| Sujet: [TERMINEE] Autumn C. Johnson ● The emptiness will haunt you. Dim 17 Mar - 14:19 | |
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▬ Nom ; Johnson. ▬ Prénom(s) ; Autumn Cynthia ▬ Âge ; 20 ans ▬ Nationalité ; Américaine ▬ Groupe ; Citizens ▬ Statut et activité dans la vie ; Issue d’une riche famille propriétaire de vignes reconnus dans beaucoup de contrées, elle est étudiante partiellement dans le domaine de la mode. Elle effectue de petit job à côté pour payer sa chambre d’hôtel, le temps de trouver un appartement. Autumn a quitté la maison familiale suite à la mort de son père et à l’assassinat de son petit ami. Possédant pourtant une somme d’argent impressionnante, elle n’ose y toucher puisque celui-ci provient de l’héritage des deux hommes. ▬ Orientation sexuelle ; Bisexuelle.
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
LINKIN PARK - Roads Untraveled. ▬ Histoire ; (800 mots minimum.)
Je venais d’avoir 18 ans, je vivais avec mes parents en Californie, Central Valley. Etant fille d’une riche famille légèrement connue et vivant dans une maison immense surplombant les vignes que nous possédions, j’aurai pu organiser une soirée mémorable cependant… Je n’avais pas prévue de fête, de réception quelconque, j’avais seulement demandé à ma famille, à Ryan et à son entourage d’être présent. Je ne désirais qu’une soirée tout à fait tranquille avec ceux qui comptaient le plus pour moi, cependant celle-ci n’allait pas être si calme que ce à quoi je m’étais attendue. Depuis plus de 5 ans, mes parents étaient amis avec ceux de Ryan, nous nous étions alors mit ensemble lors de leur rencontre. Tout avait été rapide mais perdurait depuis des années. C’est le sujet qui était évoqué à table, j’ignorais pourquoi, nos parents avaient décidé de parler de nous, surtout mon père qui était ravi et qui jouait la carte de la jalousie envers Ryan qui partageait, dorénavant, sa place au fond de mon cœur. Mon père et lui s’entendaient bien, il était adorable et de bonne famille. Ryan souriait comme un gosse qui savait que sa famille le lui préparait une surprise, ce qui me rendait heureuse. Ce fut que quelques minutes ensuite que je pouvais réellement dire être heureuse, lorsqu’il me présenta une bague magnifique et que ses lèvres vinrent me chuchoter doucement de devenir sa fiancée – demande que j’acceptais avec certitude. J’étais aux anges. Tout se passait bien, aucun défaut, une vie de rêve.
Quelques jours plus tard. - « Savez-vous s’il avait des ennemis ? » J’avais laissé ma mère répondre à cette question, à vrai dire je n’arrivais pas à décrocher un mot ce soir-là. Tout autour de moi s’effondrait petit à petit ne laissant place qu’aux ténèbres épaisses voilant mes yeux même si je ne sombrais pas. J’étais perdue dans un monde glauque avec comme seul et unique son leur voix posant des questions que je connaissais que trop à présent. J’écoutais vaguement les réponses que ma mère arrivait à leur donner en repensant que les mêmes avaient été posées il y avait encore deux jours à l’égard de mon père et que cette nuit-là, à cet instant, elles concernaient Ryan dont le sang colorait encore mes mains et dont, apparemment, la mort avait été un accident. Un cambriolage qui avait mal tourné, tout comme la mort de mon père, un chauffeur ayant malencontreusement percuté sa voiture dans l’allée qui menait à notre demeure. Que disaient-ils du fait que cet homme n’avait pas à se trouver là ? Les deux, pour eux, étaient des accidents et une coïncidence. Je me refusais d’y croire. J’avais, en 48 heures, perdu les deux hommes qui comptaient le plus pour moi. Plus rien n’avait de sens, plus rien de me faisait envie. Vivre aisément au sein d’une maison bien trop grande pour une seule famille, avoir son nom connu grâce aux vignes que l’on possède, savoir qu’énormément de monde n’aspire qu’à avoir un lien avec soi, tout cela ne valait pas la présence de mon père, ni celle de Ryan. Je revoyais encore son corps étendu dans l’entrée, mes lèvres imbibées de larmes caressant les siennes entre deux sanglots. Les mêmes cris que lorsque Papa tenait ma main alors que les pompiers ne pouvaient rien faire pour le sortir de la voiture engouffrée devant la maison. Des larmes s’invitaient à nouveau le long de mes joues et ce fut la voix d’un officier, plutôt jeune, qui me sortit de mes songes. Il me tendait la main, gentiment mais je ne faisais rien comme si ma conscience s’enfonçait délicatement dans une sorte de stupeur que je ne contrôlais pas. Je fixais son geste jusqu’à ce que ma mère me reprenne en main pour me lever. - « Autumn, va enlever tout ce sang. S’il te plait. » Dit-elle d’une voix suppliante, je dois l’avouer. C’était donc pour cela qu’on m’avait envoyé un représentant de l’ordre, afin qu’il m’accompagne jusqu’à ma propre salle de bain et qu’il surveille que je ne fasse rien de stupide ou téméraire. J’entrepris quelques pas jusque l’escalier, tout en passant devant là où était allongé Ryan, je ne pouvais pas détourner les yeux. Je ne voulais pas y croire, c’était un cauchemar. Je montais doucement, hébétée par tous ces évènements. J’ignorais les raisons de toutes ces atrocités, j’avais cette impression horrible de culpabilité. L’eau glaciale du robinet rendait à mes mains leur couleur d’origine, laissant le précieux sang de mon fiancé s’évader avec elle. C’est en levant les yeux, me retrouvant face à mon reflet, que je perçus la mine terrifiante qu’abordaient mes traits. Les yeux bloqués sur mon teint pâle, je me sentais faiblir, m’effondrer sans pouvoir me rattraper. Les ténèbres aveuglant ma vue s’épaississaient jusqu’à me submerger… totalement. Les jours suivant, ma famille ainsi que celle de Ryan se retrouvaient réunies – encore une fois – au cimetière. Les rayons du soleil abîmaient mes yeux noyés de larmes, mes mains tremblantes tenaient délicatement une rose rouge épanouie que je n’osais regarder. Les perles salées venaient s’abattre sur mon décolleté, souillant la robe noire qui cachait ma peau blafarde. Je ne quittais pas du regard la photographie de mon cher et tendre exposée devant moi, je m’attardais sur son sourire ce qui alarma mon cœur. Je perdis connaissance.
Deux ans plus tard. Je m’étais installée à New York, un an après la mort de Ryan, pour mes 19 ans, malgré que les enquêtes sur mon père et mon fiancé aient été mises de côté et étaient, de ce fait, non résolues. Ma mère avait décidé de garder les vignes appartenant à mon père et elle s’était, par la même occasion, remariée quand j’eus quitté la maison – de peur que je le prenne mal j’imagine. C’était surement ce fait là qui m’avait poussé à partir en laissant mon passé dans mon ancienne demeure, je ne voulais pas admettre que ma mère puisse remplacer mon père aussi facilement. Au sein de la grosse pomme, je m’étais trouvée une chambre d’hôtel modeste et je vivais du stricte minimum malgré l’énorme somme d’argent qui était en train de pourrir sur mon compte. L’héritage de mon père ainsi que de Ryan m’était plus que sacré, y toucher le ferait disparaitre et c’est ce que je me refusais de faire. J’avais cherché des jobs afin de continuer de payer ma chambre, tous s’entremêlaient ne me laissant pas le temps de souffler. J’évitais de me retrouver à ne rien faire, il ne fallait pas que je pense. J’étais terrifiée à l’idée de pouvoir songer à tout ce qu’il s’était passé et c’est cette peur qui m’amena finalement à m’endormir grâce à l’aide de médicaments. J’essayais, tant bien que mal, de faire de nouvelles rencontres – celles-ci souvent désastreuses et immuables – afin de ne pas paraitre associable dans les endroits où j’osais m’aventurer. J’avais pris la décision de suivre des études dans le domaine de la mode. Ma vie reprenait son cours, petit à petit, je cicatrisais.
▬ Relations ;
Autumn, commençant à se remettre de la perte de son père et de son fiancé, reste néanmoins assez distance et froide quand il s’agit de relations avec des hommes – que ce soit amicales comme amoureuses. Elle aurait l’impression de tromper Ryan si elle ne ressent pas de véritables sentiments à l’égard de celui avec qui elle aurait essayé de construire quelque chose. Néanmoins, créer des relations avec des femmes – amicales j’entends – lui est moins difficile et l’aide beaucoup à avancer face à sa solitude. Elle y trouve le réconfort de pouvoir se confier à quelqu’un sans complexe et blocage si cette personne a mérité sa confiance – chose rare. Elle se sent libre et vivante en compagnie de ceux qu’elle apprécie. ▬ Physique ;
C’est une jeune femme très soignée qui se sent obligée d’attirer les regards sur elle, même si cela peut l'a mettre mal à l’aise depuis les évènements qui l’ont frappé. Etant fine sans pour autant être anorexique, Autumn possède une carrure et des formes tout à fait charmantes qui ne laissent pas indifférent, elle sait se mettre en valeur. Ses longs cheveux cuivrés et ses yeux bleus sont mis en valeur par son teint très pâle. Elle n’est pas extravagante et sait rester naturelle, ce côté sans artifice sera ce qui la rend séduisante aux yeux de ceux qui la croisent. ▬ Caractère ;
Autumn est une jeune fille très joviale et toujours très énergique. Elle a l’art de rependre la joie autour d’elle et auprès des personnes qui en ont besoins mais n’utilise pas cet art pour son compte puisque malgré son sourire angélique et presque sincère, elle reste déboussolée et souffrante suite à ses périples. Elle aime s’amuser quitte à paraitre ridicule en public, c’est ce qui l’aide à évacuer tous ces maux et tout le stresse qu’elle peut accumuler. Avec ses amis, c’est une fille adorable dont la compagnie est plus que bienvenue. Elle s’accroche énormément aux personnes à qui elle donne sa confiance. Cependant, quand elle rencontre un homme, elle reste renfermée sur elle-même et très distance. Ses paroles se font plus froides et agressives quand on la complimente et qu’on essaie d’en savoir un peu plus sur son passé. Elle ne se laisse pas facilement approcher, c’est une femme très méfiante et souvent sur la défensive, ce qui peut parfois la rendre dangereuse si elle s’emporte. Elle ne se met pas souvent en colère, elle sait gérer ses émotions et est plus forte qu’elle n’y parait. Son impulsivité peut lui faire défaut, on ne sait jamais vraiment à quoi s’attendre avec Autumn – que ce soit en bien ou en mal. Elle peut changer du tout au tout. Néanmoins, elle sait faire preuve de maturité quand c’est nécessaire. Elle a appris à déchiffrer les personnes qu’elle rencontre, ce qui influence souvent sa façon d’être mais quand sa première impression est positive, on s’attache vraiment vite à sa personne. Par ailleurs, c’est une personne très déterminée, quand elle souhaite s’approprier quelque chose, elle n’abandonne pas facilement. Elle a eu l’habitude de vivre aisément et avec tout ce qu’elle voulait, ce qui inclut son mécontentement quand elle n’arrive pas à satisfaire ses besoins. C’est une fille extrêmement possessive et jalouse, à la limite de l’intolérable, elle ne supporte pas qu’une personne prenne autant de place qu’elle dans certaines situations (quand elle organise quelque chose ou qu’on prépare une fête en son honneur) ce qui a tendance à la rendre très désagréable quand ce genre de soucis se produit. Elle reste cependant très facile à vivre quand on la connait assez bien et qu’on est très proche d’elle. Malgré son manque d’ouverture aux hommes, elle a l’espoir de pouvoir s’en sortir et de trouver quelqu’un avec qui elle arriverait à faire naître des sentiments bien réels. ▬ La plus grande honte du personnage ;
La plus grande honte pour Autumn a été son évanouissement à l’enterrement de Ryan. Ayant été dépressive suite à sa disparition, elle s’en veut de ne pas avoir pu lui dire au revoir une dernière fois et c’est ce qu’elle deteste chez elle. Par ailleurs, les décès de son père et de son fiancé sont les sujets dont elle n’osera pas parlé de peur qu’on la prenne en pitié. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
Ce qu’elle considère comme l’enfer c’est la solitude, le fait de se retrouver seule face à ses songes. Elle est terrifiée en pensant à cette idée à cause de ses souvenirs et de ses pensées car elle ne saurait faire face à tout ça. Revivre toutes les images qui ont stationné durant plus d’un an au fond de son crâne serait, pour elle, un véritable cauchemar. ▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Le paradis pour Autumn se serait de pouvoir avancer sans se préoccuper de son passé. Elle aimerait passer à autre chose et ce serait un énorme soulagement pour elle. Tourner la page serait pour elle une telle réussite qu’elle se considèrerait comme aux anges mais elle s’en sent pas encore capable. Elle espère avoir le droit au bonheur et à son paradis. Cela sans oublier que les deux hommes ont été là un jour, juste ne plus avoir mal en y pensant et apprendre à vivre avec. ▬ Point faible du personnage ;
Le point faible qu’elle aurait serait qu’on sache ce qui le lui est arrivé et qu’on joue de cela pour se servir d’elle. Elle serait incapable de faire quoi que ce soit si on venait à le lui rappeler toutes les horreurs des deux nuits où sont morts son père et son fiancé, ce qui pourrait l’amener à faire n’importe quoi. ▬ Point fort du personnage ;
Le point fort qu’elle peut avoir serait son charme. Elle sait être séduisante et en profite afin de faire envier les autres femmes, ce qui la rend sûre d’elle à la limite du narcissisme (même si elle ne le montre pas). Autumn a cette fâcheuse habitude de vouloir être vue et reconnue, mimique qu’elle tient de son père et dont elle est fière. ▬ Casier judiciaire ;
Excès de vitesse. Consommation d’alcool. Amendes pour tapage nocturne chez elle et sur la voie publique.
Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; Lily. ▬ Âge ; 17 ans. ▬ Où avez-vous connu le forum ; Via Ashley O'Connor. ▬ Connexion ; 6/7, pour ne pas dire tout le temps. ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
Ok par Eva ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Rien n’avait vraiment changé depuis quelque temps, cette routine que je menais ne me quitterait définitivement pas. C’était un calme assez plat qui avait pris les commandes. Il y avait toujours ces conférences, ces visites, ces rendez-vous inutiles mais tout ça, ces temps-ci, étaient ennuyants aussi. J’avais décidé de ne rien faire aujourd’hui, juste marcher et parcourir les rues de Manhattan histoire de faire le vide. J’essayais, cependant, de ne pas trop me faire remarquer. J’évitais mes costards et pris l’initiative de mettre un t-shirt blanc, un jean simple et tout cela avec une veste à carreau verte. Je plaquais mes cheveux rapidement en arrière, sans vraiment faire attention à quoi je pouvais ressembler. Simplicité. Je n’avais pas le courage d’en faire trop ce jour-là et moi-même je m’en rendis compte. C’était une mauvaise journée en fait, je n’avais pas le moral, envie de rien sauf de prendre une bonne bouffée d’air frais. J’avançais, les mains dans les poches comme d’habitude sans poser le moindre regard sur qui que ce soit, lunettes de soleil sur le nez. J’ignorais encore où je me dirigeais mais, une chose est sûre, j’y allais. « Doucement mais surement ». C’est ce que je pensais, ça ne m’étais pas arrivé depuis longtemps d’errer dans les rues sans but précis. J’aurais pu traquer quelqu’un, prévoir un itinéraire pour une cible que j’aurais dû amadouer mais là, rien. J’y étais pour absolument rien d’autre que me balader et seul, comme à mon arrivée en ville parce que j’avais remarqué qu’ici, je ne pouvais faire confiance à personne, pas plus que lorsque j’étais encore au Mexique.
Je devais marcher depuis une petite heure déjà. Je sentais les rayons du soleil taper sur ma personne, il faisait relativement chaud mais ça ne devrait pas tarder à se refroidir un petit peu. Je devais me trouver en plein cœur de Manhattan lorsque je me concentrai enfin sur ce qui se dressait autour de moi, je n’avais aucune idée de l’endroit précis de ma position. Je balayais les lieux du regard, cherchant où prendre une petite pause et un endroit, un café semble-t-il, plutôt sympathique me sauta aux yeux. J’y allais, tranquillement, tout semblait comme neuf, ils étaient nouveaux propriétaires. Je me mis en bout de file à l’intérieur, devant moi attendait deux/ trois personnes. Il était là l’avantage d’aller dans un nouveau commerce, peu de monde donc peu d’attente. Quand vint mon tour, je pris un thé et m’installais à une table en extérieur contre la vitre. En ces lieux, à cette heure-ci, je me sentais plutôt bien. Je ne devais pas me forcer à parler avec n’importe qui, ni même à me donner en spectacle aux photographes et dieu sait que, pourtant, j’adore ça mais ne pas avoir à le faire rien qu’une journée était vraiment reposant. J’étais perdu dans mes pensées, je songeais à tout et rien, quand je me rendis compte qu’une femme, assise à une table en face, me regardait. Je décrochais un sourire amical quand je reconnus celle-ci. J’avais emmené cette jeune femme à l’hôpital juste après qu’elle est manqué de passer au-dessus d’une rambarde étant sous médicament. Je n’avais cessé de prendre de ses nouvelles durant son séjour là-bas et ais perdu sa trace quand elle eut le droit de sortir. Gabrielle, si mes souvenirs sont bons. J’allais pour décrocher un mot. Elle me devança en précisant qu’elle avait l’impression que nous nous étions déjà rencontrés mais qu’elle devait se tromper, tout cela en m’adressant un sourire courtois mais gêné. Le fait est, c’était le cas sauf qu’elle ne se trompait pas et que, visiblement, elle ne se souvenait pas de ce soir-là, ni même qu’elle m’avait revu – lui apportant des fleurs - une ou deux fois après son entrée à l’hôpital. Peut-être était-ce mieux ainsi, c’était une page qu’elle avait dû tourner pour avancer.
J’allais pour passer à autre chose mais je sentais toujours son regard sur moi malgré ses essais de se cacher derrière son prétexte de lecture. J’avoue que ça me fit sourire et la façon dont elle m’observait, je devinais qu’elle ne lâcherait pas l’affaire en sachant que je le lui disais vraiment quelque chose. Je finissais mon thé et laissais un billet au hasard sur la table avant de me diriger vers elle. Je m’étais installé à sa table ce qui la gêna légèrement je dois dire. « Je dois dire que je suis heureux de voir que tu vas mieux, Gabrielle. » Je lui adressais toujours ce petit sourire qu’elle me rendit avec un air perplexe. Remarque, à sa place j’aurai été tout aussi stupéfait. Elle posa son livre sur la table, doucement, en me fixant cette fois-ci. « On s’est rencontré, en effet, il y a déjà un bon petit moment. Ce devait être un soir de pleine lune. » J’attendais une réaction, un souvenir de sa part. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Deborah Ann Woll. ▬ Multicompte(s) ; Oui, Alexander Hawkins - Autorisation par Novak. ▬ Un dernier truc à dire ? ; On ne se lasse pas de TDS quand on y prend gout.
Dernière édition par Autumn C. Johnson le Dim 17 Mar - 15:45, édité 3 fois |
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