|Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice
Auteur
Message
Invité
Invité
Sujet: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 13:50
Identity Card
Feat "Amanda Hendrick"
(c) Fleshcouture
▬ Nom ; Donovan ▬ Prénom(s) ; Annaëlle Leila ▬ Surnom(s) ; Ellie - Anna - Ana ▬ Âge ; 21 ans ▬ Nationalité ; Américaine ▬ Groupe ; Etudiants & co ▬ Statut et activité dans la vie ; Etudiante en littérature - Job d'étudiant au Starbuck ▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle
Once upon a time...
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;(L'utilisation d'un lecteur exportable n'est pas obligatoire, vous pouvez aussi nous citer le nom de l'artiste et celui de la chanson qui, selon vous, conviendrait bien à votre personnage.)
▬ Histoire ;(40 lignes minimum.)
Cet après-midi, c’est l’anniversaire d’Anna Price. A l’école tout le monde en parle, tout le monde est pressé de rire aux farces de clowns, de sauter dans le trampoline, de nager dans sa piscine, de goûter aux fondants chocolats que sa mère prépare et, mieux encore, autres bombecs et sucreries. Moi, je n’irai pas. Maman ne veut pas. Demain après-midi, nous déménageons et je dois donc préparer mes affaires. « Et prends-en le moins possible » avait-elle ajouté tandis que je tapais bruyamment du pied. Je me plaisais ici. J’avais des amis, de vagues connaissances et mes résultats scolaires étaient plutôt bons. Je n’avais impérativement pas envie de quitter le Wisconsin. « Encore ? » m’insurgeais-je alors des plus agacées. « Je comprends pas pourquoi il faut toujours qu’on s’en aille. Toujours. Je dois tout recommencer et tu répètes tout le temps que je me ferai des tas d’amis mais, comment veux-tu que je fasse si on se reste pas plus de 6 mois dans le même endroit». Je me souviens encore de sa réponse : Un regard stupéfait et quelques bredouillements. Avant ce jour, je n’avais jamais contesté la moindre décision prise par ma mère. Elle m’assurait qu’elle agissait toujours pour mon bien et je la croyais. Malheureusement, à 14 ans, l’âge des premiers amours ou du premier baiser, j’ai besoin d’entendre, de la bouche de ma mère, de vraies explications. J’ai besoin de comprendre. « Voyons, Ana, je t’ai déjà expliqué que maman se déplaçait beaucoup à cause de son travail. » Justification intelligente dont je me méfiais. Je n’ai pourtant pas insisté. Je suis montée dans ma chambre.
Souvent, lorsque vient le soir et que je suis seule dans mon lit, je pleure. Je n’aime pas déménager sans cesse. Du moins, je n’aime plus. Je me souviens, il y a longtemps, lorsque j’étais enfant, je grimpais en voiture en chantonnant, le cœur battant d’excitation. J’adorais ça et, malgré cette pesante solitude, j’étais toujours enthousiaste à l’idée de rencontrer de nouvelle tête. A présent, les choses sont bien différentes. La bougeotte de ma mère me dévore et c’est la peur au ventre que je m’endors chaque soir. Est-ce demain qu’elle me forcera à partir ? Je n’ai plus envie d’être la marionnette de cette femme. Elle tire les ficelles de ma vie et je n’en peux plus. J’approche les quinze printemps et les plaisirs d’enfants me sont interdits.
Alors que je bouclais mon unique valise, on frappa légèrement à la porte de ma chambre avant d’entrer sans attendre mon consentement. C’était ma mère, un sourire aux lèvres. Un sourire auquel je ne répondis pas. J’étais en colère après elle, je la laissai donc s’asseoir sans lui adresser une parole, pas même lorsqu’elle me demanda si j’avais fini mes valises.
« Tu m’en veux ? » commença-t-elle. J’opinai du chef. « On part pour New York cette fois. Tu as toujours rêvé de voir New York » Je répétai mon geste. « C’est à cause de ton père » Intéressée, je tournai alors la tête en sa direction, l’invitant à continuer. Je savais si peu de choses sur lui. « Lorsque tu étais encore un nouveau-né, ton père apprit une nouvelle qui le bouleversa. Il apprit que tu n'étais pas sa fille naturelle. Un soir, je l'ai trompé avec un homme que je n'ai jamais plus revu. Lorsqu'il apprit la nouvelle, il était tellement en colère qu'il a tenter de me tuer. Je suis passée par la petite porte tu sais et j'ai été terriblement soulagée qu'il soit envoyé en taule pour vingt ans. Malheureusement, il s’est évadé et depuis, il nous traque. C’est pour cette raison que nous changeons toujours d’identité et que nous fuyons constamment. Tout à l’heure, j’ai cru le reconnaître. Tu comprends pourquoi nous fuyons toujours ? »
Je fus soudainement envahie par un sentiment d’angoisse et de compassion. Elle vivait constamment dans la paranoïa. Elle craint pour sa vie et pour la mienne. Alors, je m’approchai d’elle, la serrai très fort dans mes bras et lui promis que plus jamais, je ne rechignerai à partir. Je ne le devrais plus. Elle avait décidé de finir sa vie à New York.
***
Autour de moi, amis et collègues chantent leur chagrin dans une plaintive mélopée aux paroles répétitives et douloureuses : « Quel dommage », « Elle était si jeune », « Que lui est-il arrivé ? », « Regardez sa fille, elle a l’air si abattue»… Et je les regarde se nourrir de ma souffrance et je les maudis. Je les vomis. Ce sont des vampires, des parasites distrayant leur vie banale et ordinaire à mes dépens. Ils sont vêtus de noir au milieu de ce salon dépossédé de la charismatique présence de ma défunte mère et elle me manque déjà terriblement. Jusqu’à ce que s’achève la solennelle cérémonie d’obsèques, je n’ai voulu accepter le décès de mon unique point de repère, de mon remarquable modèle et de mon seul exemple pour construire fièrement mon histoire. Elle n’est plus. Elle a chu d’un cancer ingrat.
Parmi cette foule endeuillée, je cherche désespérément des yeux mes tuteurs, mon oncle et ma tante, tout deux chargés de mon éducation. Ils habitent la Californie et je ne les connais pas. Je ne les rencontrai qu’une seule fois et aujourd’hui, mon sort est entre leurs mains. Vont-ils décider de me ramener avec eux sous le soleil ? J'avoue, j'espère bien que non et je me battrais pour que ça n’arrive pas. Mon salon, bien que trop riche de son absence et aussi vide que mon cœur, est mon dernier lien avec ma maman. Alors, au milieu de cette masse d’hypocrites ne persistent que des souvenirs joyeux ou moins, devenus amers et déchirants. De mon enfance, je me souviens de mes éclats de rire quand nous jouions ensemble à la poupée, de mon adolescence jalonnée de joie et de ma vie d'adulte en devenir, qu’ai-je à espérer ? Depuis la nouvelle de son cancer, son visage tordu par la douleur me poursuit la nuit.
« Anna ? » m’interpella ma tante qui, sans bruit, m’avait rejoint au seuil de cette porte ou je me tiens debout, fier et digne dans ma robe noire. « Je sais que ce n’est pas forcément le bon moment pour en parler mais, ton oncle et moi reprenons l’avion demain après-midi et nous ne pouvons pas t’emmener avec nous. »
Je tournai lentement la tête vers elle, lui assura que ce n’était pas grave mais, malgré mon soulagement apparent, elle tenait à justifier son choix par le manque de place, d’engagement, leur vie chargée, etc. Je ne leur en voulais pas. Je me débrouillerai bien sans eux et ce, malgré son insistance à me faire croire qu’ils seraient toujours là si j’avais besoin de quoique ce soit. Je la remerciai et prétextai un besoin naturel pour m’éloigner d’elle. Je ne l’appréciais guère et je traversai, à grande enjambée, le couloir menant à la salle de bain. Je m’y enfermai, m’observai dans le miroir et devenue la proie des larmes, je pleurai tout mon saoul. Dans deux jours, c’est Noël. Je serai seule avec pour seul vestige de ma mère, ce cadeau sous le sapin qu’elle avait acheté pour moi.
***
Les coups furent décochés trop vite, trop fort, beaucoup trop vite, beaucoup trop fort. Certes, elle est leste mais les éviter est impossible. Son bourreau est trop robuste et souffrir est une évidence. C’est vrai, elle répondit d’un coup de genou trop mal placé mais il ne semble pas affecté. Sans doute a-t-elle manqué la cible. Lui, il se contente de ricaner, de colèrer et de faire chuter son martyr d’une nouvelle gifle. Le boutefeu la bride fébrilement d’une main et une douleur écrasante assaille le poignet de la jeune femme. Dans ses veines se répand alors une méprise pourtant évidente : elle n'est plus que son objet. Malgré mes nombreuses contestations, un pesant silence que brise quelques sanglots s’installe entre eux et les défiantes prunelles reflètent la lumière tremblotante d’un réverbère, dessinant au sol, vacillant telles la flamme d’une bougie au vent, deux ombres cambrées, figées et aux aguets. Plongé dans le noir, le rideau noir de l'excitation, les coups de klaxons des conducteurs pressés, le tintement des talons des femmes sur le macadam, les piétons hélant un taxi jaune d’un sifflement ne suffirent à interrompre la bravade de l'agresseur. Il observe sa victime en chien de faïence, encore et toujours, ne craignant personne…ou presque.
Soudain, les éclats rouges d’un gyrophare et l’alarme stridente d’une patrouille de police ranima le fou du Roi. Il devait faire vite. D’un geste, il glissa sa main rugueuse sous une jupe, arracha un sous-vêtement, masqua une bouche de son autre main et assura qu’en pleine quiétude, elle pourrait y trouver son plaisir. S'ensuive alors les plus longues minutes de la vie d'Annaëlle. Haletante, épuisée et sanglotante, l’être famélique se laisse alors glisser contre la pierre bleue et froide d’un bâtiment ancien…. Nous sommes un 22 avril, il est 21 heures quand sombre dans l’inconscience, l’inconsciente aux cuisses tremblantes et usées.
Météo incertaine, une pluie torrentielle ranima Annaëlle. Etourdie, égarée, sa mémoire la fait bien plus souffrir que ses blessures physiques. Quelle heure est-il ? Qu’a-t-elle fait au seigneur pour mériter ça ? De ses cheveux dégoulinent déjà de lourdes gouttes d’eau et se redressant pour s’abriter, les larmes la paralyse. Pourquoi sa tête lui fait-elle si mal ? Jetant un coup d’œil à sa main souillée de sang séché, la jeune femme écarquille alors les yeux, redressa péniblement et contemple les ravages de sa soirée dans une flaque d’eau croupie. Le visage tuméfié, la lèvre ouverte et la blessure de son âme se lisent sur ses traits. Elle devait se rendre à l’hôpital. Aussi, elle se traîna jusqu’au trottoir, criant à l’aide, suppliant qu’on l’emmène au Sinaï Hospital.
***
Après le décès de ma mère, j’ai dû apprendre à me débrouiller seule pour me nourrir et m’offrir des études. Alors, j’ai enchaîné les petits boulots jusqu’à trouver cette place en or au Starbuck Coffee. Malgré les récents évènements qui m’éloignèrent des hommes pour longtemps, j’avais fait là-bas une rencontre des plus bénéfiques du nom de Casey. Cette jeune femme, loin d’être banale, comme en démontre son physique agréable mais improbable, est devenue au fil du temps une amie sincère et nécessaire à mon équilibre. Aussi, ces deniers jours, j’attends ses visites avec beaucoup mais alors beaucoup d’impatience. C’est vrai, je lui parle très peu de mes sentiments depuis mon agression. Toutefois, sa présence me rassure. Elle a une telle joie de vivre qu’elle me rappelle combien la vie peut-être belle. Dès lors, tous mes services se ressemblent : vers 18h, je commence à guetter la porte. 3 minutes plus tard, je prévois son arrivée en lui préparant sa boisson préférée. Je lui réserve une table et souvent, 5 minutes plus tard, elle répond à mon rituel. Je la salue alors d’un signe de main pour la rejoindre ensuite un quart d’heure plus tard, à la fin de mon service. Avant aujourd’hui, nous n’avions jamais dérogé à notre rituel.
Lorsqu’elle arriva au Starbuck, je repliais déjà mon tablier et, si elle n’était pas accompagnée, je lui aurais sans doute fait part de mon inquiétude. Je n’en fis pourtant rien. Cette autre personne qu’elle amena avec elle – et qu’elle me présentait d’ailleurs vainement – me laissa muette et pantoise. Combien de chance y avait-il pour qu’elle connaisse celui qui, dans ma chambre d’hôpital, promettait rendre à mon sommeil la quiétude qu’il mérite ? Quelles étaient les probabilités pour que je me retrouve face à face avec Michael ?
« Michael, je te présente Anna » annonça fièrement Casey de son naturel pétillant. Je lui souris effarouchée et, plus réactif bien qu’aussi intimidé que moi, il prévint notre amie commune que nous nous connaissons déjà. « Quelle coïncidence » ]s’étonna-t-elle en nous entraînant vers notre table habituelle. « Il faut fêter ça avec un vrai colombien »
Mal à l’aise, je les suivis, ne sachant trop quel comportement adopté en compagnie du tatoué. Parfois, je lui jetais un coup d’œil discret, fascinée par la puissance de son discours et son look de mauvais garçon. Comme au jour de notre première rencontre, il m’intriguait et me touchait abstraitement puisqu’au contraire, alors que nonchalant il chercha à capter mon attention en posant délicatement sa main sur mon bras, j’observai un mouvement de recul. « Oh. Désolé. Je voulais pas te faire peur » s’excusa-t-il « Tu veux boire autre chose ? » Secouée, je le remerciai gentiment avant de prétexter qu’une course m’attendait. Ainsi j’ai pris congé.
Wanna know more ?
▬ Relations ;(5 lignes minimum - Relations amoureuses, amicales, sexuelles ; Ce qui lui plait chez les autres, ce qui ne lui plait pas chez les autres ... Ceci est une approche de la façon dont votre personnage se comporte avec autrui.)
D’antan, elles étaient inexistantes. Et pour cause, ma mère a négligé mes besoins de petites filles en me baladant d’Etat en Etat. Aujourd’hui, je compte parmi mes proches deux amis sincères. L’un et l’autre sont indispensable à ma vie et, tandis qu’il devrait tout deux bénéficier du même traitement, je me confie à l’un mais prend du recul vis-à-vis de l’autre parce qu’il est un homme. En effet, je me méfie des hommes. Je m’en tiens le plus éloignée possible car ils m’effraient. Dès lors, pas étonnant que ma vie amoureuse soit comparable au désert aride du Sahara. Si un homme me drague, sans ambages, je le rembarre et s’il me parle d’amour, alors je le fuis à toutes jambes. Je ne parviens plus à envisager qu’une main robuste se pose sur mon corps. Cette idée me brûle. Les mecs, je leur sers un café au Starbuck, leur sourit par politesse mais jamais je ne les aborde. Le seul qui fasse partie de ma vie n’est autre que Michael.
▬ Physique ;(5 lignes minimum)
Des jambes interminables, des hanches galbées malgré sa maigreur, une taille de guêpe, une poitrine rebondie et un cou de cygne, la demoiselle a tout des belles femmes sur lesquelles l’homme avide se retourne. De plus, dotée d’un charme enfantin qu’elle cultive, ses grands yeux foncés et pétillants brillent d’espérance quant à son sourire mutin, il est d’une authenticité sans pareille. Toujours en quête de son identité meurtrie par une agression sexuelle, elle se cherche encore et c’est à travers ses innombrables colorations qu’elle s’exprime. Malgré que sa chevelure, plus souvent foncées que le contraire, demeure brillante, elle n’en reste pas moins asséchée. Aussi, elle n’hésite pas à les soigner avec beaucoup de minutie
▬ Caractère ;(20 lignes minimum)
Je suis un paradoxe. Si je suis bavarde, je ne parle que très peu de moi. Seuls mes actes peuvent me trahir. J’ai ces tiques et ces manies typiques à ma jeunesse : des yeux brillants de malice pour chacun de mes coups fourrés, des lèvres pincées pour mon embarras, les poings serrés pour exprimer ma colère… je suis un livre ouvert pour qui me connait un peu. Aussi, si ma voix se masque d’indifférence et que mon minois se maquille d’un sourire authentique inspirant la sympathie, en réalité, j’ai un goût prononcé pour le secret. C’est mon péché mignon. Le mystère est mon alliée pour me protéger des autres. Je me nourris alors de l’illusion de contrôler mon entourage en souriant beaucoup... en parlant énormément. Oui ! Je suis loquace mais la confiance ressemble à la patience. Ce n’est qu’une vertu offerte au méritant et visiblement, je ne suis pas vertueuse. Ma méfiance est le tribut des traumas de mon enfance et de ma jeunesse.
Ballotées d’états en états, arrachée à mes amis, agressées par les hommes, le prince charmant, la meilleure amie, la marraine ou le mentor furent les figures manquantes à mon épanouissement d’enfant et croyez-le bien, je le regrette. Aussi, qui m’apprivoisera récoltera toute mon attention. Je suis sensible aux beaux compliments, aux mots doux, aux flatteries malignes, aux caresses de l’oreille pour redorer mon blason tant que cela ne va pas plus loin car je fuis les hommes. Je m’en tiens éloignée, craignant cette lueur indéchiffrable qu’on lit parfois dans leurs grands yeux. Les agressions physiques forgent la femme, j’en suis devenue émotionnellement fragile.
Malgré l’épaisseur contestable de ma carapace, mes peurs les plus intenses et mes angoisses handicapantes encouragent mon inconscient à l’auto-destruction. Il se manifeste par les questions fondamentales telles que : « Qui suis-je ? », « Ou vais-je ? ». Il me plonge dans le doute, dans le trouble et dans l’indécision. Dois-je suivre le chemin sombre mais dégagé ou le plus lumineux bien que boueux ? C’est le dilemme de ma vie et croyez-moi, je ne peux nullement faire confiance à mon intuition. A coup sûr, je choisirai le plus dangereux et au moindre caillou, je trébucherai. Pourquoi ? Simplement parce qu’en plus d’être une maladroite, j’ai mauvaise fortune et je suis lunatique. Au moins, c’est du piment dans ma vie !
▬ La plus grande honte du personnage ;(En deux-trois lignes minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Avoir choisi, ce matin la, de porter une jupe plutôt qu’un jean’s. M’être crue à l’épreuve des hommes en choisissant de rentrer seule chez moi, avoir emprunter le chemin le plus court malgré le danger que représentait cette ruelle, de m’être jetée dans la gueule du loup, de l’avoir laisser me toucher, me paralyser, de ne pas l’avoir bien vu, de ne pas avoir crier davantage, de ne pas m’être débattue plus fort, d’avoir été là au mauvais endroit au mauvais moment pour avoir fait de mauvais choix.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;(En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
Seule dans mon lit, je serais brutalement réveillée par la sonnerie de mon téléphone. Au bout du fil, la voix d’un homme. La voix rocailleuse et invective de mon agresseur. Mon sang se glace, mon cœur s’arrête, je suis paralysée de peur quand au pied de mon lit, une ombre se veut menaçante. C’est ça, mon pire cauchemar. C’est croiser au hasard d’une ruelle l’ordure qui abusa de moi, qu’il me reconnaisse, me suive et se renseigne pour cette fois, me harcèle jusqu’à chez moi.
▬ Définition du paradis pour le personnage ;(En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Lorsqu’elle était enfant, elle pensait que le bonheur résidait dans le mariage. Alors, elle souhaitait rencontrer un prince charmant, se marier, acheter une grande maison, avoir des enfants, un chien et se balader en pleine nature avec sa famille. Bref, elle aspirait à une vie simple, loin de New York. Aujourd’hui, sa vision du bonheur est tout autre. Avant de rêver à cette vision idyllique du couple, elle aimerait n’avoir jamais été violée. Elle n’aurait pas peur des hommes et ses rêves ne s’éloigneraient plus d’elle à grand pas. Tant qu’elle aurait peur de vivre une histoire d’amour, tant qu’elle aurait peur qu’on pose les mains surelle, Anna n’atteindra jamais le bonheur.
▬ Point faible du personnage ;(En deux-trois lignes minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
Sa fragilité. La tentative d’homicide de son père sur sa mère, l’enfermement de ce dernier, le tour d’Amérique avec sa mère, l’homicide de cette dernière et finalement son agression ont fait d’elle une jeune femme d’une extrême sensibilité. A la moindre déception, elle peut se briser comme du cristal. Toutefois, ces émotions étant particulièrement confuse, il lui arrive de rire nerveusement quand elle devrait pleurer ou le contraire.
▬ Point fort du personnage ;(En deux-trois lignes minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
Son courage. Qu'importe les épreuves et les injustices de la vie, la jeune femme est toujours restée digne. Elle va de l'avant et s'oblige - malgré sa permanente tristesse - à sourire à la vie, au monde et au gens. Ses peurs ou ses angoisses, elle les surmonte sans jamais baisser les bras. Elle est ce qu'on peut appeler une battante. Une force de la nature que rien ne peut abattre, sauf peut-être elle-même.
▬ Casier judiciaire ;(Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel.)
[*] usages occasionnels de cannabis (17 ans) [*] Dégradations de biens publics (graffiti. 16 ans) [*] Tapage nocturne
Behind the screen...
▬ Prénom ou pseudo ; Salem ▬ Âge ; 2....et quelque chose ▬ Où avez-vous connu le forum ; Ca fait un moment que je le connais mais j'avais jamais osé m'inscrire ▬ Connexion ;(Mettez-vous une note sur 7) 5 ▬ Code du règlement ;
Spoiler:
OK by Crétin
▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ;
Spoiler:
Captive des bras habituellement rassurant de mon époux, je tente vainement d’y retrouver sérénité, contenance et quiétude mais je perds en assurance et en sang-froid. Je chancèle sous le poids de la culpabilité à chaque regard offert par Isaac et mon échine se courbe à porter cette croix nouvelle, ce fardeau récent. Mon embarras me pèse et je prie ce jour de répit où le temps affaiblira la douleur de cette trahison déjà saumâtre à peine éclose. C’est vrai, je suis mauvaise comédienne. Je contrains mes yeux humides de ne pas fuir, je les contrains de contenir leurs larmes et de soutenir chaque œillade de mon époux mais c’est inutile. Mes iris sont aussi fuyantes que mes bras et mes jambes ne sont branlantes. Je me pelotonne alors contre lui, recueillant en son sein un peu de chaleur et de réconfort quand il me sert un peu plus fort. Je sais qu’il s’inquiète de mon comportement et mes tremblements. Je le ressens à sa voix douce et posée, à la fraîcheur de son front sur le mien, à la douceur de ses mains sur mes joues et à ce délicat baiser que j’habillai d’appétence. Je le sais mais faire machine arrière n’est pas français. Je crois qu'il a raison, que je devrais me détendre à présent qu’il est à mes côtés, a présent qu’il m’est loisible de le respirer. Je demeurerai à la droite de mon époux qui me réalisera en tant que femme et répondra à mon désir d’amour et d’enfant. Je demeurerai à sa droite et ma vis sera belle à moins, bien entendu, que les moutons ne soient mal gardés. Bon Dieu. Jusqu'à preuve du contraire, nous ne sommes que deux en cause. Alec sera une tombe mais moi ? L’idée de le perdre me tiraille l’estomac et je gagne alors en courage, en force et en lâcheté. c'est décidé. J’apprendrai à me taire, à mentir, à pécher encore, à brûler mon honneur et mon âme dans le mensonge. J’accepterai, sans geindre, ce lourd tribut qu'est me vendre aux diables s’il est nécessaire à la survie de mon couple.
Mes mains sur les siennes, j’hoche la tête docilement, ébauche l’ombre d’une grimace et avoue timidement une vérité regrettable qui ne m’allègera pourtant pas : Ma visite chez Sin. Sa réaction fut immédiate. Ses pupilles dilatées, son regard assombri et ses sourcils froncés dévoile le mécontentement et l'inquiétude de mon forçat. Abasourdi décrirait à la perfection sa grimace quand ses lèvres s’ouvrent et se referment à répétition pour finalement libérer avec difficulté, l’expression de ses exagérations. Certes, j’avais été imprudente mais de la à risquer ma vie.
N’ai-je pas le droit de rendre visite à ma fille si cela me chante ? Il n’est pas question que je lui promette ce qu’il attend de moi. Il n’est pas question que ma vie ressemble un peu plus encore à celle de ma mère, contrainte d’être accompagnée d’Isaac pour acheter des mangues ou des avocats sur le marché, contrainte d’élever les enfants d’une autre, porté à bout de bras par leur père…par mon père. L’image de cette pimbêche aux yeux de biche me nargue à nouveau et je me souviens au loin de la détresse de ma mère. Dois-je moi aussi attendre l’autorisation pour vivre ? A me traiter comme une enfant, il envoie aux diables mes remords et au frisson de ma honte se mêle alors les contractions de la colère. Mon corps s’agite sous ses mains et, ulcérée, je manifeste ma dissension :
« Sin va bien. Mais, est-ce que tu réalises ce que tu veux que je te promette ? Il est hors de question que je rende des comptes à tes hommes si je veux embrasser mon enfant ? Tu ne voudrais pas que je te tienne une liste de toute mes activités journalières quand toi, tu découches un jour sur deux ? Quand bien même est-ce dangereux, j’ai les armes pour me défendre et tu le sais… Alors, s’il te plait, ne me confonds plus jamais avec tes petites poules jouant les saintes-nitouches pour te caresser dans le sens du poil. C'est clair ? »
Je décolère assez pour remarquer qu’emportée par le souffle de mon ire, je me suis dégagée de notre accolade, j’ai reculé d’une enjambée et je l’ai même pointé du doigt. Moi, la femme adultère. L'hôpital se moque de la charité et cette fois, je pleure, discrète et réservée. Seul le revers las de ma main fine balayant une perle d’eau peut trahir mon désarroi. Je baisse la tête, conscience de mon excessivité et j’ai mal....ou plutôt, je vais mal. J'inspire profondément, espérant rentrer bientôt chez moi, dans ma maison où je prendrai garde d’éviter la pièce débauchée où je consumai cette passion nouvelle pour le protégé d’Isaac.
« Je….voudrais rentrer à la maison….Ou plutôt, Non. Non. Je me trompe. Je veux que tu rentres à la maison avec moi. Je veux plus t’attendre. J’en ai marre. Je suis lassée d’éviter les fenêtres pour ne plus ressembler à ma mère. Je suis blasée Isaac. »
La femme aimante manipule, la femme trahie trompe à son tour mais si Dieu est une femme pour avoir donner la vie, elle pardonnera mes offenses. J’ai tendu les clés de voiture à mon époux non sans l’avoir déverrouillée et sans attendre un commentaire, j’ai grimpée dans mon Aston Martin..
▬ Célébrité sur l'avatar ; Amanda Hendrick ▬ Multicompte(s) ; Non. ▬ Un dernier truc à dire ? ; Euh.... !!!!
Dernière édition par Anaëlle L. Donovan le Lun 12 Sep - 16:52, édité 37 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 13:50
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 13:54
MOI D'ABORD !!!
j'ai l'honneur de te sauter dessus le premier, merci Casey qui m'accorde ENFIN ce droit
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 14:00
Merci à vous deux !!! Ca fait du bien d'être accueilli comme ça sur un forum. C'est tellement rare de nos jours
Je vous résume mon enthousiasme : :banane: :MJ:
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 14:03
Bienvenue et bonne continuation à toi =) En cas de questions ou problèmes, n'hésite pas à solliciter le staff. Nous sommes là pour çà
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 14:04
Bienvenue parmi nous Miss
Bonne chance pour cette fiche
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 14:12
Bienvenuuuuue ! C'est Maïkeulkeul qui est content dis donc.
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 14:14
Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche.
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 17:23
Bienvenue chez les fous, bonne chance pour ta fiche!
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 18:24
Bienvenue, bon courage pour ta fiche !
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 22:39
Merci à vous tous Que du beau monde ici !!!!
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 22:48
Bienvenue et bonne chance pour ce qui te reste à écrire !
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 23:09
Bienvenue
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 23:30
welcome parmi nous miss =)
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Mer 20 Avr - 23:32
PINCEZ MOI JE REVE : ROBERT DOWNEY JUNIOR.
Merci Satine et Owen
Dernière édition par Anaëlle L. Donovan le Ven 22 Avr - 0:53, édité 1 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Ven 22 Avr - 0:28
Désolée du double poste mais, je crois bien avoir terminé. S'il y a des modifications à apporter, n'hésitez pas.
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Ven 22 Avr - 0:42
Je m'occupe de te lire et je viens au rapport.
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Ven 22 Avr - 0:53
Merci Owen. Dis-moi, David Morissey, c'est l'avocat dans Dirty Sexy Money ?
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Ven 22 Avr - 1:06
Euh... non, je ne crois pas que son nom apparaisse au générique de Dirty Sexy Money.
Concernant ta fiche, j'ai 4 remarques : - Tout d'abord, faire une petite relecture afin de chasser les fautes. Cela ne devrait pas être compliqué puisqu'en général, elles sont rassemblées dans certains paragraphes. - Il faudrait que tu te décides : narrateur à la 1ère personne du singulier ou à la 3ème ? Parfois, tu passes de l'un à l'autre, lorsque tu changes de paragraphe et c'est un peu déroutant. (on pourrait croire que le "je" est Anaëlle et le "elle" un narrateur autre que la jeune femme) - La tentative d'homicide non-expliquée. Je ne crois pas avoir lu de référence concrète à cette tentative. Quand ? Comment ? Pourquoi ? Dans quelles circonstances ? Ce serait bien de développer un peu ça, puisque ça a beaucoup marqué Anaëlle. - Tu as écrit la même chose pour point faible/point fort. ^^
Et dernier point qui concerne la globalité de ta fiche, j'aimerais que Mika vienne donner son avis quand tu auras fini. (puisque c'est lui qui propose ce PV)
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Ven 22 Avr - 1:40
Owen C. Ithell a écrit:
Euh... non, je ne crois pas que son nom apparaisse au générique de Dirty Sexy Money.
Rohhh, sur ton avatar, il lui ressemble je trouve !!! (mais j'ai pas mes lunettes)
Pour ma fiche :
Citation :
- Tout d'abord, faire une petite relecture afin de chasser les fautes. Cela ne devrait pas être compliqué puisqu'en général, elles sont rassemblées dans certains paragraphes.
Certaines étaient plus grosses que moi. Désolée. C'est corrigé.(du moins, j'espère ne pas en avoir oublié)
Citation :
- Il faudrait que tu te décides : narrateur à la 1ère personne du singulier ou à la 3ème ? Parfois, tu passes de l'un à l'autre, lorsque tu changes de paragraphe et c'est un peu déroutant. (on pourrait croire que le "je" est Anaëlle et le "elle" un narrateur autre que la jeune femme)
En relisant en même temps que toi ma fiche (j'avais d'ailleurs déjà corrigé quelques fautes d'orthographe), je me suis faite la même réflexion. Je passais de l'un à l'autre sans aucune transition. J'ai donc corrigé en choisissant, pour ce passage délicat de ma fiche, la 3ème personne. En réalité, je n'écris qu'à la 1ere. Je me suis emmêlée les pinceaux je crois!!! Ca devrait pas arriver en RP :paix:
Citation :
- La tentative d'homicide non-expliquée. Je ne crois pas avoir lu de référence concrète à cette tentative. Quand ? Comment ? Pourquoi ? Dans quelles circonstances ? Ce serait bien de développer un peu ça, puisque ça a beaucoup marqué Anaëlle.
En relisant la chronologie du perso, la tentative d'homicide sur sa mère s'est déroulée alors qu'elle n'était encore qu'un nourrisson. C'est la raison pour laquelle je ne suis pas rentrée dans les détails dans ma fiche. De mon point de vue, j'estimais qu'il s'agissait plus de l'histoire de sa mère ayant pour impact sur Anna, sa frustration à devoir toujours déménager. J'ai tout de même ajouter à ma fiche les causes de l'homicide mais, dans cette partie de ma fiche, j'ai préféré m'attarder sur les conséquences de cette tentative d'homicide sur l'histoire de mon personnage. Tu vois où je veux en venir ?
Citation :
- Tu as écrit la même chose pour point faible/point fort. ^^
Le drame des copié-collé ratés
Citation :
Et dernier point qui concerne la globalité de ta fiche, j'aimerais que Mika vienne donner son avis quand tu auras fini. (puisque c'est lui qui propose ce PV)
Je vais le chercher par la main
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Ven 22 Avr - 2:04
*arrive par la main* C'est un honneur de donner un avis, aussi inconstructible soit-il, vu que je suis d'accord \o/ Vu que j'ai répondu aux questions et que l'on s'est mit d'accord sur le caractère d'Anaëlle tout me semble en ordre Lapinou! (j'aime dire "vu que", on dirait.)
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Ven 22 Avr - 10:10
Je croyais t’avoir déjà souhaité la bienvenue mais il faut croire que non. Alors bienvenue à toi
Invité
Invité
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice Ven 22 Avr - 10:42
Bien, merci d'avoir corrigé les fautes et fait les modifications. Concernant la tentative d'homicide, je comprends tout à fait ton point de vue et il est respectable donc ce point là aussi est réglé. Et merci Michael pour ton approbation ! Bref, tout me semble être en règle donc je te valide ! Un admin viendra te placer dans ton groupe et t'administrer un rang de criminalité. Je te souhaite bon jeu parmi nous : amuse-toi bien !
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: |Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice
|Terminé| Ana ~ J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice