| Sujet: Ellen-Harper Reid. [TERMINE] Mar 11 Fév - 17:23 | |
Identity Card
Feat "Sophia BUSH" (c) Stillinsky. |
▬ Nom ; Reid ▬ Prénom(s) ; Ellen-Harper ▬ Surnom(s) ; El mais les gens l'appellent le plus souvent Harper ▬ Âge ; 29 ans ▬ Nationalité ; Américaine ▬ Groupe ; L'autorité ▬ Statut et activité dans la vie ; Policière, elle est la criminelle
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Has anyone ever written anything for you - Stevie Nicks ▬ Histoire ;
« You will wake up one day and you will be fine » J’attends toujours ce jour, tout le monde me l’a promis et pourtant il n’est toujours pas là. Je ne dis pas que je suis la personne la plus malheureuse au monde loin de moi cette prétention mais il y a encore des choses que je dois régler, principalement dans ma tête. Oui madame la psy j’admets avoir des choses à résoudre suite à tout ce qui s’est passé, je ne suis pas un de ses policiers qui se dit aller bien alors qu’à côté il est anéanti et désagréable. Vous savez ce n’est pas tant que je ne veux pas vous parlez de ma vie et de moi mais c’est que je ne vous fais pas confiance enfin pas encore… Donc je vais commencer tout de même avec mon enfance, fille d’un flic j’ai toujours vécu dans ce milieu, ma mère était chef d’un petit restaurant alors que mon père faisait tout pour arrêter les méchants. J’ai été heureuse je pense, c’était une vie assez banale pour être honnête, la petite famille typique Américaine, on habitait à Seattle, c’est là où je suis née. On était bien là-bas, une grande ville presque toujours sous la pluie, j’aime la pluie, pour beaucoup c’est juste de l’eau qui les ennuient dans leur journée mais pour moi c’est réconfortant, plus jeune je m’installais à côté d’une fenêtre, j’écoutais et je regardais la pluie tombée, ces fines gouttes qui nous donnent l’impression de faire une course. Dans tous les cas il n’y a rien de spécial à raconter jusqu’à mes seize ans, le jour de mon anniversaire, on était dans la salle à manger, à se raconter nos journées à tour de rôle, la routine. Enfin ce soir-là marqua un tournant, mon père fut appeler pour une une mission urgente nous laissant seule ma mère et moi à la maison avec un énorme gâteau au chocolat. On avait décidé de l’attendre mais il mettait du temps à rentrer et ma mère m’ordonna d’aller me coucher mais la sonnette retentit, mon cœur eut un raté quand j’aperçu sur le pas de notre porte deux agents de police, on savait ce que ça voulait dire, ils n’avaient pas besoin de nous l’annoncer, mon père était mort, une balle perdue ou quelque chose comme ça. Ma mère ne réussit pas à faire son deuil, la présence de mon père était partout, elle n’a jamais tourné la page et vivait seule dans son malheur. Moi mon deuil s’arrêta au stade de la colère et surtout l’envie de vengeance, je comptais bien rentrer dans la police et découvrir qui était derrière la mort de mon père. Ah les enfants de policiers vengeurs, on est tellement s’en est devenu presque banal alors que ça ne devrait pas l’être, mais on se fait vite repérer, c’est pour ça que je décidais de changer de nom de famille, je prenais le nom de jeune fille de ma mère : Reid. Personne ne pourrait savoir et je pourrais mener mon enquête le moment venu, au moins ça me montra que j’étais patiente et déterminée. Après ma majorité je commençais l’école de police, je devenais un simple petit agent et surtout j’étais une jeune femme qui devait faire ses preuves dans un milieu assez masculin, je montais les échelons petit à petit, je n’étais pas pressée de toute façon, j’avais tout une vie pour ma vengeance. Mais le boulot me plaisait vraiment, j’aimais ce que je faisais et parfois j’en oubliais presque mon but. Mais au bout de quelques années de contravention, d’arrestation pour des crimes mineurs et j’en passe on me remarqua et si j’avais su tout ce qui m’attendait j’y aurais peut-être réfléchi à deux fois mais dans tous les cas j’aurais continué, j’ai foncé tête baisser. On me proposa une place aux stups, une unité ‘spéciale’, j’allais être infiltré dans le milieu et j’allais devoir être une autre personne. Une mission sous couverture durant une durée indéterminée. Monica Andrews venait de naître, c’était une droguée, prostituée, une fille perdue et surtout une soi-disant orpheline, voilà ma nouvelle vie et ma mission était de m’infiltrer dans un gang, j’avais 26 ans à l’époque, enfin c’était il y a seulement trois ans mais ça me parait tellement plus. Les choses ne se sont absolument pas passées comme prévu. J’ai rencontré Jonathan alors que je prétendais faire le trottoir, le premier soir de ma mission, je ne passais pas inaperçu car tout le monde semblait se connaître, je me souviens que dès le premier regard il y avait eu une sorte de tilt entre nous, étonnant, je n’avais jamais été vraiment attiré par les malfrats, mais il était diffèrent. Il m’aborda et me proposa sa veste car il faisait froid et il m’emmena boire un café, il me disait qu’une aussi jolie fille que moi méritait d’avoir une vie meilleure et qu’il allait m’aider. Je restais étonner mais je le suivais, au fil des jours je tombais amoureuse de lui, jouant un double jeu qui rendrait fou même un schizophrène. Il me présentait à tous ses ‘amis’, des criminels qui n’éprouvaient aucun remords et qui se vantaient de leurs crimes. Cependant quelque chose me frappa personne ne connaissait le big boss enfin personne n’en parlait et c’était ma tâche de le trouver. J’avais des comptes rendus à faire et des débriefings, c’est au bout d’un an à jouer une autre personne qu’on me montra la liste des victimes de ce grand chef inconnu, je restais bloquer sur un visage, celui de mon père. C’était donc ça, j’allais pouvoir me venger, sans le savoir mes supérieurs m’avaient assigné la mission parfaite, j’étais plus motivée que jamais. Le seul problème : Jonathan, j’étais tombée amoureuse de lui et je devais choisir entre ma vengeance et cet amour qui serait détruit par la vérité une fois qu’elle éclaterait sur ma vraie identité. Je préférais ne pas y réfléchir et je continuais mon enquête. J’étais traitée comme une reine dans son monde, il faisait tout en son pouvoir pour me rendre heureuse, si seulement il avait su. Je vivais cette double vie, j’avais parfois du mal à savoir qui j’étais, est-ce que j’étais Ellen-Harper ou Monica, on m’avait prévenu que ça pouvait être difficile mais je ne me doutais pas à quel point, surtout quand les sentiments s’en mêlent. J’étais surement idiote, mes supérieurs pensaient que c’était une supercherie mais tout était réel dans mon cœur, il comptait pour moi. Puis un jour on m’annonça que la mission serait bientôt finie, notre équipe avait bien travaillé et on avait un nom, il ne leur manquait plus que la certitude. Le nom tomba Jonathan Evans, celui que j’aimais secrètement, celui qui avait joué les sauveurs avec moi, le seul qui ne se vantait jamais de ses crimes, c’était lui la tête de cette organisation. Seulement pour pouvoir l’arrêter ils avaient besoin d’aveux et qui était mieux placer que moi ? Personne malheureusement. Ce soir-là je l’ai rejoint chez ‘nous’, ma mission était de posé des micros partout, ce que j’ai fait tel un bon agent, j’ai espionné, j’ai attendu qu’il se trahisse dans une conversation, ce qui arriva. Vous voulez la fin de l’histoire madame la psy ? Je l’ai tué, c’était lui ou moi, légitime défense. Dis comme ça on dirait que je n'ai aucun remords, pourtant j'en ai sinon je serais simplement comme ses criminels que j'ai côtoyé. Je l'aimais, mais il n'était pas celui que je croyais et je n'étais pas celle qu'il pensait, notre amour était bâti sur un mensonge quand j'ai réalisé ça tout a été diffèrent, je ne sais pas si j'aurais pu éviter de le tuer mais ce qui est fait est fait. Je ne m’en suis pas remise en toute honnêteté, c’est surement pour ça qu’on m’a muté à New-York en donnant l’excuse d’une promotion. Oui je suis promue à la criminelle, tous ceux qui étaient dans mon équipe ont eu une promotion pour nous féliciter de notre bon travail et surtout pour nous occuper l’esprit. On a tous dû faire des choses dont on ne veut pas parler, qu’on préfère faire semblant d’oublier, se faire passer pour des criminels, des prostitués, se faire passer pour les gens qu’on arrête, et après on nous demande de revenir au travail avec le sourire en oubliant tout ça. Mais c’est trop difficile, on a passé deux ans là-bas, durant ces deux années ont été quelqu’un d’autre. Aujourd’hui je ne sais plus qui je suis, je suis perdue et confuse mais visiblement un poste à New York va m’aider d’après mes anciens supérieurs. Une nouvelle ville est égale à une nouvelle vie, je suis là depuis six mois et pourtant je ne me suis toujours pas réveillée un jour en allant bien…
Wanna know more ? ▬ Relations ; (100 mots minimum - Relations amoureuses, amicales, sexuelles ; Ce qui lui plait chez les autres, ce qui ne lui plait pas chez les autres ... Ceci est une approche de la façon dont votre personnage se comporte avec autrui.)
Mes relations ont toujours été un échec, non pas que je sois asociale ou quoi que ce soit c’est simplement que je bâti une sorte de forteresse et j’ai tendance à fuir quand je me sens vulnérable. Mais les gens qui s’accrochent et qui réussissent à se faire une place dans mon cœur le reste pour toujours enfin sauf s’ils me trahissent et là ils sont morts à mes yeux. C’est assez étrange en fait, je donne tout aux autres mais je n’aime pas le leur montrer. J’ai juste peur de m’attacher, j’ai peur de souffrir et qu’on me laisse tomber. C’est humain je pense cette peur mais du coup ça m’empêche parfois d’établir des relations avec des gens qui le méritent. La seule chose que je demande dans mes relations c’est l’honnêteté, je ne peux pas supporter qu’on me mente, qu’on me cache des choses importantes, si il y a une chose que je ne pardonne pas c’est ça mais malheureusement pour moi les gens honnêtes ne courent pas les rues. Mais sinon je ne suis pas une personne qui prend la tête, j’aime juste passer des bons moments avec mon entourage, je ne suis pas une personne compliquée dans le fond. J’ai simplement des gros problèmes de confiance, je n’arrive pas à faire entièrement confiance en une personne, je suis paranoïaque et j’ai peur qu’on agisse derrière mon dos, surement parce que mon dernier petit ami et moi n’étions absolument pas honnête l’un envers l’autre mais aujourd’hui j’ai changé et je ne mentirais plus enfin je vais essayer en espérant recevoir la même chose. ▬ Physique ; (100 mots minimum)
Des cheveux bruns, longs ou courts j’ai tellement changé de coupe de cheveux suivant mes coups de tête que je ne peux pas vous dire. Je ne suis pas une fille très grande mais pourtant j’ai une force assez développé de par mon métier je fais beaucoup de sport. Je n’ai pas de signe trop particulier à part un tatouage à l’aine représentant la double infinité, quand on a dix-huit ans on ne fait pas forcément les meilleur choix mais j’aimais ce que ce signe représentait. J’aime faire attention à moi, faire les magasins est un bon moyen pour décompresser, loin de moi l’idée de dire que j’ai un sens inné du style mais je me débrouille pas trop mal je pense, je ne suis pas un sac quoi. Je n’ai aucun piercing, je voulais plus jeune mais je n’ai jamais sauté le pas.
▬ Caractère ; (400 mots minimum)
Je suis une femme donc je suis compliquée par conséquent, oui je sais les féministes me détesteront de dire ça mais il faut l’admettre les femmes nous nous compliquons drôlement la vie, on est toujours en train de se poser des questions sur tout, de réfléchir aux choses alors qu’en réalité la vie peut-être simple. J’ai appris ça avec le temps et j’essaye aujourd’hui de rendre les choses simples, je dois assez chercher des réponses pour mon boulot alors pour ma vie j’essaye d’être plus posée. Je suis simplement une jeune femme vulnérable qui a peur d’être blessé mais qui sait qu’elle le sera. Je suis assez forte je pense, après tout ce que j’ai vu je pense que c’est normal, j’ai eu un léger aperçu de ce que pouvait être l’Homme et vous pouvez me croire ce n’est pas toujours jolie. Je fais tout pour avoir une vie sans regret, je me lâche tant que je peux. Je suis du genre à m’énerver plutôt rapidement, je pars vite dans les tours mais je travaille sur ça aussi, on m’a dit de faire des exercices de relaxation car j’étais trop anxieuse, j’ai rigolé mais je sais que je le suis, je stresse tous le temps pour tout et surtout pour rien. Je suis une grande optimiste, malgré tout ce qui m’ait arrivé j’essaye de voir le bien dans chaque chose, d’espérer le meilleur des autres mais ce n’est pas facile tous les jours je dois l’admettre. Parfois je me sens incomprise, surement à cause de mon petit côté cynique, les gens ne saisissent pas toujours et prennent ça pour de la méchanceté.
Je suis trop franche, ça m’a couté cher dans le passé, dire ce qu’on pense n’est jamais bon, il vaut mieux réfléchir un peu. Je donne toujours une chance aux gens, tout le monde mérite ça, je suis parfois trop émotive enfin souvent mais il ne faut pas le dire c’est un truc lié aux hormones je crois. Je peux passer du rire au larme en quelques secondes. Par contre je suis têtue et obstiné, quand j’ai décidé de quelque chose je fonce et c’est difficile de me faire changer d’avis et il suffit d’une petite chose pour m’énerver. Je manque de confiance en moi et surtout dans les autres, ce n’est pas de leurs fautes ça remonte surement à l’enfance ou une connerie comme ça, de toute façon si on écoute les psy tout remonte à l’enfance, c’est peut-être une étape qui faudrait bannir de la vie alors. J’ai simplement du mal à croire que quelqu’un fera quelque chose pour moi sans avoir d’arrière penser. Je suis gentille mais je ne comprends pas la gentillesse envers moi, je suis pleine de contradiction comme vous pouvez le constater et généralement pour les autres je suis prête à tout surtout les gens que j’aime alors que je ne pense pas mériter la même chose ce qui est assez fou et stupide je vous l’accorde. J’ai l’air d’une femme forte et indépendante mais il ne faut pas se fier aux apparences moi aussi j’ai besoin de quelqu’un, d’une épaule sur laquelle pleurer il faut simplement savoir comment s’y prendre.
▬ La plus grande honte du personnage ; (En 60 mots minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Ma plus grande honte, ce n’est pas vraiment une honte mais simplement mon secret le mieux garder. J’ai tué mon petit ami Jonathan à la tête d’un gang ou appeler ça comme vous voulez, j’ai raconté à tout le monde que c’était de la légitime défense, qu’il avait découvert que j’étais flic et qu’il m’avait menacé mais en réalité je l’ai tué pour venger la mort de mon père, il ne s’y attendait surement pas et il ne m’a pas menacé mais ça passer mieux pour les papiers. Certes ça peut me faire passer pour un mauvais flic mais il avait fait tellement de mal qu’au fond j’ai simplement effacé un criminel de la terre. Personne n’est au courant et j’espère que ça restera ainsi. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
L’enfer c’est peut-être la vie mais bon si je devais définir un endroit ou quelque chose qui signifie l’enfer pour moi se serait surement cette soirée ou j’ai découvert la vérité sur l’homme que j’aimais. Oui on est bien loin des flammes et des diablotins mais l’enfer pour moi serait de revivre cette soirée encore et encore. Devoir subir cette révélation et me rendre compte que tout ça, tout ce qu’on avait vécu était bel et bien des mensonges et qu’il n’y avait même pas d’amour entre nous en réalité car on ne se connaissait pas. Pour moi l’enfer c’est de revivre la pire scène de notre vie en boucle et à chaque fois se rendre compte qu’il n’y aurait pas de fin à ça, car une fois la scène finit et bien on la revit, aucun repos, juste des tourments pour toujours, ces tourments en fait. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Le paradis serait pour moi un endroit paisible ou tous nos démons s’envolent ou on est juste bien, dans un état de bien-être avec tout ce qu’on aime à volonté et surtout un monde rempli de chocolat sinon ce n’est pas le paradis et pourquoi pas des licornes, oui des jolies petites licornes. Le paradis serait que mon âme soit libérée de ses tourments et que je n’ai plus cette envie de tout casser tous le temps, cette envie de justice qui me bouffe chaque jour alors que j’ai accompli ma vengeance. Le paradis serait peut-être de connaître enfin ce sentiment de bonheur car même si j’ai déjà été heureuse dans le passé ce sentiment m’ait inconnu aujourd’hui et le retrouver serait mon paradis. ▬ Point faible du personnage ; (En 60 mots minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
Oh des points faibles j’en ai même si je n’ai pas envie de l’admettre, comme tout le monde je pense mais le plus gros est surement mon passé, le souvenir de cette petite fille innocente et qui voulait juste se marier, avoir des enfants et une vie normale. Quand je me souviens de mon ancienne vie ça me tue. Pendant un long moment mon point faible a été Jonathan et il l’est peut-être toujours même si ce n’est plus de la même façon, maintenant c’est juste un souvenir que j’essaye d’oublier. Mon père, ma mère, tout ça est trop éprouvant et je suis bien heureuse qu’ici personne ne soit au courant de mon passé, même si un jour il risque de ressortir mais je préfère ne pas y penser. Mon envie de justice est mon point faible aussi noble peut-on penser qu’il est, je serais prête à mettre ma vie en jeu pour une affaire en laquelle je crois, je mets trop de cœur dans ce que je fais c’est ça le problème, je me laisse atteindre et parfois ça me blesse, souvent même. En fait mon point faible est mon humanité, ma culpabilité et mes remords, ce que chacun a dans sa vie mais pour moi c’est un problème quand ça peut nous atteindre et ça le peut. ▬ Point fort du personnage ; (En 60 mots minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
Et bien aussi étonnant que ça puisse paraître mon point faible est à mon avis mon atout, certes je suis prête à tout pour ce en quoi je crois et ça peut me mener à ma perte mais ça peut aussi m’apporter le plus grand des bonheurs. Quand je vois une affaire résolue et ces familles heureuses que justice ait été rendu et qu’on ne les a pas oublié c’est la plus belle chose pour moi. Cette folle recherche de la vérité et cette envie de tout donner, si je n’étais pas comme ça je serais un robot je pense. J’aime avoir cette foi en l’humain, j’aime croire que chaque personne est bonne même si ça m’apporte beaucoup de déception car parfois et bien ça apporte juste du bonheur, on est récompensé. Alors oui je donne trop aux autres mais je trouve que c’est une belle qualité. ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.)
- Meurtre et faux témoignage - Prostitution ( dans le cadre de son infiltration dans un gang ) - Vente de substances illicites ( dans le cadre de son infiltration dans un gang ) Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; SleepyB. ▬ Âge ; 21 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; PRD ▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 6/7 ▬ Code du règlement ; - Spoiler:
Oki par Erwan ▬ Exemple de RP ; - Spoiler:
La vie est une chose plutôt étrange, elle va, elle vient et je me sentais juste porter par cette dernière, j’étais là pour une raison, j’avais fait certains mauvais choix qui m’avait mené jusqu’ici. Je me retrouvais sans rien, pas d’arme, pas d’âme et plus d’envie, non je n’allais pas me battre pour ma vie, je n’en avais pas la force et puis à quoi ça mènerait que ce soit elle ou un autre le résultat serait le même, la vie finit toujours par la mort. Alors qu’elle me disait enfin son nom je lui envoyais un sourire. « Je suis Niko Kostas mais tu dois le savoir je pense. Je t’aurais bien fait un baise main mais tu risquerais de prendre ça pour une attaque. » On pouvait enfin avoir un échange, elle était un peu moins sur la défensive. Elle me faisait rire dans sa façon d’agir, comme si elle ne savait pas comment réagir avec moi, c’est sûr que ça ne doit pas être tous les jours qu’elle doit tuer un homme qui se fiche de vivre ou mourir. Alors qu’elle me disait pouvoir faire l’avocat du diable sa phrase se coupa au mot mourir un éclat de rire sortit de ma bouche, je n’avais pas pu m’en empêcher, elle avait plus de mal avec le fait de me tuer que moi plutôt ironique. « Avant de mourir ? Non merci je me suis déjà arranger avec ma conscience. » Petit à petit on réussissait à avoir une conversation et heureusement pour moi la jeune femme était intéressante, ma dernière interaction avec un être humain ne serait pas trop mal. C’était une amatrice d’art tout comme moi et elle était aussi inquiète que moi à l’idée de souiller ces œuvres qui nous entouraient. C’était un comble, je m’en faisais plus pour les œuvres que pour ma vie, autant dire qu’elles valent plus que moi, leur prix est inestimable car ce sont des vestiges d’un passé, les souvenirs qui traverseront le temps si on en prend grand soin. Je me tournais vers elle alors qu’elle me maudissait d’être venu dans ces lieux, que voulait-elle que je lui dise, j’avais peut-être senti la fin et j’avais voulu être dans un endroit qui m’apaiser. « Je suis d’autant plus heureux qu’ils aient confié cette mission à une amatrice d’art. Si tu veux je peux changer de place et me mettre là où on est sûr de ne rien abimé. » J’avais presque l’impression que j’allais devoir l’aider dans son action, on aurait presque cru qu’on tournait un film et on cherchait le meilleur endroit pour tourner. Ça aurait pu être sympa que ce soit filmer puis envoyer à la famille du décédé, oui enfin dit comme ça c’est plutôt glauque en fait. Summer, enfin la supposé Summer regardait les lieux, elle avait ce regard de connaisseuse et pas celle du touriste qui passe devant un tableau sans vraiment le regarder. Il fallait s’imprégner de l’œuvre, ressentir chaque coup de pinceau que l’artiste avait donné, comprendre une œuvre était obligatoire pour en apprécier la beauté. Je la suivais dans son tour d’observation des tableaux, je me mettais derrière elle avec aucune arrière-pensée de prendre le dessus sur elle. « Tu es sûre de vouloir apprendre à connaître un homme condamné. » Je souriais légèrement, cette fille avait quelque chose de spécial j’en étais sûr, elle n'était pas comme tous ces tueurs qui abattaient leurs victimes sans scrupule, se serait peut-être un défaut au bout d’un moment, si on écoute trop ses principes on n’est pas assez rentable. « Crois-moi les personnes que je laisse derrière moi seront surement mieux ainsi enfin je dis les alors qu’il n’y a que ma sœur jumelle, Esperanza. Elle sera surement triste mais elle au bout d’un moment elle passera à autre chose puis elle n’aura plus à s’inquiéter pour moi. Elle trouvera l’amour, elle élèvera son bébé et je serais un lointain souvenir. » Une pointe de tristesse s’immisça en moi à la pensée de ma sœur jumelle, mais peut-être que oui elle sera mieux sans moi, ça lui fera quelque chose en moins à s’inquiéter. Je lui manquerais surement mais elle saura avancer et refaire sa vie, j’ai confiance en elle. « Et au niveau des passions et bien on est entouré de la mienne, l’art c’est la seule chose qui me faisait me sentir vivant à un moment. J’aime reproduire ces œuvres même si je n’oserais jamais dire que j’ai autant de talent que ceux qui ont peint les originaux. Mais même l’art n’arrive plus à combler ce vide en moi. » Elle me parlait de principe et j’avais envie de rire, c’est bien la première fois que j’entendais ça d’un criminel, on était généralement sans scrupule, j’avais raison cette fille-là été différente et spéciale je pouvais le sentir. Mais je ne pourrais pas savourer cette déduction vu que mon heure approchée, plus le temps passer et plus je me faisais à cette idée de disparaitre de la terre avec une balle entre les deux yeux. Se serait bref et simple, pas de grande fanfare juste nous deux dans cet endroit sombre. Elle me demandait alors ce que je m’étais fait, je ne savais pas ce que ça changerait, mais si ça lui faisait plaisir d’en savoir plus. Je pouvais bien me livrer une fois avant de mourir. « Une explosion, j’étais au mauvais endroit au mauvais moment. C’est le résumé de ma vie d’ailleurs. » J’étais toujours derrière elle, observant ses yeux qui filait sur la toile qui nous faisait face, on parlait doucement comme pour garder le côté paisible de cette pièce qui faisait naître en nous un amour en commun, celui de l’art. « Tu m’as demandé si ça me gêner si peu de mourir et je ne sais pas quoi te dire. C’est simplement que ma vie n’est pas des plus importantes, on est seulement de passage sur terre et à ce moment de ma vie j’aurais pensé avoir fait quelque chose d’important mais la preuve est là. Je ne suis rien, la preuve on envoie un tueur à gage pour m’envoyer une simple balle entre les deux yeux. » Je me demandais ce qui lui passer par la tête, à quoi pouvait-elle bien penser cette femme si intrigante, peut-être qu’elle se demandait simplement quand est-ce qu’elle pourrait se débarrasser de moi pour retourner à ses affaires mais au fond je ne lui avais pas demandé de rester. Je passais mes mains dans mes poches, j’attendais ma sentence, elle avait le pouvoir sur notre échange maintenant et je devais juste m’y faire. « Penses-tu que ta vie vaut la peine ? Est-ce que tu as accompli tes rêves d’enfants et vu tout ce que tu voulais ? Si c’est le cas comme moi et bien tu remarqueras que vivre ou mourir importe peu quand tu n’as pas de regret. » C’était le cas j’avais toujours laissé parler mon impulsivité, j’avais vu tout ce que je souhaitais voir, j’avais fait ce que je voulais et maintenant ce n’était que du bonus ce que je vivais. Puis Summer était seule juge de ma vie dorénavant, moi je pouvais simplement profiter de mes derniers moments.
▬ Célébrité sur l'avatar ; Sophia Bush ▬ Multicompte(s) ; Nop ▬ Un dernier truc à dire ? ; Bah heu ... J'aime les licornes voila tout.
Dernière édition par Elen-Harper Reid le Sam 15 Fév - 23:28, édité 5 fois |
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