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| Sujet: Nell Connely Dim 19 Avr - 20:05 | |
Nell Connely ~ Que toute loi soit claire, uniforme et précise : l’interpréter, c’est presque toujours la corrompre. ~ || Identité du personnage ||
~ Il lui fallut bien quelques minutes lorsqu’il ouvrit les yeux pour s’habituer à la source lumineuse qu’elle avait dirigée en direction de son visage. Il n’avait rien vu venir le pauvre, au contraire. Un imbécile, voilà ce que les ritales lui avaient envoyé pour la suivre et découvrir qui se cachait derrière ce numéro de case postale et ces nombreux numéros de téléphones. Adossée contre le mur, il ne pouvait pas voir le sourire qui se dessinait sur ses lèvres. «Qu’est ce que vous me voulez ? Vous êtes qui ? J’ai rien fait ! Fouttez-moi la paix, détachez-moi ! » « Ca fait beaucoup de questions, et d’ordres en plus. Malheureusement, ici les questions et les ordres, c’est moi, et moi seule qui y ai droit. » « Je veux savoir qui vous êtes, pourquoi vous me faites ça et quand est ce que vous allez me laisser partir. »
Quittant le coin sombre de la pièce, elle se dirigea lentement vers la chaise qui se trouvait face à lui. Il tentait de bouger bien sur mais les liens qui le retenait prisonnier à son siège devaient sans doute trop le gêner pour qu’il s’acharne bien longtemps. D’un geste sec, rapide elle fit pivoter la chaise vide et s’y assit à califourchon, croisant ses bras sur le dossier. Son regard sombre presque noir était fixé droit dans les yeux du jeune homme qui ne mit que peut de temps avant de la reconnaître. Elle savait qu’il se bousculait une foule de question dans cette petite tête et son sourire s’élargit alors qu’elle restait là, silencieuse à le regarder alors qu’il commença à bégayer.
« Je sais qui vous êtes, Madame Connely, le juge Connely, la femme du maire… vous n’avez pas le droit de me retenir comme ça, je vais me plaindre, je vous dénoncerai quand je sortirai d’ici … » « Je le sais bien … c’est pour ça que tu ne sortiras pas d’ici… »
~ « Vous ne pouvez pas me garder ici. Qu’est ce que vous allez faire ? me torturer ? essayer de me dire que je suis une raclure qui bosse pour la mafia et que c’est mal, c’est ça, hein Madame le Juge… » « Tu es une raclure ? toi ? un pauvre petit imbécile qui se laisse berner comme un gamin trop naïf, ç’en est tellement pathétique que c’en est même plus amusant. Qu’est ce qu’ils t’ont dit, que tu n’avais qu’à surveiller un mur de case postale et suivre celui ou celle qui ouvrirait le bon numéro ? Tu crois vraiment que c’est un boulot pour un vrai mafieux ? Tu n’es qu’un bleu, un larbin rien de plus… » « Ce que je comprends pas c’est ce que vous faites là et pourquoi je devais vous suivre puisque c’est vous qui êtes venue relever la case 452493… » « En plus ils ne t’ont rien dit … tu vois un peu l’importance que tu as à leurs yeux … » « Expliquez-moi au lieu de tourner autours du pot, on est pas dans un de vos foutu procès ! Je sais que vous n’êtes pas d’origine américaine, vous faites partie d’un de nos mafia rivale c’est ça ! »
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Finalement il en avait quelques grammes entres les deux oreilles, mais ce n’était pas ça qui allait la faire plier. Il venait de mentionner plusieurs détails exactes la concernant et après tout pourquoi ne pas prendre le temps de papoter avec lui un moment. De toute manière il ne reverrait pas la lumière du jour alors pour une fois qu’elle pouvait parler sans rien cacher autant s’amuser un peu. Elle n’était pas d’origine américaine ça, un bon point pour lui. Elle était née en Grèce tout comme son frère quelques années après elle. Une famille tout ce qu’il y a de plus normal dans la très grouillante Athènes. Giorgos et Angelica Ioannis formaient un couple moderne à savoir que c’était Angelica qui travaillait le plus dans leur famille. Médecin, elle était une spécialiste reconnue et Giorgos suite à un accident de voiture ne put plus travailler comme il l’aurait souhaité. C’est donc avec leur père que Nell et Stavros passèrent le plus clair de leur temps. Sans doute ce schéma familial s’inscrivit dans l’inconscient de Nell quand elle était enfant. Une femme qui travaille était tout ce qu’il y avait de plus logique pour elle. Aussi la suite va sans grande surprise. Pour avoir un bon travail, qui rapporte, il faut étudier. Nell contrairement à son frère est brillante, elle travaille dure, elle réussit et entre à l’université d’Athènes pour y étudier le droit. C’est une fois ce fameux diplôme en poche que tout changea. Et tout changea à cause d’une personne, Stavros, son petit frère. Apparemment, Nell avait été celle qui avait reçut les bon chromosomes et Stavros s’était contenté de ceux de la fainéantise et de la naïveté. Comment pouvait-on à vingt deux ans se laisser berner comme il l’avait fait. Elle se souvenait encore parfaitement comment, jeune avocate fraîchement diplômée elle avait été trouver son frère au parloir.
« Je comprends pas Nell, elle avait l’air tellement sincère et gentille » « Stavros, chéri, tu vois mon sourire sur mon visage, je pourrais te dire que je te comprends et que je te plains, tu me crois n’est-ce pas ? » « Bien sur ! tu vas m’aider, hein Nell ! » « Ce que j’ai envie de faire c’est t’arracher les yeux espèce d’imbécile ! et ça même avec le sourire ! » « Oui mais toi c’est différent, tu sais cacher ce que tu dis ou ce que tu ressens, c’est ton job ! » « Et elle de faire te faire du charme pour que tu prenne son sac aussi c’était son job ! » « J’en supplie Nell, si tu m’aides pas y vont me buter quand je sortirais, même si tu les fais enfermer, y en aura d’autres pour me faire la peau… » « Et qu’est ce que tu veux que je fasse, je suis avocate pas assassin publique ! » « Tu assassines, mais différemment c’est tout, c’est juste les méthodes qui varient. Mais je te le demande pas, t’es folle, je sais bien que t’en serais incapable. Mais trouve un moyen de m’aider » « Si t’étais pas mon frère je te laisserais te débrouiller seul… » Une simple phrase, une simple insinuation avait lancé sa carrière parallèle à sa carrière juridique. Quelques jours plus tard, Stavros était relâché, n’étant qu’un passeur de drogue bien naïf. Quand à ceux qui voulaient lui faire la peau ? Il avait reçu un avertissement anonyme avec le corps inerte d’un de leur chef. Stavros avait raison, assassiner avec des mots ou des armes, c’est pareil. La méthode change mais l’adrénaline et le plaisir est exactement le même.
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« Je suis bien américaine maintenant, depuis plus de dix ans, une avocate grecque est acceptée mais pour être juge, il me fallait devenir américaine. » « C’est là que vous avez coincé le maire c’est ça ? » « Tu n’est pas si bien renseigné finalement. Je ne suis mariée à Preston que depuis trois ans. » « Donc vous vous êtes même pas marié avec ce vieux pour le statut que ça vous donnait ? C’est quoi le truc ? c’est un coup d’enfer c’est ça ? Le maire est une bête de sexe ? »
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Preston… elle était juge au tribunal pénal de New York depuis huit ans lors de leur première rencontre. Une fois de plus c’est Stavros qui avait fait des siennes, c’est pour ça qu’elle était venue à New York il y a maintenant treize ans. Une nouvelle fois elle avait du faire le ménage pour lui sans qu’il ne se doute de rien bien sur. La jeune avocate aux dents longues avait peu à peu fait place à la juge implacable face aux criminels. Quelle ironie. Comment son travail pour les mafias avait commencé déjà ? Par un premier contrat. Ce pauvre russe qui venait d’arriver dans la mafia rouge newyorkaise et qui avait pensé boire un verre avec une femme tout ce qu’il y a de plus normale. Après quelques verres, il lui en avait dit suffisamment, il devait buter un type mais ne voulait pas se faire serrer à son premier meurtre.
« Si tu me paye, je m’en charge… » « Tu t’es regardée … une femme comme toi aurait trop peur de se briser un ongle » « Quand tu vas dans une boutique, que tu veux quelque chose, tu payes, tu te fous bien de l’allure de celui ou celle qui a confectionner ce que tu achètes, pas vrai ? » « C’est bien possible oui, et alors ? » « Vois ça de la même manière, tu veux liquider ce mec, je le fais, tu me payes et ne t’occupes pas de mes ongles »
Voilà comment son business avait démarré. Le contrat réglé. Et son commanditaire refroidit à coté de sa victime. Elle ne pouvait pas se permettre de laisser le russe la reconnaitre, la dénoncer. C’en serait fini de sa vie. Elle ne laissa qu’un mot, signant son œuvre, ne laissant qu’un numéro de case postale. Petit à petit le mafias commencèrent à faire appel à ce mystérieux tueur dont personne ne connaissait l’identité. Homme ? Femme ? Appartenant à une mafia, ou non. Personne ne savait rien. Elle était prudente possédant une autre case postal au cas où quelqu’un l’observerait. C’était arrivé plusieurs fois déjà qu’au moment ou elle voulait aller voir si quelqu’un lui proposait un contrat que d’autres surveille, généralement elle ouvrait l’autre case prenait son courrier et s’en allait. Laissant quelques jours passé avant de revenir.
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« J’ai rencontré Preston sur une affaire impliquant la mafia russe, nous avons du passer pas mal de temps ensemble et je me suis laissée séduire. » « Mais il est trop vieux pour vous » « C’est aussi ce que semble penser Alexander, son fils. Je sais que pour lui je ne suis que la seconde épouse de son père. Il est étrange ce gamin, mais il semble qu’il y ait une chose que nous ayons en commun ; la manière dont Preston nous affiche tous les deux dans les soirées. J’ai beau être reconnue et importante en sa présence je ne suis que Mme Connely. Quand je pense que c’est moi qui l’ai poussé sur la voie de la politique… » « Donc vous vouliez qu’il passe à un statut plus important tout de même » « Un vétéran du Vietnam, agent des services secrets, je pense que c’est important tout de même… J’ai fais ça parce que je savait comme il était, la retraite arrivé il aurait tourné en rond et je sais qu’il n’aurait pas accepter que je travaille et lui pas. Cela dit je ne m’en plains pas du tout. Il n’est pas souvent là…ce qui me laisse du temps pour mes autres activités. » « Comme séquestrer un pauvre innocent… » « C’est vrai que dans l’innocence tu fais fort… tu me rappelle mon frère… » « Vous l’avez torturé lui aussi … » « Non, il l’a très bien fait lui-même, cet abruti s’est mis une balle dans la tête il y a quatre ans… quand je pense à tout ce que j’ai fais pour lui…» « Alors, il y a une question qui reste sans réponse… » « Rappel moi laquelle ? » « Comment est monsieur le maire au plumard ? » « S’il était là plus souvent et pas aussi fatigué je ne me taperais pas son garde du corps … » « Ce sale chien, il nous a tous trahi quand vous êtes venu le chercher en tôle pour qu’il protège le maire… » « Ce n’est pas moi qui suis venu chercher Antonio, mais je ne m’en plains pas le moins du monde, je crois que je n’aurais pas pu trouver meilleur amant… » « Et c’est ce chien que vous allez appelez pour finir votre boulot c’est ça ? » « On parle, on parle mais j’en oublie les politesses, quel est ton nom ? » « Qu’est ce que ça peut vous faire, vous voulez mon adresses aussi… »
Se redressant, elle quitta la chaise doucement. Dans la lumière il pouvait à présent la voir beaucoup plus distinctement. Il l’avait déjà vu, que ce soit dans les journaux, à la télévision en compagnie du maire ou seule en sa qualité de juge. Elle était belle, la quarantaine et pourtant elle en paraissait moins, pas étonnant qu’on pense qu’elle soit avec le maire pour le prestige. Et pas étonnant que ce chien de Mandela s’occupe d’elle quand son patron n’est pas là. Elle est grande, ou peut être le parait elle parce qu’il est assis sur cette chaise, mais ses botte à talons la font paraitre encore plus grande. C’est dommage qu’elle ait les cheveux si strictement attachés, mais d’un autre côté cela la rends sévèrement attirante.
Les quelques gouttes de salives qui se trouvaient dans sa bouche eurent du mal à glisser le long de sa gorge lorsqu’il vit brillé le 9mm équipé d’un silencieux pointé sur sa tête. Alors c’était bien elle. Le fameux 452493 était une femme, une femme tout ce qu’il y a de plus respectable aux yeux de tous. Elle n’allait pas vraiment le faire, elle était juge elle ne pouvait pas commettre de crime, elle bluffait c’est certain, elle lui avait raconté n’importe quoi pour le faire parler… mais en y réfléchissant bien, elle n’avait rien demandé. Elle semblait juste vouloir s’occuper du fait que personne ne sache que c’était elle la propriétaire de la case 452493. « Vous… vous n’allez pas … non, pas pour de vrai, vous … vous n’allez pas me tuer… » Un haussement d’épaule et un sourire amusé, voilà ce que fut sa dernière vision. La main sûre, le geste maîtrisé au millimètre, Nell pressa sur la détente, un sifflement sourd se fit entendre d’elle seule, et la balle se logea entre ses deux yeux.
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La porte s’ouvre, le visage impassible l’air décidé, Nell entre dans la salle d’audience dans le bruit de bois crissant sous ses talons mêlé à celui des mouvement sur les bancs provoqué par l’assemblée présente dans la salle. Ouvrant le dossier elle balaye l’assemblée et d’une voix à la fois curieuse et autoritaire, s’adresse à l’un des avocats.
« Maître Stevenson, il semblerait que votre client vous aurait il fait faux bond ? »
Dernière édition par Nell Connely le Dim 19 Avr - 20:24, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: Nell Connely Dim 19 Avr - 20:11 | |
~ Définition de l'enfer pour le personnage :
Sartre disait « l’enfer c’est les autres » il n’était pas totalement dans le faux. Quand les autres vous laissent tranquille, qu’ils ne vous gênent d’aucune manières, il n’y a rien à redire. Mais il suffit d’un grain de sable pour saboter une machine parfaitement huilée. L’enfer ce serait qu’un grain de sable vienne faire sa loi et l’empêche de tout contrôler comme elle le fait depuis toujours. Que ce soit son emploie du temps, son travail à la Cour, ses activités pour les mafias, son époux ou son amant. L’enfer serait de ne plus avoir le contrôle.
~ Définition du paradis pour le personnage :
Le paradis, quand on est juge au tribunal pénal, et assassin, quel peut bien être le paradis. Pour l’instant c’est sa vie comme elle là mène. Continuer à juger légalement ou illégalement, garder cette façade d’épouse modèle tout en continuant sa liaison avec son amant. Pour le moment le paradis se rapproche beaucoup de sa réalité.
~ Taux de criminalité et pourquoi : une juge et tueuse ça vaut combien ? ^^
|| Le joueur et le hors-jeu ||
~ Prénom/Pseudo : Pivette ~ Age : 24 ans ~ Votre avis sur New York, The Dark Side : Très bien, sinon je serais pas venue ! ^^ ~ Où avez-vous connu le forum ? un p'tit doigt ( hem hem ) me l'a dit ^^ ~ Niveau de RP :entre une et 2 pages word (je compte en mots moi soit en général autours de 600-800 en moyenne) ~ Exemple de RP : - Spoiler:
Lorsque la porte automatique s’ouvrit, Zara avait l’impression d’avoir fait un saut dans son passé, cette ville elle la connaissait si bien, c’était la sienne, la leur, celle où ils avaient grandit, après à vivre, à se débrouiller, se serrer les coudes. Ses premières armes en tant que tueuse c’était ici qu’elle les avait faites. On se souvient de toutes les première fois, pour la belle Crimson ces premières fois étaient différentes de celles des filles de son âge, ce n’était pas la première soirée d’anniversaire, ni la première virée shopping entre copine, ni même le premier coup de cœur pour un garçon ou le premier rencart… Non pour elle cette ville était celle d’autres premières fois. Son premier vol, sa première course effrénée pour échapper à un flic, la première fois qu’elle avait eut une arme entre les mains, la première fois qu’elle était entrée dans le gang, la première baise dans un coin sordide avec un des chef du gang pour se faire accepté en tant que femme, et surtout, la toute première fois, la vraie, celle qui avait fait d’elle ce qu’elle était aujourd’hui. La première vie prise à un homme, la première fois que l’on ressent cette excitation dont l’adrénaline vous foudroie, cette première fois ou vous vous rendez compte que d’une simple pression de votre index va décidé de la survie ou non d’une âme, la première balle en pleine tête, la première vie ôtée, les première félicitation de son frère. New York était là ville des premières fois de Zara Crimson et aujourd’hui encore : la première fois qu’elle revenait à NY depuis leur départ pour Velvet.
Pourquoi la belle Crimson revenait sur cette terre de souvenirs, cette terre dont elle était partie et qu’elle risquait de se faire prendre pour le nombre de vies prise ici. La raison tenait en un mot : Pavel. Elle avait quitté le manoir, cohabitait avec Mark sur le bateau à la marina et avait fait cette mission pour Nikita, lorsqu’elle était venue lui rendre son rapport, le barman l’aborda.
- Hé la belle, y a du courrier pour toi …
Il lui avait tendu une carte postale, la jeune femme regarda l’illustration, un assemblage de vignettes de différentes vues de New York, d’un geste rapide elle retourna la carte et un mot frappa son regard. Pavel.
Une tache d’hémoglobine masquait le prénom en partie, mais Zara pouvait clairement distinguer qu’elle était adressée à Derhen. Derhen, son jumeau, son frère, sa chaire, la partie d’elle-même qui lui faisait tant de mal par son éloignement depuis quelques jours. Mais soudain la jeune femme comprit ce qu’elle devait faire. Aller le retrouver avant que son frère ne sache où il se trouve, elle devait à tout prix le voir avant lui, il fallait qu’elle parle à Pavel, il fallait qu’elle lui dise ce qu’elle avait fait, il fallait qu’il lui pardonne et plus que tout elle voulait savoir pourquoi. Pourquoi il était parti sans rien lui dire. Elle s’était offerte à lui et s’était ensuite volatilisé dans la nature. Elle l’aimait, elle s’en était rendue compte lorsqu’elle avait été avec lui à ce moment, peut être pas autant que Derhen, peut être pas autant que lui l’aimait, mais elle avait pris conscience de ce fait.
Elle n’avait pas fait son rapport à Nikita, du moins elle avait noté les choses importantes et les lui avaient laissé avant de quitter Velvet sans rien dire à personne. Dans l’avion qui l’emmenait vers NY elle pensait à Mark, elle savait qu’il s’inquièterait de ne pas la voir rentrer, il savait qu’elle n’allait pas bien depuis quelques jour, depuis qu’elle avait investi le bateau avec lui, même si elle ne lui avait pas confier les raisons de ses angoisses. Elle l’appellerait, mais elle savait qu’elle ne lui dirait rien de l’endroit où elle se trouve, jamais elle ne pourrait faire cela. S’il avait su qu’elle partait il aurait sans doute insisté pour l’accompagner et il était totalement impensable que Pavel et Mark soient dans un même lieu, si Pavel l’apprenait, il en deviendrait fou.
Elle sortie du métro et s’engagea dans Blake Street, les talons de ses bottes claquant sur le trottoir.
*458, 460, 462 Blake Street… Pavel… dis moi que tu es là …*
Elle regardait l’immeuble dans un superbe état de délabrement, cela ne l’étonnait pas de le savoir ici. Elle était partagée, partagée entre l’idée de le revoir et de pouvoir enfin à nouveau apprécier cette présence qu’elle aimait tant, mais d’un autre côté, ce n’est pas elle qu’il attendait, et s’il la repoussait, s’il ne voulait plus d’elle après avoir pu enfin avoir ce qu’il voulait d’elle. Jamais elle ne s’était sentie aussi confuse. Elle entra dans le bâtiment, monta une volée de marche et arrivant dans une sorte de couloir orné de nombreuses portes… Elle ne savait pas ce qu’elle faisait là exactement mais elle n’allait pas ouvrir toutes les portes, la maison était silencieuse, semblant complètement abandonnée. Prenant sa respiration et son courage à deux mains elle se lança.
Pavel ? … Pavel ! tu es là ? ~ Connexion : 6 /7 (mais pas forcément de réponse dans l’heure qui suit …) ~ Code du règlement : - Spoiler:
Oki by Lexinounette ~ Célébrité sur l'avatar : Catherine Zeta-Jones ~ Multicompte : aucun
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| | | | Sujet: Re: Nell Connely Dim 19 Avr - 20:22 | |
BIENVENUE !! Merci de ton inscription ! Ta fiche est terminée, je suppose ? |
| | | | Sujet: Re: Nell Connely Dim 19 Avr - 20:26 | |
Merci ! oui fiche terminée en effet. j'hésite juste sur le % du taux de criminalité je pense que vous saurez plus que moi. |
| | | | Sujet: Re: Nell Connely Dim 19 Avr - 20:28 | |
Pour le taux de criminalité, je laisserai Dale s'en charger, (et du coup de la validation de la fiche), puisque c'est son PV, il saura mieux que moi |
| | | | Sujet: Re: Nell Connely Dim 19 Avr - 20:37 | |
Bienvenue à New York madame le juge =) C'est une excellente fiche, j'ai pris grand plaisir à la lire ... Je pense qu'un bon 70 % de criminalité est de mise pour votre double jeu ... Assassin et femme infidèle, deux gros défauts qui font pencher la balance du côté sombre de la force.
En bref : VALIDEE. |
| | | | Sujet: Re: Nell Connely Dim 19 Avr - 20:41 | |
70% hoooo alors ça va je m'attendais à plus ^^
Merci pour l'accueil et la validation !!! |
| | | | Sujet: Re: Nell Connely Dim 19 Avr - 20:42 | |
Il faut laisser de la marge pour qu'il puisse grimper Darling ... Bon jeu. |
| | | | Sujet: Re: Nell Connely Dim 19 Avr - 21:10 | |
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| | | | Sujet: Re: Nell Connely | |
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