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| Sujet: Terry Collins Sam 4 Juil - 20:55 | |
Terry Collins « J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était ça la liberté.»
|| Identité du personnage ||
~ Mon nom c'est Terry... Teresa Collins.
Pour faire dans le formelle, la pièce d'identité que j'ai sous mes yeux dit que je suis américaine et que j'ai actuellement vingt-sept ans. La réalité dit que j'en ai vingt-cinq.Et la fatigue qui s'étant dans mon corps équivaut au moins à soixante.[i] Alors finalement quel âge j'ai ? Qui je suis ? Je ne sais franchement pas quoi vous dires, si ce n'est que je suis celle que l'on veut que je sois, ni plus ni moins. Quotidiennement je suis une fugitive qui flirt avec les plus important réseau de banditisme de la ville, des tueurs de mômes,des trafiquants d'armes, des dealers de drogues... Ces mecs là sont des vermines et je vous ferais grès de ne pas trop m'associer à ce genre de personnes. Si cela ne se voit pas comme ça, derrière mes airs de folle alliée et de grande gueule nerveuse, j'appartiens à l'Autorité. Rien d'autres qu'un agent du FBI infiltrée. Nos routes risquent sûrement de se recroiser, vous feriez mieux d'oublier mon nom et de passer votre chemin. C'est un conseil d'amie.
Effectuer ce genre de boulot, c'était un peu du suicide surtout à cet âge là.. La mort ? Bien sur qu'on y songeait à cette salope. Elle était là, partout autour de nous comme un rapace cherchant sa proie, elle n'attendait qu'une chose, pouvoir enfin nous crever comme elle crevait tout ces gosses à chaque coin de rue. Mais c'était ça le problème, que nous venions ou non allonger sa longue liste de victimes, elle viendrait fatalement se servir ailleurs. Parce qu'elle avait faim. Elle jappait, hurlait comme une chienne à la recherche de ses progénitures.
Être flic au FBI à l'âge de vingt-cinq ans, c'était bien plus de l'ordre de la vocation que du coup d'essais. La vie, c'était pas se dire en se levant chaque matin qu'on risquait encore une fois d'y passer mais de songer chaque soir à la manière dont on l'avait baisée.. Et penser à toute cette bande de fumiers qui grâce à vous ne pourrait plus vendre leur morts aussi banalement que votre gentil libraire, à l'angle de Columbus Avenue et de la 71e, vous filez des tickets de tombolas le jour de la fête nationale.
Terry Collins était allongée sur le sol de sa cuisine, jambes pliées, elle avait une main posée sur le ventre tandis que l'autre tenait du bout des doigts les vestiges de sa seconde cigarettes en moins de dix minutes. Les cendres étaient entrain de joncher le parquais à mesure que le temps filait. Il devait être aux alentours de deux heures du matin et avec une telle chaleur c'était encore la pleine effervescence dans les rues de Brooklyn. Les yeux rivés sur la peinture craquelées du plafond, elle écoutait les sirènes de police s'éloigner au dehors.
C'est seulement en allant au salon, qu'elle se rendit compte de l'étendu des dégâts. Les trois quart de son appartement avait été bousillé. Tout, avait été retournés sans pitié, jusqu'à son tiroir de sous-vêtements. Qu'on se rassure les insultes et les cries aussi, c'étaient du scénario. Pourtant on vous accordes, qu'elle n'avait pas eut besoin de faire preuve de beaucoup de retenu pour traiter Owens de fils de... Elle considérait vraiment ce mec comme tel. Dès l'arrivée de Terry au FBI, il y a deux ans, il n'avait eut de cesse de lui foutre des battons dans les roues, sous prétexte qu'il n'avait pas été un assez bon coup. Attrapant son flingue posée sur ce qui restait de la commode, elle se dirigea ravec véhémence jusqu'à la porte d'entrée dont il restait de « porte » que le nom.
Au dehors, l'un de ses voisins un macro de bas étages lui jeta un regard des plus assassins, avant de balancer un " J'espère que les conneries de cette garce ne vont pas nous attirer d'emmerde " à l'adresse de son chien. Terry fit volte-face, se dirigeant droit vers le moustachu elle lui plaqua son avant-bras contre la gorge.
« Et moi j'espère sincèrement que tu vas fermer ta grande bouche de pervers à l'avenir si tu ne veux pas que ton cleps se retrouve à mendier sa pattée à l'armée du salut, parce que son cher papa se sera retrouvé avec un neuf millimètre vissé dans la tempe...» Après s'être lancée en trombe dans l'escalier, elle marcha énergiquement jusqu'à une cabine téléphone sur la 8e Avenue. « C'est Collins. File moi Andrews tout de suite !» « Désolé, il est en réunion avec le Maire » « J'ai dis tout de suite ! » « Okay.. Okay.. Terry je vais voir ce que je peux faire.... » ...
« Bonjour inspecteur Collins, j'allais justement t'appeler pour t'avertir de.. » « M'avertir qu'on aller venir exploser ma porte d'entrée éminemment sous peu ? Je vous rassures Sergent Andrews, c'est déjà fait je suis au courant.. Vous pouvez m'expliquer ce que c'est que ce bordel ? » « Petite calmes-toi veux-tu.. Nous étions obligés, l'inspecteur Owens a reçu des infos de l'un de ses indiques, les mecs pour qui tu travail en ce moment aurait eut des doutes sur ta sincérité. Tu ne devrais même pas nous appeler d'ailleurs.. Nous étions obligé de faire diversions. Je suis désolé Collins je ne peux pas de parler plus longtemps. Appel Glen pour le prévenir de ce qu'il c'est passé, dis-lui qu'on t'a posé des questions sur une affaire de proxénétisme qui n'a rien a voir avec eux. »
Le pire dans ce genre de moment ? C'est juste que vous êtes seul face à tout. On vous ballote de gauche à droite. Finalement, il vous faut vous démerder seul. Terry n'est de toute manière pas vraiment le genre de fille à fonctionner en équipe. La solitude finalement ça ne la dérange pas. On né seul et meurt seul. Le reste, c'est uniquement du superflux. Il faut apprendre à s'en détacher pour ne pas se faire monter dessus par ses émotions. Avec toutes les merdes que vous ètes amenés à voir quotidiennement dans ce genre de vie, se serait du luxe que de se laisser envahir par ces conneries de sentiments humain. La haine, la tristesse, la joie., l'amour.. Pareil pour la compassion.. C'est des conneries. Des conneries qui visent uniquement à vous entuber. On se rend vite fait compte qu'on est mieux sans. Toujours dans la cabine, un bruit de tonalité en arrière fond..
« Allo, comment tu vas ? Je sais, oui.. il est tard mais tu comprends avec le décalage horaire, il est seulement 15h en Afrique du Sud. Oui, tout se passe bien avec l'Ambassadeur. Et de ton côté à San Diego ? « Non, je ne suis pas à New-York. Je t'aurais averti tu penses bien.. Écoute, à un momnt il va falloir choisir qui tu veux croire, moi TA fille ou cette illuminée de tante Delinda ! On est bien d'accord.. je n'étais pas à Coney Island cet après-midi. Et d'ailleurs que fouterait une snob comme Délinda à Coney Island ? Elle se paye ta tête maman. Bon écoute, je te laisse j'ai l'ambassadeur sur une autre ligne. Prends soin de toi. »
Quelqu'un à dit un jour « La liberté, c'est de ne jamais avoir à être désolé. », Terry ne savait pas vraiment qui était ce quelqu'un mais il avait raison. Dans la vie, il y avait deux catégories de personnes, ceux qui sont désolé et ceux qui ne le seront jamais. Mentir à ses amis, sa famille. Leur balancer que vous bossez pour une ambassade paumée sur un autre continent alors que vous êtes là, juste à côté d'eux.. Que vous êtes susceptible de sentir leurs souffles à chaque heure de pointe dans le métro... Oui, on pouvait se sentir désolé pour ça. Terry, elle ne l'était pas. Pas, par défaut de conscience, ni même par égoïsme, juste parce que c'est pour eux qu'elle fait cela. Elle n'avait pas à se sentir désolé de sauver leur putain de vie.. Sa vie à elle, c'était uniquement son job. L'adrénaline, l'action et le mensonge. Elle se voyait mal exister sans tout cela. Une vie rangée ? Vous rigolez, elle ne supporterait jamais. Ne pas savoir de quoi ses lendemains ne seront fait équivaut à quelque chose de bien plus salvateur que ce qu'on ne peut s'imaginer.
Elle, ce qu'elle voulait c'était simplement être libre. Libre de toute contrainte et libérer le monde de ses démons. .
~ Définition de l'enfer pour le personnage : D'un point de vu immédiat, ce qui poserait des problèmes à Terry se serait que sa couverture tombe et qu'elle soit grillés auprès des trafiquants chez lesquels elle est infiltrée. Il risquerait sans nul doute de la liquider... Mais plus que la peur de la mort, se sera pour elle signe d'échec. Et d'un avis plus général, elle ne supporte pas l'échec. Autant vous dires qu'elle n'arriverait pas à concevoir sa vie avec. Collins est depuis son plus jeune âge extrêmement perfectionniste. Enfin, elle détesterait avoir à changer de travail pour une raison ou une autre. Elle vit uniquement pour ça..
~ Définition du paradis pour le personnage : Elle ne pourra être heureuse et épanouie personnellement qu'une fois qu'elle aura fait main mise sur sa vie passée. Son mari est mort le jour de la cérémonie de leur marriage lorsqu'elle était âgée de 21 ans. Notons que ce dernier était lié de près à l'une des plus grosses famille mafieuse de New-York.
~ Taux de criminalité et pourquoi : Son taux de criminalité s'élève à 50%. Terry à déjà eut l'occasion de tuer trois personnes en cas de légitime défense dans le cadre de ses fonctions. Mis à part celà, elle a également dû effectuer plusieurs actes de "banditisme" pour valider son intégration dans le gang de trafiquant d'armes et de drogue dans lequel elle est infiltrée depuis cinq mois. Cependant, elle n'a jamais commise d'actes délibérés de criminalité n'étant pas liés à ses fonctions d'inspecteur du FBI.
|| Le joueur et le hors-jeu ||
~ Prénom/Pseudo : As You Want ~ Age : 20 ~ Votre avis sur New York, The Dark Side : Le contexte est attrayant, il y a moyen je crois, de bien se divertir.. ~ Où avez-vous connu le forum ? Par le biais de clic sur d'autres forums ~ Niveau de RP : (en lignes/pages word par post) 1 page et demi au minimum
~ Connexion : (Mettez-vous une note sur 7) 4/7 ou plus tout dépendra ~ Code du règlement : - Spoiler:
OK par Axel ~ Avez vous signé le règlement ? : Oui ~ Célébrité sur l'avatar : Sasha Pivovarova ~ Multicompte : Non
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Dernière édition par Terry Collins le Dim 5 Juil - 3:21, édité 8 fois |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Sam 4 Juil - 20:57 | |
Bienvenue sur le forum et merci pour ton inscription. je te souhaite bon courage pour ta fiche, fais nous signe lorsqu'elle sera terminée. |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Sam 4 Juil - 21:10 | |
Bienvenue =D Bonne chance pour ta fiche *_* |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Sam 4 Juil - 22:28 | |
Bienvenue à toi Miss |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Sam 4 Juil - 22:46 | |
Wah, excellent choix d'avatar (c'est Pandore qui va être heureuse et qui va nous taper une crise d'hystérie) x) Bienvenue, bon courage pour ta fiche ! Merci de ton inscription |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Dim 5 Juil - 0:05 | |
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| | | | Sujet: Re: Terry Collins Dim 5 Juil - 2:05 | |
Bienvenue sur NY-TDS Miss :vole: !
Oublie pas de passer le bonjour à Phil de ma part xD |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Dim 5 Juil - 2:22 | |
Merci à tous pour votre accueil chaleureux !
Je viens de terminer ma fiche. Votre forum est très inspirant
Au fait, pourquoi Pandore va-t-elle taper une crise d'hystérie est-ce que c'est elle qui a fait l'avatar ? ^^
Wynona : Ahah. Phil. Ce bon vieux Phil. .. Quel humour décapant |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Dim 5 Juil - 2:26 | |
Parce qu'elle est raide dingue de Sasha Pivovarova xD !
J'espère que c'était pas ironique xD De toute facon à cette heure-ci je calcule même c'que j'dis ^^ |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Dim 5 Juil - 2:52 | |
Zut j'oubliais... Exemple de RP : - Spoiler:
Ballet Mécanique - Doris Milano - Duty.com Day, 2. 7.45 p.m Épreuve Cinématographique « Il n'y a jamais eu de journée, que t'as eu envie de recommencer ? » Tenez ramenez-vous un peu par là. Vous la voyez cette fille là bas ? Celle à la frange parfaitement symétrique qui s'essuie proprement la bouche avec sa serviette de table ? Elle semble rêveuse et ne parle à personne. Maintenant elle se lève, sa chevelure noire de jais est revêtue d'une coiffe assez étrange et on peut constater qu'elle porte des collants blanc sur lesquels sont ajustés une paire de socquettes de la même couleur à petit pois si ce n'est. Enfin, sur ses fines cuisses tombe une petite robe noir a frou-frou aux inspirations lolita goth' des 60's... Laissez-moi vous présenter Doris Milano, mais peut-être la connaissez-vous déjà ? En même temps vu ses freings et son look déjantés, on vous accorde que c'est assez difficile de ne pas la repérer au milieu de la petite horde de princesses épidermiques dont est composée en majeur partie la « ô combien grandiloquente » confrérie des Lys de Cambridge. Il vous suffit d'y regarder de plus près, cette fille là est à mille lieu de la norme en vigueur dans cette pièce. C'est a dire que sincèrement même ce garçon ici, Somerled, a l'air nettement plus à sa place chez les Amaryllis qu'elle. Bien que ne comprenant pas trop ce qui les a motivés à accepter Doris, j'ai pour ma part développé la théorie suivante. A défaut d'avoir les qualités requises, pour justifier sa présence chez ces fleurs, il suffit simplement d'être l'homosexuel en plein coming-out du coin ou bien la progéniture d'une TRES importante personnalité du sol Britannique. Enfin excusez mon impolitesse, nous ne sommes pas là pour parler de l'ascendance de Doris je suppose. D'ailleurs rendez-vous compte, le temps qu'on parle cette chipie a déjà eu le temps de filer discrètement du dîner. Et ce sans que personne ne s'en rende compte.
Ah, Doris... En fait ce qui ne tournait pas rond aujourd'hui chez Doris (plus que d'habitude quoi), ce n'était pas tant le fait qu'on soit aujourd'hui car après tout, quel mal il y avait-il à être la veille de demain et le lendemain d'hier ? Aucun, si ce n'était le fait justement que nous étions aujourd'hui ! Soi aujourd'hui, ni hier, ni demain... Pour explication, dans moins d'une heure, face a vous sur cet écran géant sera projeté deux des films qu'elle avait réalisé. Si ce n'était que cela, aucun problème vous dirait-elle. Sauf que voilà, rien n'aller comme il fallait. A vrai dire, elle n'en avait que faire que ses films soient livrés à la critique acerbe d'un jury sans doute incompétent en matière d'art premier - Oui, parfaitement Doris était ce genre d'artiste fou qui utilisait de grand mots parfaitement abstrait afin de qualifier son travail parfaitement... Abstrait en fait... – . Si elle s'était esquivée du repas ce n'était pas par trac ou autre considération du genre , elle n'en était pas à sa première compétition. Le cinéma c'était sa vie, elle faisait ça aussi bien qu'elle savait manger ou parler.. Ou peut-être pas, car en fait maintenant qu'on y pense c'est vrai vrai que Doris mange aussi peu qu'elle ne parle. Elle se contente dans les deux cas du stricte minimum alors que dans le cas du cinéma, c'était carrément l'inverse, elle se surmenait à la tâche avec un perfectionnisme qui en devenait parfois maladif. Je ne sais pas si vous avez déjà eu l'occasion de la voir travailler mais c'était quelque chose d'assez effrayant. On concède toutefois qu'en général ce débordement d'énergie payait bien. Doris faisait toujours des trucs monumentaux. Alors vous vous doutez bien en sachant cela qu'une fille aussi perfectionniste qu'elle ne pouvait pas laisser passé la moindre faille... L'italienne venait d'arriver d'un pas léger au bas des marches menant à la fausse de l'opéra, comme prévu celui-ci était vide. Elle avait prise soin de tendre l'oreille afin de pouvoir identifier une quelconque présence, mais il n'y avait rien hormis le doux son d'un silence plein de merveille. Ah, le silence et Doris... Une grande histoire d'amour. Sans attendre, la jeune fille se hissa sur l'estrade et fila rapidement derrière l'épais rideau rouge, s'engouffrant ainsi dans les coulisses. Elle paraissait pressée et n'avait de cesse de fixer la montre en forme de citron vert vissée à son poignée. L'épreuve aller commencé dans un peu plus d'une heure. Elles avaient un quart d'heure devant elles avant l'arrivée de l'équipe qui s'occupait de la technique. C'était relativement court, mais jouable... A ce moment là, un grincement résonna derrière-elle, lorsqu'elle se retourna Doris dirigea ses grands yeux bleu sur le sol, une petite trappe sous la scène s'était ouverte. Ni sursaut, ni expression de surprise. Au contraire c'était tout comme cette manifestation soudaine était des plus normale.. D adressa un large sourire à la nouvelle venue, ainsi que quelques mots qui allaient pour ainsi dire tous à l'essentiel. « T'as fais drôlement vite. T'es parvenue à avoir ce qu'il nous faut ?» Elle tendit sa main à la petite blonde afin de l'aider à monter à ses côtés. On vous l'accordes, c'était impossible de déchiffrer cette conversation, si on ne savait pas déjà de quoi elle parlait, mais Liliany le savait alors pourquoi ciel s'étendre ?
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| | | | Sujet: Re: Terry Collins Dim 5 Juil - 3:06 | |
Jolie plume, j'ai aimé l'histoire =) Avant de te valider, je tiens à te dire qu'il faudra baisser ton taux de criminalité à 50%, c'est généralement ce que nous accordons aux agents infiltrés. Plus, c'est basculer du côté sombre de la force. |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Dim 5 Juil - 3:21 | |
Merci beaucoup! Ça marche, c'est fait. |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins Dim 5 Juil - 3:23 | |
Yopla boom, validée ! Bon jeu miss Collins, agent infiltré =) |
| | | | Sujet: Re: Terry Collins | |
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