~ Nom : Connely... Je vous l'avoue, ça fait irlandais, pourtant, cela fait bien longtemps que ma famille est implanté à New York, au cœur même de cette modernité criante que les américains sont si fiers de montrer au reste du monde. Aussi loin que je m'en souvienne, on m'a toujours dit que les USA étaient ma patrie, que je devais me sentir fier d'appartenir à ce grand peuple et de fouler la terre de la plus vieille démocratie au monde. Jamais on ne m'a dit si notre famille avait des origines plus lointaines, ou avait elle vécue avant d'arriver en Amérique. Cela je ne le saurais probablement jamais, après tout, d'après mon père, cela fait prés de trois siècles que les Connely vivent sur le " nouveau continent ". ~ Prénom : Alexander. Plus personne ne s'embarrasse de la fin de mon prénom, excepté mon père quand il me présente à ses hôtes de marques, à ceux qu'il reçoit et auquel il me montre plus comme un trophée que comme un film. Tout le monde m'appelle Alex, ou ceux qui ne me connaissent pas ou uniquement très peu me donne du Mr Connely Junior. Comment dire, je préfère de très, voir trop, loin mon surnom à cette appellation qui me fait rire tant je trouve que ma place dans la famille s'efface au fil des minutes de ma vie qui s'égrennent. ~ Âge : Aujourd'hui j'ai vingt cinq ans, bientôt vingt six puisque mon anniversaire se fête en juillet. Le 4 juillet pour être précis, oui le jour de la fête national. Je pense que dans ma naissance mon père à vu un signe du destin, ou plutôt à souhaiter le voir. Quelque chose me prédestinait il à une grande vie, riche en événements et en faits glorificateurs? Peut être après tout, mais cette vie la n'a malheureusement pas encore commencée. Je sais, je suis encore jeune, j'ai comme on dit, la vie devant moins, pourtant je n'y croit pas vraiment. Du haut de mes vingt cinq ans, je suis bien plus fataliste que le sexagénaire ayant déjà traversé trop d'épreuve dans sa vie, c'est pour dire. ~ Nationalité : Américaine, Américaine, et encore Américaine. Non je ne suis pas plus fier que cela de mon pays, mais bon, avec mon pére maire de la ville de new york, si je n'était pas fier de ma nationalité, je serais bon pour le goulag moderne. Enfin, ce ne serait pas cela tout de même, mais deja que j'obtiens que tres peu d'estime et d'attention de mon pére, alors si maintenant je ne me montrais plus patriote, je sortirais définitivement de son esprit tumultueux et borné. ~ Groupe : I'm a cityzen. Je vois deja la blague, non je n'ai absolument rien de zen, j'ai juste un boulot dans new york. Je ne suis pas trop fan du mode de vie " je reste au crochet de mes parents jusqu'a quarante ans " et j'ai vite compris que la vie professionnelle rapportait plus. Financièrement parlant. Evidemment, je fus étudiant un jour, mais cette période est finie depuis quelques temps à présent. Je ne me plains pas, le genre de vie que je mène ne me déplait pas, elle me conviendrais même parfaitement puisque je suis du genre à être légèrement hédoniste. ~ Statut et activité dans la vie : Je suis trader, et le mieux dans tout cela, c'est que je suis doué. La crise économique? Oui je m'y connait, j'ai une part de responsabilité dedans. Devrais je être considéré comme méchant pour autant? Être en permanence a la recherche du profit? Peut être, mais c'est pourquoi on m'embauche, parce que je sais quel marché faire fructifier, je connais la spéculation, je sais manipuler des dividendes afin de les faire fluctuer comme personne. Je travaille dans l'une des plus grande société de courtage des USA et pour une fois, ce n'est pas grâce au piston de papa, mais bien à mes études et mes résultats. Pourtant, je ne me vois pas faire ma vie dans ces marchés instables. Pour le moment, je daigne y travailler, jusqu'au jour ou cela changera. ~ Orientation sexuelle : Hétéro. Je le sais juste, je n'ai jamais eu d'expérience homosexuelle, devrais je m'en formaliser? Après vingt cinq ans passé avec moi même, je considère que je me connait assez pour vous révéler ce détail de ma vie intime sans sourciller. Je n'ai jamais été attiré par un homme, je trouve que c'est une assez grande preuve non?
|| En savoir plus ? ||
~ Relations : Mes relations, sujet presque tabou, je dois vous le dire. Je suis très secret, je le sais, peut être trop d'après certaines personnes qui m'entourent et qui voudraient plus en apprendre sur moi, mais je dois leur faire comprendre que c'est juste dans ma nature, que ce n'est que ce que je suis au fond. Depuis toujours, une partie de mes relations sont secrètes, je suis la voie directement tracée par mon père avec son ancien travail, le mystère fait partie de ma vie. Mes amis, car oui j'en ai, ne connaissent même pas un dixième de mes gouts, de mes pensées, mais pourtant ils s'en contentent, et je leur en remercie. Je préfère écouter plutôt que me confier, et je pourrais donc être le genre de personne qu'on a tendance à oublier. Tant pis, mieux vaut être seul que mal accompagné disait un adage assez célèbre. Mes véritables amis se comptent sur les doigts de la main, et je leur accorde le peu de confiance maximal que je peu accorder à quelqu'un. Ils me soutiennent et essaient de me faire décrocher du jeu, mais sans vraiment réussir. Je suis assez étonné d'en avoir encore, après tout ce que j'ai pu faire, mais il faut croire qu'ils tiennent à moi. Les grandes sorties dans des lieux branchés avec eux, ce n'est pas vraiment mon truc. Les apparences ne m'importent que très peu, pourtant, je les suis là-dedans, très peu convaincu du bien fondée et ayant surtout peur de passé une soirée plus qu'ennuyantes. Mais bon, ce n'est en général qu'un petit sacrifice par rapport à ce qu'eux font pour moi. En vérité, je crois que si je ne les avais pas, je serais plus bas que terre, ne faisant que feindre divers sentiments au quotidien mais eux arrive à me faire respirer et m'enlever toutes les attentes que j'ai vis à vis de mon géniteur de la tête. Je n'ai pas toujours été comme cela, bien au contraire, au collège et au lycée j'étais assez populaire, pour ne pas dire ultra. Et puis tout évolue, tout le monde change, et moi j'ai commencer à prendre la mauvaise route et seuls quelques m'en ont empêchés. Eux font partis de mon cercle le plus proches, auquel personne d'autre n'est vraiment autorisé à accéder. Je sais que cela peut être difficile à comprendre, mais les méandres de mon esprits sont plus sinueux qu'un delta, c'est pour vous dire. Concernant les relations amoureuses, et bien, rien de très stable. D'ailleurs, ce n'est pas demain que je vais présenté la femme de ma vie à mon père. Quoi que cela pourrait peut être le faire se rapprocher de moi, lui faire prendre conscience que je ne suis pas qu'une représentation miniature de lui, que je peux être doué, que je mérite de la considération. Encore une chose à méditer, tiens! Disons que je peux rester plusieurs mois avec une fille avant que du jour au lendemain, je lui annonce que c'est fini. Ou alors, je peux juste être avec une fille pour la nuit, sans sentiments, juste pour me sentir vivant et oublier le reste. Je n'ai jamais connu l'amour, et je n'y crois pas, ou plutôt plus malheureusement. Les princes et princesses n'existent surement pas dans un tel monde que la corruption dirige et ou les bons sentiments sont en voie de disparition. Je ne me fais plus vraiment d'illusion, mais cela ne veut pas dire que je ne me marierai jamais, plutôt que cet événement n'est que très nébuleux pour le moment, perdu dans de vagues plans pour le futur.
~ Physique : Depuis des années, j'entends des " mais quel charmant jeune homme! ", " oh mon dieu, il est a tombé!", " est ce qu'il est célibataire?! " qui ont tous rapport avec mon physique. J'avoue que j'aurais pu être largement moins bien conçu par mes parents. On dit que j'ai des traits de ma mère, en particulier ses yeux et ses lèvres. Peut être est ce vrai, je n'en sais plus rien à présent, ces détails s'effacent peu à peu de ma mémoire. Si c'est vrai, alors j'en suis heureux, j'aurais enfin pu conserver quelque chose d'intact d'elle, dans les traits harmonieux de mon visage. Il est vrai que mon regard exprime tout ce qui me traverse, les yeux sont les fenêtres de l'âme, et j'ai tendance à croire qu'ils sont une faiblesse chez moi. Dans mon visage, seuls eux me trahissent, me mènent à ma perte quand le reste de mon visage peut rester impassible quoi qu'il se passe au fond de mon être torturé. Sans cela, mon visage est relativement fin, animé seulement par quelques expressions quand je le désire. Mon sourire est rarement franc, mais il réussi a bien se dessiner sur mes lèvres ainsi qu'a creuser deux fossettes presque enfantines dans mes joues. Mon visage est assez harmonieux dans l'ensemble, mais exprime aussi sa classe sociale, cette néo-noblesse, cette bourgeoisie que l'on dit cachée mais qui ressort de tout mes traits, de tout mes mouvements, de mon comportement en général. Je suis assez grand, enfin pas un joueur de basket mais je ne suis pas ce que l'on pourrait définir comme petit. Je ne suis pas très musclé, le sport n'a pas accaparé une grande place dans ma vie, néanmoins, on ne peut pas vraiment dire que les muscles soient totalement absent. Disons que même si je ne suis pas mister univers, on pourrait tout de même penser que le tennis ou le lacrosse a occupé mon adolescence alors que ma passion n'était autre que de ne rien faire en compagnie d'amis. Pas très physique comme occupation, je vous l'avoue. Pourtant mon corps attire, on me qualifie souvent comme réellement attirant, sans que je ne fasse rien. C'est peut être un tout en moi, un pouvoir pas spécialement utilisé mais qui m'a été transmis par mon père qui lui, n'attire plus que pour son pouvoir et son argent à présent. Je ne m'habille pas spécialement en costume, ou en habits de marque, ce n'est pas mon délire de montrer que j'ai de l'argent. Je suis même relativement loin de cet état d'esprit, cela ferait en apprendre aux gens beaucoup trop sur moi. Je n'ai pas de style, enfin pas de particulier, je m'habille suivant les circonstances, smoking pour les diners de gala avec mon père ou le sourire est d'apparence, jean et t shirt pour un poker de plus, chemise et pantalon de costume lorsque je suis à la bourse. Le physique n'est pas la chose la plus importante pour moi, bien que je l'avoue, je juge moi même beaucoup dessus. On apprend pas mal a connaitre quelqu'un en observant son extérieur, son attitude, et je ne veux pas me vendre de cette manière la.
~ Définition de l'enfer pour le personnage :L'enfer? Je ne suis pas très croyant mais pourtant je sais bien qu'il va bientôt arrivé si je continue le style de vie que je mène. Évidemment, je ne suis pas pret d'en changer, mais il faut bien que je le sache afin de foncer directement dans le ravin non? C'est mon caractère apres tout, être totalement fataliste. L'enfer a déjà pris possession de ma vie, le jeu, la mort, et même si je vis dans le luxe et la volupté, cela n'a pas vraiment de bon effet sur moi. Je pense que je ne suis pas encore en enfer, mais plutôt au purgatoire, je pourrais aller au paradis mais je ne m'en donne pas encore les moyens. L'enfer se déclencherai si mon pére apprenait mon addiction au poker, ou alors si je me faisait kidnappé par la mafia pour réclamer une rançon importante. Voila ma définiton de l'enfer tel qu'il devrait l'être dans quelques temps si je ne me calme pas. Je ne me fait pas d'illusion, je sais que je m'en rapproche à grand pas. ~ Définition du paradis pour le personnage : Le paradis? Quelle vision utopique. Deja, ma mére serait bien vivante, au coté de mon pére, toujours maire de new york. Ils vivraient toujours dans le luxe, mais la vie serait plus simple. Je ne serais pas accroc au poker, j'aurais déménager, et j'aurais un boulot qui me passionnerait. Je serait peut etre moins payé, mais je serai heureux. Le bonheur, oui, c'est bien cela, malheureusement, ce mot ne veut plus rien dire pour moi a présent. Je serais peut etre marié, ou tout du moins je vivrai une vraie relation prolongée avec une fille, peu importe son milieu sociale. Je n'aurais plus affaire à la mafia, et mon pére me prodiguerait toute l'attention qu'un pére doit donner à son fils. Malheureusement, les utopies n'ont jamais pris forme.
~ Taux de criminalité et pourquoi : Disons 10 pour cent, a cause de mes fréquentations et de mon poker tout a fait illégale. Pourtant, je n'ai jamais fait de mal a personne, enfin uniquement à moi. Je doute que je puisse me faire inculper pour quoi que ce soit, et puis, de toute maniéré, mon pére est bien trop puissant pour qu'on ne puisse que poser la main sur moi. J'ai de la chance dans mon malheur alors?
Dernière édition par Alexander Connely le Mar 2 Juin - 21:11, édité 12 fois
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:27
~ Caractère : Vous voulez vraiment entrer dans mon intérieur, dans ce qui me sert d'esprit et de cœur? Alors allez y, je vous en pris, je vous montre le chemin. Par ou commencer? Je me perd moi même dans les méandres qui m'habitent. Est du conscient, de l'inconscient, du subconscient que viennent tout mes problèmes? Je n'en sais rien, et je défis quelqu'un, même Freud, d'essayer de comprendre la confusion de sentiments qui se produit en moi au quotidien. Bon essayons d'y aller en suivant une logique me caractérisant: complètement illogique. Je suis d'un naturel secret, mystérieux, ce qui m'empêche de me confier à ceux qui m'entourent. Je ne suis pas très extraverti, et seul l'alcool a ce pouvoir déshinibateur que le reste de ce que je consomme n'a pas. Rares sont ceux ayant eu la chance de partager mes noirs secrets, mais ceux ci ont ma confiance. Néanmoins, il n'en faudrait que peu avant qu'il ne la perdre car je suis on ne peut plus exigent envers moi même mais aussi avec mes relations. Je suis un perfectionniste, connaissant parfaitement mes limites, je n'accepte que l'excellence lorsque j'entreprends quelque chose. Enfin, dans presque tous les domaines. Les études par exemple, la preuve, j'ai réussi la ou seule une élite d'étudiants accèdent, et tout cela, sans donner de pots de vins comme le font les autres. J'avoue que la fierté coule dans mes veines de temps à autres, mais elle n'est pas vraiment un de mes traits de caractère les plus principaux. Que dire ensuite? A oui, comme beaucoup de personnes, j'ai des cadavres dans le placard, des démons qui ne me hantent pas que la nuit. Tout d'abord, la mort de ma mère qui a changé pas mal de chose dans ma vie et qui l'a fait devenir plus que bancale; elle était ma confidente, mon oreille attentive et maintenant si je veux m'adresser a mon père, j'ai l'impression de ne parler qu'a un mur de granit noir.Ensuite, je suis accroc au jeu. Les casinos, les machines à sous, sans plus, mais ce sont vraiment les jeux de cartes avec des sommes faramineuses à la cl qui me poussent au vice. Je sais que je suis tombé dans cette spirale, et j'ai de la chance d'être riche car sans cela, je sais que je sera déjà passé de vie a trépas a cause des dettes que j'engendre. Mon père ne le sait pas, et heureusement, car moi qui veut faire sa fierté, je ne représenterai plus rien le jour ou il le saura. Bref, je sais bien que ce jour la arrivera, de toute manière, je n'attend rien de bien de la vie. On me considère comme pessimiste, ce n'est pas faux, pour moi, le verre est toujours à moitié vide et non pas plein. Pourtant, je suis beau, riche et jeune. Et alors? C'est ma vie qui est en jeu, et si la passivité me hante, et bien c'est mon propre problème, je ne vois pas pourquoi on dit de moi que je suis exaspérant pour cela. J'assume les conséquences de mes actes. Le vingt et unième siècle n'est surement pas mon siècle, j'ai l'esprit noir de machiavel et suis aussi fataliste qu'une pièce de tragédie grecque, mais je fais avec, je vis, je survis au quotidien, avec ces pensées ténébreuses me hantant à chaque pas. Je ne pense pas que quelqu'un pourra m'en sortir, ni un étranger, ni une étrangère, ni moi même. Surtout pas moi. J'ai confiance en moi, c'est sur, mais je n'ai aucun espoir, ni a propos de moi, ni a propos de ma vie, ni a propos de notre temps. Je suis défaitiste, peut être, mais tenace dans mes résolutions, si mauvaises et si vite prises soient elles.
~ This is the story of my life: Commençons par le commencement si vous le voulez bien, cela ne fera de mal à personne. Ma vie n'est pas rose, mais les nuages au début ne sont pas trop nombreux. Ceci n'est pas l'histoire du merveilleux petit lutin dans la foret aux grands arbres. Loin de la en fait. Comme tout le monde, je naquis, je vint au monde. Moi, ce fut à Rio de Janeiro, dans un hôpital renommé. Et oui, même si aujourd'hui, je suis surement l'un des plus new yorkais des new yorkais, disons que je ne le fus pas des ma propre naissance. Mes parents étaient très amoureux a l'époque, enfin, ma mère de mon père, mon père, je n'en sais rien. Il fut toujours secret avec moi, secret du genre a ne rien me confier, et même secret jusqu'à en faire son métier. Il travaillait dans ce qu'on appelle les services secrets, les agences de renseignements, vous savez, ce que James bond fait au cinéma mais que peu de personnes font en réalité. Oui, c'était cela le boulot de mon père, mais il l'arrêta quelques années après ma naissance. En attendant, cela nous permettait de voyager aux quatre coins du globe, et j'ai appris à marcher dans les plus grandes métropoles de la terre. Cette époque était douce, d'ailleurs, je ne m'en souviens pas, c'est pour dire! Je me faisait transporter d'avion en avion, sans rien dire, et j'ai toujours garder cette paix dans l'espace aérien lorsqu'il m'arrive de voyager aujourd'hui, cette sérénité comme quoi rien ne peux m'arriver. Est ce une réminiscence de mon passé? Peut être, un psychologue saurait mieux que moi je suppose.
Ensuite, tout ces voyages furent finis, mon père quitta son travail et fut muté à la mairie de new york, enfin, il avait déjà des liens très secrets avec le maire pour lequel il avait effectué quelques missions et c'est tout naturellement qu'il rejoignit son équipe de conseillers. Pour moi, cela signifiait alors la stabilité, je n'était plus un nomade comme je l'avais été pendant les cinq premières années de ma vie, et mes souvenirs remontent alors jusqu'à ma sédentarisation soudaine. Mon père avait un nouveau Job, ma mère entrait dans une agence publicitaire et moi, à l'école. Primaire et privée, évidemment. Mes parents ne voulaient pas que je sorte de notre très chic quartier de l'upper east side, et il était vrai que je n'avait jamais approché la misère. Je ne manquais de rien et jouissais de tout comme n'importe quel enfant peut être trop gâté pour son age. J'étais intelligent, j'avais d'excellente note et ma popularité allait de paire avec mon ancien style de vie, j'étais une genre de nouvelle petite star qui se baladait dans sa nouvelle école. La vie n'avait jamais été plus simple.
Puis vint l'age de mes douze ans. Année mémorable, mon père obtint le poste de maire de New York! Quelle renommée, quel prestige, pourtant dans les journaux courrait une rumeur de tricherie effroyable. Mais mes visions de lui ne furent pas ébranlées, je le vis toujours tel un homme droit, rigide, fier et juste. Je le glorifiais peut etre, je n'en sais rien, n'empêche qu'il a toujours été comme un modèle pour moi. Ma popularité grimpa d'un coup, je devins médiatisé. La ville n'a pas vraiment changé quand il est arrivé au pouvoir, pourtant, ma vie a changé. Je ne le voyais plus que tres rarement, ma mére, délaissée, s'était réfugiée dans un travail de concepteur rédacteur de publicité qui lui prenait énormément de temps. Elle oubliait son absence, tandis que moi j'étais confié dans un premier temps à une nourrice, puis je fus livré à moi même. Je trainais avec des amis, j'avais treize quatorze ans, et je sentais la liberté couler dans mes veines de new yorkais. Je faisais ce que je voulais, ou je le voulais, quand je le voulais, toutes les portes m'étaient ouvertes. Et puis, ma mère mourut.
Ce fut aussi soudain dans ma vie que ca le fut dans votre lecture. Je ne m'y attendais pas, d'ailleurs, personne ne devait vraiment s'y attendre. Comment c'est arrivé? Brusquement et violemment, je pense que ces deux adverbes conviennent parfaitement à ce qui se passa cette matinée la. Je m'en souviendrais toujours, il faisait un grand soleil radieux dans les rues de new york et moi j'allais au lycée. J'avais quinze ans, un an d'avance dans mes études. Elle se trouvait dans une limousine la conduisant à un gala de charité ou elle devait retrouver mon père. Mais elle ne le retrouva jamais, sa voiture fut la cible d'attentat qui étaient originellement destinés non pas a ma mère mais à mon géniteur. Le maire de New York avait apparemment des ennuis avec la mafia, mais moi, j'étais a cent lieux de m'en douter. Comment j'ai pris la nouvelle? Mal, tres tres mal. J'étais plus bas que terre, elle était ma seule confidente sur terre et on me la retirait sans me demander mon consentement. Mon deuil fut pénible, et j'eus grand mal a traversé les habituelles étapes qu'on considère pendant cette période d'habitude. Ma crise d'adolescence commença a partir de ce moment la. Mon comportement changea du tout au tout, je me renfermais, je m'intériorisais, je ne me confiais plus à personne, je cessais de voir mes amis habituels pour avoir d'autres fréquentations plus obscure. Mon père ne m'adressait presque plus la parole, il ne rentrait plus à notre hôtel particulier, bref, j'étais seul. Désespérément seul face a une peine bien trop lourde que je portais sans sourciller. Que faire d'autre, je n'allais tout de même pas aller me plaindre a mon seul modèle encore vivant.
Je continuais mon chemin, j'eus mon diplôme a dix sept ans, et j'entrais ensuite dans une école de commerce des plus réputées d'où je sortis des années plus tard radicalement changé, et prés à faire mon entrée dans le monde que fréquentait mon père. De plus, je n'avais plus rien à voir avec le lycéen qui était tombé à genoux sur le sol en marbre de sa chambre lorsqu'il avait appris la mort de sa mère, j'étais maintenant à deux doigts de la dépression. Ce monde ne m'intéressait pas, j'avais fait ces études pour faire plaisir a mon père, obtenir enfin sa reconnaissance comme fils prodigue. Mais bon, visiblement, je ne faisais sa fierté que lorsqu'il me présentait à ses amis sous mon titre officiel maintenant: trader à wall street engagé dans un des plus grands cabinets de commerce. Mon dieu que j'ai de la chance n'est ce pas. Non, rien ne me convient, je n'en veux pas toujours plus, j'en veux différemment. Les bas fonds de New York m'ont accueilli à bras ouverts lorsqu'ils ont comprit que mon porte feuille n'avait pas de fond. Le jeu est devenu ma passion, pourtant je ne suis qu'un piètre joueur, mais cela me fait du bien de claquer tout ce que j'ai la dedans, un exutoire qui me coute vraiment très cher si vous préférer...
Aujourd'hui, j'approche de mon vingt sixieme anniversaire, j'écoute les classiques de blink 182 en boucle sur un iphone qui n'est la que parce que tout le monde en a un, je porte des wayfarers car cela fait vintage, je joue du piano pas trop mal, je n'ai jamais dit je t'aime, je suis toujours aussi secret, j'espére toujours faire la fierté de mon pére, je ne dors plus que trois ou quatre heures par nuit, je regrette le passé, je vis la nuit, le jour n'est qu'un travail pour moi, j'ai des dettes mais je m'en fiche, le danger ne me fait pas peur, la mort ne me fait pas peur, je rêve plus éveillé qu'endormi, je n'ai que tres peu de vrais amis mais plein de relations, je n'aime toujours pas le sport, je vis. Aujourd'hui je survis.
Dernière édition par Alexander Connely le Mar 2 Juin - 20:41, édité 9 fois
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:27
|| Le joueur et le hors-jeu ||
~ Prénom/Pseudo : Marine, Marinette ><\" , Adri ^^ ~ Age : 17 ans ~ Votre avis sur New York, The Dark Side : Sublime design, context plus qu\'accrocheur, james franco en vava, je suis on ne peut plus ravie. ~ Où avez-vous connu le forum ? Bazzart. ~ Niveau de RP : (en lignes/pages word par post) Minimum deux pages word. ~ Connexion :6 ou 7/7 ~ Code du règlement :
Spoiler:
OK par Dale
~ Célébrité sur l\'avatar : James Franco ( il est vraiment sublime n\'est ce pas <3) ~ Multicompte : Non. ~ Exemple de RP :
Spoiler:
C’est le destin. Tout le monde à déjà prononcé, ou alors ne serait ce qu’entendu cette phrase entrée dans les consciences comme dans les mœurs. C’était le destin. Quelqu’un mourrait, et on ne trouvait que cela à dire à la famille du pauvre malheureux qui s’était probablement trouver au mauvais endroit, au mauvais moment. En fait, cette expression était presque devenue une phrase bateau très, voir trop, sortable a chaque occasion. Pourtant, le destin avait une réelle incidence sur la vie quotidienne d’individus lambdas vivants au quotidien dans une société dangereuse, ou alors, plus probablement, il ne se résumait qu’à une terme renvoyant à du vide, à une invention produite pour comblée le trou de ce que l’on ne comprend pas et qu’au fond on ne veux pas comprendre. Se voiler les yeux avait bien évidemment toujours été plus facile que de cherche à comprendre, que d’affronter une vérité qu’on était pas sur de vouloir connaître. Les humains étaient faibles. Ils se croyaient peut être maîtres de la planète Terre, mais en dessous de cela, leur logique était d’une stupidité affligeante. Garder le contrôle, amasser plus d’argent, gouverner tout et n’importe quoi. Etre les maîtres. Voilà le destin qu’ils donnaient à cette planète bleue ou une partie de ses six milliards d’habitants avait disparue depuis l’arrivée des Dieux. Cela aussi, c’était un coup du destin peut être ? Ah, qu’est ce qu’il pouvait faire comme malheurs lui, et sans jamais contrebalancer et amené quelque chose de réellement bien. Les gens ne parlaient pas de destin lorsqu’il était heureux. Celui ci était connoté par la tristesse. Adriel ne croyait pas au destin. Ceci n’était, pour lui évidemment, qu’un mythe de plus comme les diseuses de bonne aventure qui voyait par avance pour vous une vie toute tracée. Intimement, elles étaient liées au destin, et à croire ces faux prêches, on avait vite fait de passer à coté d’une vie intéressante et pleine de surprise. Par exemple, si un jour une voyante vous annonçait qu’une femme en rouge vous tuerait, et bien vous passeriez votre vie à éviter toutes les femmes en rouges, à louper peut être le grand amour de votre vie, pour finir non pas tuer par ladite femme en rouge, mais écrasé par un camion de bière. Le destin n’était que des calomnies pour les ignares d’après Adriel. Personne n’aurait pu lui prédire qu’il deviendrait un vampire et que près de trois siècles après sa naissance, il serait encore vivant, déambulant dans les rues d’un new York dont il n’aurait jamais rêvé en 1780. Alors était ce écrit des sa naissance ? Probablement pas non plus. S’il s’était retrouvé dans cette ruelle sombre, en pleine nuit, implorant le ciel pour éviter ce mariage qu’il ne souhaitait pas, ce n’était certainement pas le destin car au final, tout le monde pouvait faire ses choix. Cette nuit la, il aurait parfaitement pu choisir un autre pub, ou tout simplement de ne pas voir d’un si mauvais œil l’événement qui l’unirait le lendemain matin à une jeune femme totalement snob qu’il n’aimait pas et qu’il n’avait jamais aimé. S’il avait voulu, s’il l’avait réellement voulu, le jeune homme qu’il était à l’époque aurait trouvé un moyen d’épouser celle qu’il aimait vraiment, et aucune histoire de destin ne serait probablement intervenu la dedans. Le destin n’était juste qu’une accumulation de circonstances plus ou moins bonnes, un effet papillon, rien de plus, rien de moins.
Alors qu’on ne vienne pas à dire que cette rencontre qu’il avait fait en pleine nuit avec une résistante blessée dans une foret sombre de chez lui n’était qu’un vulgaire coup du destin. Apres tout, si dans l’éventualité que tout cela n’était qu’un enchaînement de probabilité aussi fragile sur le plan de la construction, Adriel n’aurait peut etre pas été choisi pour exécuter Joey. Dans ce cas, il ne l’aurait probablement peut être jamais rencontré et si cette mission avait été confiée à un autre, elle serait peut être déjà morte. Le destin, en lui même, n’était qu’un loto bizarre. La destinée de Joey était elle a présent de finir sa vie dans quelques instants sous les crocs d’un vampire qu’elle aimait ? Adriel devait il mourir, être réduit en un tas de cendres grises par la résistante, par l’humaine qu’il aimait ? Les deux devaient ils continués a vivre comme cela, dans la presque totale clandestinité de leur relation ? Le destin avait des bons cotés, celui de résoudre les problèmes qui étaient passés, mais ne fournissait en aucun cas les réponses des problèmes présents. Et puis, qui entendait destin entendait en général une dimension plus religieuse dans ce terme et en tout sincérité, si un Dieu existait, si vraiment il y avait une puissance supérieure au dessus des Dieux qui étaient arrivés à New York, les laisserait il faire ? Les vampires existeraient ils toujours ? Il fallait se rendre à l’évidence, les humains croyaient en toute ces choses, destin, dieux, pour se donner de l’espoir, une infime lueur à laquelle se raccrocher quand le noir prenait la place de tout le bon qu’on pouvait trouver sur Terre. Les vampires n’avaient pas besoin de bouée de secours telles que celle ci pour se raccrocher à une vision meilleure du lendemain, c’était dans leur nature de faire face a tout ce qu’il se passait, d’être combatif. Aucun réel vampire ne se laissait faire par ce que vulgairement on appelait le destin.
Depuis toujours Adriel avait appris à se débrouiller par lui même, à faire face aux problèmes qu’il rencontrait. Facile ? Non pas vraiment. Les vampires n’avaient pas ce genre de vie qu’on voyait dans les séries télé ou les livres, cela n’avait même quasiment rien à voir. Pas de grands massacres de villes, pas de brûlage en place publique, pas de renommée internationale comme ce cher Dracula, juste le camouflage et la solitude pour les moins doué d’entre eux. Adriel vampire avait changé du tout au tout par rapport au jeune homme humain qu’il avait été. Il était né une seconde fois, une nuit sans lune, et n’avait jamais plus été l’homme doux, patient, compréhensif, qu’il avait été pendant les vingt six années précédentes. Il avait tout quitté ; famille, future femme détestée, amis, relations de travail, il était seul. Profondément seul, aussi physiquement que mentalement. Pour la première fois de sa vie, il se postait en narrateur externe et jugeait les autres de haut. Il voyait l’espèce humaine comme un tout, ne faisant plus de différence entre les personnes, regroupant tout le monde dans un même sac avec l’étiquette : Probable repas, écrite en rouge. Cette expérience, ou plutôt cette nouvelle vie avait le bon coté de le faire voyager. En près de trois siècles, le vampire avait tout vu, ou presque. Pourtant, l’Amérique restait dans son cœur comme le symbole même de lui même, que tout changement était possible, qu’une nouvelle vie complètement différente pouvait démarrer ; une existence démoniaque ? Ad n’avait jamais vraiment été d’accord avec le rapport au diable qu’on donnait aux vampires. Apres tout, le diable n’existait pas à proprement parler, c’était la aussi pour le vampire des mythes et légendes destiné à ce que les enfants aillent se coucher tôt le soir, et que les rues ne soient pas hantées par divers badauds en pleine nuit au moyen age. Le diable, avec ses cornes, et sa queue fourchue, sa peau rouge accordée à ses yeux, c’est vrai qu’on retrouvait très bien Adriel ou n’importe quel autre vampire dans cette description élogieuse. Evidemment. De toute manière, au rythme ou les humains se faisaient tués, les vampires resteraient bientôt les seuls maîtres de cette Terre qui les avait bien trop longtemps asservis. L’évolution avait fait un bond spectaculaire en avant sans que rien ne puisse le laisser présager. De toute manière, qu’auraient pu faire les humains ? Mettre mieux en place leur résistance ? Il fallait voir à quel point elle était vaine car sûrement mal dirigée, ou tout du moins avec une stratégie bien trop basique pour que cela puisse vaincre des vampires ayant presque le livre l’art de la guerre comme bible. Il avait cela dans les veine, la violence et la cruauté était leur nature. Leur essence même. Le sang était leur nourriture alors il ne fallait pas s’attendre à ce qu’ils fassent une perfusion ou une prise de sang avec une aiguille à leur victime, mais bien que l’action en elle même soit une véritable boucherie. Pour un vampire, c’était naturel, pour un humain, par contre beaucoup moins, sauf chez les psychopathes, et ceux ci étaient très mal vu dans la société bien pensante. Un psychopathe chez les vampires aurait été une créature qui refusait catégoriquement de boire ne serait ce qu’une goutte de sang. Totalement impossible pour tout vampire normalement constitué et Adriel n’en connaissait aucun parmi ses amis/relations. Question de nature. Et cette nature, seule Joey arrivait à la faire bouger chez Adriel.
« Il y a des filles comme cela, et c’est celles la qu’on aime le plus, celles qui ne permettent pas d’espérer, car elles vous échappent alors même que vous refermez vos bras autour d’elles. »
L’espoir, il ne fallait plus trop compté dessus. Adriel, allongé sur son canapé confortable dans son bureau secret venait de proférer des paroles quelques peu vexantes à la jeune femme d’après le regard qu’elle lui avait accordé par la suite. Mais c’était lui, sa nature de vampire, quoi que légèrement agrémentée de doutes partiels qui étaient parfaitement fondés. Il n’aurait jamais imaginé qu’elle le poignarde. Leur échange verbale aurait fait pleurer, craquer, claquer la porte à n’importe qui. Mais pas à eux. Non, surtout pas à eux. Ils se complétaient bien par leur sadisme ainsi que leur masochisme commun. Il n’y avait aucun autre mot pour comprendre ces deux être passionnés qui étaient de camps différents. Deux espions, en guerre, de deux camps différents, ensemble. Cela laissait entrevoir le compte de fée Disney, mais malheureusement pas, dans cette histoire ci. Non, on était bien en Amériques, mais les temps étaient plus propices à une histoire d’amour et de haine emplie de passion plutôt qu’un conte de fée avec prince et princesse. La passion avait été l’élément commun aux deux protagonistes et sans qu’ils s’en soient réellement aperçu, tout cela avait tourné à un affrontement verbal des plus cruel. Si Adriel avait d’habitude ce tempérament, il ne l’adoptait que très peu en présence de Joey. Car il tenait à elle. Pourtant, leur échange était en train de repartir sur le même ton que tout à l’heure, sur celui des reproches et des faux semblants. Leur couple, enfin si l’on pouvait appelé cela de cette manière, n’était il réduit qu’a cela, des paroles méchantes qu’on ne savait pas si elles étaient creuses ou vraies, de la violence autant verbale que physique, une passion destructrice à la place de salvatrice. La passion était proche de l’instinct animal chez le vampire, elle lui dictait tant ses actes que ses paroles, mais chez l’humain, qu’en savait il ? Il avait oublié, cela faisait trop longtemps, une éternité, qu’il n’était plus humain. Pourtant, elle, Joey Kennedy, arrivait à réveiller des sentiments, des sensations, chez le vampire, qu’il aurait cru à jamais oublié. Qu’il avait clairement oublié. Adriel soupira. Un long soupire. la trêve était finie. Les hostilités reprenaient. Peut être qu’il n’aurait jamais du prononcé les quelques mots qu’il avait adressé à l’égard de Joey. Si maintenant il devait surveiller le moindre des termes qu’il emploierait, alors cette relation était déjà menée à l’échec. Que faire ? Comment réagir ? Rester de marbre ou s’énerver tel un feu profond ressurgissant de braise rougeoyantes ? La tentation était grande, et l’impulsivité avait vite fait de prendre le pas sur la raison chez le vampire comme chez la jeune femme, mais Adriel garda un visage calme, toujours aussi blanc, mais réellement tranquille. Il ne voulait pas repartir dans un conflit comme quelques minutes auparavant car il en appréhendait déjà la fin. Il avait déjà assez souffert, et ne souhaitait pas vraiment frapper l’humaine pour qu’elle se calme. Il contracta légèrement sa mâchoire, se mordit la lèvre inférieure afin de rester calme et répondit d’un ton qui affichait une claire neutralité :
- Je suis loin d’être un saint, je suis d’accord. Mais c’est ce que je suis, cruel, sadique, méprisable peut etre pour toi, mais c’est comme ca que je suis depuis bientôt trois siécles. Il est clair que nous n’avons pas les mêmes définitions de contrôle de soi ou de moral, mais tout de même, nous avons des limites communes. Et puis, franchement, si tu as envie de gueuler, vu que c’est visiblement ton cas, ne parle pas de ce que tu ne sais pas s’il te plait. Je comprend que tu ai tres mal pris l’intervention de Nathalie tout à l’heure, mais tire un trait dessus. Je ne veux pas te parler d’elle, je ne veux pas te dire ce qu’il s’est passé entre nous, ni comment cela s’est passé. Je voudrais juste que tu oublie sa venue, ses paroles, tout la concernant, jusqu\'à son visage.
SUITE DANS MON POST SUIVANT
Dernière édition par Alexander Connely le Lun 1 Juin - 22:57, édité 2 fois
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:28
Suite de mon exemple de RP
Spoiler:
Adriel avait gardé ce ton froid et unifié tout le long de ses paroles. Comment répondre à Joey d’un meilleur moyen après tout ? Il voulait éviter qu’elle ne se remette en colère et qu’une nouvelle dispute éclate comme à l’habitude tant ils étaient aussi lunatique l’un que l’autre. Nathalie. Il fallait encore que Joey se rapporte à elle. Elle faisait une sorte de fixation sur elle, sans qu’Adriel n’ait vraiment le bon sens de comprendre pourquoi. Nathalie était celle avec qui il s’était amusé pendant de nombreuses années, alors que Joey… Ha oui Joey… Elle était celle qui en quelques rencontres successives, fruit de la chance ou de la malchance pour l’un ou pour l’autre, avait réussi a faire rebattre le cœur mort du vampire. Cela n’avait jamais été le cas de Nathalie, elle était un vampire, elle était comme lui et n’avait donc aucun intérêt à faire sortir Adriel de son sadisme et sa cruauté. Les sentiments du vampire était clair, mais l’aveu n’était pas son mode de diction préféré. Avouer des sentiments était problématique pour cet ancien humain qui avait vraiment du mal à se confier. Le mystère l’habitait et le secret était son domaine. Il n’aimait pas se raconter, sa vie était du domaine privé et seul ses exploits ou boucheries pouvaient faire sa réputation. Mais en aucun cas ce qu’il considérait comme personnel. Si Joey avait pu savoir tout cela, elle aurait bien comprit qu’elle n’avait absolument pas besoin de se comparer à Nathalie, qu’elle était réellement la seule à connaître des bribes de la vie du démon qui était auprès d’elle et qu’il n’avait jamais confié ne serait ce qu’a son disciple. Mais évidemment, personne ne pouvait vraiment lire dans les pensées, excepté une poignée de Dieux. Elle aurait comprit que le vampire ressentait pour elle bien plus qu’il ne voulait en dire, mais actuellement, c’était impossible puisque l’un comme l’autre, ils s’énervaient de nouveau. Joey reprit la parole. Adriel s’attendait a des mots blessants, durs, mais pas ceux la, pas ceux qui s’apprêtaient à être prononcés par la jeune femme. A quoi pensait il être confronté ? Il ne le savait pas vraiment. Peut être des mots qui sonnaient fort mais qui au fond étaient tempérés. Peut être un ton moins hargneux envers lui. La réponse de la jeune femme l’anéantit. Preuve qu’elle avait un pouvoir certain sur lui. Il se répéta ses phrases lourdes de sens rapidement dans sa tête, détachant le moindre mot, la moindre syllabes pour comprendre ce qu’il avait loupé. Elle ne pouvait pas lui dire cela, c’était impossible. Et pourtant si, elle l’avait fait. Elle était la deuxième. S’il avait pu apporter un fond d’humanité à Adriel, elle venait de lui retirer immédiatement, presque en même temps que son cœur.
Car oui, il l’aimait, il ne lui avouerai peut être pas, mais il l’aimait. Il ne savait pas pourquoi, ca ne s’expliquait pas. Adriel répondit par un simple « Non » qu’il prononça dans un souffle, ce fut presque inaudible, d’ailleurs il ne savait pas si elle l’avait entendu mais s’en fichait pas mal. Il lui disait juste non. Non car lui il était amoureux d’elle. Non car lui il n’avait pas voulu la tuer, n’avait jamais voulu, depuis leur première rencontre. Non car il ne voulait pas en finir avec cette relation qui les mènerait à leur perte. Mais quelle douce perte. Une perte annoncée mais pourtant vers laquelle on courrait avec autant de joie que des enfants courraient vers la sortie de l’école après la classe. Non car il n’était pas content, il était dépité. Non car pour une fois, avoir raison se résumait à se tromper. Avait il eut faut sur toute la ligne ? C’était la deuxième a qui il ouvrait son cœur, a qui il l’offrait, et sur un plateau, elle lui rendait transpercer d’un poignard ensanglanté. Non il n’était pas satisfait de l’avoir emmené dans son monde comme elle disait. Elle était parfaitement restée dans le siens, celui des humains, celui des faux semblants, des mensonges et autre jeux mesquins auquel Adriel avait joué toute son existence sauf maintenant. Non il ne lui souhaiterai certainement pas la bienvenue. Une multitude d’émotions passèrent en un instant sur son visage, mais la résignation prit le pas sur toute les autres.
Il avait prononcé ce mot, cette négation abjecte au moment même ou Joey commençait à voir des larmes perler de ses yeux. Elle pleurait. C’était la première fois qu’il la voyait pleurer. Même quand il l’avait retrouvée dans les bois, mal en point, elle ne pleurait pas, elle contenait sa douleur, mais a ce moment la, non, elle s’abandonnait à lui. Des humaines pleurant, il en avait vu beaucoup, vraiment un grand nombre, lui demandant de les épargner, mais cela n’avait jamais rien réveiller en lui. Aucun sentiment spécial, aucune réaction. La c’était différent, il sentait la détresse de celle qui venait de lui briser le cœur sans états d’âme. A moins que la, ce soit ces fameux états d’âme qui se manifestaient ? Qui savait vraiment ? Il était déjà trop à la masse avec ses propres sentiments pour comprendre la psychologie complexe d’une Joey perdue. Il la voyait partout, rêvant éveillé d’elle, mais quand il se retrouvait face à elle, c’était la que les choses se gâtaient. Toujours. Malheureusement. Elle changea du tout au tout en instant, ce qui ne surpris pas vraiment Adriel, commencent clairement à devenir un habitué de ces revirement de caractère. Mais qu’en était il maintenant, qu’en était il après les propos qu’elle venait de tenir. Etait ce une confession, lui confiait elle une autre version de ses sentiments par ces larmes qui commençaient à ruisseler sur son visage de porcelaine ? Adriel était loin d’être Freud mais la continuité de la scène lui fit comprendre que Joey avait une autre partie d’elle qui était prête a prendre la place de la combattante. Elle se jeta sur lui, presque littéralement, l’embrassant avec encore plus de passion qu’elle n’en avait mis dans son discours précédant. Il sentait ses lèvres chaudes en contact contre sa peau d’une extrême froideur. Il sentait ses mouvements ample et presque violent. Une douleur lui arracha un léger cri tant la brutalité s’emparait de ce couple tellement imparfait. Adriel posa ses mains sur les courbes de la jeune femme, lui enserra tout d’abord la taille, la rapprochant de lui au maximum, puis fit remonter ses mains contre sa nuque, l’embrassant la ou d’habitude il aurait mordu sa victime. Pourtant la, il ne la mordit pas. Non bien au contraire. Leur lèvres se rapprochèrent dangereusement, mais le danger faisait partit de leur nature et ils s’embrassèrent. Passionnément, brutalement, avidement, extrêmement. Comme si c’était a la fois le premier et le dernier vrai baiser qu’ils devaient à jamais échanger.
Joey venait de prendre la parole, prononçant des mots si doux à l’oreille d’Adriel mais aussi en totale contradiction avec ceux qu’elle avait dit quelques instants plus tôt. Le vampire leur accordait plus de crédit, pourquoi ? Peut être par espoir, ou peut être parce qu’il décelait en l’humaine si proche de lui cette once de vérité qui lui faisait lui même défaut. Peut importe au final, ces mots venaient annulés les autres pour un cours moment, et le vampire ne prit pas la peine de lui répondre de suite, préférant l’embrasser de nouveau, répondre à ce besoin constant qu’il avait de frôler les lèvres cette humaine qui le hantait en permanence. Le contact du froid vampirique contre la chaleur de l’humaine était électrisant, comme un courant passant, frôlant la peau des deux amants. Adriel ne savait pas quoi répondre, comment réagir. Les aveux n’étaient pas son fort, le secret et le mystère l’entourait mais c’était Joey qu’il avait en face de lui, son obsession, sa pathologie, celle qu’il avait dans la peau aussi bien que dans le cœur. Il n’aimait pas ce genre de mièvrerie, pourtant, en ce moment, il en souffrait gravement. De plus, la question qu’elle venait de lui poser était problématique. Il ne savait absolument pas comment réagir à cela, de peur de mal interpréter peut être. Il se contenta de l’embrasser glissant une main dans ses cheveux soyeux, goûtant ses lèvres, rendant ce baiser a la fois doux et passionné, la serrant contre lui et se moquant bien de sa blessure, il avait le meilleur des remédes à portée de main. Il rompit le baiser pour répondre à Joey à mis voix, presque comme un chuchottement revélant un secret qui ne devait pas sortir de cette piéce.
- Apres tout cela, si, évidemment, on devrait… Toi rentrer la bas, faire comme si rien ne s’était passer, moi continuer à obéir aux ordres. Juste continuer de prétendre, de faire semblant aux yeux de tout le monde, comme avant, en étant n’étant plus jamais réuni. Mais si toi tu es consciente ou insconsciente de tes sentiments, moi je suis amoureux.
C’était l’une des seules choses qu’il n’avait jamais dit dans son existence de vampire. A croire que oui, Joey lui donnait de l’humanité qu’il avait perdu il y avait bien longtemps. Pourtant, il n’avait pas répondu positivement à la question de l’humaine, mais il n’avait aucune idée de la conduite à tenir, ni aucune de celle à adopter maintenant qu’il lui avait fait l’un des aveux les plus personnels qu’il pouvait dire.
Dernière édition par Alexander Connely le Lun 1 Juin - 19:09, édité 1 fois
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:31
BIENVENUE ! Merci de ton inscription, et bon courage pour ta fiche !
Fais nous signe quand tu as fini ou si tu as besoin de quelque chose, et n'oublie pas de signer le règlement !
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:36
James Franco *se lèche les babines*
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche =)
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:39
James Francoooooooooooooooooooooooooooooo *Lui saute au cou et l'embrasse langoureusement*
Désolé c'était trop tentant en fait je suis pas vraiment désolée^^
Bienvenue à toi en tout cas. Et bonne chance pour tafiche.
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:39
Connely fils, on ne l'espérait plus ! L'un de mes PV préféré, pleins de possibilités d'intrigue avec une histoire et un caractère pareil, bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:40
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche !
Trèèèèèèèèèèèèèèèèèèès bon choix d'avatar !
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:46
Merci tout le monde, ca fait plaisir d'être aussi bien accueilli quelque part <33
Je note deja les groupies fans ^^ ( et je suis d'accord, je croise James dans la rue, je le viole mouhahaha :choix: )
Merci à tous :banane: ( et je suis deja une huge fan de tous les émoticones :vole: )
Je sens que je vais bien me plaire ici moi
Dernière édition par Alexander Connely le Lun 1 Juin - 18:54, édité 1 fois
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:48
James Franco mon amant *_____________________* Bienvenue et bonne continuation
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:50
Rah oui, James <333 Quel sex-appeal débordant il a, cui-ci ! x) J'en croquerai bien un bout ! <33
Bref x) Nous sommes contents que tu te plaises déjà sur le forum, ça fait plaisir (:
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:50
Et moi je réserves la place de la femme qui a prit le coeur d'Alexander. Enfin tout ça pour dire que dès que tu es validé, je veux un lien
*la fille qui se saute à peine dessus lol*
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:56
Qui ne se plairait pas sur un aussi beau forum Louis Valentin dont la premier fois j'avais lu le prénom en bugant et cela donnait louis vuitton *HS*
Je note Jennifer, Je note, mais bon, tu risque d'avoir de la concurrence car si tout ce passe bien, une amie devrait me rejoindre sur ce fofo aussi
Merci Alessa <3
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 18:58
Bah voilà vous arrivez tous avec quelqu'un, c'est pas juste^^
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 19:02
Bienvenue même si tu t'es inscris avant moi xD Tu vas commencer à être infidèle ici c'est ça ?
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 19:12
Toutes mes sincéres excuses Jennifer
Hum Cora, tu me connais bien dis donc... Nous nous serions deja croisé dans sur un autre forum ou je te déclarais mon amour peut etre? Ha mais évidemment... c'est a toi que je le dis dans mon exemple de rp :aime: :aime:
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 19:13
Je sais j'ai de la chance mes demoiselle :aime: :aime:
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 19:32
Alexander Connely a écrit:
Toutes mes sincéres excuses Jennifer
*Pas convaincue* Bref, j'arrête de flooder dans ta fiche
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 19:53
James Franco a un pouvoir d'attraction immense c'est dingue n'empêche xD En même temps qui n'aime pas Jamie.. :aime:
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Lun 1 Juin - 22:54
Alessa, tu as tout a fait raison
Bon il ne me reste plus que l'histoire a écrire, elle sera faite demain soir en rentrant de cours je pense ^^ J'espére être a la hauteur de ce fofo génial pour le moment.
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Mar 2 Juin - 15:38
Si tu commences à me piquer mon émoticone de cow boy, tu feras pas long feu blanc bec =)
* Note : Alexander Connely, fils du maire ... Ferait un super cadavre ! *
x)
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Mar 2 Juin - 15:50
Bienvenue beau trader Je sens qu'on va s'entendre
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Mar 2 Juin - 18:11
Cash Je me retient de faire une blague vraiment pourrie sur ton prénom Il déchire cet icone de cow boy n'est ce pas?
Je sais, je sais, j'ai une bonne tête de cadavre, mais malheuresement, et même pour Jared Leto <333, je ne me ferais pas tuer Au plaisir de t'embeter évidemment ^^
Nikita, merci mademoiselle ^^ Je suis tout a fait d'accord, on va bien s'entendre
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << . Mar 2 Juin - 18:13
Naaaan, c'est pas Louis Vuitton mais Louis-Valentin Petit ! XD (Ouais, plus français et plus "vache" comme prénom, y a pas x) Mais plus ça va, plus je trouve Louis-Valentin beau, comme prénom. Mais y a matière à charier XDDDDD)
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Sujet: Re: Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << .
Alex Connely || Nice to meet you there || OVER << .