| Sujet: [TERMINEE] Warren J. King - Présentation Lun 1 Avr - 2:57 | |
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▬ Nom ; King ▬ Prénoms ; Warren, James ▬ Surnom(s) ; Black Lion ▬ Âge ; 34 ans ▬ Nationalité ; Américaine et jamaïcaine ▬ Groupe ; Cityzens ▬ Statut et activité dans la vie ; Chanteur de reggae, guitariste ▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuel
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Bob Marley – Positive Vibrator ▬ Histoire ;
La grande aventure de ma vie commença à Portmore, ville côtière de Jamaïque. Je suis le fils de Kelly Isaacs et de James King. Cest ma mère qui choisit de m'appeler Warren. Elle était une pure jamaïcaine, tandis que mon père était un expatrié afro-américain. Je vis le jour durant l'année 1980, année de l'assassinat de John Lennon, du début de la guerre Iran-Irak, ou encore du coup d'état militaire au Liberia par le sergent Samuel Doe. Je ne connais pas ma date de naissance exacte, mais sur mes papiers d'identité on peu lire « 23 Février 1980 ». C'est la date qu'on a choisie pour faire mes papiers américains. J'eus une enfance banale. Ni très heureuse, ni particulièrement malheureuse. Mon père quitta ma mère quand j'avais cinq ans, après lui avoir fait deux autres enfants. Apparemment il avait une autre épouse, aux Etats-Unis, qui était déjà la mère de trois de ses enfants. Ma courageuse mère s'occupa de moi toute seule. J'allais à l'école, m'efforçant d'avoir de bons résultats mais bien vite, à l'adolescence je fus mêlé à divers trafics de cannabis qui se déroulaient dans mon quartier. Cela me permettait de ramener pas mal d'argent à la maison, car ma mère, même si elle bénéficiait de certaines allocations, ne pouvait pas faire vivre toute notre petite famille avec ses revenus de vendeuse. Même si elle voyait mon initiative d'un mauvais œil, elle ne m'en empêchait pas car pour l'instant c'était notre seul moyen de subsistance. Parallèlement à cela, avec deux amis du lycée nous montâmes un groupe de musique. Je m'étais offert une jolie guitare avec la recette de mes ventes, et d'aucuns disaient que j'avais une voix peu commune. L'année de mes seize ans, notre groupe, « K - Vibrator » sort son premier disque. Nous faisons quelques ventes, nous nous produisons un peu au lycée mais sans plus. Les années lycée passèrent, et je me questionnais sur mon avenir. Même avec mon diplôme, je n'aurais eu aucune opportunité en Jamaïque. Comme j'étais né d'un père américain, cela me donnait le droit de posséder la nationalité américaine. Je décidai de vivre ce qu'on appelle le rêve américain. À l'âge de dix-huit ans, mon diplôme empoché haut-la-main, je quittai tout ce que je connaissais et embarquai à l'aéroport de Kingston dans un vol à destination de Miami, en Floride. Je promis à ma mère de lui envoyer de l'argent régulièrement. Dans le cadre d'un programme fédéral d'aide aux étudiants d'origine étrangère je reçus une bourse et commençai à étudier à l'université de Floride. Je choisis une voie artistique, car c'était la seule qui m'intéressait. Parallèlement à mes études je trouvai un emploi à mi-temps dans un fast-food, et envoyai 50% de chacune de mes paies à ma mère. Dès ma première année en Floride je rencontrai une fille, Julia. Elle était belle, blanche et intelligente. Nous étudiions dans la même université, et très vite nous commençâmes à sortir ensemble. J'étais amoureux, et je pensais qu'elle aussi. Nous nous prîmes même un petit appartement en ville. Cependant un jour, alors que mon patron au fast-food m'avait libéré plus tôt, je vis un homme, le champion de basketball du campus, sortir de notre appartement. Je rentrai et demandai des comptes à Julia. Elle m'avoua tout : qu'elle me trompait avec lui, et ce depuis plusieurs semaines. Cela me mit en colère, je la poussai violemment et sa nuque frappa le comptoir de la petite cuisine. Elle était inanimée. Quand je voulus prendre son pouls son cœur ne battait plus. Je me mis à pleurer, et aussitôt à regretter. J'appelai les secours. Ils arrivèrent rapidement, mais il était déjà trop tard pour elle. La police, arrivée avec l'ambulance, m'embarqua. Je fus emprisonné en attendant mon procès. Un avocat me fut commis d'office, et j'eus de la chance car je réussis à m'en tirer avec un homicide involontaire. Je fus condamné à une peine de dix ans d'emprisonnement dans un pénitencier en Floride. Ce délai me fit énormément réfléchir. Pourquoi éprouver de la haine quand on peut aimer ? Pourquoi utiliser la violence quand on peut guérir ? Je décidai que dès ma sortie je dédierai ma vie à la paix. Mais en attendant, j'écrivais des chansons dans ma cellule, j'apprenais la capoeira après de mon co-détenu brésilien et je jouais au basketball avec les autres détenus pour me maintenir en forme. En 2009, je sortis enfin de prison, des idées de paix plein la tête. Ma mère était morte du virus du sida entretemps. Mes deux frères sont morts assassinés, car tombés dans le trafic de drogue. Ma seule famille encore vivante était Jane, ma demie-sœur, du côté de ma mère. J'étais son aîné de deux ans. Je m'endettai pour lui payer un billet d'avion pour les Etats-Unis, et elle vint me rejoindre. Elle était tout ce que j'avais, et je l'aimais beaucoup. Elle suivait des études universitaires. Bien vite je me rendis compte qu'elle avait une voix magnifique. Je ne savais que faire de ma vie et c'était l'occasion de reprendre du service dans le domaine musical. Nous commençâmes à enregistrer des morceaux que j'avais écrits en prison. Ces chansons étaient porteuses de paix et d'amour. Jane s'en tirait très bien, et ce fut un véritable succès. Notre premier album se vendit à presque un million d'exemplaires, et déjà des maisons de disques avaient repéré ma sœur. Désireuse de prendre son indépendance, elle rompit notre duo pour se produire en solo. Elle avait un grand avenir à sa portée, et j'étais heureux pour elle. De mon côté, j'avais d'autres idées en tête. Suivant l'exemple de mon plus grand idole, Bob Marley, je partis en voyage initiatique en Afrique, la terre qui a vu naître la vie. Je me sentais très concerné par toutes ces guerres civiles qui déchiraient le continent. Il me fallait agir. Je m'installai à Kinshasa, en république démocratique du Congo. Il fallait que j'oeuvre pour la paix dans cette ville où violence et insécurité son omniprésentes. Ma seule arme était ma voix, mes chansons. Je louai un studio d'enregistrement et avec un associé rencontré par chance à l'aéroport je sortis au bout de quelques mois mon premier album solo, et pendant ce temps je faisais mon possible pour aider, par le biais d'actions caritatives. Je rendais des visites à des population défavorisées, je combattais la misère engendrée par les guerres. L'album rencontra un succès inattendu. Partout dans le monde les gens se mirent à se l'arracher. Les radios diffusaient mes morceaux, on me nomma même l'héritier de Marley. Modestement, je rejetais ces qualificatifs, en continuant ma vie comme si j'étais un homme ordinaire. J'utilisais tout l'argent que je gagnais pour aider des populations partout dans le monde. Cependant ainsi je m'étais fait des ennemis. S'il y a un groupe de personnes qui détestent la paix, ce sont les fabricants d'armes. Ils me menacèrent à plusieurs reprises, mais devant mon indifférence obstinée il passèrent à l'acte. En sortant d'un bus à Kinshasa, la veille d'un concert, je fus attaqué. On me tira dessus. Je tombai à terre. On appela les secours et je fus sauvé. Le concert fut reporté à quelques jours plus tard, et ce fut un succès encore plus grand. Cette expérience me motiva encore plus dans mon initiative Au bout de deux ans je quittai l'Afrique pour la grande ville de New York. Là-bas je me disais que j'aurai un meilleur impact sur l'ensemble de la planète. Je pris un petit appartement dans Manhattan, non loin d'un studio d'enregistrement que je louais. Nous sommes à présent en 2014. Je croyais ma renommée mondiale, mais maintenant que je réside dans la Big Apple, je me rends compte que j'en suis encore loin. Et pourtant, il le faudra bien je je veux un jour pouvoir guérir le monde de la haine et des guerres...
▬ Relations ;
La première chose que Warren recherche chez un ami est sa bonté. Si une personne partage ses convictions pacifistes, il cherchera aussitôt à devenir son ami. À l'inverse, si Warren s'entretient avec une personne qui se montre cruelle, violente ou égoïste, il cherchera d'abord à comprendre la cause de cette attitude, puis il fera son possible pour diriger cette personne vers le comportement qui lui semble le meilleur. Du côté des relations amoureuses, il restera plutôt peu ouvert, car il se remémore encore la mort de son ex-petite amie, Julia, qui lui a valu un séjour en prison. Bien sûr, il lui est souvent arrivé d'avoir des relations d'un soir, sans lendemain, mais pour le moment il n'envisage aucune relation durable, au moins jusqu'à ce qu'il estime avoir expié son péché. ▬ Physique ;
Warren est un homme noir et jeune. Il mesure 1m85 et est assez musclé, car très sportif. Ses dents blanches contrastent bien avec sa peau noire, ce qui lui procure un sourire éclatant. Il s'habille plutôt simplement, se contentant le plus souvent d'un tee-shirt banal ainsi que d'une paire de jeans, avec des baskets. Cependant la caractéristique physique la plus notoire chez Warren est sa chevelure. En effet, il possède de longues dreadlocks brunes dont il prend grand soin. Il peut lui arriver de les couper lorsqu'il désire changer de coupe, mais quoi qu'il arrive elles sont présentes. Ses yeux sont bruns. ▬ Caractère ;
Tout d'abord, il faut dire que Warren est quelqu'un de bon. Il est généreux et est formellement opposé à toute forme de violence. Cependant s'il faut régler un conflit il utilisera la force des mots et se montrera très juste. Ensuite, il faut savoir que Warren accorde plus d'importance à la vie des autres qu'à la sienne. S'il le fallait il risquerait cent fois sa propre vie si cela peut en sauver une autre. Il est déterminé et obstiné lorsqu'il a un objectif précis. Pour avoir de l'inspiration pour écrire ses chansons, Warren a pour habitude de fumer quelques joints de marijuana. Il aime cela, et est partisan de sa légalisation, car en plus de lui donner de l'inspiration il pense qu'elle permet à l'esprit de s'élever. Pour ce qui est de ses croyances religieuses, Warren est un adepte du mouvement rastafari. Il estime en effet que les racines de chaque Homme se trouvent en Afrique, et que l'Ethiopie est la terre promise qui figure dans la Bible. Il ne mange aucune viande, ne se coupe pas les cheveux et ne consomme pas d'alcool. Son passé difficile a fait de lui un homme mystérieux, mais il peut devenir très attachant lorsqu'on prend la peine de faire plus ample connaissance avec lui. Il existe toutefois des jours où Warren est davantage sociable, et là c'est lui qui ira vers les autres, surtout s'ils sont dans le besoin. Cependant, lorsqu'il est soumis à un important choc émotionnel, Warren peut se mettre en colère et se montrer violent. Ces accès de rage restent très rares, et Warren n'en a connu aucun depuis sa sortie de prison. Il tient beaucoup à sa petite sœur, chanteuse, à qui il rend souvent visite. C'est la seule famille qu'il lui reste, et il est prêt à tout pour elle. Son passé en tant que trafiquant de cannabis et son séjour en prison lui on procuré une grande connaissance du milieu criminel, également. Pendant son temps libre, Warren porte presque toujours un casque, avec de la musique dans les oreilles. Ses goûts musicaux sont assez variés, quoique pointus. Mais Warren est aussi très sportif, surtout depuis la prison. Il pratique la capoeira ainsi que le basketball. Il fait très attention à garder une bonne hygiène de vie, car il pense qu'on doit un esprit sain à un corps sain. Enfin, niveau confort Warren est un homme peu exigeant. Il sait se contenter du minimum, et s'emploie plutôt à améliorer la condition de ceux qui en ont besoin avant la sienne. ▬ La plus grande honte du personnage ;
La plus grande honte, le plus grand regret de Warren est aussi la chose pour laquelle il a passé dix ans de sa vie en prison : le meurtre de sa petite amie de l'époque, Mary-Jane. Le couple s'était disputé, car Mary-Jane trompait Warren avec un autre. Warren s'est mis en colère et en la poussant elle se brisa la nuque sur le bord du comptoir de la cuisine. L'avocat de Warren réussit à obtenir une peine de seulement onze ans de prison pour homicide involontaire, et depuis, durant presque chaque nuit Warren fait des cauchemars, pensant sans cesse à ce fameux soir. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
Pour Warren, l'enfer serait un monde de chaos, où partout règne la violence et la haine. Un monde où l'amour de son prochain et l'entraide seraient délaissés au profit de l'égoïsme et la méfiance. En fait, le pire des mondes pour Warren serait un monde dans lequel tous les gens « de bien » auraient disparu. Heureusement, tant qu'il existera des gens prêts à aider cela ne restera qu'un vil cauchemar. ▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Le meilleur des mondes aux yeux de Warren serait à l'inverse un monde de paix et d'amour, un monde sans arme ni haine, un monde où chacun sera en sécurité. Dans ce monde parfait, les plus riches aideraient les plus pauvres, chaque personne oeuvrerait pour secourir son prochain. Les guerres n'existeraient plus et les armées seraient pacifiques. ▬ Point faible du personnage ;
La grande faiblesse de Warren est certainement sa naïveté. Il a tendance à toujours donner une chance aux autres, car il croit énormément en l'Homme. Il lui est également très difficile de refuser lorsque quelqu'un, surtout une personne qui lui est chère, lui demande un service. De plus il éprouve une répugnance telle pour tout type de violence que parfois il se laissera frapper sans même riposter. ▬ Point fort du personnage ;
Il existe de nombreux domaines dans lesquels Warren est au sommet. Premièrement, il est un chanteur et guitariste hors pair. Son style de prédilection est le reggae mais il possède une bonne culture musicale. Egalement, il a appris à danser la Capoera avec un de ses co-détenus d'origine brésilienne, durant sa peine de prison. Dernier point, Warren est très sportif et se débrouille particulièrement bien au basketball. Plusieurs fois par semaine il va s'entrainer sur un des nombreux playgrounds de la ville. ▬ Casier judiciaire ;
- Amendes pour tapage nocturne - Possession/consommation illégale de marijuana - Coups et blessures - Trafic de cannabis - Homicide involontaire
Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; PeaceSoldier ▬ Âge ; 15 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Google est un ami. ▬ Connexion ; 5 BLABLABLA ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
Ok par Ella ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [ ] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
J'étais hors d'haleine. Je courais, courais, ignorant les cris de souffrance de mon corps. Déjà trois bons kilomètres que je faisais. Parti de Brooklyn, j'arrivais au terme de l'interminable Verrazano Narrows Bridge. Il me restait à trouver mon chemin dans le dédale des rues de Staten Island, encore obscur pour moi. Me remémorant les instructions de l'organisateur du concert, je parvenais à trouver ma route non sans mal. Après dix bonnes minutes de recherches, j'arrivai enfin en vue de la scène. Ils avaient vu les choses en grand cette fois. Ce n'était plus une vulgaire estrade avec un micro, mais bien une véritable scène de concert, avec ses projecteurs, ses fumigènes et sa sono hi-tech. Un grand sourire fendit mon visage en sueur. Je m'arrêtai même de courir pour admirer cette scène. Autour, une foule immense se pressait, parfois sur des perchoirs pour tenter d'entrevoir la scène qui ressemblait à une île au milieu de cette marée humaine. En périphérie de la foule, quelques véhicules de journalistes, leurs cameramen non loin, étaient stationnés. Chacun semblait attendre quelque chose. La scène était vide. Je fis le tour de la scène et de cette foule piaffante d'impatience pour monter sur l'estrade par l'arrière. En courant je pris place au milieu de la grande scène, prenant ma guitare au passage. Le batteur et le guitariste me suivirent. Avec un grand sourire, je saluai la foule en levant le poing, et m'excusant pour ce retard j'entonnai un morceau. Pendant que je chantais et jouais, je m'émerveillais de voir cette foule en liesse hurler mon nom, se pousser pour m'apercevoir, bouger au rythme de ma musique. Le rêve. .
▬ Célébrité sur l'avatar ; BLABLABLA ▬ Multicompte(s) ; / ▬ Un dernier truc à dire ? ;
Dernière édition par Warren J. King le Mer 3 Avr - 8:21, édité 4 fois |
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