▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;

Wanna know more ?

▬ La plus grande honte du personnage ;

Une histoire que Takeru préfèrerait oublier. Ah si seulement il n’avait qu’à avoir honte de n’être qu’un pantin dirigé par des médocs et dont la cervelle avait été dénuée de sérotonine depuis belle lurette… Mais non. Il y a quelques années – en 2009 plus exactement, l’année où le groupe avait commencé à faire gros bruit – après un concert enflammé, une groupie avait réussie à se faufiler jusqu’à la loge du jeune homme. Elle l’attendait là, comme un rêve muni d’une bouteille d’un excellent champagne. De vrais lapins jusqu’au matin où Takeru la renvoya d’où elle venait, sans plus d’amabilité, soyons francs. Quelques semaines plus tard, voilà que Mademoiselle se pointe accompagnée du Manager. Vu la tête qu’il tirait, la nouvelle n’était pas bonne. Et ce fut pire encore que ce que le nippon imaginait. Non seulement la groupie avec qui il avait fait des galipettes était mineur… Mais en plus elle portait son enfant. Pour convaincre les parents de la demoiselle de signer l’autorisation d’avortement, Takeru dû céder au chantage et débourser une somme folle afin que son erreur reste sous silence et que ce parasite soit éjecté du ventre de cette fouteuse de merde.
Autant dire que son Manager ne lui pardonna jamais complètement une erreur aussi stupide. L’argent ? Il en avait encore beaucoup trop… La fierté ? Beaucoup moins… C’est aujourd’hui que Takeru se rend compte du cauchemar que cette fille a dû vivre, et de la violence avec laquelle il l’avait regardée quand la nouvelle fut apportée. Un énorme sentiment de honte et de culpabilité l’envahit chaque fois qu’il y songe si bien qu’il tenta un moment de la retrouver… Sans succès.

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;

Sans aucune hésitation : la psychothérapie. Chaque fois que Takeru doit se rendre à ses rendez-vous chez le psychologue, le psychiatre ou encore l’hypnotiseur  (une idée de son Manager, encore) il en ressort avec l’envie de tout casser autour de lui avant de se planter une foutue brosse à chiotte dans l’œil jusqu’à ce que son cerveau ne lui coule par les narines. Une plaie. C’est un peu comme s'enfoncer une aiguille dans la main, voir que ça fait mal, et devoir recommencer quand même, chaque jour. Sauf que sans eux, le nippon serait privé de tout ce qui le maintien encore debout. Effexor… Tranxène 20, noctamide, toutes ces boîtes et tous ces comprimés qui coûtent une fortune réunis dans le bol du petit déjeuner.

▬ Définition du paradis pour le personnage ;

Si l’on retire l’évidence même, soit les moments passés sur scène et la première clope de la journée… On peut aisément dire que le premier inconnu dans la rue représente en tout et pour tout un bout de paradis aux yeux du jeune homme. Encore un point sur lequel il se place en parfait désaccord avec ses compères du groupe qui eux, jouissent avec légèreté de leur célébrité. Fatigué de devoir se battre avec les paparazzis, fatigué de porter des lunettes noires et une capuche pour espérer traverser une rue sans être harcelé… Mais aussi fatigué de ne rien pouvoir faire par lui-même : les courses au supermarché, une promenade à Central Park, la vaisselle ou simplement conduire sa propre voiture… Takeru se surprend à envier les passants quand ses mains se posent sur la baie vitrée de son appartement et que ses yeux noirs s’abaissent.

▬ Point faible du personnage ;

La misanthropie. Si l’on tape ce mot sur internet, la première définition que l’on trouvera est celle-ci : « l'art de détester et de mépriser le genre humain sans aucune distinction de sexe. » Néanmoins, Takeru se rapprocherait d’avantage de la vision philosophique occidental du terme… Soit le fait de s'isoler de la société humaine. En effet, à force d’avoir été commandé telle une machine par ses parents puis par son Manager ; à force de ne pas pouvoir se lier naturellement avec ses camarades et de grandir au même rythme qu’eux, Takeru développa une peur presque phobique des relations humaines. Sans craindre la foule, il est très difficile de l’approcher sans le faire fuir. Une  confrontation directe – principalement avec un représentant du sexe opposé d’ailleurs – les yeux dans les yeux lui est inconcevable à moins d’avoir été orchestrée par son Manager afin d’apparaître dans les tabloïds. L’idée même de s’ouvrir à quelqu’un et de prendre ainsi le risque d’être blessé lui parait aussi absurde qu’invraisemblable. Pourquoi vouloir s’aimer à tout prix quand on voit de quoi l’être humain est capable? Il suffit d’observer pour comprendre que l’hypocrisie règne en maître dans toutes les couches sociales. Paradoxalement, le nippon est curieux et fasciné par ces attroupements d’amis et ces soirées endiablées qu’il rencontre sur le campus de l’Université. Jaloux aussi, un peu… Sans l'admettre.

▬ Point fort du personnage ;

N’allez pas croire que ce petit bout de japonais n’est qu’un inadapté social maniaco-dépressif et imbu de sa personne… Parce que ça n’serait qu’à moitié vrai. Son point fort ? Le même qui conquis son Manager au point de verser beaucoup d’argent pour voir son poulain s’implanter aux Etats-Unis et réussir son projet musical : Le charisme. Takeru ne passe pas inaperçu. Non pas pour sa chevelure extravagante ou ses fringues de couleurs souvent improbables… Mais par sa présence en elle-même. Chaque fois qu’il passe une porte, un premier silence se fait. C’est inévitable et relativement déroutant quand on fait partie de ces gens qui retiennent leur souffle sans en comprendre la raison. C’est ce même charisme qui fit du guitariste minuscule la tête d’un groupe formé de trois gros américains tatoués jusqu’au cou. Un enfant dans la cour des grands. Si Takeru ne parle jamais pour ne rien dire, il sait taper du poing sur la table lorsqu’une répétition importante est retardée par un apéro un peu trop long. Le nombre de bières renversées sur les têtes de ses collègues et amis ne se comptent plus par dizaines, sachez-le.  

▬ Casier judiciaire ;

Officiel
• Dégradation d’objets publics (hôtels, arrêts de Bus, …)
• Etat d’ébriété sur la voie public
• Voie de fait envers divers paparazzi
• Injures envers un représentant de l’ordre et trouble de l’ordre public
• Détention illégale de produits stupéfiants

Officieux :
• Rapport sexuel avec une groupie mineur au moment des faits (mensonges de la part de cette dernière.)

Behind the screen...

▬ Prénom ou pseudo ; Livanart
▬ Âge ; 22 ans
▬ Où avez-vous connu le forum ; j'le connais depuis belle lurrette vot' forum  
▬ Connexion ; 7/7j
▬ Code du règlement ;

Spoiler:

▬ Exemple de RP ;

Spoiler:

▬ Célébrité sur l'avatar ; Hideto Matsumoto (hide)
▬ Multicompte(s) ; Anciennement Poly, Leon & Helima
▬ Un dernier truc à dire ? ; I'm back modafokers