~ Connexion : 4 à 5 jours sur 7.
~ Code du règlement :

Spoiler:

~ Avez vous signé le règlement ? : Pas encore, j’attends d’avoir finir ma fiche.
~ Célébrité sur l'avatar : Le plus beau, le plus sexy, le charmant, le cultissime, le charismatique, le frais, le magnifique Al Pacino.
~ Multicompte : Non [/list]

Désolée du double post mais c'est pour prévenir que ma fiche est terminée.
Merci pour les bienvenues et coucou Emily McCallum, je crois que c'est ça ! ^^

Tout est bon pour moi, hormis le taux de criminalité qui doit taper beaucoup plus haut, je le voyait dans les 50 pour ma part.
Oui, Preston est pour la justice et l'autorité, mais ses convictions l'aveuglent. Il est prêt à payer des voyous pour brûler des maisons et ravager des quartiers entier juste pour pouvoir accuser la mafia après. Il fabrique de fausse preuves pour mettre ceux qu'il juge "mauvais" en prison et ment à tout le monde sans scrupules ...

50 ?
* baisse la tête et va changer en trainant les pieds *
Roh lalalala ... qu'est ce qu'il faut pas attendre ici ? Ca mérite pas un aussi grand 50, c'est tout à fait normal ! =)

Bah tiens, moi je fais le crime et je le fais bien, toi tu manigance, sale bête !

Sale bête ? Hey Oh ! Je ne vous permets pas de me parler sur ce ton jeune homme !
Je suis le maire tout de même ! =)

Ohhhhh, monseigneur ne devrait pas s'offusquer ! On ne recommande pas les contrariétés aux croulants de ton age, c'est mauvais pour le cœur tongue

Allez hop, fiche validée ! Bon jeu =)

J'étais certaine d'avoir souhaité la bienvenue, et en fait non T.T"

BIENVENUE =)
Merci de ton inscription et OUF ! On a enfin Mr Le Maire ! =D

» [TERMINEE] Sihàm
» Nell Connely
» Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << .
» Rakto Volkov arrive en ville
» Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%]

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