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| | One gun, one breath and I. [TERMINEE] | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Dim 31 Aoû - 21:26 | |
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Feat "Matt Smith" (c) Copyright |
Ils étaient venus d’Angleterre avec leurs enfants, recherchant un moyen de subvenir à leurs fins ; et ils avaient faillis quelques années ensuite. Deux garçons à peine adulte, laissés dans un monde qu’ils ne comprenaient pas encore. Ils avaient dû faire face ensemble jusqu’à ce que l’un deux ne dérape vers une obscurité que l’autre ne parvenait pas à comprendre. Ils étaient jumeaux et pourtant si différents. William Reyes avait choisi un chemin un peu plus droit, une route sûre pour un avenir correct le menant en école de police pour finalement finir agent à la Criminelle de New-York. Trente ans, qualifié, digne de confiance auprès des autorités. Un homme bien à qui il ne manquait plus qu’une famille, un détail sur lequel il ne parvenait pas encore à se concentrer malgré les possibilités que lui offrait la Grosse Pomme. Une petite maison paisible à Staten Island, une vie quotidienne tout à fait normale pour un hétérosexuel de sa classe sociale. William n’a rien à envier aux autres, hormis peut-être leur tranquillité d’esprit. Celle qu’il n’a plus eut après certains actes.
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
ALESANA | The murderer ▬ Histoire ;
J’ai vu beaucoup d’étincelles s’estomper dans les yeux de ceux qui m’entouraient et je ne pouvais rien y faire. C’est ainsi que j’ai compris qu’être un homme bon ne suffisait pas dans certaines situations. Et à défaut de ne rien pouvoir faire de plus, je disparaissais, allant évacuer cet amas de colère qui subsistait en moi là où je le pouvais. J’aurais voulu aider le monde entier si j’en avais eu l’opportunité mais je ne suis qu’un homme ; qu’un être humain parmi tant d’autres… condamné à regarder l’humanité se déchirer jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien ni personne pour tenter de bâtir un monde meilleur. Trop peu d’âmes parviennent à survivre, à vaincre cette violence qui a tendance à s’installer partout et nulle part. Je ne prétends pas faire partie de ceux qui parviennent à barricader leur esprit, non, bien au contraire et je les envie. Je suis tout l’inverse et ça malgré moi. Je ne vis que dans l’espoir de voir un peu plus de justice appliquée, de pouvoir faire en sorte que notre libre arbitre ne soit pas un chaos des plus totales ; quitte à en utiliser la force pour y parvenir. La loi du plus fort. Parce que j’ai vu ma famille en pâtir, mes parents en mourir et mon frère y céder. Il ne restait plus que moi. Moi et ma volonté de mettre un terme à ce fléau. J’en ai hurlé à m’en déchirer les cordes vocales, à m’en faire exploser les poumons pour finalement me reprendre en main. L’école de police, une voie que j’avais envisagée en dernier mais qui avait finalement été mon premier choix. J’avais trouvé une raison d’avancer tout en assouvissant ce besoin d’être rassuré. Je voulais être sûr d’être capable de faire le bien, je voulais prouver à quiconque voulait l’entendre que la seule parcelle d’obscurité ayant grandi en ma personne ne subsistait que parce qu’il excitait encore assez de mal pour la nourrir. A cette époque, j’étais déterminé à faire mes preuves et j’y étais parvenu avec le temps. Mais des obstacles s’invitent, des pièges se présentent et des choix s’imposent.
J’avais vingt-six ans le soir du meurtre de mon frère. Elle avait été ma coéquipière pour cette journée-ci, celle durant laquelle l’on m’avait envoyé sur le terrain en pensant qu’il n’y aurait rien à faire. Ça avait été vrai jusqu’en début de soirée. Des rafales de vents s’étaient abattues sur New-York, la pluie n’avait que faire des petites torrents qu’elle parvenait à faire naitre le long des trottoirs et ses gouttes venaient frapper inlassablement le toit de la voiture de patrouille. L’on m’a dit regarde et apprends. J’avais appris que les minutes pouvaient s’écouler plus que lentement lorsque l’ennui se présentait à vous comme votre meilleur ami. J’en étais arrivé à parler de ma vie en Angleterre, de mes parents qui s’étaient aventurés à New-York grâce à la promotion de mon père dans les affaires et de la manière dont ce nouveau départ les avait rongé ; lentement et douloureusement. Je me souviens avoir parlé de Matthew, ce frère jumeau que j’avais aimé de plus en plus suite à la mort de nos parents jusqu’à ce qu’il ne décide d’emprunter la voie des gangs et des mafias… pour ne plus jamais revenir. Elle m’avait écouté avec enthousiasme jusqu’à ce que la radio n’indique des coups de feu pas très loin de là où nous avions passé l’heure tout juste écoulée. Et je me souviens de cette excitation, de cette adrénaline qui avait parcouru mes veines une fois la ruelle aperçue. Et c’est probablement ce soir-là que j’ai le plus appris sur le genre humain, sur la manière dont la peau peut prendre les rênes sur tout et tout le monde. J’ai vu le manteau de la nuit prendre d’assaut la Grosse Pomme et les lueurs des bougies de la voiture parvenir à éclairer l’homme que nous devions atteindre, capuche sur la tête et visage baissé ; sourire aux lèvres, arme à la main. J’avais pris le risque de sortir également, demeurant derrière la portière tandis qu’elle faisait le choix de s’avancer. Je me souviens également avoir accouru avant qu’une arme ne se pointe sur moi et qu’une autre ne gagne la tempe de la jeune femme. Et j’ai senti le parfum même de la terreur glisser jusqu’à moi, j’en humais son odeur jusqu’à m’en imprégner totalement. J’étais effrayé, apeuré à l’idée de ne rien pouvoir faire pour l’aider. Et il avait souri avant de découvrir son visage, n’accentuant que cette haine qui grondait en ce cœur que je ne parvenais plus à supporter. Il était là, devant moi, près à tuer cette femme sous mes yeux comme si les notions de bien et de mal ne lui étaient plus reconnaissables. « Que comptes-tu faire, William ? » Sa voix a résonné quelques secondes dans la rue humide qu’on animait à nous trois. Et il y eut un long silence avant que l’arme qu’il tenait contre moi ne rejoigne le sol et que l’autre en vienne à abattre la brune qu’il avait tenu jusqu’à alors, avant de s’effondrer ; à son tour. Une arme, un souffle et moi. Le bras tremblant, les larmes aux yeux, la force envolée et les renforts arrivés. Je venais de tuer mon frère, la seule famille qu’il me restait ; de sang-froid, au nom de la justice, au nom de la vengeance.
Ils m’ont appelés « héros » et je me suis appelé « meurtriers » ; que ce soit devant eux comme devant la psychologue s’occupant de mes tourments et d’un tas d’autres choses qu’elle est la seule à pouvoir voir d’ailleurs. Et le pire dans tout cela, c’est qu’abattre mon propre frère avait été un tremplin pour ma carrière. Je n’avais rien dit, ni refuser pour autant. L’on m’a gradé et soutenu. Je me suis contenté d’acquiescer, de sourire et de la fermer. J’ai joué comme je l’ai souvent fait parce que je savais enfin que – désormais – cette noirceur ne disparaitrait pas. Pas après ça. Et me voilà arrivé à la Criminelle, promu agent grâce à une détermination hors du commun ; selon eux. Je ne cherche qu’à bien faire mon job, qu’à parvenir à faire tenir l’ordre et les lois parce qu’il semblerait que ce soit mon dernier but encore accessible. J’ai appris qu’il ne fallait se fier à personne d’autre qu’à soi-même dès lors que le doute s’immisçait avec trop d’insistance. Quelques années se sont écoulées depuis ce fameux soir, les choses ont changées, évoluées mais les souvenirs restent et hantent autant qu’ils le peuvent. Je continuerais de me lever chaque matin en songeant au regard qu’il avait pu poser sur moi, au cri silencieux qui n’évoquait rien d’autre qu’un « ose » provoquant et haineux. Nous étions des opposés, dangereux l’un pour l’autre et j’avais été le plus fort ; souvent malgré moi. Comprenez à cette histoire ce pourquoi je continuerais de travailler pour la justice. J’aimerais que rien de tout ceci ne se soit passé, qu’il ne soit écrit ici qu’un roman inventé de toute pièce afin de plaire à une marge de lecteur qui n’aspire qu’à une once d’émotions. Seulement, tout est arrivé. Tout ceci n’est que le fruit d’une réalité tortionnaire et glauque, aussi morbide que l’idée de devoir vivre avec le sang d’un proche sur les mains quand l’on vous dit que vous avez bien fait d’en arriver là. Et, à cela, il ne vous suffit que de sourire et d’avancer ; continuer sur ce même chemin que vous aviez pris au départ. Ce, tout en retenant des leçons apprises à la rencontre de pièges et de drames parce qu’elles sont des sources de force inépuisable.
Wanna know more ? ▬ La plus grande honte du personnage ;
William se garde bien de parler de ce qu’il a du faire le soir où – pour la première fois depuis longtemps – son frère s’était de nouveau manifesté. Il n’est pas fier d’avoir dû en arriver là et ce meurtre pèse sur sa conscience avec acharnement. Il baissera automatiquement le regard si on lui évoque, il adressera un faible sourire à son interlocuteur et décampera du plancher pour fuir la conversation. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
L’enfer ne se définie que par la perte d’amis, de collègues même à ses yeux. Il se souvient de cette douleur vécue lorsqu’il avait tiré sur cet homme, sur ce même homme que lui ; physiquement parlant. Il ne supporte pas de voir les autres souffrir, il ne l’accepte pas et considère cela comme la plus mauvaise chose qui puisse arriver à quiconque. Et ça l’effraie, parce qu’il n’est pas encore totalement sûr d’avoir surmonté ses propres souffrances. ▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Le sourire des autres. Ça rappelle à William qu’il n’y pas que l’obscurité autour de lui depuis ce qu’il a dû faire. Il voit dans le bonheur des autres un moyen de parvenir à trouver le sien, à se dire que tout n’est pas perdu ; qu’il restera – quoi qu’il arrive – de l’espoir. Le paradis se manifeste à partir de là pour lui : voir les autres vivres et s’épanouir, en particulier ceux qui lui sont proches. ▬ Point faible du personnage ;
William est impulsif, colérique. Il s’emporte plus que facilement, laisse ses nerfs lâcher dès lors qu’il sait qu’il devra se battre pour garder son calme et il n’en est pas capable. Son point faible est là, il peut à tout moment perdre les rennes de ses actes, de ses mots. Et ça pourrait le perdre, le faire sombrer bien plus violemment que les souvenirs qu’il garde ancrés au fond de lui. ▬ Point fort du personnage ;
Il a une volonté de faire qui ne décroit pas avec le temps et ça ne fait qu’accentuer son altruisme envers ceux qui en ont réellement besoin. Aider le rend plus fort à chaque fois parce qu’il se rend compte que n’importe qui pourrait avoir besoin de lui, c’est ce qui lui donne ce courage de tout faire et de tout accepter dans l’espoir d’être utile et bénéfique pour quiconque autour de lui. ▬ Casier judiciaire ;
- Meurtre de son frère jumeau ; acquitté (légitime défense). - Bagarres à répétition. Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; BlackT. ▬ Âge ; 19 ans. ▬ Où avez-vous connu le forum ; Partenariats. ▬ Connexion ; 7/7 ▬ Code du règlement ; - Spoiler:
OK par Anja ▬ Exemple de RP ; - Spoiler:
L’âme d’un homme est une étendue pleine d’obstacle, de surprise ; il subsiste tout de même quelques plaines tranquilles, des endroits où seul le calme parvient à régner en grande partie. Celle d’Andrew est parsemé de ces choses-ci, elle en regorge jusqu’à ne plus pouvoir accueillir de répit, de repos quelconque quant à tout ce qu’il peut partager, toutes ces choses qu’il est capable de transmettre à la fois sans qu’elles n’aient forcément un lien entre elles. Une faculté qu’on ne peut lui enlever. Florence est venue pour ses souvenirs et il lui donne autre chose : ses surprises, son impulsivité parce qu’elles sont les seules qui puissent ramener certaines parcelles de sa vie envolée. Il tente le tout pour le tout, essaie la moindre idée qui lui passe par la tête et qui – peut-être – pourrait lui rappeler quelque chose. Andrew est un violent paradoxe. Il s’efforce à bloquer ses souvenirs, à faire taire sa mémoire jusqu’à l’emprisonner d’une cage au cœur de laquelle il ne peut pénétrer mais il l’attire, l’amadoue de ses actes, de ses choix quels qu’ils soient. Il veut tout et rien à la fois. Se souvenir sans pour autant vraiment le vouloir. La contradiction incarnée, l’incompréhensible personnalisé. Il offre à la journaliste la possibilité de voir que, pour la première fois depuis longtemps, Andrew Linch n’a pas le moindre contrôle sur sa vie. Il n’est qu’esclave de ce qui lui semble juste de faire. Ses beaux yeux bleus ne trahissent que cela. Seulement, un choix doit être fait et il le sait, il ne l’oublie pas. Ça, il ne pourra pas l’oublier. Mais il y fait face, il sait le faire, il saura le faire. « Bien sûr que je sais danser. Qui ne sait pas danser de nos jours ? » Sa main dans la sienne, Andrew ne lui offre qu’un sourire de plus parmi tant d’autres. Oui, qui ne sait pas danser ? A-t-il déjà dansé ? Si sa mémoire parvient à bloquer des choses importantes, agit-elle aussi sur ce genre de savoir ? C’est ce qu’il saura très rapidement, bien qu’il ne lui ait pas proposé que pour cela. Sa seule visite pour l’instant, son seul repère, sa seule présence. « Si vous désirez que je sois celle qui ramène cette buée dans votre esprit embrumé alors ce sera avec plaisir monsieur Linch. Mais sachez que j'attendrais le moment venu pour cela. » Il n’en sourit que d’avantage, s’approche un peu plus pour saisir son autre main. « Je n’en doute pas. » Bien sûr qu’il sait danser, bien qu’il ne se souvienne pas de la dernière fois. Mais il connait oralement quelques détails sur sa vie envolée, sur ce qu’il avait fait et perdu. Et s’il était marié, sa dernière danse remontait à cette journée-ci. Y avoir recours ici l’aidera peut-être à se rappeler certaines choses ; bien qu’il se soit convaincu du contraire… autant par certitude que par crainte d’avoir raison. Il se répète inlassablement qu’il ne réussira pas à trouver quoi que ce soit même en essayant. Et qui dit manque de volonté, dit échec. Andrew donne la sensation de vouloir s’en sortir avec tout cela alors qu’intérieurement, il se bat pour ne rien retrouver. Pas de suite. Pas de suite. Pas encore. Et le voilà à maintenir sa paume contre la sienne, allant et venant lentement comme si une musique les guidait derrière la bulle qu’ils se construisaient petit à petit. « Alors. Pourquoi journaliste ? Pourquoi ce métier-là plutôt qu’un autre ? » Demande-t-il, ses yeux cherchant les siens tandis qu’il parvient à contrôler ses tremblements, sa force, sa volonté de tenir, de paraitre plus fort qu’il ne l’est réellement. La vulnérabilité n’est pas pour lui, il ne supporte pas cet état ci alors il le combat ; du mieux qu’il le peut. Et ça le réussit tant qu’il songe à autre chose qu’à tout ce qui lui tombe dessus depuis que ses paupières se sont levés, depuis qu’il a de nouveaux pleinement senti l’air emplir ses poumons et son cœur battre contre sa poitrine, violemment comme pour lui hurler que oui… il était de nouveau là malgré le manque qui allait s’installer, petit à petit, de plus en plus au fond de lui sans qu’il ne puisse y attribuer un nom, une raison. « Dîtes-le-moi si je vous met mal à l’aise. » Rajoute-t-il finalement, songeant enfin à ce qu’elle pourrait vouloir et ressentir quant à la manière dont il fait tourner la situation. Mais même s’il le voulait, il ne pourrait s’en empêcher. Il demeurait des points sur lesquels le jeune homme n’avait pas changé, et sa manière d’attirer le monde contre lui pour ne devenir qu’une sorte de dépendance non aboutie lui est restée. Il veut qu’elle ait envie de revenir lorsqu’elle quittera cette pièce, il ne veut pas perdre la seule qui ait osé briser les frontières de la moralité. Elle aurait dû se taire à son réveil mais elle ne l’a pas fait parce qu’elle prône la vérité, l’honnêteté. Il devra lui rendre la monnaie de sa pièce, il devra faire en sorte qu’elle soit la première à entendre son histoire, sa douleur mais pour cela, il doit s’assurer qu’elle reviendra à lui ; qu’elle ne disparaitra pas par manque de patience avec le temps. Et bien qu’il fasse passer cela pour de l’orgueil et de l’arrogance, quelque chose d’autre anime ce besoin de l’avoir près de lui : la peur de la solitude. Elle est un pilier, il ne veut seulement pas l’admettre. Un virement de situation auquel il ne s’était pas attendu, Andrew baisse le regard, sourit faiblement ; son propre esprit l’amuse et l’agace. Ce manque de contrôle ne l’aidera pas. « Baissez les yeux et regardez mes bras. Les marques que vous y voyez m’ont permises de me souvenir de quelques secondes avant que je ne tombe… » Il se confie enfin, laisse sous-entendre que tout est encore possible pour lui ; bien qu’il aurait préféré oublier la douleur qui l’avait assommé ce soir-là. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Matt Smith ▬ Multicompte(s) ; / ▬ Un dernier truc à dire ? ; Vive les licornes.
Dernière édition par William Reyes le Lun 1 Sep - 16:51, édité 5 fois |
| | | MESSAGES : 2295
POINTS : 806
AVATAR : Robert Downey Jr
CRÉDIT(S) : <Chouu'>
TAG LINE : On n'est jamais mieux servi que par soit même
PROFESSION : Avocat
| Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Dim 31 Aoû - 21:40 | |
Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Dim 31 Aoû - 21:45 | |
Merci bien l'ami |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Dim 31 Aoû - 22:38 | |
Bienvenue parmi nous |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Dim 31 Aoû - 22:46 | |
Merci jolie demoiselle, |
| | | Admin - I don't cross the line I put myself on it. MESSAGES : 5603
POINTS : 3109
AVATAR : Stana Katic
CRÉDIT(S) : Me (Avatar) - Tumblr (Gifs)
PROFESSION : Flic à la Criminelle
| Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Dim 31 Aoû - 22:53 | |
On va être tout plein à la Crim' ! Bienvenue parmi nous futur rouge ! Bon courage pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Dim 31 Aoû - 22:53 | |
Oh Matt Smith super choix ! Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Dim 31 Aoû - 22:57 | |
Plus on est de fous, plus on rit Erika. *essuie les larmes de Nina en même temps* Merci vous deux ! |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Dim 31 Aoû - 23:22 | |
Bienvenue ici ! |
| | | В тихом омуте черти водятся
MESSAGES : 1115
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AVATAR : Charlie Hunnam
CRÉDIT(S) : Fatal†Error (ava) / Tumblr (sign)
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PROFESSION : Gérant du Fight Club
| Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Lun 1 Sep - 15:40 | |
Très bon choix d'avatar. Je l'ai vu récemment dans "Womb" j'ai adoré!
Bienvenue et amuse toi bien avec ce perso! |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Lun 1 Sep - 16:08 | |
Ahah, on est d'accord. Ce film est énorme. Merci vous deux! |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Lun 1 Sep - 16:52 | |
DOUBLE POST : pour dire que j'ai terminé ma fiche. |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
| Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Mar 2 Sep - 11:06 | |
Je suis d'accord, "Womb" est super Bienvenue sur le forum ! J'essaye de lire ta fiche ce midi |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Mar 2 Sep - 12:58 | |
D'accord, merci. Ah bah tiens, Eva Green justement. |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
| Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] Mar 2 Sep - 18:24 | |
Bravo ! Tu es une future victime de la Fatalité Eh bien c'est parfait pour moi ! Bon, un rouge de plus ce n'est jamais bon pour les verts que nous sommes Mais j'aime bien ta fiche. Ça risque d'être intéressant la façon dont il est torturé par ce qu'il a fait à son frère. Je te souhaite de bien t'amuser avec ça En tant que nouvelle victime potentielle, tu peux maintenant faire ta fiche de liens, de sujets, recenser ton métier, comprendre le système de points, voter pour le forum, lire les frappes pour te mettre dans le bain, et te rendre sur cette page où d'autres liens pourront t'être utiles. Bon jeu parmi nous et n'oublie pas : Personne n'est maître de son destin ! |
| | | | Sujet: Re: One gun, one breath and I. [TERMINEE] | |
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| | | | One gun, one breath and I. [TERMINEE] | |
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