| Sujet: The come Back || Bliss McFly Mar 22 Sep - 5:29 | |
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|| Identité du personnage ||
~ Nom? McFly. Prénom? Bliss. Comment? BLISS, oui, ça n'est pas commun, elle le sait merci. Ses parents ont eu il y a 19 ans la magnifique idée de lui coller un prénom aussi bizarre qu'il soit sur le dos. Enfin, Madame McFly ne dirait pas Bizarre, elle dirait originale. Bonjour L'originalité, Bliss aurait su , elle l'aurait flanquée dehors avec un grand coup de pied au cul. Mais bon, il faut vivre avec. Plus originaire de l'Arizona qu'elle, tu meurs. Son état lui vient de son arrière-arrière grand père, né Arizonien d'une mère Mexicaine et d'un père américain. Oui, oui, depuis, jamais une génération n'a quitter l'Arizona, quelle tristesse --'.Donc cela fait plusieurs générations que les McFly sont Américains aussi. Son age? Ça ne se demande pas à une femme voyons x). Mais bon, comme elle en est fière et compte bien profité de ses bonnes années de jeunesse, disons que Bliss a dans les environs de 20 ans (Si vous lisez vous, vous aurez son age véritable xD). Étudiante en cinéma, Bliss n'a pas choisit au hasard son université: C'était Columbia ou rien. Elle en avait entendu parler si souvent quand elle était gamine, que aujourd'hui, son seul rêve était d'entrer dans cette université. Et l'option Cinéma? Vous connaissez une meilleure université ayant cette option? Non? C'est normal, c'est la meilleure. Pour Bliss du moins. Mais bon, y a aussi le prix d'entrée dans l'Université qu'est mignon... Et ça, ses parents ne pouvaient pas - ou plutôt ne voulaient pas - lui payer, alors Bliss dut trouver un emploi à coté pour rembourser l'emprunt pour ses études, la meilleure solution à la Grosse Pomme: Coursière. Bref, et sinon Déclarée, Vaccinée contre la grippe, Bisexuel, Fauchée & Grande Gueule.
~ Ce jour là, il pleuvait des cordes à New York, mais ça n'empêchait pas les Business-Man de se trimbalés dans les rues bondés de la Grosse Pomme, portable scotché à l'oreille, hurlant des Bon Dieu et des Merdes à tout va. Et dire qu'on les croyait calme et respectueux... Loupé. Quand à Bliss, elle essayait de se faufiler par sa petite taille entre les gros monsieur en costard , les femmes en tailleur stricte essayant de trouver leur place dans ce monde de machos, et parfois, quelques ado, jeunes adultes ou étudiants qui étaient là, on ne sait pourquoi. Bliss était de ceux là. Mais pour une raison différente de celles de toutes ses snobinards en costard ou que ses ados en quête d'activité. Plutôt que de rester assise à un bureau pendant toute la journée ou à vendre des cookies dans Central Park. Bliss avait trouvée un peu plus original comme boulot d'étudiant. Bien plus physique mais aussi bien plus rémunéré, et oui, quand on est à Columbia, le loyer, les frais de scolarité, la nourriture, il fallait payer tout ça. & avec Papa et Maman McFly qui ne supportaient pas qu'elle soit à New York et encore moins à Columbia en Cinéma n'aidaient aucunement leur progéniture financièrement. Et pourtant, Bliss se souvenait des paroles tellement lointaine que ses parents lui avaient prononcer.
A 4 ans, Bliss jouait à la balançoire dans le grand jardin de ses parents. Comme tous les enfants, Bliss voulait voler dans le ciel et le seul moyen d'y arriver était soit d'avoir une fusée soit de sauter de la balançoire. Et comme Bliss n'avait pas de fusée à disposition, elle dut se contenter d'une balançoire. Plier et relever les jambes bien haut, replier et encore plus, encore encore encore...Jusqu'à sentir enfin le vent dans ses cheveux, cette brise caressé son doux visage d'enfant. Un petit plaisir qui ne s'oublie pas, franchement qui ne l'a pas fait? Et bien apparemment, sa mère non. Pour Bliss et comme tous les enfants de son âge, leur mère était née adulte, jamais elles n'était été enfant. Celle ci sortit en courant de la maison et cria à sa fille d'arrêter.
MAMAN : Mais tu es folle? T'aurais pu te tuer en faisant ça. BLISS : J'voulais juste voler Maman. MAMAN : Oui, et bien tu voleras quand tu auras 18 ans. Avant ça, tu es sous ma responsabilité. Allez, tu rentres à la maison.
Des parents strictes? Oui peut être. Des parents aimants? Si quand même. Bliss avait des cadeaux à Noël, à son anniversaire, elle ne manquait ni de nourritures, ni de calins, ni de bisous du soir. Mais ses parents avaient sans doute trop souvent peur pour leur petite fille unique.
Assise dans l'herbe, à 15 ans, en jean, tee shirt des Beatles et converses grises troués, Bliss "s'amusait" à compter le nombre de pétales d'une pâquerette. Bliss venait d'entrer au lycée et déjà ses notes et son comportement étaient à déplorés. A réponse à tout, ne supporte pas l'autorité, ne respecte pas les règles concernant la discipline etc. La jeune fille n'était surtout pas un modèle, mais elle n'était pas non plus la fille perturbatrice et insupportable, elle avait juste des avis un peu trop affirmée pour son âge. Les études ne l’intéressaient juste pas assez pour qu’elle soit attentive dans tous les cours. Certaines matières étaient favorisés; ce qui ne plaisaient pas vraiment aux professeurs. Ils la trouvaient agressives et impatiente, ne supportant pas les remarques et les échecs, mais c’était seulement une raison pour l’enfoncer. Vous savez quand on tient tête à des professeurs, ils n’apprécient pas vraiment alors ils leur faut bien une raison de tenir tête à une élève un peu perturbatrice. Et voilà comment Bliss se retrouvait dans de sales draps avec ses parents quand le bulletin arriva à la maison. Des moyennes positives et encourageantes, mais à coté de ça, il y avait des notes impossibles et des absences injustifiés. L'Ecole, ouais, on pouvait dire que ça n'était pas son truc. Et là, cette encore jeune fille, à l'air paisible et nostalgique, fut rejoint par son père. S'assoyant à coté d'elle avec un calme et une paix qui fit presque peur à Bliss. Celui là préparait un mauvais coup.
PAPA : Bliss, il faut qu'on parle. Tu m'explique ce que tu fous à l'école? BLISS : Lâche moi tu veux. C'est ma faute peut être si j'ai tes gènes? PAPA :: 'Me provoques pas Bliss. Tu es encore sous mon toit, alors tu te soumets à MES règles, tu entends? BLISS : Mmmh... PAPA : On en reparlera quand t'auras 18 ans. Quand tu seras majeure, alors là on ne pourrait que te soutenir dans tes choix.
Ouais ouais, cause toujours le Paternel. Aujourd'hui, 4 ans après cette conversation, Bliss était majeure, mais ses parents continuaient de la traiter comme une gamine, une petite jeunette à peine sortit du lit qu'il faudrait toujours tenir par la main. Mais, ils se plantent. Aujourd'hui, Bliss a compris qu'elle n'avait pas forcement besoin de ses parents pour vivre normalement. Aujourd'hui, elle vivait seule, dans son appartement un peu mal placé mais faisant les études qu'elle voulait. Bliss vivait enfin en pleine liberté, comme elle l'avait toujours voulut, elle & son caractère. Ah oui, parce que ,quoi qu'on puisse en croire, Bliss a tout de même de qu'on appelle un caractère de con. Plus féministe, révolutionnaire, écologique, anti-autorité, pacifiste, manifestante qu'elle, ça n'existe pas. Le stéréotype même de la fille, jeune, belle & rebelle. Waouh... Classe hein? Heureusement pour elle, les autres étudiants n'osent pas la juger. Avec son caractère à la con, certains auraient trop peur de se fâcher avec Bliss. Notre demoiselle serait, comme qui dirait... Rancunière.
Continuant sa course folle à travers New York, courant à travers ces grandes rues, parmi les taxis jaunes, aujourd'hui, c'était un certain Adams qu'elle devait livrer. Adams vous dites? C'est dans Manhattan ça? Okay, c'est bon, elle en a pour au moins une heure ^^. Ce quartier, elle le connaissait par coeur, la moindre ruelle, le moindre raccourci. Et oui, en deux ans de cavale, elle en avait mis du temps à chercher ces petites ruelles qui lui faisaient gagner quelques minutes. Et puis par hasard un jour, il y a maintenant un an et demi, elle tomba sur le Morrison's Bar. Assoiffée & en nage après une course folle, elle entra.
Devant elle, un beau jeune homme l'accueillant avec un sourire aux lèvres de derrière son bar. A sa droite, deux gars avec chacun une bière à la main la dévisageaient , eux, ils sont de Columbia. Au fond de la pièce, une longue table où était installée un grand blond seul, mais qu'elle ne voyait de le dos.. A une table pas loin du jeune homme, trois- quatre filles qui se souriaient en le regardant puis pouffant dans leurs mains.
HOMME: Je m'appelle Dale, je peux vous servir quelque chose? BLISS : Euuh.. Ouais, juste une limonade s'il vous plaît.
S'en suivit une foule d'évènement, la capacité inexpliqué de Dale à mettre les gens à l'aise. Bliss en fut ébahit. Mais parler avec lui, fut un vrai plaisir. Sans jamais parler de lui réellement, Dale arrivait à faire la conversation le plus naturellement du monde. Il lui parla du bar, des serveurs, de la vie à Manhattan, mais jamais de lui précisement, toujours avec des paroles descriptives et non personnelles. Rapidement, Bliss en apprit beaucoup sur Manhattan & aussi sur les habitués du Morrison's Bar, dont faisais partie l'homme sur les ordinateurs. Depuis ce jour, chaque fois qu'elle passait faire une course dans Manhattan, Bliss s'arrêtait prendre un verre ou deux avec Dale, pour discuter. C'était vraiment très cool comme endroit, toujours de personnes sympas avec qui discutés, toujours quelque chose à boire d'amusant, et les soirées qu'organisait Dale, même si Bliss ne pouvait pas participer à toutes, ressemblaient à des soirées intimes entre amis tant il y avait de rires. Pourtant, un peu plus d'un an après son arrivée, Bliss découvrit un homme, grand, brun, l'air sympa mais toujours le regard fixé sur son ordinateur portable. Puis quelques jours plus tard il y était et encore, encore et encore. Un vrai geek. Bliss ne put s'empêcher de demander une explication à Dale.
BLISS : Hey Dale. Qui c'est en faites le gars sur l'ordi là bas.
Dale se pencha légèrement pour voir de qui il s'agissait puis sourit en se retournant vers Bliss.
DALE :Il s'appelle Louis-Valentin. Il est arrivé à New York il y a quelques jours. Pas mal hein? BLISS : Oh La ferme! *sourit* Un vrai geek, le pauvre gars, il a rien d'autre que l'ordinateur dans sa vie? DALE :Bliss, pourquoi t'es tout le temps aussi dur avec les inconnus? C'est un mec super! BLISS : Tu me connais . Bon allez je file. Tu mets ça sur ma note.
Quelques semaines plus tard, pendant une course pour une certaine Mme Fitgerald, Bliss avait tout juste le temps de prendre un café avec Dale et arriva au bar. La jeune femme déposa son paquet et son sac sur une banquette, et se tordit le cou pour essayer d'apercevoir la tête d'un serveur. L'un d'eux arriva en souriant.
SERVEUR : Salut Bliss. Qu'est ce que je te sers?. BLISS : Salut. Comme D'hab' s'il te plait. Il est pas là Dale? SERVEUR : Ça marche. Non, il a eu une urgence.
Bliss hocha la tête sans demander plus de détails. Si le serveur n'avait rien dit de plus, c'est qu'il n'avait rien de plus à savoir, le reste ne la regardait pas. Mais, en attendant, Bliss se retrouvait bien seule dans cette grande salle. Seul personne présente avec elle, le geek encore sur son ordinateur. Prise d'un grand élan de solitude, Bliss s'approcha de lui.
BLISS : Lous-Valentin c'est ça?
Le grand jeune homme fut surpris d'entendre Bliss prononcée son prénom. Il était l'air aussi un peu contrarier. Quoi? Elle venait le déranger alors qu'il était sur des sites pas très catho'? Bliss rit. Ou alors, c'était un hors la loi, un petit caïd, le genre de gars qui a plein de choses à cacher dans son ordinateur. Il était un mystère pour Bliss. Elle le voyait tout le temps et pourtant, elle ne connaissait que son prénom que Dale lui avait donner il y a un bon bout de temps de ça déjà. Parfois, quand elle le chambrait un peu trop fort, elle avait le droit à un grognement de Louis-Valentin, mais jamais plus. Aujourd'hui était peut être le jour où elle pourrait tout éclaircir.
LOUIS-VALENTIN : Ouais. Et?
Moitié agressif en plus le petit geek là. Bliss se pencha vers lui et le regarda entre 4 yeux.
BLISS : Pas la peine d'être agressif, je viens en paix Oh Grand Geek. LOUIS-VALENTIN : *sourit* Bliss c'est ça?
Il se foutait de sa gueule là? Non? Moitié oui, moitié non. Pour une fois, Bliss fit abstraction de cette idiotie et lui répondit avec toute sa gentillesse.
BLISS : Oui c'est ça Chéri. J'espère que je te fais pas trop peur.
Et la conversation s'engagea. C'était un vrai touriste comme on les appelait à New-York, un petit français tout mignon. Peut être qu'ils pourraient devenir... Amis. Et peut être réussira t-elle à percer les secrets de LV.
Cette histoire s'est déroulée il y a déjà presque 1 mois maintenant. Retour à aujourd'hui, Bliss n'avait pas beaucoup changer depuis tous ces épisodes à part peut être celui de la balançoire. Elle avait grandit bien sur. Elle était devenue une adulte maintenant. Une adulte avec un caractère de con, mais une adulte tout de même. Avec ses qualités: Sympa, sociale, réfléchie et aussi ses défauts: Je m'en foutiste, rebelle, ne supportant pas l'autorité. La vie est simple chez Bliss. Pour l'occuper, donner lui un bon petit macho de bas et elle aura au moins 3 milliard d'arguments pour le cuisiner pendant deux-trois heures jusqu'à ce qu'il cède. Résumé d'une vie au début trop autoritaire.
~ Définition de l'enfer pour le personnage : Un monde totalement contrôlé par la riches. Même si le notre n'est pas loin de ça, on a toujours l'espoir qu'un jour cela change. Alors que la peur de Bliss c'est de ce retrouver dans une dictature ou une monarchie absolue. Quelque chose ou les riches se régalent et où les pauvres crèvent la fin. Le temps du Moyen Age pour elle est un temps horrible. Carrément déprimant. Quand elle était au collège, les profs d'Histoire étaient souvent obligés de la sortir pour pouvoir avoir la paix pendant un cours sur le Moyen Age. La politique du futur est une chose qui lui fait peur oui. Puisque nous devenons de plus en plus demandeurs de plein de choses mais égoïstement.
~ Définition du paradis pour le personnage : Devenir Réalisatrice. Mais surtout qu'elle soit reconnut. Pas connut non, la célébrité ne l'intéresse pas mais reconnut comme bonne réalisatrice. Ça ça lui plairait. Un peu comme son modèle, son idole: Gus Van Sant. Reconnut pour ses films comme Elephant, Paranoïd Park, Harvey Milk. Tous aux sujets qui dérangent, tous aux sujets merveilleux. Le rêve de Bliss. Et puis, il y a évidement le "Vivre heureuse". Une grande maison à la campagne, deux enfants courants dans le jardin, un couple se tenant la main et dans l'autre, un thé bio'. 'Fin bref, une vie normale, sans trop d'autorité. Mais un peu tout de même.
~ Groupe : Etudiants & Co
~ Taux de criminalité et pourquoi : 10/ 100. Bliss n'est pas une délinquante loin de là, c'est juste une étudiante banale, pas de drogues, pas (trop) d'alcool, quoi que. Bref, mais hormis quelques petites bagarres de temps en temps, il n'y a rien de bien méchant. Les coups de poings, ça n'est pas de la criminalité? Si ?
|| Le joueur et le hors-jeu ||
~ Prénom/Pseudo : Jack* ~ Age : 17 ans ~ Votre avis sur New York, The Dark Side : ... Je peux pas squatter. Sérieux. J'reviens mais à regret xDD ~ Où avez-vous connu le forum ? Par Daxounette ^^. ~ Niveau de RP : Minimum 50 lignes... Mon maximum n'a pas encore été testée *ZBAFF* ~ Exemple de RP : - Spoiler:
Cela faisait quelques semaines. Quelques semaines déjà qu'elle avait quittée son pays natale pour la belle ville qu'était Paris. Quelques semaines qu'elle avait quittée ses amies. Quelques semaines qu'elle avait quittée son appartement, ses études, ses bars, ses cigarettes. Mais surtout quelques semaines qu'elle n'avait pas de nouvelles de lui. Sasha. L'homme de ses envies, l'homme de ses désirs. Le père de ses enfants. Le mari rêvé. L'homme de sa vie. Mais elle était tout de même partie malgré ce bonheur. Hannah avait quelque chose à accomplir pour que son tableau soit parfait. Il ne manquait qu'une personne à son chevet. Mais quelle personne. Celui qu'elle voulait comme témoin pour son mariage, celui qu'elle voulait comme parrain pour ses enfants, celui qu'elle voulait comme frère pour elle. Dan. Dan, son cher et tendre frère. Elle savait qu'il était à Paris. Il devait y être. Ça n'était pas possible autrement. Elle avait des projets, d'énormes projets, plus farfelus les uns que les autres. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait grande, forte et elle n'était pas seule; elle avait Sasha à ses côtés. S'il avait été là, elle lui aurait présentée son Sasha, elle l'aurait invitée à dîner avec lui, Dan aurait raconté leur enfance au Texas et ils auraient ri tous ensemble de leur bêtises d'enfance. Son frère, son amour et elle. Le tableau aurait pu être parfait. Il aurait du être parfait. Mais il y avait cette raison inconnue qui fit que Dan s'en alla loin. Pour qui, pour quoi, personne ne le savait. Même sa proche petite sœur n'avait pas été prévenue. Pendant des mois, Hannah avait courut près du téléphone en entendant la sonnerie. Et à chaque fois, elle avait cru reconnaître sa voix. Mais à chaque, ça n'était pas lui à l'autre bout du fil. Alors quand elle apprit qu'il était à Paris, Hannah n'y est pas allée par quatre chemins. Son billet fut réservé avant même de savoir quoi que ce soit de plus. Le tableau parfait. Elle avait recommencée à croire.
Mais on arrive pas à Paris comme ça. Les mains chargés de valises et le sourire aux lèvres. Hannah avait alors réussit à convaincre une université de Paris de l'accueillir dans ses locaux, et grâce à cela, elle avait même obtenue une chambre universitaire. Alors au final, elle ne gagnait pas seulement un frère, elle gagnait aussi une magnifique expérience. Mais, le rêve et la réalité sont bien souvent bien différents. En arrivant à Paris, elle avait cherchée son frère. Quelques temps seulement. Les cours n'avaient pas repris et tous les étudiants étaient partis. Paris au mois d'Aout, c'est mort. Et puis, il y a le manque aussi. Ses parents, sa petite soeur, lui, ses amis, sa guitare restée à son appart' à Miami. De nombreuses fois, Hannah s'est surpris à avoir les larmes aux yeux à penser à eux. De trop nombreuses fois en quelques petites semaines seulement. Alors, elle essayait de se distraire. Par tous les moyens possibles. Sortie ciné avec ses colocataires, ballade dans le parc, séance photo idiote chez des amis. Hannah avait rencontrée beaucoup de parisiens. Mais aucuns n'étaient à l'Université. Ils travaillaient tous & étaient bien plus âgés qu'elle. Une américaine à Paris, c'est toujours amusant de lui parler. Heureusement pour elle, Hannah avait étudiée le Français au lycée, elle en gardait quand même quelques souvenirs, même si cette période n'avait pas été la meilleure concernant ses études. Donc pas moyen de savoir si quelqu'un l'avait vu ou pas. Elle qui rêvait de le retrouver dès le premier jour. Autre chose plus que désagréable, c'était le Décalage horaire. Hannah était arrivée il y a tout de même pas mal de temps, mais elle n'arrivait pas à s'habituer. Elle dormait le jour et vivait la nuit. Tant de mauvaises choses au final. Partir ainsi n'avait peut être pas été l'idée du siècle.
Et pourtant, elle continuait de vivre à Paris, dans l'attente de commencer les cours. Sortant avec difficulté les clefs de sa poche, Hannah plongea le petit bout de métal dans la serrure de sa chambre. L'intérieur, tous dormaient. Hélène, sa première colocataire, étudiante en Maths Sup', avait certainement ramener un garçon à la maison vu les chaussures noires qu'il y avait à l'entrée. Et Anaïs la deuxième, étudiante en 3ème année de Médecine, avait laissée ses fiches de Pré-révisions sur la table basse. Il était 9h du mat' et notre Miamienne ne faisait que de rentrer chez elle. Encore ce foutu décalage horaire. Des poches sous les yeux, son teint déjà pâle un peu plus blafard que d'habitude, un sourire fatigué. Doucement, Hannah referma la porte derrière elle et se dirigea vers la salle de bain. Une bonne douche la réveillerait peut être assez pour qu'elle puisse ressortir après. Froide, voir glacée même, l'eau lui fit du bien. Elle sortit de la douche avec un sourire quelque peu revigorer. Un coup de crayon noir, de l'anti-cernes sous ses yeux, et elle aurait presque l'air normale. Presque bien sur. Passant une serviette autour de sa poitrine, Hannah sortit de la salle de bain, croisant une Hélène à la gueule de bois et une Anaïs stressée par la reprise des cours. Sous les coups de 11h, un tee shirt gris des Beatles sur le dos, un bermuda en jean et un sac en bandoulière sur l'épaule, la jeune Américaine salua ses colocataires pour rejoindre le beau Paris.
Traverser le parc, prendre le métro, descendre à la bonne station, reprendre le métro, en une petite heure, elle était sur les Champs Elysées. Première direction: La FNAC bien entendu. Parmi les indénombrables étagères de cds, Hannah ne trouva pas son bonheur. Mais bon, pris d'un grand enthousiasme, elle se consola en se disant qu'elle compenserait en fringues. Dans la rue la plus chère du monde... Elle croyait rêver. Dior, IKKS et tout autres marques richissimes, Hannah les ignora. Il y avait parmi tous ses magasins de pétasse, quelques magasins financièrement potables. Et elle en trouva un. Petit, étroit, mais abordable. Avec un sourire fatigué, elle regarda les vêtements sur le présentoir, prenant des tee shirt puis les reposant un à un. Puis son prénom fut murmurer. Son coeur se mit à battre furieusement. Quelqu'un qui la connaissait? Ici? Hannah se retourna et le vit. Pinocchio. Le gay qu'elle tentait de rendre bi avant de trouver Sasha. Un éclat de rire sortit du fond de sa gorge et sans le vouloir, elle se jeta presque à son cou. Deux américains à Paris. Quel bonheur. Hannah le serra étroitement dans ses bras, bien qu'elle savait que les relations humaines n'étaient pas le fort de Pinocchio. Mais malheureusement à ce moment là, elle avait oubliée ce détail. Trop heureuse d'avoir enfin trouver quelqu'un à Paris qui puisse lui parler de son pays natale.
"Mais qu'est ce que tu fais ici Pinocchio? T'as quitter les Etats Unis? . J't'offre un café, viens. "
L'attrapant par la main, Hannah le traina hors du magasin, souriant comme une gamine devant un cadeau de Noël. Une fois dehors, elle saisit le col de la chemise de Pino' et l'attira une nouvelle contre elle. Elan de fougue aussi imprésumée qu'imprévisible. C'est à peine si elle ne l'aurait pas embrassée. Mais non, elle se contentait d'une accolade. Pour l'instant.
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Ok by Lexie ~ Avez vous signé le règlement ? : ~ Célébrité sur l'avatar : Ellen Page ~ Multicompte : Nope!
Vous vous souvenez de moi? . Non, mais je voulais juste dire que j'avais gardée mon ancienne fiche et donc que je l'ai ressortis. Mais si ça pose un problème, je recommence .
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