Feat " Irina Lazareanu" (c) meli mallo

_« Zippora Innocence Decômes »_ _____ This is who I am _____ ▬ Nom ; Decômes. Français. D'aussi loin que je me rappelle j'ai toujours vécut à New York, mais Paris m'aurait aussi plus. ▬ Prénom(s) ; Zippora pour le premier, celui qui vous sert de passeport, dont tout le monde se souviens ( ou pas ). Mon père est fan de ces foutus zippo, plus qu'à rajouter ra, comme ces sales bêtes. Charmant. L'autre, c'est Innocence. Aucune idée d'où ils l'ont sortit. Surement une histoire pour me protéger des "dangers". Ils se sont complétement ratés. ▬ Surnom(s) ; Zippo. Le fanatisme doit se transmettre de père en fille ... ▬ Âge ; 19 ans et toute mes dents. ( Je viens de remarquer que ça rime ) ▬ Nationalité ; Franco-américaine. Mes deux vieux sont des français dont l'air de la campagne et de la baguette fraiche désolait, direction l'2mérique avec un p'tit dans le bide. Très romantique. ▬ Groupe ; Les étudiants & co. ▬ Statut et activité dans la vie ; Je fais pas mal de chose, je mange, je bois, je fume, j'emmerde les gens, je dessine, j'aime me déguiser, me cacher dans les fourrés, m'extasier devant la flamme d'un zippo, regarder les zinzins de l'espace, participer aux pogos, danser sur du ska ... je suis étudiante aux beaux-arts, aussi. Je ne sais pas trop comment j'ai attéri là, mais ça me plait. ▬ Orientation sexuelle ; hétérosexuelle

_____ Wanna know more ? _____

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" This is not a love song " Public Image Limited

▬ [b]Histoire ;

Mon histoire ? Par quoi commencer ? ...

Je suis née en décembre, le dernier mois de l'année, le dernier jour de l'année, quoi de plus banal ? Ma naissance marqua la véritable arrivée de mes parents aux States. Toutes la paperasse à remplir, la barrière de langue, un boulot et un logement à trouver, de quoi subvenir à nos besoins, aux miens surtout. Mes vieux, Luc et Yvonne Decômes, sont pour moi les personnes les plus dévoués que j'ai pût rencontrer dans ma courte vie. Ils m'ont tout donné, moi en échange, les cris, les pleurs les caprices ... un bonheur ? J'espère.
S'il y a bien quelques chose qu'ils ne m'ont jamais donné, c'est un frère ou une sœur. Gamine j'aurais tuer un lion enragé, un crotale affamé juste pour jouer au loup, à la poupée avec mon frère ou ma sœur. Mais je n'en ai jamais eut. Cruel destinée.

De là viens surement mon côté solitaire. Je n'ai jamais vraiment aimé l'école, tous ces gosses au mètre carré, un truc à me rendre fou. On me l'a souvent reproché, de ne pas chercher à avoir des 'amis', à me fondre dans la masse. Je déteste faire comme les autres. Les conventions, les règles, l'autorité me font hérisser les cheveux. Les quelques souvenir passé à la maternelle ce sont ceux d'une gamine sur le bord, à s'émerveiller en ouvrant une boite à musque, à écouter encore et encore la mélodie, à essayer d'attraper la petite danseuse en porcelaine et puis un pied, boueux, puissant, lourd qui s'abat sur la frêle ballerine et l' explose, comme un vulgaire fruit. Première injustice, pourquoi ? Elle n'avait rien fait, elle était à moi, elle dansait pour moi ... première vengeance. Le gamin fut retrouvé quelques jours plus tard inanimé, pleurant sa mère, les joues en feu, les genoux en sang et sa peau blanche criblé de gravier. La douce drogue de la vengeance et du devoir accompli depuis ne m'a jamais quitté.

Le collège et le lycée ont suivit, toujours aussi ennuyant, toujours aussi solitaire, des amitiés qui se font et se défont. De ces années je en garde qu'un souvenir amère. Je n'y ai rien appris, mis-à-part la vie en société.Un chef, ses moutons, des malfrats, l'autorité, les lèche-bottes, les intellos, les sans-histoires. J'ai toujours rêvée d'être un gangster, mais les gangsters ont un entrejambe encombrant que n'ont pas les femmes. Je l'ai très vite appris. Les Affranchies, qu'un rêve impossible d'accès. Tant pis, j'y survivrai, j'ai toujours survécut, je passe ma vie survivre.
L'endroit où j'ai le plus appris, où j'ai passé le plus de temps est surement la bibliothèque. Un endroit immense, remplit de millions de bouquins, tous instructifs à leur manières et dont vous avez le pouvoir. la cuisson des brocolis vous intéresse ? aucun soucis, tout est indique dans 1000 et 1 façons cuisiner les légumes verts. Fan de Zola ? Aucun soucis ! Les Rougon-Macquarts, Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire est situé sur la deuxième étagère, aile B, littérature étrangère. Pour de nombreux jeunes, bibliothèques signifie 'emmerdement'. Je ne leur donne pas tord. Les vieilles qui vous font chier parce que vous leur bouché le passage, n'a rien de bien exaltant. Mais j'y ai connu mes premières heures de gloires. Comprenez que mes parents ont toujours fait de leur possible pour réponde à mes besoins, mais matériels uniquement. Je n'ai jamais vu en eux le regard fière d'un père, la bise câline d'une mère. D'un côté je m'en fous bien maintenant, mais à 14 ans, je balisait. Je me suis même demandé si je n'étais pas adopté, la fille d'un roumain et d'une yougoslave vivant un amour impossible dont la guerre les avait séparé ou une autre conneries du genre. J'aimais m' inventé d'autres vies, voyager par delà les nuages, sans jamais quitté mon sol natal de New York. Cette ville me le permettait plus que de raison, les gens y sont tous différents, venant de contrés toutes uniques avec une histoire personnelle captivante. Si je n'ai jamais aimé me mélanger aux autres, j'ai toujours aimé les écouter raconter leurs vies. Les vieux surtout, une vraie encyclopédie ambulante.

Le bac en poche je me suis dirigée vers les Beaux-arts. Plus pour me démarqué que pour réel passion. Mes vieux ne comprennent pas ce choix, ils n'ont jamais chercher à me comprendre de toute façon alors ...

▬ Relations ;

J'ai peu d'amis mais beaucoup de connaissances. J'attire les gens, les ennuies aussi. Je suis plutôt butée, ta gueule me revient pas, vaut mieux que tu ne viennes pas me voir, cela vaut mieux pour toi, et pour moi aussi. Asociale est l'image qui me colle à la peau, je préfère de loin le mot MARGINAE.La marge de ton cahier d'école est l'endroit où s'inscrit tes plus beau chef-d'œuvres. J'ai dû mal à me contrôler, impulsive et imprévisible, les deux I. Je peux aimer quelqu'un comme je déteste une autre. Un ami pour moi, c'est à la vie à la mort. Certains diront que je suis fiable, d'autres naïve. Pour moi, l'amitié est plus fort que n'importe quoi. L'autorité, l'amour, la mort, la jalousie ... ça me passe à côté. Faut seulement rentré dans mon cercle très fermé d'amis.

▬ Physique ;

Que dire de moi ? Je suis plutôt grande et mince,une frange qui ne m'a jamais quitté, un regard étrange, mélancolique qui ne quitte jamais. Mis-à-part mes yeux et mes cheveux, il y a peu de chose que j'aime chez moi. Ma mère m'a toujours répété que je sentais la grâce à plein nez, une vraie française. Mon cul ouais ! Je ressemble à une grande échasse, mais passons mon 'physique'. J'aime les années 7O. Je pense que ça se voit à ma façon de m'habiller. Le look est pour moi une carte d'identité, j'aime deviné au fringues le caractère des gens, comme j'aime qu'on puisse lire en moi mon passeport. Je fais mon shopping dans les fripes, les choses 'neuves' ne m'intéressent pas. La mélancolie est mon meilleur déguisement.

▬ Caractère ; (15 lignes minimum)

Caractère ? Oui j'en ai. Compliqué, quelques choses que j'ai encore beaucoup de mal à comprendre. Je suis impulsive, je régis souvent sur un coup de tête, j'improvise, tout, tout le temps. Tête brûlée, spontanées, je le regrette de temps en temps, mais j'ai cessé de réfléchir le jour où j'ai réalisé que le monde était gouverné par un tas d'idiots incompétents. De là, aucun ordre à recevoir d'eux, un certains vice à les provoquer, ces autorités. Je la déteste au plus haut point. Je sais ce qui est bon pour moi, je m'accroche à l'idée qu'on pourra un jour vivre dans un état anarchique. Plus qu'un utopie, un objectif. j'ame la liberté, ma liberté, quinconce se mettra en travers de mon chemin le payera à la hauteur de son affront. Beaucoup de personnes me craignaient au lycée, j'ai aimé cette sensation d'être craint, voir un regard vous dévisagé, de peur de vous voir le soutenir pour l'abaisser avec cruauté. Mais ce qu'ils n'ont jamais compris c'est que j'aime rire, j'aime le cynisme, l'humour noir. Rien n'est plus agréable que de sentir l'incompréhension d'autrui face à votre fou rire. Autre chose qu'ils ne verront jamais, c'est ma joie de vivre, mon plaisir à m' émerveiller de chaque nouvelle matinée passée, d'après-midi à trainé dans la grosse pomme avec une bande d'amis plus au moins sur la même longueur d'ondes. J'aime le mélange, les choses figées, sans vie m'ennuient. J'aime écouter des heures les histoires des autres, les étrangers surtout. Tellement instructif et divertissant.
Je vous croirais sur parole si vous savez me raconter votre histoire, oui, je suis naïve. Je veux encore espérer qu'on finira par se transformer en papillons pour butiner des fleurs... Peut-être pas non plus. Mais face à les amis, je suis l'être le plus fiable qu'il puisse y avoir, j'en ai souffert. J'en souffrirai encore, mais on ne rigola pas avec ses amis,plus important que la famille et que l'amour. rien ne m'éloignera d'eux, la mort peut-être, mais je serais là, la vengeance est un de mes besoins élémentaire. Je vis pour me venger. De quoi ? De tout. L'injustice est partout, mais pas que. Je n'aime pas la justice des textes. un tas de papier pour emmerder les gens. Je n'ai qu'une seule loi, une seule justice, la mienne. Tant pis si certain de si retrouve pas, rein à battre de vous. Je n'attends rien de ceux-là comme ils n'attendent rien de moi.

▬ La plus grande honte du personnage ;

C'est étrange comme on se sent coupable d'avoir un toit et à mangé quand d'autres crèvent dans la rue. J'ai eut honte de ne mettre jamais retourné, de passer devant eux, comme si de rien n'était. Honte ne n'être jamais aller leurs parler, partager ma bouffe, échanger quelques paroles, juste de quoi leur monter qu'ils existent, qu'ils n'ont sont pas seuls dans l'enfer de la rue. J'ai eut honte de ma lâcheté, mais je me suis soignée, comme toute maladie. Maintenant je n'ai plus à avoir honte.

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;

Ceux dont j'ai le plus peur, c'est de rester, alors que mon corps ne répond plus de rien. J'ai peur de finir dans un fauteuil roulant alors que je voudrais courir, nager, sauter. Je pense que c'est que me fait réfléchir ( de temps en temps) à mes gestes. Rester enfermé dans un corps infirme, c'est ça l'enfer pour moi.

▬ Définition du paradis pour le personnage ;

Partir en Alaska pour cultiver des pastèques avec des pingouins gay et on y fêterais tout les jours les non-anniversaire de chacun en dansant la polka avec des ours polaires roses à rayures bleues. Le kiffe. Le paradis n'existe pas, alors pourquoi chercher à se l'inventer ?

▬ Crimes déjà commis ;

Des petites broutilles: insultes à agents, vols à l'étalage, possession de substances illicites, ivresses sur la voie publique ou encore agression à l'arme blanche. Rien de bien méchant qui ne m'a jamais rien valu que des amendes et des nuits passées au poste au milieu de gerbe de pisse et de donnuts.

_____ Behind the screen ? A player ! _____

▬ Prénom ou pseudo ; L' Escargot
▬ Âge ; 17 ans
▬ Où avez-vous connu le forum ; via les pingouins
▬ Exemple de RP ;

Spoiler:

▬ Connexion ; 3/7
▬ Code du règlement ;

Spoiler:

▬ Avez vous signé le règlement ; [x]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement)
▬ Célébrité sur l'avatar ; Irina Lazareanu
▬ Multicompte(s) ;non
▬ Un dernier truc à dire ? ; PINGOUIN

Bienvenue sur NY-TDS !

Original le prénom ^^. Bon courage pour cette fiche Miss, n'hésites pas à contacter le Staff en cas de questions .

welcome in NYC miss.
bon courage pour la fin de ta fiche.

J'ai terminé :vole:!

Merci pour l'accueil !!

Tu nous as connu via les pingouins ?
Ca c'est chouette

Bienvenue parmis nous !