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| | [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Mer 3 Juil - 15:58 | |
Identity Card
Feat "Julianne Hough"(c) BOO |
▬ Nom ; Callaway ▬ Prénom(s) ; Heaven (Ariel) ▬ Surnom(s) ; Marilyn ~ ▬ Âge ; 27 bougies, ça frôle la pyromanie ▬ Nationalité ; Bleu, blanc, rouge, USA Baby ▬ Groupe ; Autorités ▬ Statut et activité dans la vie ; 27 ans, native de Boston, acharnée, passionnée de justice, de vernis à ongle et de crème glacée au chocolat. Depuis quelques mois, agente de police sous couverture, elle se fait passer pour une prostituée du nom de Marilyn. Catastrophe ambulante, téméraire intrépide au jugement dysfonctionnel par moment. Ah et, échec cuisant en relation sentimentales pour vous servir ? ♥ ▬ Orientation sexuelle ; Carotte lover - Hétérosexuelle
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Undisclosed desires - MUSE ▬ Histoire ;
PRINTEMPS 1992 ∞ « Vous connaissez ma femme, Isabella, et voici mes deux filles : Heaven – 6 ans et Madisson, ma petite dernière de 4 ans.» Souliers vernis, sourire beaucoup trop prononcés, bouclettes immaculées, sans parler d’une robe griffée, tel était mon quotidien en tant que Callaway. Parader tête haute, jouer aux poupées humaines pour le bon plaisir de mon paternel, rien de bien glorieux, rien de plus qu’une cage. Une cage dorée, mais un sentiment de captivité malgré tout. Et pourtant, nous étions les filles chéries de nos parents, de vraies petites princesses qui avaient tout ce dont nous pouvions rêver… et la pression qui vient avec. Meilleurs écoles, plus beaux vêtements, tout était à notre porté… S’il faut donner un point positif à ma famille de carte postale, c’est bien les sentiments qui les unissaient : vrais, forts. On me les a imposé dès mon plus jeune âge, j’étais l’ainée après tout, et Maddy se devait d’être ma meilleure amie et ma protection, sinon à quoi bon avoir une jeune sœur…Nous faisions tout ensemble, bien que jamais d’accord sur rien, notre duo de démones était le plus redouté du voisinage. Si je ferme les yeux, encore aujourd’hui, je ne vois rien dans mon enfance que l’abondance et la joie qui vient avec l’ignorance. Mon monde était encore fait de barbe à papa.
SEPTEMBRE 2002 ∞ Assise sur le lit de ma sœur, je soupirais en la regardant faire. Maddy attrapait le plus de vêtements et de possession possibles et chargeaient un énorme sac en jurant à voix haute. Et moi? Je tortillais une mèche de cheveux, il faut dire qu’après une dizaine de fois ses menaces étaient bien vides de sens pour moi… Ce n’était pas sa première dispute avec les parents, et certainement par la dernière, mais cette fois, quelque chose c’était brisé en elle. Je pouvait le voir dans sa façon de réagir… Elle qui était normalement si émotive, retenait ses larmes et réagissait avec une fureur calme. Comme si elle se détachait de nous, comme si cette fois, c’était la dernière. Je pouvais la voir se déchirer intérieurement entre son attachement à notre famille et son besoin de liberté, entre ses ambitions et l’opulence qu’on lui offrait… Et pour tout voir dire, j’avais peur, j’avais la trouille, la quasi-certitude de ne jamais la revoir si je la laissais franchir cette porte. C’était comme une angoisse sourde qui me tordait les tripes et, avant d’avoir pu me retenir, j’avais saisis son poignet. Maddy était tellement forte, grandiose, pour moi qui n’avait jamais pensé à me soulever, car trop passive, elle était le dragon fier et admirable qui prenait sa vie en main… Et je l’admirais, bien que je n’en disais mot. Sentant qu’elle ne pourrait mettre son plan à exécution, ou que j’étais le dernier lieu qu’elle voulait briser, ma cadette s’était dégagée avec rage : « J’tai dis que je ne reviendrai pas! Essais pas de me faire changer d’idée Heavy’ ! J’étouffe ici! J’men balance de leur billets et de leurs prestige! C’est MA vie! J’les hais! J’les hais tous et toi avec! » Peu importe le nombre de fois où elle défile ce souvenir dans ma tête, je ne peux conclure qu’une seule chose : j’aurais du être calme. Maudit soit ma fierté! Blessée par ses paroles, et prompte à sauter sur la première excuse pour ne pas être celle qui bousillait notre complicité, j’ai rageusement fichu tous ses vêtements dans la valise en contenant tant bien que mal ma fureur. Tant mieux si elle voulait partir au fond! Elle n’apportait que honte et embarras à la famille. Elle qui me mettait presque en tête des idées de liberté! Tant mieux pour elle! Hors de moi, j’avais balancé son sac en bas des marches, ne tentant même pas de la retenir pendant qu’elle jurait ne jamais vouloir me revoir. Au fond… je pense que je n’avais pas saisis à l’époque, la sincérité de ses propos.
JANVIER 2004 ∞ « Je vais soulever le drap et vous me direz s’il s’agit de votre sœur… » Mon cœur battait à tout rompre depuis que j’avais eu l’appel, depuis que j’avais entendu la tragique nouvelle. Selon toute information, une descente policière avait mal tourné et dans la mêlée, quelques trafiquants de drogues et des prostituées avaient perdu la vie, de même qu’un ou deux flic. Des noms sans visages…Tous, sauf ce corps qu’on me demandait maintenant d’identifier dans la morgue de Boston. Je n’oublierai jamais ce sentiment de culpabilité, cette sensation qui m’envahissait alors que je reconnaissais les traits de ma sœur. Je sentais le plancher se dérober sous mes pieds et la nausée me gagner pendant que le légiste soulevait le drap qui masquait le visage inanimé de Madisson Callaway. Deux années avaient eu raison du teint de pêche et de la peau immaculée de ma jeune sœur, laquelle était désormais ravagée par les abus de toutes sortes. Des marques ornaient ses bras, aveux silencieux de son addiction à l’héroïne. Ses joues étaient creuses et ses boucles d’or, plus qu’un vilain souvenir. Là, comme ça, on aurait dit une gamine qui dormait… Ma pompe à sang s’emballait, je voulais hurler mais rien, rien de plus que les larmes… alors que je réussissais péniblement à confirmer qu’il s’agissait bel et bien de ma cadette. À cette époque, j’aurais certainement eu besoin de me confier, mais mes parents agissaient comme si je n’avais jamais eu de sœur, comme si tout cela n’était qu’un cauchemar… et ils finirent, à force de thérapie et d’acharnement, à me forcer à reprendre ma vie en main.
JANVIER 2008 ∞ « Je vous déclare maintenant mari et femme… Vous pouvez embrasser la mariée. » Je me souviens parfaitement avoir passé la cérémonie entière à fixer la place vide – je n’avais voulu aucune autre demoiselle d’honneur – qu’aurait du occuper ma sœur. C’était pire qu’une obsession, cette idée me hantait. Je pense que le fait de n’avoir jamais pu savoir ce qui lui était réellement arrivé, de ne pas clore ce chapitre m’empêchait de passer à autre chose. Et pourtant, je venais de me faire passer la bague au doigt, d’acheter une maison et, nous parlions même d’enfants. J’aurais du être heureuse…Au fond, le monde entier me disait que j’épousais l’homme parfait, que ma vie était un conte de fée, si bien que j’avais presque fini par y croire. Après tout, mes études en criminologie avaient porté fruit, je venais d’être recrutée par la police de Boston comme enquêteuse et ma première enquête avait été un succès, me permettant de me tremper dans les gros bassins. J’étais respectée par mes pairs, j’avais un mari amant et franchement, la recette du bonheur. Alors qu’était ce déchirement qui me hantait? Quelle était cette sensation de vide, de désespoir qui me prenait dès que je prenais la peine d’y penser? J’osais croire que c’était normal… jusqu’à lui. Il s’agissait d’un collègue débarquant de New-York - Zachary de son prénom, un consultant pour un cas particulièrement tordu de trafique de stupéfiant – ma spécialité. C’est autour d’un café que nous avons tout bonnement abordé le cas de ma sœur – ou plutôt, de la tuerie de Boston survenu 4 ans plus tôt. Apparemment, le réseau avec décidé de se relocaliser vers la grande pomme et, dès que l’affaire sur laquelle il bossait déboucherait, il comptait bien regagner la civilisation et œuvrer à débâtir ce réseau. Sans lui révéler mes motifs véritable – on ne m’aurait jamais considéré en sachant que j’étais personnellement impliquée dans ce cas – je lui ai demandé de me recommandé au service de police de New-York. Un mois plus tard, il partait et je retournais à ma vie parfaite, imaginait ma demande mise aux oubliettes.
OCTOBRE 2013 ∞ Talons aiguilles, rouge à lèvre écarlate et la tenue la plus dégradante que je n’ai jamais porté de ma sainte vie, je souriais, faussement, pour le plaisir de vieillards à la bourse bien remplis alors qu’on annonçait « Marilyn » pendant que je prenais place sur scène, prête à me donner en spectacle. Comment suis-je passée de future femme au foyer à strip-teaseuse en moins de cinq ans? Simple. C’était il y a deux ans, jours pour jours. À l’époque, tout allait bien au boulot, mon mari était exceptionnel et je peux avouer sans crainte, que j’étais amoureuse de lui autant que faire se peut. Ma vie était rangée, prévisible et stable, tout ce dont j’aurais pu rêver. Une énorme maison, des chambres vides et une ribambelle d’enfants in progresse. Ce soir là, j’étais assise sur le bord du bain à atteindre que mon fichu test de grossesse affiche la grande révélation! Des mois qu’on essayait, des mois que je tentais tant bien que mal de me reproduire! J’étais à deux doigts de savoir lorsque mon cellulaire s’était mis à sonner. S’il y a une chose qu’un flic sur appel fait tout le temps, c’est de répondre. De mon ton le plus froid, j’avais donc décroché sur un « Callaway » très formel, juste assez pour reconnaître la voix au bout du fil : Zachary. Après des années, il se décidait à me joindre! Et pas pour parler météo. N’y allait pas par quatre chemin, il m’exposa la situation : un poste était ouvert à New-York, il leur fallait du sang frais et idéalement, un nouveau visage pour un poste sous couverture. Ils avaient besoin d’une flic expérimentée pour infiltrée un réseau de trafiquant, le même réseau qui, des années plus tôt avait eu raison de ma jeune sœur…C’était plus fort que moi, cette vieille obsession refaisais surface et, évidement, j’ai accepté sans même penser aux conséquences. Il me faudrait partir, tout laisser derrière, mon mari, mon boulot, ma vie. Et sur le coup? Je n’ai pas hésité une seconde à le faire. Égoïstement, je me disais que mon cher et tendre s’en remettrais, qu’il referait sa vie et me penserait morte. Et pourtant, dès que j’ai eu reposé la combiné, déterminée à tout plaquer pour mon désir de vengeance, le fichu test affichait positif….
AUJOURD’HUI ∞ Nous voilà donc, 2014. Je suis sans attache, prétendument morte aux yeux de ma famille et relocalisée à New-York. Quitter cette maison avec rien de plus qu’un collier offert par l’homme que j’ai épousé fut la chose la plus difficile que j’ai eu à affronter dans ma vie. Il m’avait tant donné et moi, je jetais tout cela. La vérité c’est que j’avais une peur panique de m’attacher, de l’aimer à ce point et de le blesser. De le blesser par mon acharnement et mon incapacité à laisser le meurtre de Maddy rester du passé… Alors j’ai tout laissé derrière, sans un mot, sans une excuse, jouant la morte alors que j’avortais ma vie parfaite au même moment que notre enfant à naitre. Tout pour devenir cette flic obsédée par son besoin de justice.
Dernière édition par Heaven A. Callaway le Ven 5 Juil - 1:48, édité 8 fois |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Mer 3 Juil - 15:58 | |
Wanna know more ? ▬ Relations ;
Solitaire dans l’âme, très peu d’amis et des confidences uniquement pour son chat – lequel partage son horaire chargé et son appartement. Sa famille la pense morte, ses collègues de travail ne peuvent pas l'approcher sous peine de griller sa couverture bref, elle est pas mal seule... Ses rares relations sont prudentes et un peu forcées… Sinon côté cœur : c’est le désastre. Elle accumule les problèmes de sélections et la quasi-totalité de ses ex ont passé du temps derrière les barreaux… ▬ Physique ; (100 mots minimum)
Plutôt petite – naine (è.é mais c’est suicidaire de lui faire remarquer…)- elle ne dépasse pas les cinq pieds trois pouces, et encore, de justesse hein… Vraiment, pour un officier de la loi, elle n’a pas la tête de l’emploi… Elle semble encore plus frêle et minuscule dans son uniforme, vraiment, rien d’enviable, elle n’est là que pour remplir les quotas d’engagement féminin…Sa silhouette est tout aussi délicate : des membres fin, des formes discrètes et des bras pas plus menaçants que ceux d’une enfant… Sans être une planche à pain, elle a des courbes discrètes mais néanmoins bien présentes. Le fait qu'elle soit très mince l'aide tout de même à avoir l'air mieux développée car elle n'a pas un kilo en trop pour fausser les données : elle est même peut-être trop mince par moment – ça donne l’impression qu’elle pourrait se briser au moindre coup… è.é Mais cette chose est armée, attention Ses cheveux longs ont une teinte blonde aux reflets roux - dont elle nie l’existence, refusant d’emblé d’être associée à une créature sans âme!
▬ Caractère ; (400 mots minimum)
Heaven est une personne extrême et radicalement contradictoire. Il suffit d’analyser les axes centraux de sa personnalité pour le saisir. Tout d’abord, elle est déterminée, téméraire et entêtée, parfois beaucoup trop pour sa propre sécurité. Ce qui devrait l’effrayer ne lui tire même pas un tremblement. Certains blâment sa naïveté, un brin de stupidité mais il n’en est rien. Ce qui la pousse, c’est la curiosité, le besoin de vengeance et celui-ci est assez fort pour réprimer tout le reste. Blondie a une détermination à toute épreuve. Ne tenter pas de la retirer d’une mission sous prétexte qu’elle est trop dangereuse ou qu’elle risque d’avoir peur, la crainte elle, elle ne connait pas. Les arguments tels que « tu risques de te faire tuer » ou n’importe quoi d’autre basé sur des peurs typiques ne suffisent pas à la freiner quand elle a une idée en tête. Fonceuse et instinctive, c’est sans doute cette capacité de réaction rapide, ce sang froid éternel qui lui a valu une place dans la police malgré sa petite taille. On s’entend, elle est tellement minuscule qu’elle ne doit pas être très intimidante. Peut-être, mais une femme, même petite, qui n’hésite pas une seconde avant de tirer, c’est quand même une arme… C’est précisément ce trait de sa personnalité qui lui a valu un rôle important malgré son jeune âge : elle a assuré lors de sa propre mission et a gravit les échelons en gagnant le respect de ses pairs. Heaven, c’est celle qui accepte les plans les plus risqués dans même un petit tremblement, elle va même jusqu’à demander à être affectée aux postes les plus dangereux. D’ailleurs, c’est pour venger sa sœur qu’elle a fini comme une flic sous couverture.
Bon on a compris qu’elle est téméraire et qu’elle aime les sensations fortes, mais encore, elle est quand même policière…elle ne doit pas être si stupide que ça non? Les apparences sont parfois trompeuses… Malgré son manque flagrant de jugement dans la vie de tous les jours (comme par exemple laisser ses portes déverrouillées, ou draguer le nouveau pimp en ville), notre petite demoiselle était une élève très disciplinée et réellement studieuse, elle est rudement brillante. Première de classe et vive d’esprit, elle avait tout ce qu’il fallait pour être enquêteur, raison pour laquelle sa taille et sa force physique on que très peu compté dans la balance…
Secondo, son égoïsme. Pas tant volontairement que par nécessité. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’Heaven, lorsqu’elle a une idée en tête – lire ici venger sa sœur – il n’y a que cela qui ait de l’importance, peu importe ce qu’elle perd dans le processus. Autodestruction? Probablement. Lorsqu’elle a accepté un poste sous-couverture et quitté Boston, elle a abandonné derrière elle un mari et une vie rangée. Sans une hésitation, elle a feint son décès et tout abandonné. Si elle a des remords? Oui. Si elle le montre? Jamais! Son assurance, cette carapace froide et distante qu’elle affiche parle d’elle-même. Bien qu’elle ait l’air forte, une partie de son inconscient est déterminée à se punir pour cela… Elle a démoli quelqu’un à qui elle tenait? Et bien, elle s’inflige le même traitement… Doit-on vous parler de son ex braqueur de banque, de l’autre qui vendait de l’héroïne… pas de grands calibres, mais il faut bien commencer quelque part… De toute façon, pour découvrir ce qui est arrivé à sa sœur, franchement, elle écarterait les cuisses facilement. Heaven est terriblement directe, têtue et incroyablement dépourvue de gêne. Cette petite blonde est totalement fonceuse et elle se fiche bien que la partie adverse ne soit pas d’accord avec son point de vue. Elle s’impose et c’est comme ça sur tous les aspects de sa vie. Il n’y a que sa façon de penser qui compte et, bien qu’elle respecte celle des autres, en bout de ligne, elle en fait à sa tête dès qu’ils ont le dos tourné. Oui, elle est hypocrite, mais tant qu’on ne le sait pas, ça ne nous fait pas de mal non?
Enfin, le trait le plus marquant est probablement sa naïveté ou du moins, sa capacité impressionnante à se persuader que le monde est beau. Depuis des années maintenant, elle traite cette sensation de vide, ce deuil qu’elle n’a jamais vécu et tente à tout prix de se persuader que rien ne pourrait la combler plus qu’elle ne l’est maintenant. Un sourire faux, c’est tout ce qui lui fait pour s’imaginer faire la bonne chose… Mais elle est plus vulnérable qu’elle ne le montre, une véritable bombe à retardement qui donne l’impression que cette double vie, cette quête de justice donne un sens à son existence. La vérité est probablement que, sans cette dangereuse vie qu’est la sienne, elle serait au bout d’une corde pour fuir la culpabilité qui l’afflige.
▬ La plus grande honte du personnage ;
Ce soir là, celui où Maddy a franchit la porte avec son sac et la rage au cœur, elle ne pourra jamais effacer la culpabilité qu’elle ressent à ne pas l’avoir retenu, la douleur qui l’envahi quand elle pense que, si elle avait pu écrabouiller sa maudite fierté un petit trente secondes et penser à ce qu’elle faisait, sa sœur serait toujours en vie. Ah... et d'avoir avorté un enfant tellement désiré par égoïsme et poursuite de vengeance.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
Si vous lui aviez demandé cela avant qu’elle ne quitte Boston, elle aurait dit la table de la morgue et le corps de sa sœur… Mais franchement, avec du recul, c’était plutôt à son arrivée à New-York. Seule avec le médecin, elle coupait le dernier lien qui l’unissait à sa vie antérieure, ne laissant que la culpabilité et honte l’envahir alors qu’elle avortait cet enfant qu’elle avait tant voulu, alors qu’elle se débarrassait de la dernière parcelle de l’homme qu’elle avait aimé. Cette journée est gravée dans sa mémoire comme celle de sa propre mort, celle où elle a abdiqué sur sa dernière parcelle d’humanité et a embrassé l’univers sordide de la prostitution, dans le but certes, de découvrir ce qui est arrivé à sa sœur… mais également, pour satisfaire un désir inavoué d’autodestruction.
▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Un pot de crème glacée. Non bien franchement, son paradis serait de serrer sa petite sœur contre elle, mais c’est impossible comme elle est six pieds sous terre. Elle se contenterait probablement de recouvrer sa naïveté d’enfance, de retrouver ce monde où tout était beau, où elle était imperméable à la cruauté… Mais pour être réaliste, nous dirons le fond d’une bouteille de whiskey, là au moins, elle est presque capable de s’imaginer que les licornes existent!
▬ Point faible du personnage ;
Les sentiments, fichus sentiments. Elle en est d’ailleurs l’esclave. Souvent- trop souvent – son petit cœur s’emporte pour un malfaiteur, ou pour une veuve- ou un orphelin, ou un meurtrier orphelin, bref, elle est trop douce et trop facilement attendrie par toute personne avec un peu de talent pour le jeu d’acteur… =.= Autant dire que sa naïveté et sa crédulité ne l’aident en rien, elle est prête à croire innocent un type tenant dans sa main l’arme du crime, juste parce qu’il pleure en clamant qu’il n’a rien fait. Bref, ses lacunes sont parfois utiles, car elle pousse l’enquête jusqu’à avoir la certitude que le bon coupable a été arrêté.
▬ Point fort du personnage ;
Le crochetage de serrure… Allez savoir si elle doit être fière d’un tel atout mais, dans son boulot, ça lui a plus d’une fois été utile… Sinon, aussi bête que cela puisse sembler- et aussi dénuée de talent puisse t’elle être pour mener à bien une enquête, elle est un véritable tireur d’élite si vous lui donner une arme à feu. Pourquoi? Ah ça… elle a passé des heures incomptables à s’entrainer puisqu’avec des muscles comme les siens, mieux vaut ne pas rater sa cible. C’est d’ailleurs pour cette capacité qu’elle a été engagée, surement pas pour son physique!
▬ Casier judiciaire ;
Aucun, elle est flic!
Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; Paradis/Reirei ▬ Âge ; 23 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; C'est un retour pour moi ~ ▬ Connexion ; 5/7 ▬ Code du règlement ; - Spoiler:
OK par Anja ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ; - De mon ancienne vie ici ~
- Spoiler:
Des années pour en arriver à ça… Ne m’avait-il pas assez maltraité, avec ses chansons débiles – qui, après réflexion étaient tout simplement déplacées et ridicules puisqu’il en connaissait chaque paroles par coeur, il avait eu du temps à perdre pendant son enfance…- ses bousculades, ses mots cruels, ses humiliations à répétitions et ce rictus de pure dégoût qu’il abordait en permanence en ma présence et ce, depuis l’enfance? Avais-je perdu la tête pendant un moment, une petite fraction de seconde pendant laquelle j’avais basculé entre la haine et l’amour…Même en y repensant, je n’arrive toujours pas à mettre le doigt sur la raison, la motivation que j’ai eue lorsque je lui ai confié mon cœur. Je me souviens de ce soir là, moment maudit où j’ai perdu le peu de santé mentale qu’il me restait. Il m’insultait, avec cet air supérieur, ce rictus de moquerie, lui qui me dépassait d’une bonne tête en hauteur et ne parlons même pas de sa largeur – c’était un homme fort mon Adam… oui MON, parce que c’est devenu évident à ce moment là que je ne le laisserais à personne… J’étais si furieuse, furieuse qu’il vienne parader devant moi avec une postiche blonde, colérique de le voir si souriant alors que moi, mon univers s’effondrait… J’étais entrée dans une frénésie drastique et j’avais cessé de formuler toute pensée cohérente… J’ai sombré, une seconde, juste assez pour m’emparer de ses lèvres et faire chavirer notre quotidien à tous les deux… Je n’avais même pas réalisé combien j’ai pu avoir envie de lui, de l’embrasser, de l’enlacer ou tout simplement de me retrouver dans ses bras avant de voir ce souhait insoupçonné se concrétiser… Pourquoi je pensais à ça maintenant, dans ma voiture, avec un fusil braqué sur la tempe? Parce que j’avais peur de mourir? Surement pas… mais ça aurait été dommage de passer l’arme à gauche sans avoir pu lui confirmer, une fois encore, juste une, que je l’avais aimé de tout mon cœur. Le genre d’histoire à vous rendre dingue. Spike s’y opposait, mes parents aussi et je ne parle même pas de mes amis… je n’en avais rien à faire. J’aurais tout abandonné pour lui…Et maintenant que j’étais l’otage d’un malade en fuite, je me disais que je regrettais de ne pas l’avoir cherché…peut-être que j’aurais pu le convaincre de me reprendre, de m’aimer… Mais j’avais peur, peur de découvrir que toutes ses fois où il m’avait dit des mots tendres, ça n’avait été que mensonge et supercherie… J’avais bien été trahie, avec Spike et son meurtre… Adam… Le plus ironique c’est que s’il était revenu vers moi, cinq ans plus tard, sans une explication, sans un pardon, je lui aurais sans doute tendu les bras parce que j’aurais été entièrement comblée à l’idée unique de le revoir enfin… Mais lorsque mon ravisseur ouvrit la bouche pour murmurer mon nom, mon cœur loupa un battement en reconnaissant mon ex. Une collision évitée, j’avais verrouillé les portes et fait demi-tour. Mon cœur en miette ne trouverait le repos que lorsque je l’aurais rendu aux autorités… D’ailleurs, je venais de faire l’idiotie de lui révéler mon nouveau statue de justicière…
« Flic ? Nan sérieux ? Si t'avais pas tenté de nous tuer avec ton demi-tour complètement suicidaire au passage, j't'aurais ri à la figure. Là j'vais me contenter de la jouer étonner. Toi Flic ? La douce Arielle, pas fichu de tenir deux secondes sans se ramasser, qui se fourre dans le danger et qui n'arrive pas à en sortir sans aide ? On parle bien de la même fille là ? Parce que oui Spike en flic c'était le truc évident, d'ailleurs il prend un malin plaisir à me suivre à la trace, mais TOI ?! Sérieux Arielle, on sait tous les deux que tu n'intimides personne ! » Statut qui eut tôt fait de le faire rire…se moquer de moi, encore. Dans ma grande compétence – près du zéro absolu, je tournais la tête pour lui faire face et le figer d’un regard assassin de mon cru. Quoi? Comment ça j’aurais du regarder la route? Et puis quoi encore è.é !!! Furieuse, je n’avais d’yeux que pour lui et même si ça allait me couter la vie, j’étais bien décidée à lui montrer ma mine de sirène mécontente pour lui faire clairement comprendre qu’après une disparition de cinq ans, il était désormais sur ma liste des non VIP. Ses moqueries, ses insultes, il pouvait bien les garder enfoncés dans sa gorge! Qu’il garde sa bouche chose maintenant!! … Bouche magnifique ou je posait mes yeux en me souvenant nos baisers… Je guidais la voiture de zig-zag si bien que j’ai heurté une poubelle…Accident anodin qui m’a forcé à regarder la rouge… deux minutes… avant de l’observer du coin de l’œil… Ici, c’est lui qui risquait sa vie… Sirène au volant!! On était plus ami-ami et comme ça faisait des lustres qu’on n’avait pas couchés ensemble, il n’avait plus les privilèges associés au rôle d’amant! T-t-t-t… Quoi que j’aurais bien aimé qu’il se résigner à regagner ses droits… Soupire alors que je chassais cette idée. Je devrais être furieuse là, maintenant, et oui je l’étais… Mais moi qui a toujours eu un faible pour les Bad Boys, j’étais désormais plus qu’intéressée par la situation. Un fusil sur ma tempe, c’est toujours plus agréable quand c’est celui de votre ex… et puis… *0* Il aurait pu me faire n’importe quoi que j’aurais accepté… J’haussais néanmoins un sourcil en répliquant – je ne m’étais jamais retenue de lui clouer le clapet quand il allait trop loin. Et vu le regard moqueur qu’il me lançait, je pressentais que « partir là-bas » c’était pour bientôt… Hors de question!
« J’suis JAMAIS mal en point quand t’es loin, j’pense que tu confonds là, le danger, les problèmes, c’était TA faute et depuis que j’ai cinq ans en plus. 99,9% des fois où j’me suis blessée c’était à cause de toi. Et puis, si ma conduite te déplais t’as qu’à prendre le transport en commun hein. J’t’oblige à rien et j’suis certainement pas ton chauffeur. Alors sois la ferme Grant. Elle est loin cette époque où j’avais peur de toi. Come on, tu m’as chanté « partir là-bas!!! » t’as perdu un peu de ton autorité na? »
Je l’avais intimidé? Oh ça, j’en doutais fort, le cabot qui l’avait mordu avec acharnement avait sans doute beaucoup plus de chance de le terroriser que moi… Quoi que, je mords moi aussi… le seul hic c’est que c’est dans de toutes autres circonstances. J’étais hors de moi et la route le ressentait puisque j’allais croche, je conduisais mal, très mal, c’est à me demander si j’allais un jour arriver à destination… Et pour être certain de me calmer – il n’avait jamais été un fin psychologue – Adam osa ouvrir la bouche pour me menacer… encore… ça devenait lassant et pas franchement original. « Fait demi tour Arielle. Je n'hésiterais pas si tu me conduis jusqu'aux flics. J'suis pas un type bien, on le sait tous les deux alors déconne pas ! » Encore ce fusil sur ma tempe… Ça aurait été n’importe qui d’autre, j’aurais eu peur, dans le genre VRAIMENT peur. J’aurais peut-être même hurlé comme une vraie donzelle en détresse mais pas cette fois… Un type bien… je ne le savais que trop mais pour moi, il avait été plus que ça… Soupirant, je posais une main sur la petite chaine que je n’avais jamais quitté avant de murmurer tout bas : « La ferme. J’en ai jamais rien eu à faire que tu sois un type bien ou pas, j’tai même JAMAIS demandé d’être un type bien!! » Non… je l’avais aimé comme ça, il aurait pu être un meurtrier que je l’aurais aimé malgré tout… N’avais-je pas pardonné à Spike en le croyant coupable?… Et lui, Adam, il ne me faisait pas peur… pas du tout… De un, parce que c’était pratiquement impossible pour moi de le prendre au sérieux sur cette menace alors qu’on avait tellement vécu ensemble… Et de deux parce que, comment ne pas l’imaginer encore, avec son sourire fier et son air juste… stupide, à me chanter la trame sonore d’un film pour enfant…Ça rend n’importe quel criminel beaucoup moins effrayant. Pas que j’ai souvent fait l’expérience de chanteur devenu hors la loi… Et pourtant, les mains crispées sur le volant, j’osais lui répondre… toujours en continuant de conduire comme une possédée. Non, pour information, je n’ai pas déniché mon permis dans une boite de craquelins… J’étais furieuse qu’il OSE me menacer après tout ce qu’on avait vécu et, enfonçant l’accélérateur, je prenais la direction de l’autoroute – soyons franc, je ne pourrais pas vraiment le conduire aux autorités… ce sentiment inexpliqué d’amour, après toutes ses années m’en empêchait… Mais ça, il n’avait pas à le savoir… Je m’éloignais du centre ville et, vu qu’il était assez tard, il n’y avait pas grand monde sur les routes, en silence, toujours. Je refusais bien de me disputer avec lui. Quelques dix minutes plus tard, à des lieux de la ville e toujours en conduite dangereuse, je me lançais dans un débat, sans quitter la route des yeux… pour une fois.
« C’est quoi ton p*tin de problème Adam?! Un jour tu me hais, le lendemain tu me sautes et juste après, tu te barres sans un mot, sans une lettre, sans une explication. T’es juste con?! Et puis tu joues à quoi là hein? T’es devenu un enfoiré de criminel? C’est pour ça que t’es parti?… J’en avais rien à faire de la façon dont tu gagnais ta vie. RIEN. Et puis si tu veux le savoir, quand t’es parti, j’étais ENCEINTE è.é !! »
Wow les mensonges…. Mais, c’est la première connerie à laquelle j’ai pensé pour qu’il baisse son arme… Bon je l’avoue… je faisais ma fière mais j’avais quand même rudement peur qu’il me tue là… Sauf que… ça ferait sans doute moins mal que ma pompe à sang qui menaçait de s’arrêter… parce que le voir là, comme ça… je n’avais qu’une envie : pleurer toutes les larmes de mon corps. Et puis ce mensonge, je n’étais pas enceinte, mais j’aurais aimé qu’il ait un choc plus grand que moi qui stoppait sec… et puis, si je le traumatisais sur le coup, peut-être qu’il allait penser à autre chose qu’à me faire éclater la cervelle? Oh Arielle… quelle peste! Soupirant, je tendais la main pour ouvrir la radio et… ayant gardé la gamine d’une collègue, le son qui emplit cette fichue voiture à ce moment là fut « sous l’océan » ….. génial, je lui avais pas rendu son CD de Disney en chanson… ▬ Célébrité sur l'avatar ; Julianne Hough ▬ Multicompte(s) ; Nop, pas encore. ▬ Un dernier truc à dire ? ; Je vous aime <3 èwé et Barda, jamais ô non jamais, tu ne pourras me fuir à nouveau. Les paradis sont tenaces muhahaha.
Dernière édition par Heaven A. Callaway le Ven 5 Juil - 1:47, édité 7 fois |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Mer 3 Juil - 15:59 | |
Bienvenue mam'zelle |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
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| Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Mer 3 Juil - 16:14 | |
Bienvenue à New-York ! Si jamais il y a besoin, le staff se tient à ta disposition, bonne écriture |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Mer 3 Juil - 16:18 | |
HAAAN <3 Merci pour l'accueil Ça me fait chaud au coeur, je vous donnerai des cookies pour l'occasion hehe. ~ 5 minutes et je ne regrette pas mon retour ici *0* Vous m'avez manqué! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Mer 3 Juil - 16:20 | |
Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Mer 3 Juil - 16:22 | |
Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Mer 3 Juil - 16:35 | |
Bienvenue ! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Mer 3 Juil - 18:49 | |
Ho un flic. hé héBienvenue! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Jeu 4 Juil - 3:15 | |
Merci à tous ! <3 Je vous ferais bien un câlin mais à voir vos casiers judiciaires je risques plus de vous passer les menottes ~ è_é je finirai ma fiche pour cela c'est une promesse <3333 |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Jeu 4 Juil - 3:18 | |
Topine moi aussi je voudrais passer les menottes à tout le monde Je te replace pas dans les anciens membres par contre Rebienvenue sur le forum Bonne continuation pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Jeu 4 Juil - 3:32 | |
<333333 Copine de menottes !! è__é juste pour cet amour pour l'arrestation de criminels je viendrai te harceler d'un lien! Be ready muhahaha !! Au fond j'étais Arielle, mais ça fait 1000 ans et j'étais pas restée longtemps :( mon emploi du temps de l'époque était archaïque. <333 |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Jeu 4 Juil - 3:47 | |
Owi, harcèle-moi Je te replace pas du tout, désolée Bienvenue encore et j'arrête de flooder |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
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| Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Jeu 4 Juil - 10:12 | |
J'ai validé ton code règlement, bon courage pour ce qu'il te reste à écrire |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Jeu 4 Juil - 13:36 | |
Bon retour parmi nous, petit paradidamour ! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Ven 5 Juil - 1:49 | |
Mon vampire aquatique d'une autre vie *0* Come là <3333 tu sais bien que j'peux pas me passer de toi! !!! Merci pour vos encouragement *0* J'ai vaincu la fiche <3 |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
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| Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Ven 5 Juil - 16:33 | |
Je lis ta fiche |
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| Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen Ven 5 Juil - 16:57 | |
Me revoilà Pour l'histoire tout est bon, je valide. Attention toutefois, il y a quelques fautes qui traînent, fais attention quand tu feras tes rps Une intrigue a été lancée il y a peu, n'hésite pas à y participer ! Et n'oublie pas de remplir le casier judiciaire dans la feuille de personnage de ton profil ^^ Bon jeu parmi nous !! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen | |
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| | | | [TERMINÉ] HEAVEN ∞ it's a silly name once you've fallen | |
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