« Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible]
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Sujet: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Sam 22 Jan - 19:35
Feat "River PHOENIX"
(c) moi-même
(À LIRE : J'ai actuellement beaucoup de travaux à faire. J'espère que vous accepterez de garder ma fiche bien au chaud encore une semaine, histoire de repasser, d'éditer et de rajouter certains détails à mon histoire. Merci de votre compréhension)
Je m'appelle River O'Connell. On m'appelle parfois Connell. J'ai 25 ans. Je ne fais pas grand chose. Je ne fais parti de rien. J'ai parfois l'impression de n'être rien. Je viens de Seattle. Je viens de la pluie, des rues, de l'Ouest. Je traverse les ponts, je croise des visages. Je crois que je voyage. J'erre. Je comprends mal les désirs des autres, encore moins les miens.
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; Muzicons.comFlaming Lips | Feeling yourself disintegrate
▬ Histoire ; J’étais né, sans préoccupation. J’ai existé, je pouvais le dire. Sans pouvoir, sans vouloir le tout, le rien, je n’avais décidé de rien, même pas de cet instant, ce seul instant où j’ai appris à vivre, respirer, crier. Cet instant où tout se mélangeait, futilement, où j’étais le plus abandonné à moi-même. Je respirais l’air sec, aux parfums des plus aseptisés. Je respirais la vie, à l’état pur, sans esprit de conscience. Je semblais la détester, cette vie qui m’était donnée, collant de fluides des plus abjects, teinte rougeâtre, ma voix se dispersant dans la pièce emplis de ses géants sans cœurs qui m'agrippaient, m’emprisonnaient. Je n’étais rien que ce garçon immaculé, né de la plus bête façon, entouré du blanc d’un paysage industrialisé, dénué de saveurs.
Né d’une mère anonyme, d’un père qu’il l’était encore plus, j’ai vécu sans modèles. Dans mon miroir, aucun autre que moi. Fils d’inconnus pauvres, je représentais l’archétype de l’enfant né anonymement. Reculé, imparfait, j’étais inconnu à moi-même, vagabondant dans une enfance mitigé, dans une adolescence sans saveur. C’est que je ne comprenais pas cette ferveur et cette colère qui animaient les gens: je vivais dans une douce incompréhension, perdu à moi-même, loin des autres. Lunatique, je me présentais de manière incongrue dans un monde où tout le monde savait, où tout le monde s’indignait. J’étais une poussière, qui rendait les gens inconfortable de ma douceur avec laquelle je me posais, sans opinion, sans passé, sans futur. Je ne comprenais pas cette fureur de vivre: je vivais dans un présent qui ne m’enchantait pas plus que les autres. Je vivais chaque jour ni comme une délivrance, ni comme une souffrance: j’existais à peine, souffle brisé, tentant d’humer ce parfum de vie que j’avais tenté d’imaginer. Il n’en restait pas moins que, sans rester inhumain, mon cœur palpitait et mon sourire s’illuminait, de temps en temps, non insensible aux quotidiens effilochés, au peu de gens qui compatissaient avec mon caractère nonchalant, qui venait et s’en allait, libre de sentiments banals.
De mon regard nerveux, inquiet, rêveur, je cherchais, dans le jour. Je cherchais qui j’étais, où j’appartenais. Je touchais à tout, je me blessais, imprudent de ferveur, brûlant d’une malsaine curiosité de mes origines qu’on m’avait toujours caché. Né d’inconnus qui m’avaient abandonné à mon sort, sans but, sans indices, je gardais cette odeur âcre d’inconnu, dans ma bouche sèche, sur mon visage qui se faisait d’une sourde tristesse, d’un sourire doux. Mon palais enflammé, mes doigts fins, cadavériques, comme ma silhouette, je passais mes doigts sales contre un papier, y dessiner le profil du garçon que je voyais, dans la glace. Mes traits, contre le papier, étaient certes poétiques, mais vides de sens.
J’ignorais la vie, entière, qui m’avait conçue, mais surtout, j’ignorais ce faux double qui vivait l’Enfer, alors que moi, je vivait l’Indifférence. J’ignorais alors tout, même moi, qui me trimballait la peau, les os, sans savoir, sans souffrir, sans vivre.
Je sortis de l'orphelinat, à 18 ans. Mon cœur empli de Seattle, la ville de rien, de la pluie, je m'en allais. J'allais me perdre ailleurs.
[...]
Un accident. Ou peut-être quelque chose de plus brutal. Du sang. Ma tête, qui s’élance. Mes nerfs, qui flanchent. Ma mémoire qui s’arrête.
« Injured, they called me. I called myself broken. »
Je n’avais rien vu. Ça s’était passé vite. On m’a raconté un règlement de compte, une chute. Et maintenant, de mon incapacité à me rappeler de tout de mon passé. De mon incapacité fabriquer de nouveaux souvenirs.
[...]
Le temps passait.
Plus tard, j’appris à connaître. J’appris à connaître ce que j’avais fait, à Seattle, avant. J’appris à me connaître. Je m’appris, par fragments détachés, par la bouche d’autres, alors que j’essayais de retrouver des gens. Je recollais les pièces, j’écrivais sur des papiers. Je dessinais, je photographiais. Je documentais ma vie, présente, passée. J’essayais de me rappeler. J’avais traîné avec des gangs. J’étais paranoïaque, toujours nerveux. J’étais pauvre, je volais pour d’autres. Personne ne me redoutait, tellement j’avais l’air de rien, fragile.
J’étais un garçon perdu.
Je le suis toujours.
De Seattle, j’ai voulu me cacher. Les gens ont cru à ma disparition, triste. Je me dirigeais vers l’Est. J’ai continué de le faire à Chicago. J’ai accumulé les cartes, les photographies. Me perdre pour me retrouver était devenu une habitude pour moi. New York était prochaine.
J’arrivais, avec peu, sans moi, seulement mes yeux qui calculaient, mon corps qui flottait dans des tissus larges, des billets froissés dans mes poches, ivresse brillant dans mes iris de mer, discrétion engouffrant mes pas. J'étais cette confusion dans ce silence, l'ombre de souvenirs anciens, enfouis pour moi. Ma vie s'arrêtait où celle des autres commençaient.
« I am nothing, but maybe if I remember something, I’ll be someone. »
Je ne me souvenais pas grand chose de moi-même. Peut-être seulement d’une amie, à Seattle, en voyage. De photos prises, d’une aspiration inventée. Doux mensonge que de cacher ma condition, à une amie avec qui j’avais échangé des lettres, par la suite. Écœuré par l’hypocrisie des autres, je me mis à faire comme eux. J’essayais de trouver, dans mon dossier des preuves. J’entrais la nuit, j’attendais, je sentais mon cœur se rompre contre les classeurs métalliques, froids, emplis de vies dont j’ignorais, cherchant une parcelle de mon existence. Je volais en même temps ce que je trouvais, trucs hallucinogènes, drogues psychotropes, pensant bêtement que ça pouvait ramener des souvenirs.
À Seattle, j’étais une rapace. Je me promenais, j’écrivais partout, pour ne pas oublier. Je vivais dans ma tête, n’importe où. Je ne dormais jamais, sinon, je me réfugiais à l'hôpital. Après avoir tenté de me réhabiliter, l'Hôpital de Seattle décida de me rayer de leur liste, m’ayant découvert trop de fois le matin. J’ai recommencé. Un jour, un membre du personnel de l'hôpital me découvrit, une fois de plus. J’ai tenté de l'insulter, de lui faire peur. Un policier est arrivé. Je suis sorti en courant, pilules en poches, yeux cernés. J’allais à Chicago. Puis, j’allais à New York. C’était ma vie, celle de m’enfuir.
J’étais devenu sans-domicile, sans maison, sans moi. J’arrivai dans la grosse pomme il y a un mois, ne vivant que par moi-même, traînant dans les rues, ne faisant pas grand chose sinon de rassembler mes pensées vagabondes.
▬ La plus grande honte du personnage ;Je suis un cliché. Je suis une tâche, moi-même. Je n'ai pas accompli grand-chose. Je ne sais jamais ce que je fais. Je suis amnésique. Je ne cesse de documenter mon présent, pour ne pas oublier. Je ne me souviens plus comment je suis devenu "amnésique modéré antéro-rétrograde", et paradoxalement, cela m'emprisonne dans un présent alarmant, où je ne me souviens pas de grand chose et où je ne peux me créer autant de souvenirs.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;C'est de ne jamais se souvenir, ou sinon, de tout savoir. L'idée de ne pas me connaître me fait peur, mais l'idée de me connaître m'effraie davantage.
▬ Définition du paradis pour le personnage ;C'est quelque part, un peu plus loin. C'est où on ne se fait demander rien, c'est où je peux continuer à marcher dans le noir. C'est un endroit abstrait, un peu plus doux. C'est un endroit que je ne veux pas m'avouer. C'est là où mon rire s'efface, dans un murmure, où je peux passer, n'importe où, invisible. Un mort prématurée, peut-être. Ou sinon, un but à ma vie.
▬ Point faible du personnage ;Sa mémoire extrêmement défaillante, qui l'empêche de vivre sur des impressions mais sur des faits documentés, une routine, des cartes, des repères et qui le force à douter de tout, de n'importe où.
▬ Point fort du personnage ;Son sens de l'observation, infinie, pointilleux, alors que ses yeux, qui paraissent pourtant vides, brillent, vous cherche, vous, vous documentent, vous cherchent dans des pensées, contre des photographies. Sa grande discrétion lui permet de passer la plupart du temps pour n'importe qui, heureusement.
▬ Casier judiciaire ;Arrêté pour consommation et détention de drogues hallucinogènes Entrées par effraction répétées à l'hôpital Liens avec différents gangs Multiples vols à l'étalage Agressions verbales et physiques au personnel infirmer et au corps policier
▬ Prénom ou pseudo ; Je ne dis rien. Je vous laisse deviner. ▬ Âge ; 18 ans. ▬ Où avez-vous connu le forum ; Depuis un personnage mémorable qui a quitté NY-TDS, que vous vous souvenez. ▬ Connexion ; 5/7 ▬ Code du règlement ;
Spoiler:
OK by Lilah
▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ;
Spoiler:
C’est ce qu’elle me dit, un peu précipitamment, me retenant de ses doigts. Presque dos à elle, m’étant retourné, machinalement, doigts sur ma guitare, abandonnés, je caressais cet instrument, bouche entrouverte, fumée voilant mon regard, curieux, troublé.
Je n’avais jamais entendu ce timbre de voix. Je n’avais jamais entendu ce timbre, qui vibrait encore, que je sentais encore.
Les doigts d’Harry était sur mon épaule.
Je me retournai, mes sourcils se fronçant d’une enfantine incompréhension. Son sourire me rassurait. Serrant les lèvres, mon corps se dandina jusqu’à l’entrée, où je posai la clé dans la serrure, que je tournais le carton « OPEN/CLOSE ». Me retournant, j’attrapai d’une main les quelques verres qui traînaient, manière négligente, mais délicate, silencieuse.
Je me souvins de ce que j’avais vu ici, la première fois. C’était le sourire de Debbie. C’était ses lèvres colorés, sa bouche gaie, entouré de son visage maigre, de ses cheveux brûlés par le soleil. C’était, je le compris plus tard, un signe de conciliation. C’était cette invitation. J’acceptai, deux semaines plus tard, après avoir échoué à trouver un travail, jouer dans une salle de spectacle.
C’était où je vivais, maintenant. C’était un bar comme les autres, aux quelques lumières manquantes. C’est l’endroit où elle me donna des bières, il y 2 mois, tellement de bières, que je riais, sans cesse. C’est l’endroit qui devint un terrain d'expérimentation des plus invitants, sachant que je pouvais compter sur elle.
C’est l’endroit où je me couchais, épuisé de ses doigts qui passait éternellement sur ma guitare, toute la journée, moi qui me levait tôt, qui m’endormais tard. Je l’avais vu, dès les premières nuits : au début, j’avais écouté, seulement un rideau séparant nos espaces, nos rêves, son matelas, le divan où je m’étais installé.
Je l’avais entendu, elle, sans réelle gêne, alors qu’elle ne se cachait pas vraiment mais qu’elle ne dévoilait rien, qu’elle me savait étendu, la tête tournée vers la fenêtre. J’avais entendu ses doux cris, le crissement des peaux contre les draps.
Je l’avais vu, avec ses t-shirts aux slogans ironiques, aux effigies de groupes rock, elle, étendue sur le dos, le souffle coupée. Je l’avais vu, nue.
Le matin, j’allais lui préparer un café, en bas. Je prenais son briquet, j’essayais de maîtriser la flamme. Je lisais souvent. À côté, je gardais un bloc-note et un magnétophone. Je prenais des bouts de phrase, j’écrivais des accords, imaginaires. Je vivais dans un monde que je ne connaissais pas, que je connaissais mal et que Debbie me laissait vivre.
Sans m’être habitué à sa présence, je m’accordai à elle, si accommodante, elle, dont je connaissais que les conversations de fins de soirées, la plupart du temps : ses mots un peu désordonnés, charmants, alors que moi, je lui montrais ce que j’avais composé pendant la journée.
Après, je la laissais seule, finissant par connaître ses envies qui étaient pour moi inconnues, lointaines. Alors que je n’arrivais pas à dormir, un soir, je regardai à travers le tissu transparent. Je la vis elle aussi incapable de dormir, fumant. Elle me sourit. J’essayai de faire comme elle, puis j'enfouis ma tête dans l’oreiller, mes mains s'agrippant aux couvertures.
[...]
Je ne savais pas. Je ne savais pas comment fumer, ni comment réagir. J’acquiesçais doucement, la tête penchée, baissée. Je n’étais pas soumis : je ne savais ce que je faisais, la fumée de la cigarette m’empêchant de la voir, la clope me laissant un goût âcre dans la gorge.
La regardant, l’observant, elle, ses gestes qu’elle faisait si naturellement, elle, dans son univers, elle avec ses yeux, sa bouche, sa respiration qui agitait ses tissus amples qui revendiquaient toujours quelque chose, je l’attendis, tête posée contre le mur, mains jointes derrière ma tête. Je me disais qu’elle voulait entendre ce que j’avais composé.
Le désir, pour moi, n’existait que pour les autres. Je n’avais donc vécu que dans cette espérance de paix, d’entente. Je n’attendais rien : j’avais déjà tout.
Je la voyais, différente, ce soir. Il est vrai que je me retirais habituellement avant, lui laissant le temps d’être, de faire ce qu’elle voulait. D’entraîner un gars danser, alors qu’elle mettait le volume trop fort, en bas, que j’entendais sa voix unique, alors qu’elle chantait le refrain, que j’entendais, que je savais que l’autre posait ses lèvres contre les siennes, qu’il arrêtait la mélodie qu’elle faisait. La mélodie qu’elle rajoutait.
Les lumières éteintes, la pièce noire, j’attendais de la suivre, j’attendais de me faire entraîner par elle. Pleine de ses surprises, pleine de ses surprises dont je me sentais souvent trop las, trop stupide, moi, j’acceptais n’importe quoi de sa part : je savais qu’elle était tout, qu’elle était bien.
Je la suivis, silencieux, copie d’elle à ce moment. Elle m'empruntait mes hauts, je portais un de ses chandails : elle avait ses cheveux courts, maquillage dans sa figure, moi, j’avais les cheveux jusqu’à la nuque, des cernes masquant mes yeux, leurs expressions, et maintenant, leur pétillement.
Je m’étendis, plus par habitude que d’autre chose, sur mon canapé. La toile de tissu transparent retirée, je voyais son lit, défait, ses couvertures tirées. Je sentais son parfum plus que le mien. Son odeur c’était la cigarette, son rouge à lèvre, c’était ses cheveux, c’était ses yeux, rieurs. C’était ses citations qu’elle prenait plaisir à me dire. C’était ses jeux, c’était sa voix, qui chantait.
Mon odeur, moi, elle s’entendait, s’observait peu. Mon odeur, elle se lisait, dans mes textes. Cigarette dans ma bouche, j’avais posé ma guitare bon marché le long de mon corps filiforme. Regard contre le plafond, j’entamai :
‘‘This is probably the last thing people see, before death.’’
Je la regardai, qui s’approchait. Je lui souris. Je ne savais si elle appréciait ce commentaire, totalement désuet, sûrement cynique mais si vrai, débordant de ma poésie quelque peu débridée.
Mes yeux, plein de vert, plein de ses prairies, plein de ses émeraudes jamais vus, jamais touchés, jamais espérés, empli de la ville, grise, de ses verres infinis, d’elle, irremplaçable.
J’attendais je ne sais quoi. La vie passait, et Deborah était là, fidèle, moi aussi : nous étions indestructibles, sûrement, malgré mes faiblesses, malgré ses vices.
Elle représentait cette liberté que je n’avais jamais goûté, dans laquelle j’aimais m’emprisonner, le jour, en la regardant, en restant là, immobile, mais vaguant à mes pensées.
Mes doigts glissèrent vers ma guitare, sur moi, alors que des notes disparates mais s'unissant étrangement formaient une musique, un air inconnu, calme.
Fermant les yeux, alors que je sentais la propriétaire qui me jaugeait, gentiment, je continuai, aveugle, ma mélodie, sans explication, sans réel but. Mais dans le noir de mon regard, maintenant fermé, ce que je voyais, ce qui était resté imprimé, c’était le regard de mon amie. C’était ce regard, qu’elle avait eu, en me faisant cette suggestion, « de venir avec elle. »
Je l’entendais fumer, sa bouche aspirer la fumée. Je l’entendais, elle, je pouvais l’entendre, sur le mur opposé à moi, pour une fois seule, jamais vulnérable, toujours complice. Je l’entendais vivre, à quelques pas de moi, l’esprit toujours vif, cette mer d’idées, d’actions, moi, naufragé perdu, moi, ne sachant nager, secouru par cette bouée qu’elle me tendait toujours, elle, aux milles reflets, elle, mer de sentiments, elle, attirant tant de bateaux différents, elle à la fois au drapeau blanc, elle a la fois pirate, navigateur, exploratrice.
▬ Célébrité sur l'avatar ; RIVER PHOENIX. ▬ Multicompte(s) ; Non. ▬ Un dernier truc à dire ? ; Oh, douce folie de revenir ici. Je sais.
Dernière édition par River O'Connell le Sam 5 Fév - 5:49, édité 7 fois
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Sam 22 Jan - 19:38
Y avait que toi pour faire un (encore) aussi bon choix d'avatar <3 (en plus Joy Division sur l'avatar, je meurs).
Bref, re-bienvenue poulette, contente de t'avoir de nouveau parmi nous x) Tu connais le blabla, si t'as besoin d'aide, le Staff est là ! Et bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Sam 22 Jan - 19:40
Je ne sais pas qui tu es, mais River Phoenix en avatar, c'est une sacrée classe! (re-)Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Sam 22 Jan - 21:49
Moi non plus je ne sais pas qui tu es x') (enfin, je crois... ) Re-bienvenue et bonne chance pour la rédaction de ta présentation.
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Sam 22 Jan - 21:52
Je ne sais pas non plus, néant dans ma tête (je sais que c'est pas dur pour moi mais chut)
(re)bienvenue sur le forum ! Bonne continuation pour ta fiche !
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Sam 22 Jan - 21:54
River Phoenix Re-bienvenue alors et bon courage pour ta fiche (même si je ne sais même pas si je t'ai connu quand tu était déjà sur le forum ^^')
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Sam 22 Jan - 23:46
Justice | J'ai entendu mon nom, poétiquement parlant, circuler sur un autre forum... Je vois que tu es toujours ici. On se reparlera : D
Gabrielle | Mmm. SERAIS-TU...
*suspense dramatique*
Ma fiche n'est pas terminé. Il me reste des détails à préciser. Ravie que mes BOMBESSEXUELLESQUEJECHOISIpersonnages plaisent autant.
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Sam 22 Jan - 23:49
QUOI ? JE SUIS QUOI ?
Bon finissage de fiche
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Sam 22 Jan - 23:51
il me dit absolument rien le bonhomme. mais, j'approuve, il a une bonne nouille bouille. (j'vous jure j'ai pas fait exprès ._.) rebienvenue, apparemment. (ouais, j'suis perspicace, moi.)
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 0:05
et bien (re)bienvenue alors & bon courage pour le reste de ta fiche. =)
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 1:07
Gabrielle | Ahahahahah, j'étais sûre que certains fantômes du passé se raviveraient.
TU ES QUOI? ...Mmm. J'ai déjà écris avec toi?
Carabelle | On va faire du bon spaghetti : D *sors*
Sidney | Contente de voir que tu es toujours là =D
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 1:38
Aaaaaaaaaaaaaaaaaah, je sais même pas qui tu es donc je ne le sais pas si on a déjà écris ensemble xD
J'arrête de flooder
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 2:12
Re-bienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche.
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 2:25
River O'Connell a écrit:
Carabelle | On va faire du bon spaghetti : D *sors*
ohouais ! et on changera la sauce si jamais on en a marre --> bref, bienvenue (faut pas flooder, ceylemal)
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 9:04
Normalement, tout devrait être dans l'ordre. (Si ce n'était pas clair, je le précise ici : River est un touriste à NY.)
Merci pour l'accueil chaleureux
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 11:08
Je m'occupe de lire ta fiche =)
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 11:26
Me revoilà.
Alors, j'aime énormément la façon que tu as d'écrire, on en apprend beaucoup sur la manière de penser de River et le style est agréable à lire. Le problème c'est que, si tu as bien pensé à faire ressortir le caractère de River, finalement c'était un peu au détriment de l'histoire en elle même. Après une lecture attentive ce que j'ai appris du personnage c'est qu'il avait vécu 18 ans dans un orphelinat, abandonné de ses parents, et qu'il a été amnésique mais qu'il commence à retrouver ses souvenirs. Mais par contre pour ce qui est d'expliquer les éléments qui se trouve dans le casier c'est assez vague, tu les a expliqué en une phrase et je pense que ça aurait besoin d'être précisé pour qu'on y voit un peu plus clair. Est-ce qu'il trainait juste comme ça avec des gangs, ou est-ce qu'il était investi dans leurs activités ? Est-ce qu'il consommait régulièrement des substances hallucinogènes ou est-ce qu'il s'est fait pincer le mauvais jour ? Car, pour prendre en compte ton rang de criminalité, on attache une importance à la psychologie du personnage vis à vis de ses crimes et à la récidive. Donc voilà je pense que si tu rajoute un peu quelques détails sur ces points ça ira (même si je comprends la volonté de faire une fiche vague pour montrer que le personnage lui même a des souvenirs vagues)
Et aussi il faudra que tu pense à mieux lire le règlement
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 19:46
Merci.
J'ai écris un peu plus. Juste pour expliquer le mystère qui entourait la fiche, c'est qu'il est important, pour River : il vit à l'intérieur d'une histoire que lui-même ne connait pas. C'était avec mes liens que j'allais recoller son passé et clarifier les zones grises laissées dans ma présentation, comme tu le supposais.
J'espère que ça ira : )
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Dim 23 Jan - 20:16
Oui mais même si ton personnage en lui même est dans le flou, nous, pour te valider, on ne peut pas rester dans le flou. Je comprends ton point de vue, mais dans la mesure ou c'est une fiche de présentation, je pense qu'il est justement important d'expliquer ce que le personnage ne sait pas lui même pour que nous et tes futurs liens puissions y voir plus clair.
Donc, pour être sure que j'ai bien compris : Il entrait à l'hôpital par effraction pour y dormir seulement ? Et il n'y a que la fois ou les policiers et infirmiers ont voulu le jeter dehors qu'il a fait preuve de violences verbales et physiques ? Et il prenait de la drogue dans l'espoir que ça ramène des souvenirs ? Mais est-ce qu'il en prenait très régulièrement ou, quand il a vu que ça changeait pas grand chose, il a arrêté ? Et par rapport aux gangs ? Est-ce qu'il était vraiment impliqué dans leurs activités ou est-ce qu'il trainait avec eux juste pour se donner un style ? Tout en sachant quand même que les gangs n'acceptent pas n'importe qui dans leur rang...
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible] Ven 18 Fév - 20:26
Délai dépassé = direction les archives.
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Sujet: Re: « Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible]
« Can emptiness be filled? » | River O'Connell [à terminer dès que possible]