On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE]
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Sujet: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 12:42
Feat "Heike Makatsh"
(c) Mysterious
DEPARTEMENT DE LA SECURITE DES ETATS-UNIS D'AMERIQUE NOM: Velimirivna Rodch PRENOM: Svetana DATE DE NAISSANCE: 5 septembre 1984 AGE: 26 ans LIEU DE NAISSANCE : Sverdlovsk NATIONALITE:Ukrainienne TAILLE: 1m73 COULEUR DE CHEVEUX: brun COULEUR DES YEUX:bleu SITUATION FAMILIALE:fiancée a Dmitri Piotrevich Baranov PARENTS: Kapitolina Radimirivna Rodch, chanteuse et Velimir Igorovytch Rodch, mineur PROFESSION: chercheuse en armes a destruction massive RAISON DE LA PRESENCE AUX USA:engagée par la milice LIEU DE RESIDENCE ACTUEL:New York, adresse inconnue.
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
QUEEN-Don't stop me now
▬ Histoire ;(En 60 lignes minimum, pensez à ce que le caractère de votre personnage ressorte dans le récit, qu'il ne s'agisse pas d'une histoire qui ne nous apprend rien sur la façon d'être actuelle du perso.)
3 septembre 2010
« Clic… Vous êtres bien sur la boite vocale du docteur Dimitri Baranov et du docteur Svetana Rodch ; nous ne sommes pas la pour l’instant, mais si ce que vous avez a nous dire peut nous aider a sauver la planète, laissez donc un message !» Mademoiselle Rodch, ici le secrétaire de monsieur Connely, veuillez-nous rappeler dès que possible. C’est a propos de votre dossier pour Yale et…
Svetana n’avait pas eut besoin d’écouter une seule seconde de plus pour savoir que ces papiers allaient devoir attendre un peu, voire beaucoup. La jeune femme se leva donc immédiatement de son sofa et couru jusqu’au téléphone pour attraper le combiné. Lorsque l’anglais avait résonné dans leur appartement, elle aurait du savoir que l’appel serait important. On ne téléphonait pas a l’autre bout du monde du monde pour prévenir qu’une demande avait été accepté. La chose devait être importante, beaucoup plus importante.
Allo, ici Svetana Velimirivna Rodch. Parfait mademoiselle, je vous passe monsieur le maire.
La conversation avait duré de longues, très longues minutes, et heureusement pour elle, Dmitri était dans la douche à ce moment la, ce qui lui avait permis d’avoir un peu d’intimité pour ce coup de téléphone pour le plus inhabituel. A vrai dire, elle savait parfaitement que ce qui venait de lui être dit allait changé sa vie a tout jamais, qu’elle accepte, ou qu’elle refuse la proposition qu’on venait de lui faire. Elle avait légèrement peur des répercutions qui allaient suivre de cela, et pourtant, au fond d’elle même, elle savait parfaitement quelle serait sa décision, l’occasion était trop belle, la récompense trop importante pour passer a coté. Elle avait beau aimer son pays profondément, elle ne pouvait résister a ca. Et d’une certaine manière elle ne trahirai pas vraiment sont travail ni son pays, ou tout du moins elle l’espérait ; elle trouverait un moyen.
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Journal télévisé diffusé sur 5 Kanal
FLASH NEWS DU 6 OCTOBRE 2010. L’information vient enfin d’être révélée après des semaines de secret de la part de l’armée. Les rumeurs qui courraient à propos d’une trahison au sein du département scientifique seraient effectivement fondée sur des faits réels. Svetana Velimirivna Rodch, diplômée en chimie, biochimie et physique quantique, qui était aussi un des grands espoirs du pays, aurait vendu sa plus récente découverte a un trafiquant international dont l’identité n’est pas encore connue. La nature de cette découverte est encore ignorée de la presse, mais si l’on juge la section pour laquelle travaillait mademoiselle Rodch, le pire est a prévoir. Elle aurait en plus détruit toutes ses recherches et celles de plusieurs de ces collègues avant de prendre la fuite. Il est fort probable qu’elle se trouve aujourd’hui hors de nos frontières. Le département de la sécurité se dit être désolé et accablé par un tel comportement, notre pays est en phase de reconstruction, et il est parfaitement inacceptable que de telles choses arrivent. Son fiancé, le docteur en physique quantique Dmitri Piotrevitch Baranov dit ne pas comprendre l’attitude de mademoiselle Rodch. Ensemble depuis maintenant trois ans, il pensait la connaître mieux que quiconque et se dit être le premier étonné, et surtout attristé, par la nouvelle. Partie sans donner aucune indication, tout laisse a croire qu’elle ne remettra pas les pieds en Ukraine, pays auquel elle avait juré allégeance en s’engageant dans l’armée. La suite de se journal après la météo. Heureusement, il va faire beau.
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Article paru dans News of Ukraine le trois janvier 2011.
« L’INTERVIEW REVELATION DE SVETANA VELIMIRIVNA RODCH ENFIN RENDUE PUBLIQUE, LES NOUVELLES SONT ACCABLANTES.
Voilà bientôt cinq mois que le docteur Svetana Velimirivna Rodch a probablement quitté le pays suite a sa trahison qui a retourné le pays. Depuis ce jour, la nature de l’arme qu’elle a vendu a un trafiquant international, dont l’identité reste toujours malheureusement inconnue, n’avait pas été révélée. Hier matin, l’armée a enfin dévoilé la dernière interview de la scientifique avant qu’elle ne vende son travail donné à un militaire journaliste qui a préféré garder l’anonymat, le 31 aout 2010. Dans cet entretien gardé bien trop longtemps secret, mademoiselle Rodch explique en détails le fonctionnement de sa nouvelle découverte sensée amener supériorité et force a l’Ukraine. « Journaliste : Docteur Rodch, vous travaillez donc dans un des départements les plus secrets de notre armée, cela ne vous dérange pas de devoir garder le silence sur vos découvertes et recherches ? Svetana Rodch : J’ai accepté cette part du marché en signant mon contrat vous savez, et puis bon, je travail dans un environnement assez unique et exceptionnelle, je sais que des centaines de chercheurs rêveraient d’avoir le matériel dont nous disposons ici… Le but des recherches est en lui même est quelque chose qui ne se divulgue pas facilement, la création d’arme, bien qu’importe dans notre époque, n’est pas un sujet a prendre a la légère… Ne pas en parler ne me dérange pas plus que ca, nous avons tous nos secrets, et je dois vous avouez que rentrer chez moi et parler de mes recherches a mon fiancé n’est pas ce qu’il y a de plus romantique. [léger rire] J : A, la dessus, je vous comprends parfaitement… Le travail ne devrait jamais empiéter sur notre vie privée, surtout lorsqu’il consiste à créer des choses par toujours bonnes… La rumeur court dans les couloirs que vous venez de faire une découverte majeure, est-ce vrai ? SR : Pensez-vous vraiment que je serais ici si les rumeurs n’étaient pas vraies ? [elle m’adresse un sourire moqueur avant de passer sa main dans ses cheveux bruns coupés courts]. Mais effectivement, j’ai enfin réussi à créer la molécule tueuse… J’ai créé la mort à l’état pur. J : Pouvez-vous m’expliquer comment cette arme fonctionne. SR : C’est très simple, vraiment très simple en réalité, et c’est ca le plus effrayant. Il suffit d’injecter la bactérie dans un être humain, cette molécule est éliminée très rapidement par les animaux, et si l’antidote n’est pas injecté dans les dix huit heures, la personne contaminée devient extrêmement contagieuse, et elle finit par mourir, dans des conditions très peu agréables au bout de 29 heures. Le processus est donc très rapide… Les dix premières heures de la contamination se passent normalement sans absolument aucun symptôme. Entre dix heures et quinze heures, le patient commence à tousser comme si c’était le début d’une grosse bronchite. De quinze heures à dix-sept heures, la contamination est entièrement terminées et les cellules du sang commencent a être empoissonnées. Le seul moment ou le vaccin peut-être injecté est entre la dix-septième et la dix-huitième heure après l’injection. S’il est administré trop tôt, il est éliminé par la transpiration à une vitesse éclaire, si c’est injecté après dix-huit heures, c’est trop tard… Bien trop tard. De la dix huitième heure jusqu'à l’heure de la mort, les cellules sanguines commencent une apoptose rapide et incontrôlable. S’en suivent des saignements et des douleurs pratiquement insoutenables… En bref, c’est la bactérie la plus destructrice, la plus dangereuse et la plus terrifiante jamais créée […] »
Il est donc d’une importance vitale que le docteur soit retrouvé dans les plus bref délai. Nous vous rappelons que Svetana Rodch est désormais sous mandat d’arrêt international et qu’elle est demandée vivante. »
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19 juin 2006, Kiev, QG de la section scientifique de l’armée Ukrainienne Entretien d’embauche de Svetana Velimirivna Rodch,, vingt-deux ans.
-Asseyez-vous mademoiselle. Nous avons bien reçut votre CV et comme vous pouvez vous en doutez, votre profil nous semble être plutôt prometteur et intéressant pour nos recherches. La jeune femme décrispa ses mains et en posa une sur sa cuisse tandis que l’autre se déposait sur l’accoudoir de son fauteuil. Pouvez-vous m’expliquer votre parcours ? -Sans problème ! Un léger sourire prit place sur ces lèvres pulpeuses avant qu’elle ne commence ces explications. J’ai fait toutes mes études primaires a Sverdlosk ; j’y ai passé mon diplôme scientifique avec félicitation en 2000. La même année je suis partie m’installér a Berlin pour y faire de études secondaires de chimie et de biochimie. En 2005, avec mon double master en main, je suis retournée en Ukraine a Kiev, pour y travailler dans un laboratoire de pharmacologie tout en faisant un doctorat de chimie qui devrait par ailleurs être validé l’année prochaine. En parallèle de tout ca, j’ai commencé une License de physique quantique a l’université de Kiev il y a un an. -Vous parlez donc plusieurs langues. -Quatres monsieur, l’Ukrainien évidemment, l’Allemand, le Russe et l’Anglais. Elle venait de river ses deux grands yeux bleus dans ceux de son interlocuteur. -Et vous êtes actuellement entrain de faire trois activités en même temps, un doctorat, une License et une activité professionnelle. Svetana hocha la tête. Pourquoi vouloir quitter votre emploie pour entrer dans l’armée ? -Le travail que j’effectue actuellement n’est pas celui que j’envisageais. Je suis quelqu’un d’extrêmement patriotique monsieur Igorovotch et je sais que cet emploie est fait pour moi ; servir mon pays, essayer de le rendre plus fort afin de lui rendre toute sa grandeur passée tout en travaillant dans un environnement fantastique ; que demander de plus ? Si j’ai commencé un doctorat, c’est pour devenir chercheuse, pas laborantine. Elle valait beaucoup mieux qu’un simple rat de laboratoire, et elle le savait parfaitement. Svetana aimait d’ailleurs le faire comprendre a qui avait le courage de l’écouter. -J’ai appris que vous veniez de vous fiancer il y a peu. -En effet oui. Elle venait de hocher la tête et a vrai dire, elle ne savait pas vraiment qu’elle était la pertinence de l’affirmation. Elle s’était effectivement fiancée il y a a peine deux petites semaines avec l’homme qui partageait sa vie depuis huit mois déjà. Il était plus âgé qu’elle, plus âgée de huit ans, mais cela l’importait peu. Il avait été son professeur pour quelques semaines, il était ensuite devenu un conseiller pour enfin être l’amant qu’il était encore aujourd’hui. Elle n’avait pas pu résister à son accent russe lorsqu’il parlait avec passion et détermination d’atomes, de particules et de physique quantique. -Vous savez que ce travail oblige à un maximum de discrétion, toutes nos recherches ici sont absolument secrètes, dans certaines occasions un chercheur dans notre laboratoire est le seul a être au courant de ces recherches jusqu’a ce que celles-ci aboutissent. -Je sais, ne vous inquiétez pas…
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New-York, février 2011 Loft de Tana Rodch
« Fais moi confiance… Je reviendrai. Je t’aime »
Elle était partie, sans un seul mot, emportant tout avec elle en même temps qu’elle laissait absolument tout derrière elle, famille, amour, métier, pays et légalité. Un avion l’avait attendu sur un terrain déserté afin de l’emmener vers les Etats-Unis. Elle avait vu le maire quelques minutes avant de partir, dans la jungle américaine, dans le labyrinthe des trafiquants internationaux. On avait fait appel a elle pour une seule raison, pour élargir le champs d’attaque de la milice, une spécialiste en bombes chimiques, biochimiques et nucléaires passée du coté obscure de la force attireraient très certainement un bon nombre de trafiquant. Lorsque tout cela serait fini, elle avait l’assurance d’un compte extrêmement bien fourni en suisse, d’un poste de professeur a Yale, d’une place dans un des plus grands centres de recherche de New-York, et, bien évidemment, elle avait la promesse que tout, absolument tout serait expliqué au gouvernement Ukrainien, et que toutes ses recherches reviendrait a son pays. Maintenant ; il fallait attendre que tous se finissent. Pour l'instant, les choses se passaient plutot bien, personne ne savait réellement, a part ceux qui devaient le savoir, qu'elle se trouvait aux Etats-Unis, et encore moins a New York. Elle avait commencé une très légère modification de son physique, elle avait troquée sa chevelure brune courte contre une crinière, qui poussait doucement mais surement, de cheveux blonds. Ce n'était pas grand chose certes, mais il fallait reconnaitre qu'elle ne se reconnaissait plus, et qu'il était fort peu probable qu'un homme, ne l'ayant jamais vu au part avant fasse le rapprochement entre la photo sur l'avis de recherche, et la jeune femme qui faisait ces courses tous les mercredi matins dans l'épicerie la plus chère de la ville.
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14 Septembre 2010, 23h45. Kiev, centre de recherche de l’armée Ukrainienne
Svetana avait peur. Elle avait peur de ce qui allait se passait, elle ne pouvait plus reculer, c’était trop tard, bien trop tard. Juste en face d’elle se trouvait les trois seuls exemplaires de virus et d’antidote qu’elle avait crée. Il fallait qu’elle en détruise deux, le troisième quant a lui…. La jeune femme poussa un immense soupire et fit remonter ses mains jusqu'à sa chevelure coupée court afin de pouvoir l’attacher à l’aide d’un élastique qu’elle avait toujours autours du poignet. Avec délicatesse elle fit pénétrer ses mains dans les deux gants qui la séparaient encore des vaccins. Après quelques secondes d’hésitation, elle se décida à empoigner une des seringues de vaccin qu’elle détruisit, puis la seconde. Sa main se dirigea ensuite tout doucement vers les virus. Le premier disparut, suivit du second. Doucement, elle retira ses mains des gants et poussa un nouveau soupire. Avec lenteur et méticulosité, elle se mit à taper le code de 9 chiffres qui permettait d’ouvrir le caisson contenant le dernier couple de sa création. D’une main tremblante elle attrapa la dernière seringue de molécule. Elle n’avait pu se résigner a tous les détruire, il fallait qu’elle conserve au moins une de ses inventions. Le problème qui avait suivit était de savoir comment. Elle ne pouvait le garder avec elle, c’était bien trop dangereux, elle ne pouvait pas non plus l’enfermer quelque part. La jeune femme était donc arrivée à une seule conclusion, il fallait qu’elle s’injecte la mort. Il fallait qu’elle s’approche de la mort le plus possible avant qu’elle ne s’administre, le plus tard possible, le vaccin. De cette façon, les traces du virus resteront a jamais dans son sang, et les anticorps permettront de reformer un antidote. Après plusieurs minutes, la jeune femme ressortit, titubante, un point de sang sur le poignet, avec sa valise, fermée a clé, dans laquelle s’entassait chacun des papiers qu’elle avait pu écrire durant son service ici, ainsi que l’antidote, qui lui sauverait la vie dix-huit heures plus tard. Dans une heure, un virus informatique se propagerait dans tous les services de l’armée, et toutes traces des travaux du docteur Rodch seraient définitivement supprimées…
▬ La plus grande honte du personnage ;
Jusqu'a très récemment, la jeune femme n'avait jamais eut honte de rien. De temps en temps elle a forcément eut des petits moments de gêne, mais jamais elle n'avait vraiment eut honte. Depuis ce qu'elle a fait au mois de septembre dernier, elle ne peut plus le nier, la honte l'habite. Elle a tout quitter, absolument tout, et ce par égoisme et égocentrisme, ou tout de moins, c'est l'impression qu'elle en a. Partie sans rien dire et sans se justifier, elle ne sait vraiment pas comment se passera le jour de son retour.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
Avant d'être appelée par la milice, l'enfer pouvait tout simplement se résumer a : "Et si une de nos expériences se passait mal?". Depuis qu'elle est a New-York, l'enfer a terriblement changé. Il ressemble maintenant a une cage humide et infestée de rats au fin fond d'une prison de son pays, et c'est surement ce qui risque de lui arriver si jamais elle se fait attraper et/ou rentre un jour a Kiev.
▬ Définition du paradis pour le personnage ;
En temps que descendante d'une famille ayant été persécutée durant de très nombreuses générations, il serait a peu près normal de penser que la jeune femme serait on ne peut plus heureuse avec la paix sur la Terre mais venant d'une militaire travaillant a la création et a la perfection d'armes de destruction massive, la chose serait un peu ironique. Le véritable paradis, égocentrique elle l'avouera, de Svetana est tout simplement constitué d'un écran géant sur lequel seraient projetés les six Star Wars avec un son époustouflant. Il ne faut bien évidemment pas oublier le laboratoire de cuisine moléculaire ou le générateur nucléaire servant de décors, ainsi que les deux bouteilles de vodka posées sur une petite table.
▬ Point faible du personnage ;
Les relations de sociabilités avec en tête de liste les relations amoureuses. Il est très difficile pour la jeune femme de laisser quelqu'un pénétrer dans son cercle de confiance; en effet Svetana estime qu'il est parfois, et même très souvent, inutile de s'embarrasser d'amis qui ne feront que la ralentir, quand ce n'est pas reculer, dans ses ambitions. Obtenir sa confiance n'est pas une chose aisée, mais une fois qu'on la, vaut mieux ne pas la laisser tomber. Ça ne veut pas pour autant dire que la demoiselle est associable, la preuve, elle a réussi a trouver quelqu'un acceptant de l'épouser, mais la plupart de ses "amitiés" sont a usage limité dans le temps.
▬ Point fort du personnage ;
Sans trop de surprise le point fort de la demoiselle est les sciences. Tout ce qui s'approche de prêt ou de loin a des sciences pures a le don de passionner Svetana. Ayant d'immense facilité dans ces sujets, la plupart des problèmes n'en seront pas pour elle, et il ne lui faudra que quelques minutes pour les résoudre. En plus de cela, l'ukrainienne possède une sorte de don pour expliquer ce qui la passionne.
▬ Casier judiciaire ;
Crimes réellement commis : - Desertion - Trahison - Destruction de biens de l'état Ukrainien Crimes réalisés pour le compte du gouvernement américain: - Trafique d'armes a destruction massive - Immigration illégale
▬ Prénom ou pseudo ; Gen ▬ Âge ; 18 ans! ▬ Où avez-vous connu le forum ; C'était l'élement mystère de ma classification périodique, j'ai pas pu résister ▬ Connexion ;(Mettez-vous une note sur 7) on va dire... 7/7 mais niveau RP un peu moins, meme si je devrais remonter la pente les amis! ▬ Code du règlement ;
Spoiler:
OK by Fitz
▬ Avez vous signé le règlement ; [ X ]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ;
Spoiler:
UCL Library, 3.23 PM
La bibliothèque, encore et toujours la bibliothèque. Plus qu’en lieu d’étude, c’était une deuxième maison... Abigail regarda une nouvelle fois autours d’elle ; la salle était pratiquement vide et comme d’habitude, un silence de tombe y régnait. La jeune femme passait son temps assise à la même table, les mêmes crayons en face d’elle, le même thermos de café plus que noir à sa droite, à prendre des milliers de notes sur les centaines de livres qu’elle feuilletait avec application. Le second de sa troisième année d’étude avait commencé, et le travail se faisait de plus en plus important. Il fallait reconnaître que ca ne la dérangeait absolument pas, après tout c’était elle qui avait décidé de faire des études d’histoire spécialisées dans la politique et la civilisation latine. Elle n’était d’ailleurs pas la seule dans ce cas la, la jeune demoiselle de dix-neuf ans a peine avait réussi a monter un groupe d’une petite vingtaine de personnes qui comme elle, avaient diviser leur temps entre trois endroits : la fac, la bibliothèque et les pubs. Le rythme de vie n’était pas toujours facile et les huit heures de sommeil recommandées quasiment jamais atteinte, mais elle ne s’en plaignait pas, bien loin de la, elle adorait. Ce qui éclairait encore un peu plus sa vie d’étudiante londonienne était la présence de son ami d’enfance a quelques minutes a peine de la ou elle vivait. Ils n’avaient jamais vraiment rompu les liens lorsque le jeune homme avait cessé d’aller à Naples, ils avaient juste arrêté de passer des étés ensemble… Tout du moins, c’est ce qu’Abi aimait a se dire. D’ailleurs, en parlant de lui, elle aurait du être avec lui depuis a peu près neuf heures du matin, à faire la queue, encore et encore, juste pour le plaisir de voir la joie et l'énervement mêlés dans ces yeux ; mais elle n’y était pas. Pas cette fois, elle n’avait pas voulu l’embarrasser et le distraire dans un jour aussi important que celui-la pouvait être. Elle attendrait le lendemain, le moment ou il s’y attendrait le moins, comme toujours, ils ne s’étaient pas vu depuis deux longues, trop longues semaines, il pouvait bien attendre un jour de plus. Jefferson Kavanagh… Ce nom courrait sur pratiquement toutes les lèvres ces derniers temps, surtout dans sur celles de la secte des étudiants en histoire. Son premier livre venait de sortir en janvier de cette année deux-mille quatre, et en quelques semaines a peine, il s’était avérait être un véritable best-seller. Pourquoi ? Abi ne savait pas vraiment, elle était tout simplement on ne peut plus heureuse pour son ami que le succès ait frappé a sa porte, elle avait pour sa part acheter huit livres, dont sept étaient toujours parfaitement emballés et rangés dans son carton « IMPORTANT THINGS ». Elle aurait voulu se procurer la toute première copie mais elle n’avait malheureusement pas pu, la femme de Jeff avait été plus rapide, ou peut-être tout simplement privilégiée. Penser à Diane venait de l'énerver sans qu’elle s’en rende vraiment compte, la jeune femme venait de casser la mine de son crayon. Avant même d’avoir pu rencontrer la demoiselle, Abi l’avait détester, elle l’avait détester de tout son être. Encore maintenant elle ne pouvait la supporter ; à chaque fois qu’elles se voyaient, l’italienne se fermait comme une huitre et se transformait en parfaite harpie froide et insupportable au possible. Autant dire que ce n’était pas le grand amour entre les deux femmes ; et pourtant elles avaient quelque chose de précieux en commun : Jefferson. Abi poussa un très long soupire avant de se replonger dans ses livres ; elle irait le féliciter plus tard, quand il serait seul….
Notting Hill 11.26 PM
La jeune femme venait de poser sa main sur le mur blanc de la bâtisse avant qu’elle ne s’effondre avec soulagement contre la construction, tenant fermement la meilleure bouteille de rhum qu’elle avait pu trouver a une heure aussi avancée de la nuit ainsi que le tout dernier paquet de biscuits au chocolat. Elle avait quitté la bibliothèque aux alentours de dix-neuf heures pour se rendre très rapidement chez elle avant de sortir, une fois de plus avec quelques amies dans leur pub préféré. Comme à son habitude, elle avait bu, beaucoup, et comme à son habitude quand elle buvait, son esprit commençait a s’emballer et arrivait à des conclusions et a des idées parfaitement absurdes. C’était donc ainsi, le sang empoisonné de vodka, qu’elle était arrivée au concept qu’il était nécessaire, voire vitale, qu’elle aille voir Jeff a son domicile dans le plus court délai possible. C’était donc ainsi que la jeune femme s’était lancée, en talon, les jambes nues sous sa jupe, grelottante de froid malgré le manteau qu’elle avait enfilé, et titubante comme un bébé ne sachant pas encore vraiment marché, dans la terrible excursion censée la menée a Notting Hill. Et elle avait réussi ! Il lui avait certes fallu plus d’une demie heure pour faire un trajet qui ne prenait habituellement que dix minutes. Abi poussa un très léger soupire avant de se redresser pour aller composer les codes ouvrant la porte de l’immeuble, c’était bien une des rares choses qu’elle était capable de se souvenir après avoir bu autant. Elle savait que l’épreuve la plus dure l’attendait : les escaliers. Une marche, quatre marches, six marches, l’escalier qui tourne, neuf marches, quinze marches, le vertige, l’horreur, mais elle tenait, il fallait qu’elle tienne. Enfin la jeune femme arriva devant la porte. Un sourire s’étala sur ses lèvres, elle avait réussi. Sa main libre se contracta en un point qui alla frapper trois coups forts contre la porte, comme à son habitude, on ne changeait pas une équipe gagnante après tout, elle n’attendit pas de réponse et poussa la porte, qui par miracle était ouverte, et entra dans l’appartement. Elle prenait toujours un grand plaisir à redécouvrir ce lieu qu’elle connaissait par cœur. Quelque part entre le salon et l’entrée, elle laissa tomber son manteau.
JEEEEEEEEFFF !
Elle fit encore quelques pas et arriva dans la salon. Elle était trop concentrée sur ses pieds et sur ou elle allait pour s'intéresser a ce qui l’entourait. Elle n’avait pas vu que son ami n’était pas seul, elle n’avait même pas vraiment remarqué que la lumière était allumée et qu’il y avait beaucoup de bruit pour une telle heure.
J’ai du rhum et des biscuits ! Je suis sure qu’aucun de ces coincés du derrières qui te servent de manager ou je sais pas trop quoi n’a eut l’idée de célébrer ton succès comme il se doit !
Abi tituba très légèrement avant de lever la tête. Elle n’était pas seule, loin de la. Autours d’elle, plusieurs visage, dont un qu’elle reconnu comme celui du ministre de la culture la contemplaient avec effarement. Elle était mal, très mal ; et son idée lui étant apparue comme fantastique et sans défaut venait de se transformer en quelques secondes a peine en un plan catastrophique.
Oups….
▬ Célébrité sur l'avatar ;Heike Makatsch ▬ Multicompte(s) ; Yepeeeee, et je crois bien que c'est par Delilah! ▬ Un dernier truc à dire ? ; J'aime les chauve-souris, et si j'étais vous, j'irai acheter des capsules d'iode!
Dernière édition par Svetana Velimirivna Rodch le Lun 21 Mar - 21:49, édité 12 fois
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 13:40
JUMELLE DE DOUBLE COMPTE Re-bienvenue Bonne chance pour ta fiche!
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 13:49
Re-bienvenue
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 13:54
Re bienvenue Geeeeen
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 14:08
Bienvenue !
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 14:15
(re)welcome parmis nous, comme Jazz (ton jumeau de DC -sbaff-) tu connais la chanson, le staff est là, ton code est tout bon et bon courage ma puce
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 15:02
Re-bienvenue parmi nous et bonne continuation J'ai hâte de voir ce que va donner ce nouveau perso + j'adooore ce prénom (j'adore les prénoms a consonance de l'est en règle générale ^^)
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 21:58
re - Bienvenue sur le forum (: Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 22:04
• Merci a vous tous!!!
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Jeu 17 Mar - 22:48
OOOooooh Ukraine <3
Bref, re-bienvenue poulette, hâte de voir ce que va donner ce perso dont le début me semble fort prometteur 8D
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Ven 18 Mar - 11:42
Bienvenue une nouvelle fois et bon courage pour ce qui te reste à écrire.
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Dim 20 Mar - 0:02
Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche ^^
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Lun 21 Mar - 12:55
• Merci a vous trois!
Je pense bien avoir terminé!
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Lun 21 Mar - 13:07
Je m'occupe de la lecture de ta fiche
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Lun 21 Mar - 13:44
Me revoilà
Bon que dire, que dire... Déjà, sur la forme, je n'ai aucune remarque à faire il y a quelques petites fautes de syntaxe ci et là mais à vrai dire elles sont rares et sont probablement plus du à de l'inattention qu'autre chose.
Sur le fond, je trouve le personnage très intéressant. J'ai juste quelques questions pour être sure que j'ai bien tout compris : ▬ Elle n'a jamais vendu ses inventions à un trafiquant international ? C'est ce qui a été dit mais en réalité elle a tout détruit et la seule dose qu'il restait elle se l'est injectée ? C'est bien ça ? Ce qui fait qu'il n'y a plus aucune trace de ce virus et que personne ne pourra l'utiliser à mauvais escient même si tout le monde pense que c'est encore possible ? D'ailleurs c'est très malin de la part du maire de jouer là dessus j'ai beaucoup aimer cette idée de faire passer une scientifique en arme à destruction massive pour une terroriste afin qu'elle soit lourdement sollicitée par les trafiquants et criminels en tout genre ▬ Est-elle surdouée ? Ou en avance ? Car je la trouve assez jeune pour être déjà embarquée dans l'armée avec double cursus universitaire + doctorat en cours. Tu dis qu'elle a eut son diplôme scientifique (donc équivalent du bac je suppose) en 2000, elle avait donc 16 ans contre en moyenne 18 ans. Ce n'est absolument pas un problème en soi, c'est, encore une fois, pour être sure que j'ai bien tout compris
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Lun 21 Mar - 21:43
• Plif plaf plouf !
Navrée pour les fautes, si je le temps ce matin, je repasserai dessus afin d'en enlever quelques une. - Effectivement, elle n'a jamais pu se résigner a vendre/donner le virus, sachant parfaitement le drame que ce serait s'il était réellement entre de mauvaises mains. Tout le monde pense qu'elle l'a vendu pour une somme faramineuse, alors qu'elle se l'est tout simplement injecté. - Après au niveau de la fac, elle est tout simplement en avance d'un an, et vu qu'elle est de fin d'année, elle a aussi commencée l'école un an plus tôt, ce qui fait qu'au final elle a débuté la fac a 16 ans.
En bref, tu avais tout bien compris!
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE] Lun 21 Mar - 22:51
Non, vraiment pour les fautes elles sont très rares donc ce n'est pas dramatique du touuut. Pas besoin de t'excuser
Bien, merci de m'avoir donner toutes ces informations. Je te valide donc avec plaisir notre petite milicienne D'autant que, d'après ce que j'ai lu, tu as très bien assimilé tous les principes de la milice donc je n'ai rien à redire
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Sujet: Re: On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE]
On m'a dit d'ouvrir ma gueule, alors je l'ouvre! Ø Svetana Ø [TERMINEE]