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| | Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Ven 11 Mar - 21:14 | |
Feat "Justin Bieber"
(c) Mrs.Crazy |
Sandro Paul Fitzgerald. Je n'ai pas de surnom, pour l'instant et vis très bien sans. Je suiné en France et y ai vécu une bonne dizaine d'année. D'ailleurs je me suis toujours considéré comme Français, aujourd'hui encore. J'ai actuellement dix-huit ans. Je suis étudiant en arts dramatiques et employé dans un McDo', le lundi et mardi soir ainsi que le vendredi midi. La friteuse, ça déchire. J'arpente les rues en skate, je fume, je m'emmerde en cours, je mange et je déconne avec des amis. Voilà à quoi se résume mon quotidien habituel. Je suis hétérosexuel, mais pas vraiment intéressé par l'amour. Pas pour l'instant.
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▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
▬ La plus grande honte du personnage ;
C'est sans aucun doute d'avoir laissé mon meilleur ami se faire accusé d'un assassinat à ma place. Certes, il était d'accord. C'était même son idée. Mais c'était injuste. Je regrette de l'avoir laissé avec le cadavre et le flingue. Je m'en veux, mais je fais en sorte d'être heureux, histoire qu'il n'ai pas sacrifier sa liberté pour rien. Et un jour, je lui revaudrais ça. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
Se soumettre, être esclave, obéir constamment. Je déteste faire ce qui ne me plaît pas et je déteste sentir la présence d'autorité. Je fais tout pour que ce ne soit pas constamment le cas, en cours par exemple et les remarques des profs me font bien rire, malgré les événements qui s'en suivent. ▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Retrouver ma mère. La vie chez ma tante me gave parfois, surtout qu'il y a au moins une photo de ma mère dans chaque pièce. Un jour, je vais les balancer. Bref, oui, retrouver ma mère, décédée à cause de ce pourri et qui me manque horriblement. Et peut être connaître un jour mon véritable père. Voilà ce qui me plairait. ▬ Point faible du personnage ;
Je ne réfléchis pas souvent aux conséquences de mes actes. Je me contente d'agir et par la suite contemple les dégâts. Jamais rien de bien grave, pour l'instant, mais je suis conscient que cela peut m'attirer beaucoup d'ennuis. Mais bon, je fais avec. ▬ Point fort du personnage ;
Mon courage hors paire. J'avoue être assez hardi et insolent. Je ne recule jamais, quelque soit l'obstacle, je foncerais tête baissé, sans réfléchir. J'ai toujours (ou presque) eu pour ligne de conduite que je ne ferais jamais ce qui ne me plaît pas et donc, inversement, je fais ce qu'il me plaît. Je suis prêt à tout pour ça. ▬ Casier judiciaire ;
- Homicide volontaire. - Dégradations de biens civiles. - Consommation d'alcool avant l'âge légal. - Vol à l'étalage. - Possession et consommation de produits illicites. - Conduite en état d'ébriété. - Tapage nocturne. - Excès de vitesse. ▬ Prénom ou pseudo ; Amarok ▬ Âge ; 18 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Je ne sais plus. Mais c'est un coup de coeur ♥ ▬ Connexion ; 3/7 à 7/7 ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK by Fitz. ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Ce type de matinée était exactement ce que Eléa détestait. Elle s'était levée en retard, avait dû se dépêcher pour se doucher et enfiler son uniforme de Cheerio, avant d'avaler à la hâte son café au lait et de se maquiller légèrement. Tout ça pour une heure de français. Non pas qu'Eléa n'aimât pas les cours de français, au contraire. Mais disons que les jours de contrôles, comme aujourd'hui, elle s'ennuyait un peu, ayant fini une demi-heure avant les autres élèves, et obtenant à chaque fois un A. Le pire était certainement que cette heure de français était suivie de deux heures d'étude, où la blondinette errait en général dans les couloirs, dans la cours du lycée, ou à la bibliothèque en cas d'extrême motivation. Ce qui n'était pas le cas aujourd'hui.
Eléa avait dont prit son temps pour ranger ses affaires dans son sac avant de sortir de cours, même si cela faisait bien longtemps que sa copie était remplie. Elle traîna presque les pieds jusqu'à son casier, ouvrit le cadenas avec lenteur alors qu'en temps habituel elle s'énervait dessus, et fixa d'un regard vide l'intérieur de cette boite métallique. Étrangement, il ne s'agissait que d'un pur fouillis. A l'occasion, il faudrait réellement qu'elle pense à ranger tout ça. Une pile de cahiers, de classeurs et de livres en tout genre s'entassaient au milieu, dans un équilibre instable qui risquait de s'écrouler à tout instant. Le fond du casier était quant à lui tapissé d'un miroir, coupé par une étagère qui portait son uniforme de rechange, soigneusement plié. Jusque là, rien de bien intéressant, à vrai dire. Un casier parfaitement banal, et il était à prévoir qu'une autre Cheerio, telle que Brittany par exemple, ressemblait à la même chose. En dehors de la porte du casier. Recouverte de photos de différents monuments et lieux de Paris, ainsi que de ses amis, et quelques autres prises lors d'un cours de danse à l'Opéra, il y a quelques années. Et un énorme aimant en forme de Tout Eiffel trônait au milieu de tout ça.
La jeune blondinette fixait donc d'un air vide ce petit rappel de son ancienne vie, jusqu'à ce que la sonnerie retentisse. Elle sursauta, ou plutôt fit un bond d'une bonne dizaine de centimètres, et vida son sac de cours, ne laissant qu'une pochette de feuilles et sa trousse dedans. Eléa claqua avec véhémence la porte du casier, et referma le cadenas, avant de se retourner et d'appuyer son dos contre cette sorte de mur en métal glacé, observant les autres élèves passer devant elle sans la voir. C'était assez sympa, en fait, paraître aussi invisible... Eléa avait ainsi l'impression d'être comme tous les autres élèves de McKinley, qui allaient en cours sans se soucier de la petite erreur qui pourrait les faire jeter de l'équipe des pompom girls, ou qui pourrait entrainer une douche de glace pilée. Quelle plaie, ces granités, d'ailleurs ! Ça pique les yeux, c'est froid et glace le sang quand ça se glisse entre vos vêtements, ça rend vos cheveux collants, et selon le parfum, ça tâche les uniformes. Quelle horreur que ces machins...
En parlant de granité... Eléa voyait, au bout du couloir, son habituel bourreau s'avancer dans sa direction. Elle aurait pu le reconnaitre entre mille, avec son petit sourire satisfait et son je-m'en-foutisme des autres élèves, qu'il bousculait sans retenue, histoire de rester bien au milieu du couloir pour être vu de tous. Avec un verre de glace pilée à la main. Eléa tenta tout d'abord de paraitre détachée, comme si l'inquiétude ne grandissait pas en elle. Puis, jugeant que ce n'était en réalité pas une bonne solution, préféra s'éclipser calmement, sachant pourtant pertinemment qu'elle se ferait quand même remarquer par sa tenue rouge et blanche, et par sa longue chevelure blonde. Mais bon, Alessandro était encore loin, elle avait le temps de l'éviter. Problème : au bout de trente centimètres, Eléa fut retenue, comme incapable d'avancer. Se retournant angoissée, elle vit que cela n'était dû qu'à une des lanières de son sac, coincée dans la porte du casier. La belle s'empressa d'essayer de se dégager, ses gestes devenant très hasardeux et le stress l'empêchant d'être très efficace. Il lui fallut une bonne minute et demie pour être libérée, mais c'était déjà trop tard.
Alessandro n'était qu'à un petit mètre d'elle, son gobelet tenu fièrement. C'était sûr, la jeune française allait subir un énième lynchage. Heureusement que le couloir se vidait un peu à cause des cours, cela limitera au moins le nombre de témoins de ce terrible échec. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Justin Bieber ▬ Multicompte(s) ; Non ▬ Un dernier truc à dire ? ; Je pense et j'espère me plaire ici ♥
Dernière édition par Sandro P. Fitzgerald le Dim 13 Mar - 21:13, édité 7 fois |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Ven 11 Mar - 21:15 | |
▬ Histoire ; Amélie Fitzgerald. Gamine douce, un poil chieuse, fille d'avocat. Elle arpentait calmement les rues, sortant d'une boite de nuit. La soirée n'avait été arrosée que d'un ou deux verres pour elle, rien de bien alarmant. Ses talons hauts de cinq centimètres créaient ce son plat, répétitif et agaçant, créant son propre écho entre les murs de vieux ciment. Elle pénétra dans une ruelle fine, prenant garde à ne pas abîmer son sac à main fermement tenu. L'ambiance était lugubre, seul les lumières de lampadaires, parfois clignotantes, perçaient ce noir infini. Tout était calme, vide. Tout ceci ne rappelai rien de bon à la jeune femme. Des nuits entières devant des films d'horreur et voilà ce qu'on en retenait. Les cris, les poursuites, les meurtres, les viols. Amélie lâcha un soupir. Soupir qui, une fois passé entre ses fines lèvres, s'éleva vers les cieux, sous une forme semblable à un nuage... Un nuage. Pff. Elle s'arrêta. Voilà près de vingt minutes qu'elle marchait d'un bon pas en direction de son logis. Mais après tout, pourquoi se pressait-elle autant ? Elle se remit en marche, d'un pas plus sûr et calme. Elle sortit de la petite ruelle, s'engageant dans une plus grande, plus éclairée. A cet instant précis, elle aperçut, de l'autre côté de la route, deux hommes. Elle ne pouvait les distinguer clairement, mais se mit immédiatement en état d'alerte. Un des deux gaillards lui fit un signe, puis lança une exclamation. Ils se mirent alors à avancer vers elle. Amélie se retourna brusquement et revînt sur ses pas. Pitié, pourquoi elle ? Et c'était perdu d'avance. Jamais elle n'arriverait à leur échapper. Elle se rendit à l'évidence, accepta sa peine, s'arrêta. On lui empoigna le bras.
Je vins au monde neuf mois plus tard, sous le toit d'un hôpital de Paris. Oui, ma mère m'avait gardé, malgré que son copain l'ai quitté. Enfin, c'est ce qu'elle m'a toujours dit. Je n'ai pas vraiment eu besoin d'un père lors de mes premières années. Ma mère, bien qu'aillant dix-neuf ans, savait s'occuper de moi, sous les conseils de ma grand-mère et de ma nounou. Je n'ai bien sûr aucun souvenir de tout ceci. Mais tout ce que je sais, c'est que ma mère était quelqu'un de formidable, avec moi, Sandro Paul Bonnand.
A ses vingt-quatre ans, ma mère rencontra un homme, qui devînt ensuite mon beau-père. Dewey Greg Hudson, un américain trentenaire. Ils se marièrent un an plus tard. Je ne l'ai jamais accepté comme père. Pour moi, il n'a toujours été qu'une tache dans la famille.
A mes huit ans, ma mère m'offrit une guitare classique, en ayant assez de mes caprices de musicien en herbe. Même si je n'en ai retenu que de vagues souvenirs, croyez-moi, ce fut sans aucun doute l'un des meilleurs cadeaux de ma vie. Et malgré le nombre de cordes remplacées et ses nombreuses réparations dues aux rencontres violentes avec le mur lors de mes crises, je la gratte encore aujourd'hui.
Pendant ses dix années, beaucoup de choses ont changées. Autodidacte, j'ai appris seul à jouer de la guitare, puis du piano, dès mes quinze ans. Maman, Dewey et moi avons déménagé en Amérique. Je trouvais cela idiot. Qu'est-ce que j'en avais à faire, de son boulot ? Bref, nous voici à New York, dans un grand et bel appartement. A l'intérieur, tout était blanc, immaculé, clean. Il faut dire que ma mère passait un temps fou à tout nettoyer, pendant que Dewey était avachi sur son fauteuil, sa cigarette entre deux doigts, les yeux scotchés sur son écran plat. C'était insupportable. Je le voyais d'un œil de plus en plus mauvais. Il n'aimait pas Maman. Il aimait son frique. J'en étais certain. Quand à moi, j'avais l'impression qu'il me détestai encore plus que je le détestai moi-même. Il m'appelait « Gamin », ne se donnait même pas la peine de me répondre lorsque je lui adressai la parole. C'était qu'un minable.
J'appris vite l'anglais. Même s'il est assez approximatif aujourd'hui, j'avoue bien m'en sortir.
Niveau scolaire, je ne me débrouillai plutôt pas mal. Même si mes notes variaient entre les matières, elles ne descendaient pas en dessous de C, généralement. Petit à petit, je me dirigeai vers les études d'arts dramatiques. Le théâtre, tout ça, ça me plaisait assez. J'avais également un job, employé dans un McDo', histoire de me faire un peut d'argent. A la maison, c'était assez calme. Jusqu'à ce que Dewey se mette à boire. Enfin, plus fortement qu'avant. Il devenait de plus en plus violent. Et plus il buvait, plus ma mère insistait, bizarrement, à ce que je sorte plus souvent de l'appartement. Mais je n'étais pas idiot, je savais pourquoi elle était tuméfiée de partout. Mais je n'osai rien dire. Un jour pourtant, je ne sortis pas. Je me cachai sous mon lit, faisant ainsi croire à ma mère que j'étais dehors. Et j'entendis tout. Les cris, les frappes. Au bout d'une vingtaine de seconde, rempli de rage, je me dirigeai vers la porte, que j'ouvris violemment. Mais c'était trop tard.
Il l'avait poussée. Je la vis basculer. Je me précipitai à la fenêtre, une dizaine de mètre en face de ma chambre. Je me penchai, vis son corps, étalé. Mon regard se hissa ensuite au visage de Dewey, impassible.
DEWEY▬ « Si tu parles... T'es mort gamin. »
Je déglutis difficilement. Une fine larme roula le long de ma joue. Je jetai alors un dernier regard au corps sans vie de Maman. Dewey m'empoigna par les épaules, me secoua.
DEWEY▬ « T'as compris ?! » Il me baffa. « Elle a trébuché, OK ? »
Il n'attendit même pas de réponse de ma part. Il attrapa sa veste et sortit. En bas, les gens s'étaient rassemblés autour de Maman. La sirène des pompiers se fit entendre peu de temps après.
Depuis cet incident, l'ambiance était plus que tendue à la maison. Dewey était souvent absent et lorsqu'il ne l'était pas, il ne m'adressait pas la parole. Pas une seule fois. Je faisais la bouffe, le ménage et tout le reste. Lui, il se contentait d'aller s'acheter des bouteilles dans un magasin proche. Je ne trouvai plus assez de temps pour me consacrer pleinement à mes études comme je le faisais avant. Vous vous demandez alors pourquoi je m'occupai de tout ceci, non ? Et bien, je n'avais pas vraiment le choix, si je voulais garder un toit au-dessus de ma tête.
Je me refermai petit à petit sur moi-même. Je ne côtoyai plus grand monde, hormis quelques gars dont je venais de faire la connaissance. Ce n'était certainement pas les plus fréquentables, mais ils étaient sympathiques et me trouvaient ''cool''. Avec eux, au moins, on s'éclatait. Et ils avaient en leur possession de bons outils pour y parvenir. Deux d'entre eux étaient majeurs et allaient ainsi acheter de l'alcool. La bande en général possédait de la drogue, des clopes. On se retrouvai tous les soirs, vingt heures, dans une ruelle proche de chez moi. J'y allai donc en skate. Le skate, une de mes passions. On y consommait donc la drogue et de l'alcool, puis tout ceci devînt une habitude. On s'amusait à conduire, ivres, dans une grande rue de Manhattan. On faisait beaucoup de boucan. C'était super. Un jour même, on s'arma de battes de base-ball, qu'on avait ''empruntées''. Chacun avait sa clope entre ses lèvres, on avançait comme à notre habitude en ligne. Un de nous, Skandar, repéra alors une belle et grosse bagnole.
SKANDAR▬ « Celle-là. »
On s'amusa alors à tabasser la chose et je n'y allais pas de main morte. Personne ne vînt nous déranger.
Je décidai quelques jours plus tard à parler de Dewey à la bande. Que ma mère était décédée par sa faute et tout le reste. On fut vite d'accord. Non pas qu'ils trouvaient que Dewey était un monstre, ou un truc du genre. Mais dans l'équipe, on était tous solidaires les uns envers des autres, aussi ils trouvaient normal de ''m'aider''. Tout ceci c'est déroulé très vite et nous voici tous les cinq dans une ruelle, face à Dewey.
DEWEY▬ « Qu'est ce que vous voulez ? »
Il n'avait pas du tout l'air apeuré, loin de là. Matt réagit le premier. Je ne l'avais jamais vu aussi haineux.
MATT▬ « A ton avis ? »
Il faillit se jeter sur lui, mais Skandar le retînt.
SKANDAR▬ « Attends. J'ai bien réfléchis, et... »
Il sortit un flingue de l'intérieur de sa blouse et un gant en latex. L'expression de Dewey changea immédiatement.
SANDRO▬ « D'où tu sors ce flingue ? » SKANDAR▬ « Cassez-vous. J'irai en taule de toute façon, autant que ce soit maintenant. Bougez les mecs ! Sauf toi, Sandro. »
Les trois autres saluèrent Skandar de la main, puis partirent en courant. Skandar me confit les deux objets. Je pris le soin de ne pas laisser d'empreinte sur l'arme. Skandar se jeta sur Dewey, qui n'avait bizarrement pas bougé. Après lui avoir distribuer des coups, il le tenu fermement, se décala sur le côté.
SKANDAR▬ « Mais le gant, tir et casses-toi. Tu voulais venger ta mère, non ? »
J'obéis. Skander avait été le meilleur de tous. Ainsi que mon meilleur ami. Je ne comprenais pas pourquoi il agissait de la sorte. Mais c'était apparemment ce qu'il voulait, alors...
SANDRO▬ « Skandar, merci. »
Il ne répondit pas. Je visai Dewey. Je n'appréhendais aucunement. C'était parfait. J'allais pouvoir venger ma mère. Dire au revoir à ce minable. J'appuyai d'un coup sec sur la détente. La balle partie comme une flèche, Dewey s'effondra. Je lançai le flingue à Skandar, qui l'attrapa d'une main habile. Puis je m'enfuis à mon tour, avec le gant. Putain, je n'avais rien compris. Pourquoi il se laissait prendre par les flics ? Je voulus alors demander aux autres. Mais je ne retrouvai que Matt. Apparemment, les deux autres avaient eux aussi été arrêtés, mais on ignorai tout les deux pourquoi. Tout ceci reste pour l'instant un mystère.
Le gant finit brûlé. Je fus placé chez ma tante, soit la sœur de ma mère. Oui, c'était une chance qu'elle habita à New York, pour son boulot. Moi, je suis toujours mes études d'arts dramatiques. J'ai toujours un petit stock de drogue bien planqué dans ma nouvelle chambre. Je ne bois que rarement à présent. Je ne vois plus Matt et me suis remis à fréquenter des gens ''mieux''. Je regrette Skandar, je regrette de l'avoir laissé seul face aux flics et au reste. Mais je suis fière de ce que j'ai fait. Fière d'avoir venger ma mère. J'en suis heureux pour elle et pour mon pote, histoire qu'il soit pas en taule pour rien. Et un jour, je lui revaudrais ça. Mon caractère n'a pas tellement changé. Je suis resté assez mystérieux, rebelle, je-m'en-foutiste et insolent. Enfin, seulement avec les gens qui me sont inconnus, vous comprenez. Avec mes proches (plus ou moins), je suis à l'écoute, ouvert, aimant et fidèle. Sinon, je suis d'un naturel assez ''décontracté''. J'avoue aimer faire ce qu'il me plaît et je déteste le contraire. Aussi, mon esprit contradictoire règne en maître dans ma personnalité et mon humeur face aux adultes. Je déteste sentir la présence d'autorité.
Dernière édition par Sandro P. Fitzgerald le Dim 13 Mar - 20:59, édité 3 fois |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Ven 11 Mar - 21:19 | |
Bienvenue bon courage pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Ven 11 Mar - 21:23 | |
Bienvenue sur New York The Dark Side & bon courage pour ta fiche =) Ton code est tout bon et si tu as la moindre question n'hésite pas à venir embêter le staff, on est là pour ça. |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Ven 11 Mar - 21:24 | |
Bienvenue parmi nous Sandro ! (oh, un autre Fitz *sbaf* )
Bon courage pour ta fiche ! |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Ven 11 Mar - 21:29 | |
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| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Ven 11 Mar - 22:25 | |
Bienvenue et bonne continuation |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Sam 12 Mar - 1:20 | |
Welcome to The Dark Side ! |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Sam 12 Mar - 10:55 | |
Bienvenue parmi nous jeune homme ! Bon courage pour l'écriture de ta fiche |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Dim 13 Mar - 16:22 | |
Merde, j'pensais que tout le monde allait faire des blagues sur Justin Bieber, j'me sens soudainement seule XD M'enfin bon, on va pas juger ton perso par rapport à Bieber, Sandro (pour les non-fans et détracteurs, hein XD), donc panique pas ♥
Bienvenue à toi, en tous cas, et bon courage pour ta fiche <3 |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Dim 13 Mar - 17:52 | |
- Raphael J. Weaving a écrit:
- Merde, j'pensais que tout le monde allait faire des blagues sur Justin Bieber, j'me sens soudainement seule XD
M'enfin bon, on va pas juger ton perso par rapport à Bieber, Sandro (pour les non-fans et détracteurs, hein XD), donc panique pas +1 Bienvenue chez les fous |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Dim 13 Mar - 21:12 | |
Oui, je m'attendais aux blagues également, x). Ravie de voir que je me suis trompée ^^ Merci pour l'accueil Ma fiche est terminée |
| | | | | | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Mar 15 Mar - 13:07 | |
Et bien, puisque j'ai le choix, je choisis Hors-la-loi Merci |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] Mar 15 Mar - 13:09 | |
Ça marche ! Donc je te valide. Un admin viendra t'attribuer ton rang de criminalité ainsi que t'ajouter dans ton groupe. (: Bon jeu parmi nous ! |
| | | | Sujet: Re: Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] | |
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| | | | Sandro P. Fitzgerald ♦ « i'm gonna sit right down and write myself a letter » [Terminé] | |
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