| Sujet: [TERMINE] Jordan ♦ Maybe one day you'll understand why everything you touch surely dies Mar 24 Sep - 18:00 | |
Identity Card
Feat "Julian SCHRATTER"(c) Liloo-59 |
Wesh mon nom c'est Jordan Adam Kingsley mais on me surnomme Jo', enfin "on", seulement mes amis. J'ai 22 ans et je suis américain. Les études ne sont pas faites pour moi, je suis donc un simple citizen. Pour l'instant je suis célibataire et barman, donc autant dire que ce ne sont pas les occasions qui manquent. Quoi que il n'y a pas beaucoup de filles bourrés dans mon bar, enfin, pas autant que les mecs. Mais ces derniers ne m'intéressent pas, étant hétérosexuel. Si t'a envie d'en savoir plus, lis le reste de ma fiche !
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; Young, Wild and Free ~ Snoop Dog ft Bruno Mars
BLABLABLA ▬ Histoire ;
Du point de vue de M. Kingsley :
18h. La fin de ma journée. Je pouvais enfin rentrer chez moi. Bon on pouvait m'appeler à n'importe quelle heure pour le boulot étant donné que j'étais flic mais, chez moi, je pouvais être en compagnie de ma femme et mon fils. Ils étaient tout pour moi. C'est donc plein d'entrain que je mis les pieds dans ma maison. D'un geste habituel je posais mon flingue sur la table basse et allait embrasser ma femme. Tout sourire je lui demandais comment s'était passé sa journée. Elle s'apprêtait à me répondre quand son regard devint effrayé, me tournant pour voir ce qu'il se passait, je vis mon fils de 3 ans avec le fusil dans les mains. Mais quel con ! Pourquoi je l'avais posé là?! Paniquant, ma femme courut vers lui en lui criant de lâcher ça et avant même que je puisse réagir un "BOUM" retentit. Sans réfléchir je courrais sur le corps ensanglanté de ma femme. Des larmes roulaient sur mes joues. Elle me supplia de ne pas appeler l'ambulance car elle voulait passer ses dernières heures avec moi. Je tournais la tête vers Jordan. Effrayé, il avait lâché l'arme. D'un geste rapide je la reprenais. Le temps que j'appelle l'ambulance et qu'elle arrive, ma femme était morte. Son corps inerte se trouvait dans mes bras. Une rancoeur sans pareil envers mon fils grandit. Je me dirigeais vers lui, prêt à le frapper. De ta faute. C'est de ta faute. Je m'arrêtais net. Une petite voix n'arrêtais pas de me répéter que c'était la mienne. Ne supportant pas la culpabilité, je montais l'arme à côté de ma tempe. Un coup et c'était fini. Un coup et je n'étais plus. Un coup et... le trou noir.
POINT DE VUE DE JORDAN : On dit que quand on sait d'où on vient alors on sait qui l'on est. Si on suivait ce proverbe alors... je ne suis rien, tout du moins, je n'ai pas connaissance de mon identité. J'ignore carrément mon vrai nom, mes parents et encore plus ma maison... Ma vie commence de façon merdique, je ne pourrais vous raconter dans quelles circonstances je suis né mais je peux vous dire une chose : je n'étais pas voulu. A 3 ans, l'âge de mon abandon, une assistante social m'a trouvé et confié à un orphelinat. Des liens se sont créés dans cet endroit loin d'être parfait. Un lien spécifique auquel je tiens beaucoup, encore aujourd'hui d'ailleurs. Mais il a dû être brisé le jour où l'on m'a adopté. C'est là que commence ma véritable histoire, celle dont je me souviens. «Je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme ». Je trouvais que cette citation me correspondait bien. En effet, la plupart du temps je faisais l'action, j'étais l'action. Je commandais, dirigeais, orchestrais le moindre complot. Autant dire que je ne fréquentais pas les bonnes personnes. Pourquoi faire ça ? Pourquoi gâcher ma vie alors que j'avais une chance de m'en sortir ? Tout simplement parce que je ne voulais pas m'attacher. J'avais souffert d'abandon une fois, pas deux. Leur fils passait beaucoup de temps avec moi. Solidaire, chaleureux, voilà comment on le qualifierait. A 16 ans, nous étions vraiment proches malgré le nombre de fois où je l'ai envoyer valsé. Je commençais à ressentir de l'affection pour lui. Mais cela ne m'a pas empêché de continuer mes affaires. «Affaires» ne constituait en fait qu'une activité : le crime, mais de différentes manières. La discrétion pour le vol d'une voiture. Le charme pour une arnaque. La force pour l'affrontement. La précision pour copier une œuvre d'art. Voici les quatre catégories majeures. Malgré l'adrénaline, les journées commençaient à être monotone, jusqu'à ce fameux jour. Les ruelles étaient vides. Personne, tout du moins c'est ce qu'on pensait. On continuait de poser les pieds l'un devant l'autre jusqu'à ce qu'on l'aperçoive. Une caisse. Pas n'importe laquelle. Celle d'un richoux, une caisse de course. Elle devait beaucoup valoir. En un regard, on s'était compris. Alex courut vers la voiture, moi derrière lui. Il sortit l'accessoire et l'introduisit dans entre la vitre et la portière pendant que je le cachais, que je faisais le guet. Mon regard scrutait les horizons jusqu'à apercevoir des lumières bleues et rouges. Et merde ! Me grouillant d'entrer dans la voiture, je sentais l'adrénaline monter. Cent à l'heure, le rythme auquel mon cœur battait. La voiture continuait d'accélérer, on allait trop vite et ce qui devait arriver, arriva. Un accident et après, le trou noir. Aujourd'hui encore, les images sont encore vagues, embrouillés. Ils m'emmènent au commissariat, dans une cellule séparé de celle de mon ami. Quelques jours plus tard, on prononce mon nom, on me dit que l'avocat veut me voir, alors je sors et rentre calmement dans la salle. L'homme me dit d'un ton compatissant, en contraste avec son air sévère : «M. Kingsley, je vais être direct, vous êtes jeunes et n'avez pas beaucoup commis de crimes contrairement à votre ami. Vous pouvez encore vous en sortir... », sentant la condition arriver, je l'interrompis, ayant la flemme d'entendre tout le blabla qui allait avec : «Et comment ? », son regard se fit moins dur, ses paroles, pourtant, l'étaient tout autant : «En allant dans un centre pour jeune délinquant. ». Je vais vous épargner toutes les protestations, le débat et le cliché du monde qui s'écroule pour en venir directement au but : ce centre pour jeunes délinquant ? Il craignait.
~ 2 ans plus tard ~
« Bonjour, vous êtes bien sur le... », mon pouce appuyait sur la touche « raccrocher » à l'entente de ces premiers mots. Elle n'allait pas répondre, comme il y a cinq minutes, comme il y a une heure, comme hier et pourtant je continuais, je m'acharnais à composer son numéro sur mon portable. J'avais retrouvé mon ancienne meilleure amie, Lysandre Blackbird, dans la même ville que moi et pourtant elle m'ignorait. Ce n'était pas faute de se souvenir, plusieurs fois j'avais tenté de lui rappelé qui j'étais, nos délires ensemble, nos souvenirs bon comme mauvais... Rien à faire elle continuait à faire la gosse de riche idiote qui ne se souvenait pas de moi. Au départ, son silence m'avait énervé mais, maintenant, je commençais à me faire un sang d'encre et dieu sait que ce n'est pas mon genre. D'habitude je ne me souciais pas des autres, je vivais ma vie et laissait le reste tranquille. Néanmoins il existe toujours une exception à la règle n'est-ce pas ? J'essayais encore une fois de l'appeler, et encore une fois je tombais sur le répondeur. Alors que je raccrochais, une idée se mit à germer dans ma tête : si ça se trouvait elle se jouait de moi.. Elle adorait les blagues quand on était gosse ! Qu'est ce qui me faisait croire que ce n'en était pas une ? Souviens toi d'il y a quelques jours, me répondit une petite voix. Oui, c'était vrai. Lysandre avait été mystérieuse depuis mon arrivée... Son air dur et froid me demandant de la laisser tranquille.. Une énigme en cours de résolution d'ailleurs ! Normalement, elle était tout pleine de vie, plaisantant à la moindre occasion, faisant des farces à quiconque et me répétant sans cesse «Essaye d'être plus sociable, plus gentil avec les autres et tu verras ! Tu m'étonnes que personne ne vienne te parler avec l'air que tu affiches ! Non mais sérieusement, on dirait que tu vas tuer quelqu'un. » et elle faisait sa petite mine renfrogné. Je souri à ce souvenir et recomposais le numéro possédé grâce au registre de la ville. Je m'arrêtais avant d'appuyer sur la touche « appeler », à quoi ça servirait ? Je me taperais encore la messagerie. Tant pis, j'allais trouver un autre moyen. Parfois je me demandais pourquoi. Pourquoi je me mettais dans cet état là pour cette fille ? Pourquoi je m'acharnais ? Pourquoi j'avais l'impression que mon cœur allait sortir de ma poitrine alors que j'ai vécu des choses bien pire en centre pour jeunes délinquants ? Je n'avais aucune réponse. Tout ce que je savais c'était que, depuis que j'avais quitté cet orphelinat elle m'avait manqué. Je ne pensais plus pouvoir ressentir des sentiments comme la compassion, la tristesse ou encore...la nostalgie. Ce n'était qu'un problème mineur aux yeux des autres sûrement, c'était vrai que depuis ma sortie du centre tout n'allait pas à merveille. Mon insertion à la fac ne se passait pas super bien. Les gens se méfiaient d'un ex-délinquant. « Qui sait ? Il pourrait recommencer» disaient-ils. Mais bon, la vie est un combat, chaque jour est une bataille. Honnêtement, les gens refusent de croire en moi ici. Autant dire que ça ne me donne pas envie de changer hein. Mais bon, j'ai réussi à battre mes anciens démons et suis maintenant barman au compte de quelqu'un. Je suis traité comme une merde par certains employés mais j'en ai rien à faire. J'ai vécu pire. Je continuais à faire la fête, à fumer, à fréquenter mes anciens potes -ceux qui étaient sortis- mais en aucun cas je ne recommençais les activités illicites. Wanna know more ? ▬ La plus grande honte du personnage ; (En 60 mots minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Lors d'une sortie avec ses amis, Jordan a provoqué un gang voisin. Un gang assez réputé dans la ville. Il voulait prouver que ses amis et lui étaient les plus forts. Bien sûr il était jeune et se pensant Dieu. Le gang, énervé leur a donné rendez vous le surlendemain à 3h du matin. Ramenant des armes de partout et en volant quelques unes, ils se sont dirigés vers l'endroit du rendez vous. La fusillade a immédiatement débuté. Alerté par le bruit des armes. Les voisins ont appelés les flics. Mes ces derniers sont arrivés trop tard. Certains étaient déjà morts. Jordan avait réussi à fuir mais d'autres s'étaient fait prendre. Depuis il s'en veut et s'est juré de ne plus jamais participer à une fusillade. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
Presque plus rien ne fais peur à Jo' maintenant. Depuis cette fusillade, il n'a plus peur de rien à part qu'on fasse du mal à ceux qu'il aime. Il s'en voudrait énormément si quelque chose arrivait à quelqu'un auquel il tient beaucoup et qu'il n'a rien pu faire pour l'empêcher. Il n'arrête pas de stresser quand sa bande d'amis pratique des activités illicites. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Pouvoir oublier son passé. C'est ce que Jo' aimerait par dessus tout. Changer de vie, de passé et par conséquent, changer son futur. S'il pouvait choisir, il serait fils de personnes modestes, étudierait en cours et aurait un métier réputé. Il serait l'enfant idéal quoi. Mais personne ne choisit sa famille, ses amis et sa vie. Cependant on décidé de son passé, mais Jordan était trop jeune pour s'en rendre compte. ▬ Point faible du personnage ; (En 60 mots minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
Son pessimisme. Jordan a tendance à tout voir du mauvais côté. Il voit le verre à moitié vide. C'est sa plus grande faiblesse hormis sa sensibilité. Au fond, c'est un gamin blessé qui ne veut pas souffrir. Il fait donc style mais au fond tout le touche. Il s'attache trop facilement, il aime facilement les gens mais est méfiant. Il a peur d'être trahi, comme avant. ▬ Point fort du personnage ; (En 60 mots minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
Il a deux points forts : son charme et sa force. Ce n'est pas le plus fort ni le plus beau mais ce sont ses deux atouts majeurs. Grâce à son charme il embobine les gens, sauf ceux qui se méfient trop de lui, qui ont une idée très fixe de lui. Sa force pour les combats et se défendre si jamais il se fait attaquer. ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.)
- Fusillade (donc meurtre), vol, arnaque. Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; Disneydream ▬ Âge ; 17 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Top site ! ▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 4-5/7 ▬ Code du règlement ;
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Validé par Gaby ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
La tristesse, la pitié. Voilà l'ambiance à son enterrement. Voilà où j'étais. Assis sur la première rangée, regardant mes pieds tout en écoutant les personnes parler. J'avais du rassembler tout mon courage pour venir ici. Pour la voir, allongé dans ce tombeau, victime d'un sort qu'elle ne méritait pas. On prononça mon prénom. C'était à mon tour. Je devais lui dire tout ce qu'elle n'avait jamais entendu venant de moi. Pourquoi l'on disait toujours a quelqu'un combien on l'aimait alors qu'il n'était même plus en vie ? Me plaçant devant la foule, je commençais à parler : «Vous savez, quand on rencontre quelqu'un de spécial, on le sait. Elle change notre vie, notre vision du monde, notre comportement envers les autres. Elle nous rend meilleure et on ferait tout pour ne jamais la lâcher, pour qu'elle ne nous quitte pas. Gipsy, tu étais cette personne pour moi. Tu es partie et sache que chaque jour qui passe sans toi, sans ta main dans la mienne, c'est comme si... Non, il n'y a pas de mots pour décrire ce sentiment. Celui de ne plus avoir la personne qu'on aime à nos côtés, celui de ne plus pouvoir entendre son rire, celui de ne plus pouvoir la toucher.... Chaque matin je regarde mon portable et réalise que même si je t'envoie un message, tu ne le recevras pas, si je t'appelle tu en décrocheras pas, si j'ai besoin de toi... tu ne seras pas là. Pourtant, je ne t'en veux pas. Ce n'est pas de ta faute, rien n'est de ta faute. Une fin non mérité pour une histoire exceptionnelle. Voilà à quoi se résume la vie. Tout ce que je veux dire c'est que tu me manques. Parce que c'était Toi. Je t'aime. Voici une petite histoire : « Vous vous rapprochez. Vous vous aimez. Puis le temps passe et l'un des deux doit partir. Alors vous vous quittez, vous partez tous les deux vers une autre destination, vers l'ailleurs, là où l'inconscient vous emmène. « Loin des yeux, loin du cœur ».Vous attendez. Longtemps. Et puis vient le jour où vous ne riez plus, souriez plus, vous commencez à connaître la tristesse. A ce moment là, et rien qu'à ce moment, vous pensez vraiment à revenir vers ceux que vous aimez. Ceux qui vous apporte le bonheur, la joie de vivre. Alors vous vous donnez rendez vous.Vous attendez encore. Mais cette attente n'est rien comparé a la précédente. Et là, vous la voyez. Votre cœur bat à la chamade. Le sourire monte jusqu'aux oreilles. Le son de votre rire se fait entendre. Elle s'arrête devant vous. Délicatement vous prenez sa main. Ça y est, vous êtes chez vous, à la maison. « L'attente rend les retrouvailles meilleures ». » Malheureusement, je devrais attendre encore longtemps avant de te retrouver. Avant qu'on puisse délirer a nouveau ensemble. Avant que tu sois a nouveau près de moi.». Je descendis silencieusement et retournais a ma place. Je voulais partir en courant d'ici. Je voulais tout sauf me retrouver dans cette endroit, cette place qui me faisait réaliser qu'Elle n'était plus parmi nous. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Julian Schratter ▬ Multicompte(s) ; Non ▬ Un dernier truc à dire ? ; Hakuna?
Dernière édition par Jordan A. Kingsley le Mar 24 Sep - 18:48, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: [TERMINE] Jordan ♦ Maybe one day you'll understand why everything you touch surely dies Mar 24 Sep - 22:10 | |
Et me revoilà Quelques petits détails avant de ta valider Tu dis qu'il ne fréquentait pas les bonnes personnes, se sont elles qui lui ont montré à voler/arnaquer/affronter/copier les œuvres ? Tu parles de Lysandre, qu'elle est une gosse de riche, pourtant tu dis que Jordan et elle se sont rencontrés à l'orphelinat. Elle a été adoptée par des riches ? Dans la plus grande honte, tu parles d'une fusillade, c'était bien avant ses seize ans ? Parce que tu n'en fais pas mention, tu parles juste d'arnaque, de vol de voiture, d'affrontement, de copie d’œuvres d'art. Parler un peu de la fusillade dans l'histoire serait bien, il a tué combien de personnes ? Ton orthographe est correct, mais tu devrais relire tes conjugaisons, il y a quelques erreurs, tout comme il manque certains mots dans certaines phrases, je pense qu'une relecture devrait régler le tout. |
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