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| | Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Sam 18 Juil - 21:36 | |
Alejandro Velasquez. ~ I’ll Control Everything ~ [list] || Identité du personnage || ~ Nom :Velasquez ~ Prénom :Alejandro. ~ Surnom :King ou Tank. ~ Âge :25. ~ Nationalité :Américaine. ~ Groupe :Hors la loi. ~ Statut et activité dans la vie : Chef de gang. ~ Orientation sexuelle : Hétérosexuel. ~ Histoire : Alejandro. Depuis toujours mes proches m’appellent ainsi. Ce prénom je le tiens de mon grand-père, un homme de foi, fort et courageux. Pour faire simple, la vie n’a jamais été généreuse avec moi. Je ne m’en plains pas, j’ai au moins la chance de vivre. Ce n’est malheureusement pas le cas de nombres de personnes. J’ai aujourd’hui 25 ans. Cela fait maintenant 15 ans que je vis à New-York. Et 10 ans que je suis le chef du gang que j’ai créé. Je suis né à Mexico, le temps était chaud, mais une douce brise rafraichissait tant bien que mal la grande métropole qui m’a vue naître. Mexico est une ville immense, tant par sa taille que par sa pollution ! J’y ait passé une enfance heureuse, à l’abri du besoin et des problèmes de la vie. Enfin, à l’abri jusqu’à ce que mon père se fasse assassiné. Je ne l’ai appris que bien des années plus tard, mais mon père était membre de l’un des nombreux cartels qui peuple le Mexique. Les règlements de compte étaient et sont toujours monnaie courante là-bas. C’été peu après mon neuvième anniversaire. Alors que je jouais dans la rue où je vivais avec quelques amis du quartier que l’assassinat s’est produit. Tout se passa vite. Mon père était à la terrasse d’un café, discutant de choses et d’autres en buvant une bière fraîche, soudain une voiture arriva. Elle était rouge avec de longues bandes blanches tout le long du capot. Comme les muscles cars américaines. Elle accéléra et arriva au nivo du bar, là les vitres s’ouvrirent et des coups de feu éclatèrent. Mon père était clairement la cible ; je m’en souviens comme si c’était hier. A chaque claquement de la culasse métallique une gerbe de sang jaillissait du corps de mon père. Quelques secondes plus tard, la voiture partit aussi vite, si ce n’est pas plus, qu’elle était apparut. Mes yeux ne pouvaient fixer autre chose que la dépouille de mon défunt père. Il était là gisant sur le trottoir, la table renversée sur son corps, la bière se mêlant à son sang sur le bitume. C’est là pour moi un souvenir atroce, mais aussi le début d’un tournant radical dans ma vie. En quelques mois, ma mère pris la décision de partir plus au nord du pays. Pour quitter la violence, mais aussi pour essayer de m’éviter de plonger dans ce milieu. Celui de la drogue, des armes, de la violence et de la mort perpétuelle, celle qui rôde constamment nous envoutant telle une couverture dont on ne peut se défaire et qui, tôt ou tard, se resserre brusquement sur nos âmes. Là-bas nous parvinrent les échos d’un El Dorado américain, un sol où tout était possible pour les travailleurs. Tous ces honnêtes travailleurs qui ne vivaient que par l’espérance d’une vie meilleure par-delà les frontières. Une vie dont les cartes postales de ceux qui étaient de l’autre côté nous comptaient les vertus. Tous tentèrent leur chance. Certains périrent dans le désert, d’autres revinrent après s’être fait arrêté, avant de retenter leur chance. Mais d’autres parvinrent à passer. A chaque retour, les familles cherchaient un des leurs, tiraillées par le désir de retrouver un être cher mais aussi par l’espérance qu’il connaisse une vie plus facile là-bas aux Etats-Unis. Ma mère mis du temps à se décider, tout autant qu’elle mit du temps à réunir l’argent nécessaire pour payer les passeurs. Une fois que cela fut fait, nous n’attendions qu’une seule chose, le moment du départ. Pour nous tout alla à peu près bien. Nous passâmes la frontière du premier coup, pas d’arrestation ! Nous continuâmes notre route pendant plusieurs jours avant d’arriver dans les quartiers pauvres de la « Big Apple ». C’est ici que s’opéra le changement définitif de ma vie, celui qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui. Dans les rues les plus famées de cette ville j’ai finit de grandir. Et ici grandir veut dire prendre des coups et en rendre autant voire plus si on veut s’imposer. C’est ainsi qu’à l’âge de 15 ans, j’ai voulut copier les plus grands. Et j’ai formé ma propre « bande » nous n’étions que six, mais nous nous amusions bien. Bien que rapidement nous passâmes des jeux de rues et des petites bagarres de cours d’école à des bagarres de territoires et des vols. Initialement rien de bien méchant, un peu de nourriture chez l’épicier, ou sur les étales de marchés dans le but d’épater les copains et montrer qui était le plus fort ! Mais nous avons dévié, dévié vers les vols avec violence, les cambriolages et bientôt les petits braquages ou encore les vols de véhicules. Nous n’étions plus que de la racaille. Et seulement 4 désormais. Les autres ayant déménagé ou préférant leurs études –dieu qu’ils étaient dans le vrai alors que nous étions dans le faux, j’aurais dû les suivre !-. C’est alors que j’eu l’idée de transformer notre bande de bras cassés en vrai gang ! Nous allions rentrer dans la cours des grands en frappant un grand coup. Très vite nous devinrent la terreur du quartier. La « Blanca Familia » se fit rapidement un nom. Attirant rapidement du monde, nous devînmes plus nombreux et donc plus fort. C’est ainsi que nous devinrent l’un des plus gros gangs de la ville avant de devenir le gang incontournable. Dans le Bronx personne ne pouvait faire quelque chose sans que nous le sachions. Bien entendu nous n’avons pas le niveau des mafias mais nous sommes une force non-négligeable. Et le Bronx est notre domaine. Nous sommes justes, mais féroce. Je suis le chef incontesté de ce gang. Il y a biensûr de nombreux rivaux mais ils hésitent avant de se frotter à nous. C’est ainsi que je vis dans cette vile désormais. Une enfance au Mexique, une adolescence de migrations et de voyages mais aussi de violence et de colère. Et maintenant me voici un adulte, un chef de gang. Un chef de meute. J’ai bien entendue fait tout le nécessaire pour être naturalisé entre temps. Enfin ma mère s’en est chargé quand j’étais un enfant encore à peu près normal ! Sinon vous pensez bien que les autorités m’auraient déjà renvoyés au Mexique avec toutes mes arrestations. Entre les vols avec violences ou non, les bagarres à répétitions, les courses poursuites en voitures. Et l’apothéose ! Un séjour en prison de 3 ans pour trafique de drogues alors qu’ils n’avaient aucune preuves ! Je ne suis pas si stupides vous savez, je sais me faire discret dans le business. Juste deux flics pourris qui s’en sont pris à moi. J’ai passé le cap des 22 et des 23 ans derrières les barreaux de la prison fédérale américaine de l’Etat du New Jersey. Joyeuse perspective n’est-ce pas ? ~ Relations : Mes relations sont, côtés cœur, très éphémères ! Je n’accorde pas de confiance aux femmes. Je ne me sens pas prêt à m’ouvrir à une autre personne. A confier mes sentiments. Je reste fermé, hermétique. Côté amical, je dirai que mes relations avec les autres varient. Dans le business je suis intraitable, une parole est une parole. Mais je sais être juste et récompenser ceux qui le mérite réellement tout autant que je sais punir. La loyauté est également une de mes caractéristiques. Loyal envers mes hommes tout autant qu’ils le sont à mon égard. Ensuite j’ai mes fidèles, mes bras-droit avec eux je suis plus tranquille, plus en confiance. Mais je reste néanmoins méfiant ! On ne sait jamais, au cas où un prince voudrait devenir roi ! Même si pour le moment je n’ai pas à craindre ce genre de comportement. ~ Physique : Je ne suis pas d’un naturel vantard, mais je suis assez beau. Disons que tout du moins je ne repousse pas la gente féminine de par une laideur insupportable. Je ne prétends pas non plus être un canon de beauté. Non ! Je ne suis qu’un homme qui sait jouer avec ses atouts tout en masquant mes défauts ! Je mesure 1m85, et pèse 85 kilos. Je dispose d’une musculature plutôt bien dessinée. Cette musculature est le résulta d’une passion ; celle pour les sports de combats. J’ai d’ailleurs depuis peu entendu parler d’un club de combats illégaux. Il faudrait que j’aille voir de quoi il s’agit ! Mon style vestimentaire est large. Je peux m’habiller pour les soirées et les cocktails tout autant que je peux porter, comme tous les jours, des jeans, une paire de baskets, des polos, des t-shirt et toute une panoplie d’accessoires de mode. Allant de la paire de lunettes de soleil aux bracelets en bijoux et métaux précieux, ou encore des chevalières, des chaînes autour du cou voire des boucles d’oreilles. Toujours en métaux et en bijoux précieux. Je sais donc m’adapter à la situation, comme tous les New-Yorkais. Tout un chacun sait adapter sa tenue en fonction de ses moyens et de l’endroit où il se rend –travail, boîte de nuit, sport…-. Enfin, sur l’ensemble de mon corps, il y a une vingtaine de tatouages. Chacun représentant un moment précis de ma vie tant dans le gang qu’en dehors du gang. Que ce soit mon séjour en prison, ou en mémoire de mon père mort.~ Caractère : Loin de moi le cliché du gangster de rue violent et incontrôlable. Non, bien au contraire ! Je suis plutôt ce genre d’homme patient qui écoute, observe les gens et les situations avant de prendre une décision. Ma mémoire me fait rarement défaut, ainsi je me rappellerai presque à coup sûr de ce qu’une personne a dit sur moi. Tant en bien qu’en mal. Alors face à moi faite attention à vos paroles ! On peut dire que 5 notions de bases me caractérisent. Tout d’abord, le savoir. Il est important de savoir de quoi on parle, avec qui on parle, mais aussi de savoir ce que peut engendrer une situation ou une décision. Bref il faut agir en leader et penser aux tenants et aux aboutissants d’une situation précise. Tout autant qu’il faut connaître ses amis et ses ennemis. Leur façon de penser, de voir les choses. Pour le cas échéant les contrer ou les devancer. Il s’agit là de l’intelligence ni plus ni moins, à ne pas confondre avec le savoir littéralement parlant qui est un ensemble de connaissance théorique –en littérature, mathématiques ou tout autre domaines-. Ensuite, la loyauté. Je serais toujours loyal et franc envers ceux qui travail pour moi et qui m’entoure. En échange j’attends la même sincérité et loyauté de leur part. Je n’ai pas eu à me plaindre jusqu’à aujourd’hui. Puis, l’unité. Je me dois de conserver l’unité au sein de mes troupes, mes aussi dans mon esprit. Je ne dois pas me disperser dans différentes directions. Le business s’en ferait ressentir d’autant plus. Ensuite, la patience. Je sui d’un naturel calme et patient. Néanmoins il ne faut pas abuser de cette faculté, car mes colères peuvent être aussi violentes qu’elles sont rares. Et enfin, le respect. Je respecte les miens j’en attends tout autant d’eux. Si ce n’est pas plus car je suis leur chef, leur leader. ~ Définition de l'enfer pour le personnage :Ce que je déteste le plus et qui pourrait être qualifié d’enfer pour moi, serait la trahison d’une personne proche. Même la plus petite soit-elle. Ainsi que toute ruptures au code morale que j’ai établit et qui comprend le respect des 5 notions de bases précitées.~ Définition du paradis pour le personnage : Bien que je sois un chef de gang, il ne m’ait pas interdit de croire qu’un jour peut-être je pourrais enfin rencontrer une femme qui saura m’ouvrir les yeux et trouvera la clé de mon cœur et de mon bonheur éternel.~ Taux de criminalité et pourquoi : Sur 100, je mettrais 40 ou plus à Alejandro. Ceci du fait qu’il est un chef de gang la « Blanca Familia », que depuis tout jeune il traîne dans les rues, se battant et volant, lui valant d’être arrêté à plusieurs reprises mais également lui valant un séjour en prison –également du fait qu’il était et est toujours trafiquant de drogue-. Les activités criminelles de Alejandro ne ce sont pas arrêtés avec son séjour en prison. Bien au contraire cela n’a fait qu’affermir sa légitimité.
Dernière édition par Alejandro Velasquez le Sam 18 Juil - 23:28, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Sam 18 Juil - 23:23 | |
|| Le joueur et le hors-jeu || ~ Prénom/Pseudo :Sarin. ~ Age :20. ~ Votre avis sur New York, The Dark Side :J’adore le design ! Très original. J’ai maintenant hâte de rentrer dans le jeu ^^ ! ~ Où avez-vous connu le forum ?Par le biais de Warren D. James. ~ Niveau de RP :Tout dépend du sujet que j’ai à traiter, s’il ouvre beaucoup de possibilités ou non. Mais je suis en moyenne à une vingtaine de lignes par post.~ Exemple de RP : - Spoiler:
Ainsi donc je venais de recevoir la confirmation de ma première mission. Ma mission d’initiation en quelque sorte. De quoi prouver que j’étais apte à faire partie de la branche vegasienne de l’Organisation. J’avais longuement étudier l’image de ma cible, mais également tous les documents qui m’avaient été fournis. Ainsi il vivait dans un endroit miteux, qui lui servait également de repère. Bref ce lieu était tout pour lui, et mon objectif était clair tout lui prendre. Le but premier de cette mission était mon initiation, comme je l’ai déjà dit, mais également montrer la puissance de la mafia russe. Et rappeler à l’ordre tout nos débiteurs.
Sachant où j’allais je ne m’étais pas habillé en costume complet, j’aurais effectivement fait « tâche » dans le décor. Je revêtit donc des vêtements plus sobres, plus adaptés à savoir un jean, un t-shirt avec un sweet à capuche ainsi que du fond de teint sur mes mains et une paire de mitaine. Il serait dommage que mes tatouages trahissent mon origine mafieuse.
J’avais décidé de rester sobre, ne buvant donc que de l’eau et mangeant sommairement pour ne pas avoir un trop lourd poids sur mon estomac, chose qui a tendance à me faire somnoler…Une fois mon dîner avalé, je préparais mon matériel. Ma corde de piano dans une poche intérieure, le papillon à ma cheville droite, le pistolet prussique le long de ma cheville gauche et une petite trousse avec différentes seringues et différents produits anesthésiant, empoisonnant et drogue, dont certains de ma création pour l’occasion, et enfin mon colt .45 avec silencieux. Comme munitions le choix n’avait pas été simple. Que prendre ? Des munitions à fort pouvoir pénétrant pour traverser ma cible de par en par, ou bien au contraire un pouvoir détonant plus faible avec comme objectif de faire le plus de dégâts dans les organes internes ? J’optais pour le premier choix. Une perforation est toujours préférable, à mon goût, quand je me rend en terrain inconnu. Je pourrais ainsi toucher deux personnes, ainsi pas de bouclier humain ou d’autre objet relativement fin possible. Une fois le tout fini, je me mit en route. Je pris donc mon 4x4 Range Rover noir et partit en direction des quartiers chauds, je laissai mon véhicule relativement loin de là où se trouvait ma cible. Je ne voulais pas que quelqu’un puisse remarquer un tel véhicule, surtout dans un lieu aussi pauvre. Il était donc en sécurité non loin du LNSC, après tout quoi de plus normal qu’un beau véhicule près d’un lieu aussi branché et aussi bien fréquenté ? Je me devais donc de marcher plusieurs block. Le vent frais raviva mes sens, et mit mes idées au claires. Je savais comment j’allais procéder. Ce serait simple mais toujours aussi efficace. Restait néanmoins le problème des caméras de surveillance, où partait les bandes ? Il était sûr qu’il y aurait une telle surveillance, peut-être pas aux abords de l’établissement mais sûrement dedans. Et puis les employés seraient peut-être armés.
*Décidément il y a beaucoup de variable, cela risqué d’être bien plus complexe que je ne le pensais.*
Oh, et je ne vous ai pas dit, j’ai aussi pris un petit appareil photo numérique, pour prendre une photo du macchabé, pour prouver que tout était bel et bien accomplit !. Et un sac poubelle pour mettre l’argent dedans, et une cagoule à trois trous au cas où...
En arrivant en vue du dit bar, je vis un homme pris dans une sorte de transe, parlant peu, seul et fort. Décidément le pauvre homme. En m’approchant encore un peu, je fut pris d’un doute, était-ce lui ? On dirait bien vu d’ici, mais j’étais encore loin pour le voir clairement, alors vous imaginez lui ! Impossible. J’étais dans le noir complet, oui la nuit il n’y a presque plus d’éclairage dans ce quartier apparemment. Bref, je m’arrêtai donc et continuer d’observer son manège. Il rentra.
Je parcours à pas de loup les derniers mètres, et fit le tour de la bâtisse. Derrière une porte blindée pour l’accès du personnel. Et des fenêtres condamnées ou bien protégées par des barreaux. Il ne me restais plus qu’un lieu d’accès, la grande porte. Je m’y résignais donc.
Au moment où j’allais entrer, un groupe d’homme passablement éméché vint vers moi, enfin vers le bar plutôt, et l’un d’eux ne me quittait pas du regard. Puis il s’avança, je m’apprêtais à me défendre, sentant un mauvais coup du sort mais il n’en fut rien il s’adressa à moi ainsi :
|Homme 1| - Hips…tu…tu sais que je t’aime bien toi, ta un…une bo…bonne tête. Allez c’est ma tour…burps…née, je t’payes un coup ça te dit ? Burps
Hmm, ça peut être pas mal, ne pas entrer seul, ça n’éveilles pas les soupçons. Et puis pour une fois le destin était avec moi. Quoi de plus naturel qu’une bande de joyeux lurons qui fait la tourné des bars du coins. De plus nous avions le même style vestimentaire. J’avais été stupide de ne pas prendre un peu d’alcool pour avoir cette odeur qu’on a lorsqu’on boit. Une odeur d’alcool frelaté. Par chance mon interlocuteur me tendit une bouteille, je la pris et entra avec le groupe. Huit personnes en tout.
- J’acceptes mais parce que c’est toi hein ! Allez on rentre.
Tous n’eurent pas la chance d’y arriver du premier coup. Il fallut que nous les aidions un peu, surtout les serveuses d’ailleurs, trop heureuse d’avoir autant de client en une même soirée.
L’intérieur du bar, si on pouvait appeler ce lieu un bar, était encore pire que l’extérieur. Car l’extérieur lui n’était pas éclairé ! La première question qui me vient en tête fut : Où est le coffre ? Puis : Où est ma cible ? Pour finir avec : Mais comment tout cela tient de bout ?! Cela relevé sûrement de la magie plus que la physique ! Mais je ne devais pas m’éloigner de mon objectif du jour, ou plutôt de la nuit. Alex Carpenter. Je le vit alors remonter de la cave, avec un air satisfait bien qu’il fut complètement alcoolisé, et peut-être même plus encore. Il me fallait maintenant trouver une méthode d’approche : jouer le dealer ? Le mec sympathique qui invite tout le monde à boire ? Ou bien le bon rigolard ? Et pourquoi pas les trois. Je m’exécutais donc, sortant des blagues toutes plus drôles les unes que les autres pour mes compagnons. Des éclats de rires firent trembler tout les meubles mais également l bâtisse. L’objectif était clair, attirer Alex Carpenter qui était seul dans son coin. Et la technique ne manqua pas après avoir fait une première tournée, tout le monde vint autour de la table, même les serveuse et le barman resta au comptoir mais ne se gênait pas pour lancer de bonnes blagues.
Bref il régnait une ambiance chaleureuse, amicale, loin de toute sensation de mort. Et pourtant ce soir, la mort c’était bel et bien invité.
- Vous connaissez des blagues vous autres moi je suis à court !!!
Dis-je en regardant l’assemblé qui s’était formé. Tout le monde cherchait en vain. Je jetais un petit coup d’œil à la montre de mon voisin posé sur la table, et vit que cela faisait une bonne demi-heure que j’étais là. Tout le monde réfléchissant il régnait un silence…une silence de mort. Deux s’endormirent même et une serveuse les imita. Une idée me vint alors. Je savais comment faire…
- Oh c’est pas le moment de dormir tournée générale.
Je me levai d’un bond, fonçant derrière le comptoir poussant le barman en lui faisant un clin d’œil et en lui chuchotant.
- Je vais un petit cocktail tu m’en diras des nouvelles ! Et les autres aussi…Allez va t’asseoir un peu, je prend le relais. Et pose tes fesses sur ma place pour qu’elle reste chaude, j’aime pas m’asseoir là ou c’est froid !
Je partit alors d’un rire qui me surpris moi-même car il était sincère ! Sûrement les premiers effets de tout ce que j’avais bu ! Mais aussi le fait de me savoir si près du but. Pendant que tout le monde se réveillait et recommencer à discuter, Alex Carpenter sortit même un jeu de cartes et les distribua.*Sûrement un poker, décidément il est flambeur et joueur mais complètement raide ! Je comprends pourquoi il est autant endetté.*Je pris donc plusieurs alcool et un sirop aromatisé pour faire ce qu’on appel un premix, c’est à dire un alcool fort mélangé avec des sirop parfumé, et discrètement j’y rajoutai du poison de ma conception. De quoi tous les tuer en quinze secondes. Quarante secondes en réalité, mais après quinze secondes le poison est irréversible. Lorsque je mit le poison dans tous les verres sauf deux, le mien et celui de Carpenter, je repensai à ce que m’avait dit la patronne, effectivement c’était lâche de faire cela ainsi, surtout à ces innocents, mais ils étaient là au mauvais endroit et au mauvais moment.
Mais après tout la vie n’est qu’une succession de situation complexe, imprévue et certaines sont fatales. Bref, je mit le poison dans les verres et fit le services.
- Vous allez m’en dire des nouvelles ! C’est mon cocktail spécial, j’en suis très fier !
Il est renversant m’abstint-je d’ajouter ! Tout le monde but d’un coup. Même les serveuses et le barman. Et voilà un succès. Je but le mien, qui n’était que de l’eau et du sirop, j’avais assez bu, et Carpenter but le sien. Les réactions furent immédiates, tout le monde toussa disant qu’il était vraiment fort et arrachait la gorge. Puis il tombèrent tous un à un, prix de convulsion. Carpenter écarquilla les yeux mais il était trop tard, j’étais derrière lui et je lui injectai un léger sédatif. Il tomba, je le saisit et le traîna dans la cave.
Je mit ma cagoule, chargeait mon colt.45 et partit fermer la porte d’entrée. Et celle de derrière ainsi que toutes les fenêtres, j’éteignit les lumières. Plus personne ne viendrai nous déranger. A peine ceci fait il commença à gigoter, je le saisit, le mit sur une chaise en bois qui était là et le cloua avec une clouteuse pneumatique qui était posé sur un établi ; il y avait également cela dit en passant tout un attirail qui pourrait s'avérer très utile si Monsieur Carpenter ne se montrait pas coopératif, La morsure des clous le fit gigoter un peu plus. C'était l'avantage de la douleur, elle maintenait éveillé. Une fois fait, je mit derrière lui dans l’ombre attendant qu’il se réveille, et même un peu plus le temps qu’il panique un peu et réfléchisse à sa situation, et surtout à qui pourrait lui en vouloir. La précaution d'un baîllon n'était pas nécessaire, en effet, qui irait secourir quelqu'un hurlant au secours et à la mort dans un quartier les plus famé de la grande ville de Las Vegas, savourant la réussite de cette première étape, je pensais déjà à la suite des évènements. Comment le faire parler ? Le torturer certes, mais personne ne peut garantir qu'il s'agira de la stricte vérité...Mais bon, nous verrons. Le temps m'aidera. En se remuant sur sa chaise, il ne fit qu'entailler d'avantage sa chair. Il cherchait quelque chose, ou peut-être quelqu'un : moi. Laissons le, c'est parfois dans un moment de solitude crut que chacun se dévoile le mieux. Peut-être aurais-je accès à des solutions ou des angles d'attaques inédits.
Ce Rp provient d’un autre forum (c’est bien moi qui l’ai rédigé) qui traite de la mafia. Warren peut confirmer mes dires en vérifiant puisque je l’ai rencontré dessus. ~ Connexion : 4/7. ~ Code du règlement : - Spoiler:
OK. By LV.
~ Avez vous signé le règlement ? :Oui. ~ Célébrité sur l'avatar :Francis Capra. ~ Multicompte :[/list]Non. |
| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Sam 18 Juil - 23:26 | |
Bienvenue =D Belle fiche ^^ |
| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Sam 18 Juil - 23:28 | |
Merci ^^ J'espère juste que le Rp test que j'ai mis va aller vu que je l'ai repris de l'autre fofo et je l'ai pas créé |
| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Sam 18 Juil - 23:29 | |
Bienvenue =) Je m'occupe de lire ta fiche. En attendant j'ai validé ton code. Et pour le test RP ca pose pas de problème si ca viens d'un autre forum, tant que c'est toi qui l'a écris. |
| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Sam 18 Juil - 23:38 | |
Bienvenue J'adore ton personnage ouh lala |
| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Sam 18 Juil - 23:39 | |
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| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Sam 18 Juil - 23:43 | |
Je te valide ! J'aime assez ton personnage ! Tu peux commencer à jouer en attendant qu'un admin vienne te mettre ton rang ! Amuse-toi bien ! |
| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Dim 19 Juil - 8:05 | |
Bienvenue =) Merci de ton inscription ! =D
Ayé, rang fixé, taux de criminalité itoo, bon jeu, donc =D Amuse-toi bien (: |
| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] Lun 20 Juil - 21:43 | |
Hugh, avec un peu de retard, je l'avoue. Bienvenue sur le forum ! |
| | | | Sujet: Re: Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] | |
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| | | | Don't Forget My Name ... Alejandro Velasquez [terminé en attente de validation] | |
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