| Sujet: I'm a slave & I'm a master. || Anja. [DELAIS ACCORDE ▬ 11.04.10] Lun 14 Mar - 18:26 | |
Feat "Eva GREEN"
(c) Barda Doll |
▬ Nom ; Malvoski ▬ Prénom(s) ; Anja ▬ Surnom(s) ; A vous de voir mais attention, je mords. ▬ Âge ; 31 ans ▬ Nationalité ; Russe ▬ Groupe ; Hors-la-loi ▬ Statut et activité dans la vie ; Anja peut être considérée comme une femme qui sort de l'ordinaire, derrière ce visage posé se cache une féministe dans un milieu réservé aux hommes. En effet, la jeune Russe est une maquerelle de luxe qui en échange de services rendus envers la mafia rouge, voit ses agences d'escort girls s'étendre partout dans le monde, que ce soit en Europe ou en Asie. Elle est aussi divorcée de Stan la rage, le propriétaire de Fight Club. Aujourd'hui Anja, est célibataire mais très convoitée, néanmoins son expérience avec Stanislas l'a fait comprendre que c'était peut-être la dernière fois qu'elle ferait confiance à un homme. ▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle
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▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Stupid in Love - Rihanna ▬ Histoire ;
"A chaque jour suffit sa peine." Certains disent qu'Anja est née avec une cuillère en argent dans la bouche et ils n'ont pas tort. Pourtant l'argent ne fait pas tout, et surtout pas le bonheur et dire qu'elle était heureuse, ce serait mentir. L'amour de ses parents a toujours été remplacé par des cadeaux, des objets sans valeur ni utilité. Etre née dans une grande famille de Moscou qui en plus très riche avait des avantages. Elle avait le luxe et le confort à sa disposition. Tout ce qu'elle voulait, elle l'obtenait sans faire le moindre effort. Aux yeux de ses parents et de toute sa famille, elle a toujours été cette fille unique que tout le monde rêve d'avoir. La belle Russe aimait cette sensation, car ça lui donnait l'impression qu'elle avait une place importante au sein de sa famille. C'était la première de la classe, elle réussissait toujours ce qu'elle entreprenait. Anja décrit sa mère comme étant une femme hautaine aux airs superficiels, toujours les bras croisés, les cheveux parfaitement bien coiffés, un regard de supériorité envers les autres, vêtue avec des habits qui lui coûté la peau des fesses. Elle avait honte de cette femme, elle avait honte d'être sa fille et pourtant on va dire qu'elle est devenue un peu comme cette mère qu'elle haïssait tant. Elle voulait s'évader, respirer, prendre son indépendance. Ce qu'elle a vécu a beaucoup influencé sa personnalité d'aujourd'hui, et ceci s'est avéré avantageux car ça l'a emmené plus loin que ce qu'elle pensait. Enfin, Anja n'est pas trop du genre à parler de son enfance alors si vous voulez bien, suivez nous jusqu'à son adolescence, là où beaucoup de choses ont changé. Le début d'une vie amoureuse qui n'aurait même pas du débuter quand on voit sur qui elle est tombée...
Pour vous aider à mieux comprendre, je me suis permis de retirer un extrait du journal intime d'Anja où elle raconte son adolescence. Oui, ça lui est arrivée d'écrire quelques pages sur sa vie pour se sentir mieux. "Je me rappelle comme si c'était hier et ça a du sûrement être le plus beau jour de ma vie. J'avais 21 ans. Ha... la vingtaine... selon moi, la meilleure époque d'une vie. Je l'avais déjà remarqué au Campus mais jamais je ne lui avais adressé la parole car l'occasion ne s'était jamais présentée. Ce fut lui qui vint à moi, l'air très naturel et plutôt décontracté avec un sourire ravageur qui aurait pu faire tourner la tête à n'importe quelle femme. Il avait des dents si blanches qu'on pouvait les voir de loin, (oui j'ai remarqué les moindres détails), sans parler de ses yeux ! Ils étaient si bleus, si beaux et profonds qu'on avait l'impression qu'on pouvait se noyer dedans. Il était tout simplement beau et encore c'est un adjectif très faible pour le qualifier, il était merveilleux, très élégant et charmant. Tout ça pour vous dire que je suis complètement tombée sous son charme. Un beau brun aux yeux bleus, tout à fait mon genre. A l'époque j'aurais fait n'importe quoi pour être avec lui. On s'était présenté, on a appris à se connaître et on a appris à s'aimer. Pourtant on avait rien en commun, absolument rien. Lui il était orphelin, abandonné par ses parents et moi tout le contraire, née dans une famille très riche, gâtée toute mon enfance. Mais on était tous les deux ambitieux et on avait la même vision des choses. Je ne me voyais pas faire un boulot ordinaire avec la même routine tous les jours et sans piquant, après tout on a tous besoin d'adrénaline dans notre vie n'est-ce pas ? C'est donc à l'âge de 22 ans que je deviens officiellement Madame Lebovski. Stupide erreur mais ça vous le saurez plus tard. Pour moi tout était parfait et personne d'autre comptait pour moi à part Stanislas. Mes yeux ne voulaient voir que lui, il n'y avait que lui au monde. En fait j'étais une petite gamine stupide et amoureuse, parce que quand vous êtes amoureux, vous êtes idiot. J'aimais son ambition, hélas ce n'était qu'illusion car ce bel Appollon était loin d'avoir de l'ambition, il se contentait de ce qu'il avait déjà et ça ne me plaisait pas du tout car j'étais et je suis tout le contraire. Bien sûr on ne resta pas à Moscou. On avait tous les deux besoin de quelque chose de nouveau et ce quelque chose de nouveau n'était autre que New York. La ville dont tout le monde rêve de visiter et même habiter, la ville dont tout le monde parle. Et moi j'avais besoin d'un travail qui bougeait beaucoup car je suis une petite boule d'énergie et rester à un bureau voir les heures défiler ce n'est pas trop mon truc. J'ai donc opté pour le business international, ça correspondait tout à fait à mon caractère autoritaire et perfectionniste. Mais hélas, mon autorité peut-être que je n'aurais pas dû l'utilisée sur mon mari. Stanislas a ouvert le "Fight Club" où des idiots sans cervelle et qui n'avaient rien d'autre à faire, y allaient pour se frapper dessus. Vachement intéréssant mais le monde est rempli d'idiots alors vous vous en doutez sûrement que son affaire a quand même eu du succès et l'a toujours d'ailleurs. Il a même un surnom figurez-vous, Stan la Rage, tiens ça lui va à merveille vous ne trouvez pas ? Moi ce que je trouve c'est qu'il devrait calmer ses ardeurs d'homme trop agressif et violent. Bien sûr même que je lui ai voué un amour sans limites, je n'étais pas dupe. Je voyais clairement que Stanislas était un homme dangereux et sans pitié mais jamais je n'aurais cru qu'il puisse me faire une chose pareille. Lui qui m'avait promis bonheur et amour, il m'a complètement détruit, il m'a brisé le coeur. A l'époque, le sachant aussi agressif, quand j'ai monté ma première agence des Malkovski il n'a rien dit bien que même un aveugle pourrait comprendre qu'il n'était pas d'accord avec cette petite affaire, sûrement la peur que sa femme soit plus connue dans le monde du business que lui. Jusque là rien ne vous semble anormal mais tout était bien jusqu'à ce que je lui cache que la Mafia Russe m'avait proposé d'étendre mon marché d'escorte girl de luxe partout dans le monde car entre nous mon affaire avait du succès. Mais bien sur les Mafieux ne donnent jamais sans recevoir et donc en échange je devais leurs rendre des services. Tout ça je l'ai caché à mon époux mais bien sûr monsieur-je-sais-tout a finit par le découvrir. Et maintenant passons aux choses sérieuses, cet acte irréfléchi qu'il a commis, je pense que je ne lui pardonnerais jamais. Pendant tout ce temps que j'ai vécu à ses côtés, je n'ai jamais pensé qu'il serait capable d'une chose pareille, surtout envers moi, la femme qu'il soit disant aimait. Un mensonge parmi tant d'autres. Notre très cher "Stan la Rage" n'était qu'en fait un lâche. Ce moins que rien m'a frappé jusqu'au sang comme une vieille chaussette, comme s'il frappait un des homme de son club. Si vous auriez vu la haine qui brillait dans ses yeux... je suis parcourue de frissons quand j'y pense. Des larmes coulaient sans que je m'en rende vraiment compte et pourtant je ne suis pas une femme qui pleure très souvent, je garde mon sang froid mais là j'ai craqué. Vous imaginez-vous, une femme fragile et toute mince se faire frapper par un homme musclé et entraîné depuis des années à ce genre de violence ? Oui, le combat est déjà perdu d'avance. Je n'arrivais même pas à lever mon petit doigt, je me trouvais tout de suite par terre. Je ne me rappelle plus très bien combien de coups il m'a donné et je n'ai aucune envie de m'en rappeler aussi. C'est juste une chose à dire, hallucinant. Maintenant je m'attends à tout dans cette vie, la mienne s'est nettement améliorée depuis, même si je garde des mauvais souvenirs. Ce fut le divorce qui fut réclamer par moi-même après cet acte de violence. Je n'y croyais pas au début, je me croyais dans un mauvais rêve. Stanislas, mon Stanislas n'avait pas pu me faire ça. Comment avait-il osé ? Autant vous dire que j'en étais folle amoureuse et que j'ai eu du mal à l'oublier, à vrai dire je ne l'ai pas vraiment oublié vous savez. Comme on dit, la vengeance est un plat qui se mange froid." Je n'ai rien à ajouté d'autre, Anja vous a tout dit. Fin de l'histoire. ▬ Relations ; (5 lignes minimum - Relations amoureuses, amicales, sexuelles ; Ce qui lui plait chez les autres, ce qui ne lui plait pas chez les autres ... Ceci est une approche de la façon dont votre personnage se comporte avec autrui.)
BLABLABLA ▬ Physique ; (5 lignes minimum)
BLABLABLA ▬ Caractère ; (20 lignes minimum)
BLABLABLA ▬ La plus grande honte du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
BLABLABLA ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
"L'enfer est déjà sur terre avec tout ce qui arrive." L'opinion d'Anja est un peu trop philosophique vous ne trouvez pas ? Quoiqu'il en soit, elle peut bien le cacher mais on le sait tous que son ex mari, c'est-à-dire Stanislas Lebovski reprèsente l'enfer pour la belle Russe. Je ne suis pas en train de vous dire qu'elle a en peur, elle ne l'évite pas non plus, mais quand elle regarde cet homme, les images d'un passé douleureux lui reviennent comme des flash black. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
BLABLABLA ▬ Point faible du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
BLABLABLA ▬ Point fort du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
BLABLABLA ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel.)
BLABLABLA ▬ Prénom ou pseudo ; Bianca. ▬ Âge ;18 ans. ▬ Où avez-vous connu le forum ; Sur Bazzart. ▬ Connexion ; 5/7. ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
Cherchez l'ensemble de 3 mots qui ne sont pas à leur place dans les phrases du règlement. Cette épreuve ne devrait s'avérer longue et fastidieuse que pour les tricheurs qui n'ont pas lu attentivement ... :p ▬ Avez vous signé le règlement ; [X] OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Ame damnée tu es, âme damnée tu resteras. Jamais je ne réussirais à voir plus loin, au de-là de l'horizon. Se cacher dérrière un masque, c'est tout ce que je sais faire de mieux. Un goût salé m'envahit les lèvres et sur la seconde qui suit, je crache ce liquide qui serait preuve de ma sensibilité. Je n'en veux pas, c'est finit. Le pouvoir de rendre les autres orgueilleux m'a peut-être été enlevé mais néanmois je garde ce péché en moi et avec toute la fierté que je puisse avoir, je proclame haut et fort que jamais je ferais preuve de lâcheté ou de sensibilité devant qui que ce soit. L'amour me rend assez stupide comme ça. En parlant de ce sentiment qui me rend à l'état d'un simple mortel, celle pour qui je l'éprouve n'est pas très loin. Comment gâcher ma soirée qui s'annonçait d'une tranquilité infaillible... je suis d'une naïveté affolante parfois. Je me surprends à moi-même. Je vous dirais toujours les gars, une femme peut gâcher toute votre vie, et quand vous vivez pour toujours... euh ouais c'est là que les choses se compliquent. Pourquoi pleurer sur son sort quand il est déjà tracé ? Les pleurs n'y changeront absolumment rien. Il ne vous reste plus qu'à souffir ou alors vous faites comme moi, consummez, pour oublier. Si j'aurais été un mortel, je vous aurais dit "On ne vit qu'une fois" mais je pense que cette expression venant de ma bouche aurait un sens un peu ironique et déplacé. Mais enfin, revenons à nos oignons. C'est là que les choses commencent à devenir intéréssantes pour vous les lecteurs. Oui, parce que pour moi je n'y vois aucun intérêt à l'amour, ça me pourrit la vie, mais d'un côté... elle est tellement exceptionnelle... bref, ne nous égarons pas. Ne jamais faire le fleur bleu devant les femmes, ça pourrait nuire à votre crédibilité. Je parle en connaissance de cause mais on ne va pas s'étendre sur ce sujet là, laissez moi plutôt vous parler de la charmante créature qui fait naître en moi deux sentiments intenses mais affreusement opposés. Amour et Haine ne font plus qu'un quand j'entends le prénom "Erin", ou pire encore, quand ma route croise la sienne et justement ce que je ne voulais pas qui arrive, arriva. Laissez moi vous parler de cette créature qui se tient juste devant moi, son visage dévoré par la surprise de voir en face d'elle, celui pour qui elle a tout donné et pour qui elle donnerait encore tout. Je ne peux pas, c'est impossible de la regarder droit dans les yeux et pourtant je le fais. Chaque centimètre qui m'éloigne d'elle m'est comme un couteau dans le coeur mais d'un autre côté j'aimerais que ces centimètres là, soient infinis. Ses yeux bleus m'observent avec une intensité dérangeante. Regardez-la, Erin, femme fatale, Démone de la gourmandise. Qui aurait cru qu'un jour elle puisse être réduite à l'état de femme soumise à cause d'un seul et même homme ? Personne, même pas moi. Je ne lui demande pas de me prouver l'amour qu'elle ressent pour moi, je lui demande de ne pas me le montrer.
Elle se tient devant moi sans bouger, comme si sa présence n'était pas déjà assez insupportable. Elle s'attends peut-être à que je fasse le premier pas ? Il n'y aura pas de premier pas, je vais tracer ma route et faire comme si elle n'existait pas. Là c'est la haine qui parle mais bien sûr l'amour a toujours son mot à dire alors je reste là immobile, comme un stupide mortel devant la femme de sa vie. Je ne laisse paraître ne ce serait qu'une seule once d'amour à travers mes yeux, mais la triste réalité c'est que mon coeur y est remplit. J'aurais tout fait pour cette femme moi aussi, je me suis même suicidé après l'avoir tué mais ça elle ne semble pas l'avoir encore compris. Je suis d'accord, je ne m'attendais pas et je n'espérais pas surtout à la retrouver en Enfer et une fois chose faite, je me suis dit dans ma tête "c'est finit, c'est la fin". Supporter chaque jour pour l'éternité, le visage de la femme qui a tué le fruit de vos entrailles, c'est vraiment quelque chose d'innatendu. Comment puis-je épprouver encore cet amour passionnel et ardent pour elle ? Je me le demande à moi même. Je la regarde de haut en bas et ne put m'empêcher de soupirer. Si elle aurait été moins attirante, les choses seraient peut-être plus faciles. Qu'est-ce que je me suis dit en début de soirée déjà ? Ha oui... être tranquille, or sa présence perturbe ma tranquilité. Tan pis pour l'amour, laissons place à la haine. Je prends une grande inspiration, je mets les mains dans les poches de mon jean d'une couleur aussi noire que mon humeur, et j'avance. Le problème c'est que la ruelle est tellement étroite que je n'ai d'autres choix, que d'éffleurer son épaule. Chose dite, chose faite. Le simple contact de sa peau dénudée contre la mienne, a provoqué en moi des frissons inexplicables et mon coeur qui n'en est plus un, s'est mis à battre comme s'il voulait décoller de ma poitrine. Je m'arrête quelques secondes et la regarde dans le blanc des yeux avant de lui dire des paroles que moi-même j'ignore si elles sortent tout droit du fond de mes pensées.
_ Tu m'excuseras Erin, mais avant que tu prennes cette petite bousculade pour quelque chose de prévu à l'avance, je t'arrête tout de suite. Je n'ai point fait exprès, sur ce bonne route et évite de croiser la mienne autant de fois que tu peux, merci.
L'envie de me frapper n'était pas loin mais d'un côté les choses iraient mieux ainsi. J'ai continué mon chemin sans prendre la peine de me retourner ne ce serait qu'une seule seconde, sans prendre la peine de ressentir ses émotions, sans prendre la peine de remarquer qu'elle s'était retournée et qu'elle m'avait regardé partir comme si je représentais à ses yeux, son dernier espoir d'une vie meilleure. Mon envie de courir vers cette femme et de la serrer dans mes bras était bien présente mais une fois dans mes bras, mes folles envies sadiques seraient vite revenues me hanter alors réfléchissant deux fois avant d'agir, j'ai disparu de son champ de vision. Moi qui croyait qu'après la tempête venait le bon temps, et bien je ne me suis pas trompé. A mes yeux, Hyperion semble prendre de la vie ce soir. Je m'arrête, je regarde les alentours et me demande par où est-ce que je pourrais bien commencer. Une pluie incessante se met soudainement à tomber, et dès que les goûtes d'eau froide touchent ma peau, j'ai l'impression de revivre. Je suis là, je suis bien là, un Démon pour le restant de mes jours mais je suis là. Enfin, restant de mes jours... vous me direz hein ! Je suis immortel et puis je pense aussi que personne serait assez fou pour vouloir me tuer mais je dis ça, je ne dis rien. Mains dans les poches je m'appuie contre le mur d'une maison abandonnée et essaye de détecter le moindre son, le moindre mouvement, le moindre parfum... je ferme mes yeux et me détends. Enfin tranquille... quoique ? Avant de montrer la prunelle de mes yeux à ma jolie visiteuse, je lui offre le plus beau de mes sourires sarcastique. Avant de lui donner mon entière attention, je tourne les yeux et je remarque que nous sommes pas seuls. Pearl semble bien s'amuser avec Melusine et ça me fait penser que moi aussi j'aurais bien besoin d'une esclave. La Démone de la Luxure me tente bien mais j'ai en face de moi, une des créatures les plus détestables que je connaisse, c'est-à-dire Anael. Aussi orgueilleuse que moi, cette femme sait comment s'y prendre pour jouer avec mes nerfs.
_ Ton orgueil a été frappé en plein coup ma chère ? Je ne me suis pas intéréssé à toi dès le début. Tu veux bien me pardonner ? Oh, je suis sûr que oui. Qui refuserait des excuses venant de l'ancien Démon de l'orgueil ?
Je lui fais un nouveau sourire et je continue avec ma provocation légendaire.
_ Je m'en doutais que tu ne pouvais pas te passer de moi mais à ce point, quand même... J'en suis reconnaissant, crois moi.
Cette femme m'insupporte car je sais que pour réussir à la faire partager une de ses nuits avec moi, je vais devoir faire tous les efforts du monde. Bizarrement, c'est justement ça qui m'attire chez elle. Quoique je lui dise, rien n'est trop beau pour flatter son orgueil. Quand je la vois, je me vois moi mais au féminin, une parfaite Démone de l'orgueil mais quand j'y pense, la peur m'envahit, celle de me faire prendre la place. On m'a prévenue mille et une fois. Anaël a bien l'air toute mignonne mais comme on dit bien souvent, les apparences sont trompeuses et pour une fois peut-être que je devrais garder mon orgueil de côté car c'est dans des situations comme celle-ci, qu'il en devient une faiblesse. Le chat et la souris, bien sûr le chat c'est moi mais Anaël n'est pas une souris facile ce qui me désespère sincèrement. Mes avances, mes paroles, mes charmes ont toujours plut à n'impore quelle femme. Qu'elle soit humaine ou immortelle, j'ai eu rarement besoin d'utiliser mon pouvoir de persuasion pour qu'elles se réveillent un matin à mes côtés. Bien sûr, je vais vous épargner mes expériences sexuelles bien nombreuses mais pour ne pas que vous croyez des choses, ça a toujours été avec des femmes. Pas de mélange bien sûr, ça ne va pas. Enfin bref, revenons aux choses intéréssantes. Quand je vois cette femme, je vois comme une sorte de rivale. Elle m'excite (les mentalités perverses vous n'êtes pas drôle), plus elle me refuse et plus j'ai envie de continuer et je pense que ça elle ne l'a pas encore compris. Peut-être que c'est pareil pour elle qui sait ? J'approche mon visage du sien et avec la paume de ma main, je lui caresse le visage. Bien sûr comme je m'y attendais, madame recule et me lance un regard furieux. Je pensais qu'elle voulait s'amuser ? Hum... pourquoi est-elle venue alors ? Après avoir croisé Erin, la dernière de mes envies c'est de m'amuser alors je vais me détendre et réfléchir tout seul dans mon coin où persone osera me déranger. Mais avant de partir, j'entoure mon bras autour de sa taille avant de lui dire quelque chose qui la fera réfléchir pendant toute la soirée.
_ Tu m'excites Anaël, continue ton jeu. On verra qui sortira la dernière carte.
Je lui fais un clin d'oeil et continue ma route tout seul, perdu dans mes pensées en me disant que sans les femmes ma vie serait une routine infernale. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Eva Green. ▬ Multicompte(s) ; Non. ▬ Un dernier truc à dire ? ; Peace.
Dernière édition par Anja Malkovski le Dim 3 Avr - 17:25, édité 24 fois |
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