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 [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.

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MessageSujet: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeSam 26 Oct - 23:11



Identity Card


Feat Sarah Shahi
[Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. FW3TZzM
(c) Tumblr




    Nom ; Jimenez.
    Prénom(s) ; Lucia mais tout le monde l'appelle Luz. En effet, seule sa famille connaît son véritable prénom et les Jimenez ne l'emploient eux-mêmes que très rarement. À vrai dire, lorsqu'ils le font, c'est bien souvent de mauvaise augure.
    Surnom(s) ; Ses proches l'appellent parfois ''Lose'' au lieu de Luz. À ce jour toutefois, elle ignore toujours si c'est parce qu'elle a la fâcheuse tendance de renverser toute substance qui a le malheur de finir entre ses mains ou parce qu'elle a raté son permis trois fois. Ou les deux.
    Âge ; 28 ans. 5 mois. Et 20 jours. Oui, elle compte. Ne lui demandez pas pourquoi, elle ne sait pas.
    Nationalité ; Américaine. Son nom et son prénom trahissent toutefois ses origines latines (et plus spécifiquement costaricaines).
    Groupe ; Cityzens.
    Statut et activité dans la vie ; Secouriste. Et donc, en conséquence, célibataire endurcie. Le premier ne lui laissant que peu de temps à consacrer au second.
    Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle. Sauf bien sûr si Lauren Mayberry se manifeste. Auquel cas, elle fera une exception.


Once upon a time...


Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Time – Hans Zimmer.

Histoire ;
Marron. Banal. Beige. Trop fade. Rouge. Un brin aguicheur pour un premier rencard. Jaune. Ew. Comment diable cette couleur a trouvé le chemin de sa penderie ? Noir. Certainement pas. Il ne s'agissait pas d'un enterrement. Encore que le lieu de rendez-vous était un bar ; elle pouvait donc d'ores et déjà faire le deuil de sa santé. Sa main balaya le reste de sa garde-robe, sans plus de succès, avant de s'aventurer au-delà des frontières de la mode – au-delà qu'elle avait soigneusement délimité avec une robe de chambre turquoise – soit là où régnaient les vestiges de son adolescence – aka le Saint Graal du mauvais goût – et ce qui ressemblait fort à une housse. Difficile ensuite de dire si ce fut le courage qui la fit agripper cette housse puis son cintre ou simplement la curiosité, doublée de la certitude d'être, dans tous les cas, déjà un cliché ambulant (vous savez, celui qui passe deux heures devant un placard plein à craquer mais qui persiste à croire qu'il n'a rien à se mettre), toujours est-il que sa main décrocha ledit cintre de la tringle et découvrit, stupéfaite, la robe de sa quinceañera. Aussitôt, une multitude de souvenirs l'envahirent. Elle se remémora entre autres le jour où elle l'avait aperçue pour la première fois. C'était un lundi, le 2 septembre pour être exact, dans la vitrine d'une boutique de mariage. Si elle s'en rappelait aussi précisément, c'était parce qu'elle n'avait jamais rien vu d'aussi beau de toute sa vie. D'aussi blanc. D'aussi pur. Malheureusement, cette teinte virginale n'était plus – elle avait été souillée par le sang d'un membre du gang de son père. Elle se surprit à sourire tristement. Désormais, la robe de ses rêves n'était plus qu'une pâle réplique du drapeau japonais. Et pourtant, elle ne pouvait se résoudre à la jeter car elle lui permettait de se remémorer ce qu'était et serait toujours sa vie : des bribes de bonheur entrecoupées de sang.

[Flash-back]

« J'ai plus huit ans papa, je suis une femme maintenant » murmura t-elle en lançant des regards furtifs à droite et à gauche, visiblement embarrassée.
« Mais tu seras toujours ma petite fille » lui fit aussitôt remarquer son père. « Mi Lucecita » Ses yeux la fixèrent avec une infinie tendresse. Elle adorait quand il l'appelait comme ça. Mi Lucecita. Il y avait dans ces deux mots une vraie douceur. Dans ces sonorités, un pétillant bourdonnement. Qui plus est, c'était un diminutif symbolique. Littéralement, il signifiait ''petite lumière''. Et c'est précisément ce qu'elle était aux yeux de Sergio. Une flamme chevrotante en plein courant d'air.
« T'es sûr ? Je vais pas être trop lourde ? »
« Je rêve ou tu es en train de sous estimer ton vieux père ? »

À ces mots, Luz ne put réprimer un sourire. Elle retira ses ballerines et se hissa délicatement sur les chaussures de son père. Il adressa alors un bref signe de la tête à l'orchestre qui se mit à jouer une nouvelle chanson. Elle la reconnut quasi instantanément, et pour cause, d'aussi loin qu'elle s'en souvienne, ils avaient toujours dansé ainsi sur Jugito de Caña. C'était leur hymne, pour ainsi dire, de sorte que même si cette mélodie ne correspondait en aucun cas aux goûts musicaux de Luz, c'était sans conteste – pour tous les souvenirs qu'elle renfermait – sa musique préférée. Père et fille furent bientôt rejoints par le reste des invités. Il lui sembla pourtant, tandis qu'elle tournoyait dans les bras de son père, être seule au monde à virevolter au rythme des percussions et du saxophone. À la fin du morceau, un homme, Tío – qu'elle considérait comme son oncle mais qui s'avérait n'être que le bras droit de son père – s'approcha d'eux et tendit une boîte à son père qui, à son tour, la lui transmit.

« Joyeux Anniversaire Luz ! »

À cet instant précis, elle pensa à sa mère, qui n'était pas là, qui n'avait jamais été là, et remercia le ciel de lui avoir donné un tel père. Elle ne se sentait jamais aussi bien, aussi jolie, aussi... spéciale que lorsqu'elle croisait son regard. Elle lui sourit tendrement. Elle n'avait pas besoin d'ouvrir ladite boîte pour en deviner le contenu. Au Costa Rica – et dans la majeure partie des autres pays hispaniques d'ailleurs –, la tradition veut en effet que l'on offre une paire de chaussures à talon à toutes celles qui fêtent leur quinzième anniversaire. Ce présent est la clé de voûte des quinceañeras et symbolise la métamorphose de la jeune fille en femme. Et effectivement, dans ladite boîte trônait des chaussures et pas n'importe lesquelles : des Louboutins – qui, à sa grande surprise, n'avait pas l'air contrefaites.  Elle ne put toutefois ni remercier son père et ses frères ni essayer lesdites chaussures car trois hommes firent irruption dans le jardin.

« On a... » L'homme hésita, réalisant subitement qu'il était devenu le centre d'attention d'une cinquantaine de personnes dont de nombreux enfants, puis reprit : « On a eu un léger incident. Romero est blessé. Je suis désolé Sergio, je ne savais pas où - »
« Pas ici » l'interrompit aussitôt le patriarche des Jimenez. Il désigna la maison d'un signe de tête et disparut dans le même temps, non sans avoir enjoint la foule à continuer la fête. L'orchestre reprit donc ses quartiers et les invités, eux, entamèrent un chant traditionnel comme si rien de tout ceci ne s'était produit – l'habitude sans doute. Luz se joignit à eux mais fut rapidement gagnée par la curiosité. Elle savait que son père avait horreur qu'on lui désobéisse mais l'envie était plus fort qu'elle. Elle connaissait le blessé qui plus est et s'en souciait. Romero était venu la chercher, elle et ses frères, plusieurs fois à l'école lorsqu'ils étaient plus jeunes. Enfin, n'était-ce pas ce qu'elle était en train de célébrer ? L'entrée dans le monde des adultes ? Son père n'avait donc plus à l'exclure comme si elle n'était qu'une vulgaire fillette.

« Il faut l'opérer maintenant. Il va nous claquer entre les doigts sinon ! » Lorsqu'elle entra dans la cuisine, elle aperçut d'abord son frère puis un corps – ils avaient dû le faire passer par la porte de derrière – allongé sur la table. C'était bien celui de Romero. Il avait visiblement perdu connaissance.
« Je ne suis pas médecin, je ne peux rien faire » protesta son père, dépité.
« Et on a aucun matériel, aucune anesthésie... » renchérit son frère.
« À la limite, je peux peut-être m'occuper de celle-là » renchérit Sergio en pointant du doigt la balle qui s'était logée dans le bras de Romero « mais pour ce qui est de celle près du cœur... » Il ne termina pas sa phrase, estimant sans doute que son silence en disait suffisamment. « Où en est le doc ? »
« Il est en route, il sera là dans vingt minutes. » Le doc était en réalité vétérinaire mais les Jimenez y avaient souvent recours lorsque ce type d'urgence se présentait.
« Il sera trop tard » grommela Sergio. Va me chercher une pince. » Ce n'est qu'à cet instant précis qu'il remarqua la présence de Luz. « Qu'est-ce que tu fais là toi ? Je t'ai dit de ne pas quitter le jardin. »
« Je... voulais juste m'assurer que tout allait bien. »
Elle fixa le corps avec une certaine attention – voire attraction –, elle même surprise de ne ressentir aucun dégoût. Son père dut une fois de plus lire en elle car il lui lança un chiffon et lui fit signe d'approcher : « Si tu veux rester alors rends-toi utile. Comprime-moi cette plaie pendant que je m'occupe de l'autre. » Il s'empara de la pince que lui tendait son fils et partit à la recherche de la plus dangereuse des deux balles. Après deux minutes d'exploration infructueuse, un filet de sang jaillit, éclaboussant Luz – qui demeura étonnamment silencieuse – puis une marée tout aussi rouge se déversa sur les mains de son père. Ce dernier échangea un regard lourd de sens avec Tío. Roméro était mort.
« Je rappelle le doc... » concéda celui qui lui avait apporté les Louboutins quelques minutes auparavant.

L'espace d'un instant, Luz les revit et sa vue se troubla, le rouge des chaussures se confondant dangereusement avec le sang qu'elle avait sous les yeux. Elle comprimait toujours la plaie située au niveau du bras, comme si l'information n'était pas parvenue jusqu'à son cerveau. Dans le regard de son père, elle lut colère et rancune et comprit qu'il ne l'aiderait pas. Elle lui faisait honte car elle transpirait l'émotion – et donc la faiblesse. Qui plus est, elle avait désobéi. Elle n'aurait jamais dû être là. Elle n'aurait jamais dû assister à ça. Il quitta la pièce, comme pour mieux faire passer son message. Ce deuil, elle devait l'assumer seule. Comme la grande qu'elle avait prétendu être en passant cette porte et qu'elle n'était définitivement pas, au vu de sa réaction. Finalement, ce fut son frère aîné qui lui retira les mains du corps de Roméro pour la prendre dans ses bras. Ce n'était pourtant pas le premier corps qu'elle voyait. Mais c'était la première fois que ses autres sens y étaient confrontés. Elle avait non seulement vu mais aussi touché, senti et entendu le sang jaillir et la vie de Romero avec. Du haut de ces quinze ans. Romero qui venait la chercher après l'école quand elle avait dix ans.


[/Flash-back]

« Ca ne peut plus durer. »
« Je sais. »
« Tu dois les recaler par toi-même Luz. »
« Je sais. »
« Alors tu peux m'expliquer pourquoi tu m'appelles des toilettes pour que je vienne une fois de plus jouer les petits copains jaloux et te débarrasser de ton rencard foireux ? »
Parce que tu es mon meilleur ami ?
« C'est la dernière fois. Promis. »
« C'est ce que tu dis à chaque fois.. » 
Il marquait un point.
« Non mais là c'est vraiment pas possible. Il s'est curé le nez devant moi... Je - »
Une jeune femme aux teintes pâles et à la crinière dorée sortit des toilettes à ce moment là et la dévisagea.
« Je t'en prie. Il faut que tu viennes. Je ne vois pas comment y mettre un terme. »
« Tu lui as dit que tu étais catholique ? Ça marche bien normalement » se gaussa t-il à l'autre bout du fil. Elle le gratifia d'un « Ah. Ah. Ah » blasé. « Ecoute. Que ton Dieu me pardonne, je ne viendrai pas. Ce n'est pas t'aider. Ce soir, tu es seule. Si vraiment il te dégoûte, tu sauras trouver les mots. »
« Tu sais bien que c'est plus compliqué que ça ! » protesta t-elle, sous les yeux toujours aussi – sinon plus – méprisants de la blonde. Il lui fallait combien de temps pour se laver les mains à celle-là ?
« Non Luz. Justement. C'est pas compliqué. À la limite, si ça peut t'aider, pense à quelque chose qui t'énerve, qui te rend folle. Tu n'as pas un souvenir comme ça en tête ? Un moment de haine intense ou d'humiliation ? Quelque chose qui réveille le dragon qui sommeille en toi ? »
La blonde se dirigea vers la porte. Tant mieux. Elle ne pourrait donc pas soupirer en entendant sa prochaine réplique – pourtant Dieu sait qu'elle s'y prêtait.
« Je ne suis pas Daenerys. »
« Bien essayé la référence pour m'attendrir. Mais ça ne prendra pas ! Debrief demain. Courage ! »
« Att- »
Trop tard, il avait raccroché. Luz repensa à ce qu'il venait de lui conseiller, trouva son idée pas si mauvaise – pour une fois ! – et se mit donc en quête d'un souvenir "d'intense humiliation".

[Flash-back]

Elle avait dix-neuf ans et assistait bon gré mal gré à un combat clandestin organisé par son père et ses associés. Au départ, Sergio Jimenez l'y avait emmenée pour qu'elle s'endurcisse. Elle avait ensuite feint un vif intérêt pour dissimuler des sentiments naissants à l'égard d'un des « compétiteurs » – qui n'était pas hispanique ce qui relevait de la haute trahison dans sa famille – et s'était retrouvée prisonnière d'un mensonge. Chaque fois qu'elle assistait à cette giboulée de coups, elle sentait en effet le regard de son père s’appesantir sur elle, fier comme jamais, et avait ainsi l'impression d'accomplir son devoir en tant que fille d'un Jimenez. Intérieurement pourtant, elle se sentait dépérir et ne rêvait que de quitter l'arène des yeux, ne serait-ce que pour régénérer ses pupilles que la vue d'un ballet de commotions cérébrales écorchait – assister à une telle barbarie lorsque l'on suit, en parallèle, une formation de secouriste, avait-on déjà fait plus masochiste ?

Seules deux règles aux résonances très Fight Clubliennes régissaient ces rendez-vous macabres. 1. Interdiction de parler de ces « sessions » 2. Interdiction d'intervenir durant l'affrontement, celui-ci ne prenant fin que lorsque l'un des deux assaillants perd connaissance ou meurt. Ce soir-là vint le tour de son Irlandais – du moins, c'est la seule information qu'elle avait réussi à glaner sur lui. Ça et son prénom. Thomas, le ''s'' n'étant ici pas muet. Jusqu'ici, elle ne l'avait jamais vu perdre. Non pas qu'il soit plus costaud qu'un autre. Avec le temps, elle avait compris que les muscles n'étaient d'aucun secours dans ce genre de rixes. Seul le mental faisait la différence. La haine qui animait chaque déplacement. La rage qui motivait chaque poing. Pour survivre, il fallait renoncer à toute once d'humanité, état qu'avait visiblement atteint Thomas et qui faisait de lui le chouchou du public. S'il était aussi adulé, c'était également parce qu'il avait la faculté d'encaisser un nombre faramineux de coups, au point d'ailleurs que Luz le suspectait d'apprécier cela. Ce soir-là, il ne contre-attaqua d'ailleurs pas une seule fois. A son grand dam.

Il s'écroula sur le sol mais son rival – un homme avec le portrait de Jésus tatoué sur le bras – n'y vit pas là le signe d'une abdication et le rua de coups sur la tête. Luz se sentit défaillir. Encore deux comme ça et il serait mort. L'odeur fielleuse des cigares et le tumulte général lui montèrent à la tête ; n'y tenant plus, elle s'interposa sous les yeux abasourdis de son père. Le public protesta, tandis qu'elle s'agenouillait aux côtés de l'Irlandais pour prendre son pouls. Une fois rassurée, elle s'attarda sur son visage qui serait sans doute défiguré d'ici quelques heures et que seuls trahissaient – pour l'instant – un nez sanguinolent et le reste d'une arcade sourcilière. Il rouvrit subitement les yeux, laissant percer, au milieu de cette rivière de sang, un bleu électrique. Happée par ce ciel estival inopiné, elle ne sentit pas son père l'agripper pour la relever et ne comprit ce qui venait de se passer et ce qui allait lui arriver – que lorsqu'elle aperçut sa main colérique prendre son élan. Elle ne chercha pas le moins du monde à l'esquiver – elle l'avait méritée – et se demanda si c'était ce qui motivait la passivité de Thomas lorsqu'il entrait dans cette usine désaffectée. La douleur la transperça – jamais Sergio ne l'avait cognée ainsi ni en avait eu le besoin, il faut dire –, moins toutefois que le regard de son père. Elle avait désobéi – pour un Irlandais qui plus est –, pire, elle l'avait déshonoré devant ses pairs. Qu'importe qu'il lui pardonne un jour cet affront, elle ne se le pardonnerait jamais.


[/Flash-back]

Luz sortit des toilettes, prit une grande inspiration et retourna s'asseoir.
« Bah alors, t'en as mis du temps ! » s'exclama son rencard du soir, celui qu'elle avait désespérément envie de fuir. « C'était la grosse commission c'est ça ? »
Ce serait sa pénitence.

Wanna know more ?


La plus grande honte du personnage ;
Il existe un nombre incommensurable de choses dont Luz n'est pas fière, au rang desquelles figurent ce bref moment d'égarement où elle a envoyé ''Destin'' au 8 18 18 ou encore son écriture illisible, que Champollion lui-même ne saurait déchiffrer – l’opprobre est telle qu'elle la justifie d'ailleurs par un mensonge : elle prétend être une gauchère contrariée. Elle souffre également d'une légère myopie qui l'oblige à porter des lunettes devant les écrans (télévision, ordinateurs etc) or, aussi futile que cela puisse paraître, cela l’embarrasse profondément – elle se trouve particulièrement immonde avec. Elle ne garde donc ses binocles que très rarement sur le nez et s'en sert davantage comme d'un serre-tête. Ces trois particularités ne sont toutefois rien comparé à sa plus grande honte : l'indéfectible respect qu'elle voue à son père. En effet, ce dernier a beau mener une vie qu'elle n'approuve en rien (il est membre d'un gang hispanique), il n'est rien qu'elle ne saurait lui refuser, même si pour cela elle doit renoncer à ses propres valeurs. Étrangement paradoxal me direz-vous. Un peu moins lorsque l'on sait que Mme Jimenez s'est évaporée dans la nature lorsque Luz avait trois ans et que Sergio Jimenez a assumé, seul, les fonctions parentales. Il fut d'ailleurs en tout point un père modèle – en dehors, bien sûr, de ses activités clandestines. Luz est donc sans cesse tiraillée entre ses principes, qui l'encouragent vivement à se maintenir le plus loin possible de toutes ses activités illégales et sa loyauté envers lui, qui la rapproche toujours un peu plus de l'immoralité. Vous l'aurez sans doute compris, ce qui obscurcit réellement sa conscience, c'est de protéger un meurtrier.
Définition de l'enfer pour le personnage ;
Bien qu'elle aurait naturellement tendance à saborder une telle question, en adoptant une vision volontairement ironico-superficielle par exemple – « l'enfer, ce sont les valises » –, si elle devait répondre à cette question avec sérieux, sans doute opterait elle, en Sartrienne qui s'ignore, pour « l'enfer, c'est les autres » et, par extension, pour l'enfer, c'est cette vie. Ce monde. Cette réalité. Naturellement, cette conception peut paraître légèrement extrêmiste – et pessimiste – mais comment pourrait-il en être autrement ? L'unique fille des Jimenez est en effet, en tant que secouriste, habituée à l'horreur et à l'injustice. Elle ne compte ainsi plus le nombre de fois où elle a vu des ivrognes quitter les lieux de leur accident (de voiture bien souvent) indemnes. Et les victimes en revanche rejoindre la morgue... Ces faits, combinés à d'autres, ont donc lentement mais sûrement conditionné la croyante qu'elle est à penser que si Dieu prenait la vie d'innocents, ce devait être pour les éloigner plus rapidement d'un enfer certain. La planète Terre. Qui plus est, on ne peut pas dire que sa vie actuelle, qui ne fait pas partie des plus roses, l'aide à relativiser ce propos. Depuis peu, elle est en effet contrainte de mener une double vie. Son père a en effet contracté une dette auprès de la mafia irlandaise mais ne peut malheureusement pas la rembourser. Il paye donc en nature : Luz est chargée de soigner leurs membres en catimini. Inutile de préciser là encore que cela va à l'encontre de toutes ses convictions et qu'elle n'obéit que par dévouement pour son père.
Définition du paradis pour le personnage ;
En tant que catholique, Luz a nécessairement une vision biblique du paradis. Elle considère, comme il lui a été enseigné depuis son plus jeune âge, que toute personne qui se comporte dignement ou qui fait amende honorable y accède automatiquement. Quant au paradis en lui-même, plus jeune elle se le représentait comme un parc d'attraction géant composé exclusivement de bonbons, désormais, elle imagine plutôt – et sans grande originalité – un univers dénué de la moindre once de mal. Un monde où aucun sentiment négatif ne pourrait subsister et où elle serait libérée de ses responsabilités (familiales notamment) par la même occasion. Bref, elle se figure une parfaite utopie. Luz tire également son plus grand rêve – réaliser le pèlerinage de la Negrita à Cartago – de cette éducation religieuse. Son père n'a en effet eu de cesse de lui relater ses pèlerinages, lorsqu'il résidait encore au Costa Rica, et une partie d'elle ne peut pas s'empêcher de penser que cette expérience lui apportera les réponses à toutes les questions qu'elle se pose actuellement. Enfin, si le paradis est pris au sens figuré ici et renvoie donc à ce qui lui procurerait le plus de plaisir, la benjamine des Jimenez objectera sans la moindre hésitation : sauver des vies. Et la glace Haagen-Dazs Cookies & Cream, aussi, accessoirement.
Point faible du personnage ;
Sa docilité. Même si celle-ci n'atteint les sommets que dans son cercle familial, elle est également tangible dans la sphère publique et plus spécifiquement dans le domaine professionnel. Luz rencontre par exemple de grande difficulté à s'opposer à tout supérieur hiérarchique, quel que soit le fond de sa pensée. Cette allégeance à toute épreuve est sans doute le fruit de son éducation très stricte, presque militaire. Sergio Jiminez, qui a toujours vanté les vertus de l'obéissance, a en effet conditionné sa fille à agir en soldat. Elle est donc incapable de toute rébellion. Cette incapacité à faire front lui a naturellement valu plus d'une déconvenue. Excepté le fait que cela la rende complice des nombreuses exactions commises par son père – ce qui est déjà suffisamment sérieux –, cette obédience excessive la conduit également à amasser nombre de rencards pitoyables, faute de pouvoir y mettre un terme à chaque fois – lorsqu'elle y parvient, c'est uniquement grâce à l'intervention d'un de ses amis qui se fait passer pour son compagnon. Les années n'y ayant rien changé, elle a fini par se résoudre et résiste tant bien que mal à toute tentation masculine. Enfin, cette complaisance involontaire a également des répercussions sur son propre caractère : elle lui fait accumuler frustration et colère. Récemment, elle a donc décidé de suivre une thérapie pour cesser d'être à l'image de son pays d'origine, surnommé plus communément "la Suisse de l'Amérique centrale".

Point fort du personnage ;
Sa capacité d'adaptation. Luz est ce qu'on appelle plus communément un caméléon. Si les années passées au côté de son père et, indirectement, des membres de son gang, lui ont assurément valu diverses névroses – toutes, semble t-il, indélébiles –, elles n'ont toutefois pas eu que des effets négatifs. À leur contact, Luz a en effet aiguisé sa ruse et son sens de l'observation d'une part et développé une incroyable faculté d’acclimatation d'autre part, ce qui s'avère être un véritable atout lorsque l'on est secouriste. Parce que sa personnalité protéiforme lui permet de s'adapter à n'importe quel auditoire et surtout à n'importe quelle situation, elle n'est pour ainsi dire jamais déstabilisée ou, du moins, rebondit toujours aisément. Cette fois, elle doit toutefois cette implacabilité non pas à son éducation militaire mais à son cadre de vie. Luz a en effet grandi dans le Bronx et de ce fait, côtoyé, de près ou de loin, différents gangs. L'intégration étant la clé de cet univers haut en couleurs, elle a donc développé cette capacité mimétique avant tout par instinct de survie. Cet ajustement constant à l'autre a ensuite fini par devenir une habitude de sorte qu'il lui est très facile de se fondre dans la masse.

Casier judiciaire ;
Comme son signe astrologique : Vierge. Officieusement toutefois, elle est complice de nombre d'exactions commises par son père (qui est à la tête d'un gang hispanique).

Behind the screen...


Prénom ou pseudo ; J'en ai eu un autrefois mais je préfère RP incognito. Ou mieux, vous laisser deviner grimace.
Âge ; Celui qu'a Buffy lorsqu'elle découvre que sa mère couche avec Giles x celui de Clint Eastwood - une éternité. Ce qui donne à peu près 24 ans.
Où avez-vous connu le forum ; Difficile de répondre précisément. J'ai navigué de forums en forums et de partenariats en partenariats. Mais impossible de vous dire quel forum en particulier m'a fait appareiller ici !
Connexion ; Plutôt bonne. Je plaisante. Et ce n'est pas drôle. Pardon. Bref, 4/7 je dirais.
Code du règlement ;
Spoiler:
Exemple de RP ;
Spoiler:
Célébrité sur l'avatar ; Sarah Shahi.
Multicompte(s) ; Non. Pas encore du moins :biais:.
Un dernier truc à dire ? ; Oui. J'ai fusionné la première partie du modèle descriptif (celle qui concerne le nom, prénom etc) que je trouvais plus claire avec le reste du modèle RP. Est-ce que je dois passer par la case prison pour cet affront ou est-ce que je m'en sors juste avec une amende ? Plus sérieusement, est-ce que je peux garder ce modèle "personnalisé" ? Embarassed 


Dernière édition par Lucia Jimenez le Dim 10 Nov - 23:50, édité 20 fois
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeSam 26 Oct - 23:35

« Comme son signe astrologique. Vierge. » traine avec moi, on va remédier à ça :drague:

Bienvenue sur le forum :crétin: :pyra:
Ton code est bon, je vais le valider (=
Pour toutes questions, n'hésite pas à t'adresser à un membre du staff.
Sinon, pour avoir pris l'Identity Card de l'autre modèle, je ne vois pas de problème. Puisque pour le modèle rp on peut le faire comme on veut, c'est ta méthode
Bonne continuation pour ta fiche super pom
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeSam 26 Oct - 23:39

Puisque c'est demandé si gentiment... Qui plus est, je ne refuse jamais une invitation d'Evan Rachel Wood :big:.

Et super pour le code et les modèles ! Merci ! I love you
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeSam 26 Oct - 23:49

Hello !
Bienvenue chez nous ! super
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 2:31

*vient d'avoir une attaque avec le kit d'Autumn =>*

Bienvenue parmi nous <3 En effet, Alexis a tout dit !

Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 9:26

Merci les filles ! Et effectivement, l'avatar d'Autumn est grave flippant dazed (et donc parfait pour Halloween !). 
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 9:46

Bienvenue et bon courage pour ta fiche Smile
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 12:28

Bienvenue à toi! Smile
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Anja Malkovski
Reine des Glaces
Gott weiss ich will kein Engel sein

Anja Malkovski


MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club


Feuille de personnage
ÂGE DU PERSONNAGE: 35 ans
CASIER JUDICIAIRE:
RANG DE CRIMINALITÉ: CRIMINEL
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 14:16

Bienvenue mademoiselle, bon courage pour ta fiche ! Smile
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 14:54

Bienvenue mam'zelle :cabaret:
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 15:05

Merci tout le monde, quel accueil décidément ! danse 

Au passage, la groupie qui sommeille en moi va faire comme si elle n'avait pas vu l'avatar de Mads hein :fou:.
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 16:15

:drague2:

Hihi.
*tapote la tête*

(non, non, je ne floode pas, j'accueille ->)
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 16:25

Bienvenue et bonne fiche ici! =)
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 16:48

Ian S. Redwood a écrit:
:drague2:

Hihi.
*tapote la tête*

(non, non, je ne floode pas, j'accueille ->)
C'est pas cool de m'encourager :drague:.

Spoiler:

Et Merci Toussaint !
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 20:15

Welcome on board, Gorgeous. Wink
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 27 Oct - 23:24

Thank you, handsome [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. 1369876162.
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeLun 28 Oct - 18:34

Bienvenue parmi nous !!
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeMar 29 Oct - 23:59

Merci beaucoup !
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Et PAF ça fait des chocapics

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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeJeu 7 Nov - 10:48

Il te reste 2 jours pour terminer ta fiche Wink
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeJeu 7 Nov - 10:53

C'est noté, merci ! Elle sera finie samedi au plus tard bounce.
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeJeu 7 Nov - 10:54

Pas de soucis ! Si jamais pour X raison ce ne pouvait pas être possible, n'hésite pas à demander un délai Smile
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 10 Nov - 15:35

Je m'occupe de lire ta fiche Wink
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 10 Nov - 16:05

Et je te valide donc avec plaisir ! C'est une très jolie fiche, j'aime bien le côté un peu innocente/pas très douée qui transparait au tout début de ta fiche puis quand on comprend que la vie de Luz est beaucoup plus compliquée et sombre que ça Smile

Par contre, dans ton casier judiciaire, même s'il est officiellement vierge, il faudrait peut-être officieusement rajouter sa complicité avec les différentes histoires de son père. Dis-moi dès que c'est fait comme ça je t'ajoute à ton groupe et t'attribue ton rang de criminalité ^^
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeDim 10 Nov - 23:53

Voilà. J'ai précisé qu'elle était officieusement complice des exactions de son père dans le casier judiciaire.

Et merci beaucoup (d'avoir consacré de ton temps à ma fiche) ! I love you
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MessageSujet: Re: [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts.   [Terminée] Luz Jimenez ` When nothing works, just living hurts. I_icon_minitimeLun 11 Nov - 0:15

Ok, je te valide alors. N'oublie pas de l'ajouter aussi dans le casier judiciaire de ton profil Wink

Bon jeu parmi nous !! Very Happy(et de rien, je suis là pour ça ^^)
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