Sujet: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Mer 29 Mai - 22:40
Identity Card
Feat "Tegan Quin"
(c) : Darklies Clearminds
Eh ! Gars ! Moi c'est Rowen Esfir Vodyakov, mais tout l'monde m'appelle Row'. J'ai 22 ans, je vais bientôt en avoir 23, et j'ai encore toutes mes dents, ou presque. J'ai la double nationalité franco-américaine, grâce à ma mère qui est bretonne, parce que je suis née là-bas, et que j'y ai habité jusqu'à mes trois ans. Je parle donc le français et l'anglais couramment, ainsi que le russe. Mon père Ari le parlait avec moi. Je suis actuellement étudiante en rien du tout, parce que je me suis faite expulser il y a de ma deuxième première année de médecine, et célibataire à temps partiel -Ca veut dire que j'enchaîne les coups d'un soir-. J'ai rien contre les filles, mais j'préfère les garçons, à moins que la fille en question fasse bondir mon coeur hors de ma poitrine. Je suis loyale et courageuse, mais j'ai un tempérament plutôt instable, et gare à ceux qui essayent de gruger avec moi, ça pardonne pas.
Wanna know more ?
▬ La plus grande honte du personnage ;
Ma plus grande honte, c'est de ne pas avoir été capable de venger mes parents... Je sais pourtant qui est le meurtrier de mon père et de ma mère, et j'avais beau n'avoir que dix ans lors qu'ils sont morts, j'avais pleinement conscience de ce qui c'était passé. Je sais que c'est Igor Nikolayev le responsable. A l'époque, mon père trempait dans des affaires un peu louches. Il se gardait bien de nous en parler, mais je savais fouiner. Bref, lorsqu'il à annoncé à Igor que c'en était fini pour lui, celui-ci l'a trés mal pris, et BANG BANG. J'ai fini par retrouver ce fils de p*te, ce bât*rd immonde, et j'aurais aimé lui coller une balle entre les deux yeux, mais.. Je n'avais que dix-huit ans, et j'étais seule. Naïve, face aux six armoires à glace chargées d'assurer sa sécurité, je n'avais aucune chance, et je suis sortie assez amochée de cette entrevue. Ma plus grande honte, c'est d'avoir pensé réussir, de m'être surestimée, et de ne pas avoir été capable. Mais un jour viendra..
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
« L'enfer c'est les autres » a dit Sartre. Pour moi, l'enfer, c'est Igor Nikolayev. Tant que cet homme sera vivant, je ne pourrait pas dormir sur mes deux oreilles. Tant que cet homme sera vivant, je ne serait en sécurité nulle part. Tant que cet homme sera vivant, je n'aurai pas la conscience tranquille, et je me torturerai l'esprit. Tant que cet homme sera vivant, New-York sera mon enfer.
▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Le paradis, ce serait un monde ou j'aurais touché à aucune drogue, un monde ou j'tremperait dans aucun trafic. Un monde ou mes études de médecine seraient une vocation, un but humanitaire, un soucis d'aider autrui. Un monde ou la petite Rowen ne se serait pas retrouvée orpheline à l'âge de dix ans. Un monde ou elle aurait pu garder son innocence et sa pureté. Un monde où je n'existerais pas telle que je suis.
▬ Point faible du personnage ;
Mon point faible, c'est ma dépendance. Lorsque j'ai eu quinze ans, j'ai voulu essayé des drogues, pour me sentir plus grande, pour rigoler, pour le délire. Bref vous l'aurez compris, j'ai voulu essayer en prenant la chose à la rigolade. J'ai prisé de la coke, une fois, deux fois, trois fois, et chaque fois, la dose était un peu plus forte. Puis peu à peu, je m'y suis accoutumée, et j'ai essayé d'autres choses. Et je suis devenue dépendante à toutes ces m*rdes. Mon point faible ? Je ne tiens pas plus d'une journée sans prendre une dose de quoique ce soit. Et moins c'est fort, moins je tiens.
▬ Point fort du personnage ;
Ma détermination et ma volonté. On m'a toujours dit que 'quand on veut on peut'. Et j'ai beau avoir un côté très instable (sans doute du à la drogue) je suis une fille déterminée. Si je souhaite quelque chose, je l'obtiens, par tous les moyens. Je sais me faire discrète, comme attirer l'attention, il ne me faut pas grand chose pour arriver à mes fins, sinon un plan.
▬ Casier judiciaire ;
Trafic de drogue {officieux}. Trafic d'armements {officieux}. Meurtres {officieux}. Vols {officieux}. Dégradation de biens publiques {officieux}. Possession de produits illicites {prouvé – 1220$}. Détention d'armes illégales {prouvé – 2 mois fermes}. Meurtre considéré comme légitime défense {prouvé – acquittée}.
Behind the screen...
▬ Prénom ou pseudo ; Julien ▬ Âge ; 20 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; J'étais déjà tombé dessus plusieurs fois via le Top-50 d'obsession, et j'ai jamais sauté le pas, de m'inscrire. Puis avec un membre d'un autre forum, qui a déjà été ici (Clyde Jock Ridgway) on discutait, et j'ai finalement décidé de m'inscrire. ▬ Connexion ;(Mettez-vous une note sur 7) 5/7 ▬ Code du règlement ;
Spoiler:
Ok par Eva
▬ Avez vous signé le règlement ; [x]OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ;
Spoiler:
Tu ne sais pas ce que tu fais là. La nuit, loin de t'avoir porté conseil, t'as troublée, et tu cherches toujours cette réponse. Cette réponse à la question que tu te poses depuis longtemps. Et si? Et si... Ces deux petits mots te font tourner et retourner encore et toujours dans ton esprit les événements de cette nuit-là. Tu transgressais une règle essentielle du règlement pour la première fois. Peu avant toi l'avait enfreinte. Et il s'est passé quelque chose que tu aurait dut prévoir. Tu le savais déjà depuis longtemps. Les hommes sont indignes de confiance, et ce n'est pas parce que celui-ci faisait battre ton coeur un peu plus vite, que tu devais baisser la garde. Tu t'es laissée troubler, et avoir, sottement. Tu aurais du rester toi-même. Une guerrière fière et forte, à l'écoute des esprits. Les hommes sont vils et néfastes. Tu le savais, celui-ci, avait beau avoir l'air plus doux, plus attentif, il avait beau l'air d'être une exception, tu t'es faite bernée, et jusque au bout. Bref!
Tu cherches des herbes. Tu n'es pas la pour ruminer sur ton sort. Et tu sais qu'ici dans ces marres de boues ou d'eau à l'odeur nauséabonde, tu pourrais trouver exactement celle que tu veux. Tu fais quelques pas supplémentaires, observe une feuille, une autre, et tu finis par trouver celle que tu voulais. Tu vas pouvoir rentrer chez toi. Chez toi... façon de parler. Depuis tes douze ans, tu es coincée sur cette île, prenant soin de tes soeurs orphelines, prenant soin de ceux qui étaient là avec toi. Tu as passé tes dernières années à te préoccuper d'elles et à les aider, quand elles en avaient besoin, t'oubliant parfois toi-même. Tu aurais peut-être eu besoin de plus d'attention aussi... En te montrant la plus vieille ainsi que la plus forte, tu as outrepassé tes propres sentiments, ton propre confort, ta propre faim, pour te consacrer à ceux des autres. Et tu te sens seule, comme souvent.
Tu pousses un soupir... La journée va être longue pour toi. Une fois encore tu es partie en quête de quelque chose dont tes soeurs pourraient avoir besoin, sans te demander à toi-même si tu en avais la force, le courage, l'envie, le temps, la nécessité immédiate.. Rien. Tes soeurs ont besoin de quelque chose, tu cours le leur chercher... Alors que la plupart sont désormais de jeunes adultes. A vrai, dire... A part, Lily, toutes sont adultes. Elles savent toutes reconnaître des plantes, et venir les chercher si elles en ont besoin... Alors tu lâches ce que tu venais de ramasser, et avances sinistrement dans ces marécages, songeant à ta position ces quinze dernières années, et ce qu'elle impliquait. Maintenant que toutes sont adultes, tu as beau être la plus âgée, tu n'es plus obligée d'être leur mère. Sauf pour la petite Lily, que tu as toujours sous ton aile, et que tu es contente d'avoir récupérée après qu'elle ait été capturée.
▬ Célébrité sur l'avatar ; Tegan Quin ▬ Multicompte(s) ; Non. ▬ Un dernier truc à dire ? ; Vivement la validation x)
Dernière édition par Rowen E. Vodyakov le Mer 5 Juin - 21:17, édité 9 fois
Invité
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Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Mer 29 Mai - 22:40
Once upon a time...
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; ▬ Histoire ;
C'était en 1988. Ari Vodyakov était un jeune homme de vingt-neuf ans, lorsqu'il revint en France pour la première fois depuis dix ans. Il y avait déjà été pour sa première année d'étude. Il était alors étudiant de première année d'histoire à la Sorbonne, un étudiant d'Erasmus parmi tant d'autres. Il revint, donc, à Paris, une ville qui lui avait beaucoup plu, et dans laquelle il avait passé d'excellents moments. Il savait qu'en arrivant là-bas, il pourrait contacter quelques anciens amis français, et logeait d'ailleurs chez l'un d'eux, un certain Nans Fontereyne, une jeune français issu d'un milieu bourgeois, mais qui loin d'être coincé était la joie de vivre incarnée. C'est lors d'une soirée chez Nans, au cours de cet été 1988, que Ari rencontra Gwendoline Lequérec-Bars, une étudiante de 24 ans logée à deux rues de chez Nans, dans une chambre de bonne de sept mètres carrés, qui passait sa vie entière à fuir cet endroit exigu. Des deux mois ou Ari resta en France, ils ne se quittèrent plus. Puis Ari du repartir. Mais ils s'écrirent, lettres après lettres. Une par jour pendant six mois, et il revint s'installer en France en Février 1988. Il prirent un appartement minuscule qui leur suffisait, ils vivaient surtout d'amour et d'eau fraîche. Au bout de quelques mois seulement, Gwendoline énonça son désir d'avoir un enfant, Ari, fou d'amour pour elle ne refusa pas. Après trois fausses couches successives, Ari et Gwendoline consultèrent un médecin. Et finalement, au début de l'été 1991, naquit une petite fille. Moi.
un éclat de rire, vient consoler tristesse Comme un souffle avenir, vient raviver les braises Comme un parfum de soufre, qui fait naître la flamme Jeunesse lève-toi.
Je suis née le 27 juin 1991 à Montreuil, dans la banlieue parisienne. Mes parents avaient trouvé un appartement avec une deuxième chambre. Mon père avait trouvé du travail dans la 'finance' -oui oui, avec un master en histoire- qui lui rapportait gros. En fait, dans cette branche de la finance, peut importaient réellement les études. Il suffisait d'avoir de gros bras et un peu de plomb dans la cervelle pour s'en sortir. Ca pour s'en sortir, il s'en sorti. J'avais à peine trois ans, lorsque que son boss lui demanda d'emménager aux Etats-Unis afin de faire fleurir leur commerce de l'autre côté de l'atlantique. Mon père accepta, et nous partîmes pour New-York.
Now you're in New York These streets will make you feel brand new Big lights will inspire you Hear it from New York, New York, New York !
Je ne me souviens pas de grand chose avant mes sept ans. Qui se souvient de grand chose, après tout ? Quelques images, une odeur, un son, mais rien de plus. Des amis et des photos, ils sont les souvenirs de notre enfance qui vivent près de nous. Je me souviens que l'année de mes six ans nous avons déménagé. Nous avons quitté la maison bleue pour arriver dans un immeuble. Mais je ne pourrais pas vous donner l'adresse de cette villa non plus que celle de l'appartement ou nous avons emménagé. Je me souviens de l'école à cette époque là de ma vie aussi.. Bref, rien de vraiment très passionnant. Je m'étais prise d'affection pour un jeune chat de gouttière avec la peau sur les os, qui avait fait pitié à ma mère qui avait accepté de l'adopter, me jurant que c'était la première et la dernière fois ! Je l'avais appelé Frixor, et c'était mon meilleur ami. Je lui racontais toutes mes misères, tous mes petits secrets, comme les fois ou j'allais jouer à la grande dans le bureau de papa et que je lisais ses papiers sans bien comprendre. Et puis... trois ans plus tard, mon père devait travailler toute la journée et ma mère était en réunion au bureau. C'était un jour ou je n'avais pas école, alors mon 'oncle' -un très bon ami de mes parents- me gardait chez lui. Ce jour-là, il m'avait emmenée faire le tour d'un parc d'attractions. J'étais contente, ça oui ! Mais je ne me doutais pas de ce que je trouverais en rentrant chez. La plus grosse surprise de toute ma vie. BANG BANG !
Bang bang, he shot me down Bang bang, I hit the ground Bang bang, that awful sound Bang bang, my baby shot me down.
L'ascenseur était arrivé à mon étage, toute éxitée à l'idée de montrer mon dauphin-ballon à mes parents, je tirais sur le bras de mon oncle. Quand nous arrivâmes devant la porte, celui-ci tira d'un coup sec sur mon bras, ce qui provoqua la réaction qu'il attendait, je me tus, et me tournai vers lui. Il me fit signe de ne pas faire de bruit et d'aller me cacher. Il poussa la porte entrouverte, et avança de quelques pas. Ne tenant plus à attendre toute seule dans le couloir alors que mes parents m'attendaient, je le suivis, et... sur le sol du salon, deux corps ensanglantés gisaient aux pieds de mon oncle qui les fixait l'air incrédule. - Maman ? Papa ?! Silence.. rien... - Oncle Steve ? Ils sont... morts ? Steve ne me regardait pas. Les yeux rouges de ne plus se fermer, secs et grand ouverts... Il fini par se tourner vers moi et me demander d'aller jouer dans ma chambre, pendant qu'il s'occupait de ça. Un quart d'heure plus tard, la police débarquait à mon domicile, et examinait les lieux, tout jusqu'au moindre recoin de l'appartement fut fouillé. La conclusion fut : règlement de compte d'un gang quelconque. La routine. Ils n'avaient rien trouvé concernant le 'travail' de mon père, mais les trois balles ne trompaient pas. Deux dans le cœur une dans la tête. Exécution sommaire. Connaissant les risques du métier de mon père, ma mère et lui avaient laissé au notaire un testament qui me léguait tous leurs biens et toute leur fortune que je ne pourrais toucher qu'à partir de mes dix-huit ans, âge de la majorité en France, et désignant Steve comme mon tuteur. Celui-ci ne se fit pas prier. Et m'accueillit chez lui dans le Bronx, à bras ouverts.
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts ? Ne vois-tu pas le ciel à portée des doigts ?
Là-bas, j'y ai apprit des choses que mon père aurait refuser de me montrer. Steve m'a laissé m'inscrire dans des cours de boxe. Et il m'a apprit comment bloquer des coups, petit à petit. Plus je grandissais, plus j'en apprenais. Tous les soirs, nous avions nos séances d'entraînement. Cette pratique s'était instaurée d'elle-même petit à petit. Je souhaitais lui montrer ce que j'avais appris, et lui me complétait tout ça. Puis nous avions fini par essayer de nous battre vraiment -du moins, pour moi-. Steve m'avait fait comprendre dès la mort de mes parents, qu'il allait falloir que je grandisse très vite. Parce que je vivais dans un monde ou la fantaisie m'avait été permise à tord. Désormais elle n'avait plus sa place. Mes parents étaient morts parce que mon père était un trafiquant d'armes, de drogues, et un proxénète. Du moins, pas lui directement, mais son patron. Mon père, Ari, ne s'occupait réellement que des exécutions pour ce type-là. Bref, j'avais dix ans, et je savais la vérité, c'était en partie la raison pour laquelle j'avais voulue apprendre des sports de combat. Steve loin de protester m'avait encouragée, lui aussi faisait partie de ce monde, et il savait que je finirais par y entrer. Il me connaissait assez pour savoir que j'avais la rancune tenace et que je refuserais de laisser le crime de mes parents impuni. Même du haut de mes sept ans. Je voulais devenir une tueuse, pour tuer Igor, et venger mes parents.
Growing up, growing up, Looking for a place to live My ghost likes to travel so far in the unknown My ghost likes to travel so deep into your space
A quinze ans, j'ai essayé mes premières drogues, juste pour le fun. Puis j'ai réessayé encore et encore, et maintenant je suis dépendante. Mais entre temps, il s'est passé pas mal de choses. Jusqu'à mes dix-huit ans, j'ai eu une adolescence à peu près normale. J'étais un peu paranoïaque. J'avais peur, peur que Igor n'essaye de me retrouver, et je regardais sans arrêt par dessus mon épaule. Ne supportais aucun contact physique avec une autre personne. Parfois, il arrivait que quelqu'un me tape sur l'épaule dans un supermarché, parce que j'avais fait tombé mes clefs, et que cette personne se retrouve directement en clef de bras... Après quoi, présentant mes plus plates excuses, je m'en allais la tête basse, humble et navrée pour cette personne qui n'avais absolument rien demandé. J'avais seize ans quand j'ai été attrapée avec de la coke sur moi, pour la première fois. Steve s'acquitta de la caution, et me signala, que j'aurais à lui rembourser ce genre de conneries. Il avait toujours été clair qu'il payait tout ce qui touchait à mon éducation et à mon bien être, mais qu'il ne voulait pas cautionner les conneries que je pouvais bien faire, et encore moins celles qui me rapprochaient de la cause de la mort de mon père.
I don’t care if you don’t mind I’ll be there not far behind I will dare keep in mind I’ll be there for you
J'ai eu mon premier tatouage la même année, sur l'avant bras gauche. Mon piercing à la lèvre inférieure peu après. Puis mes dix-huit ans arrivèrent bien assez tôt, j'étais déjà embrigadée dans une sorte de mini trafic de drogue. Comme je commençais déjà à être dépendante, j'achetais de grosses quantités, recoupait une partie avec diverses choses qui passaient inaperçues, et revendais ça plus cher que je ne l'avais touché. Parfois, pour acheter encore moins cher, je partageais les frais avec des collègues à moi. Scott majeur et vacciné -quoique...-, nous avait obtenu une arme à chacun (Danny, lui et moi-même). Et une fois de plus, ma dégaine de droguée attirant l'oeil, je fus arrêtée par les flics et conduite au poste quand ils eurent trouvé mon revolver. J'étais dépitée. Je ne l'avais pas depuis une semaine que déjà, j'étais contrôlée, arrêtée, embarquée... Cette fois-ci, une caution ne suffit pas. Je fus jugée par un tribunal pour mineurs et condamnée à deux mois de prison pour mineurs. Cette fois-là, c'était vraiment pas de chance. C'est un épisode de ma vie que je garderais sous silence tellement il est douloureux, et encore empreint en moi. Un jour, peut-être je serai capable de vous en parler. J'avais encore dix-huit ans, quand je sortis et Steve m'emmena dans une banque ou il fit ouvrir un coffre fort. A l'intérieur, les objets de valeur et importants de mes parents. Leur argent se trouvant sur un compte sécurisé. Parmi les différents objets, quelques archives de mon père, des bijoux de ma mère. Notamment cette salamandre en argent incrustée d'émeraudes qu'elle portait souvent. Je la passai autour de mon cou, et me jurai de ne jamais m'en séparer. Dans les document de mon père se trouvait l'adresse d'Igor. Huit ans après, je n'avais toujours pas oubliée, et j'avais toujours en travers de la gorge ce double meurtre du 10 octobre 2000. De trouver l'adresse officielle de Igor me rassura. Bientôt, j'en aurai fini avec la peur.
I'm not afraid, I'm not afraid To take a stand, We'll walk this world together through the storm Whatever weather, cold or warm.
Je n'avais aucun plan. Aucune idée de ce qui pourrait bien se produire lorsque je me présenterais devant lui. J'étais presque les mains dans les poches. J'avais seulement un couteau papillon, un nouveau revolver et un poing américain. J'ai débarqué dans ce bistrot d'un quartier mal famé du Bronx, un endroit ou il assurait une sorte de permanence pour tous ceux qui souhaitaient lui parler. Pour arriver jusqu'à lui, trois barrages de sécurité. Je les ai passés. Mon revolver fut confisqué au premier barrage. Mon poing américain au deuxième. Et au troisième, fouille au corps. J'ai passé tout ça sans broncher, déclinant mon identité, sans essayer de me cacher. Ma première réaction lorsque je le vis fut... dégoût. Je ressentis un dégoût immense pour cet homme que je n'avais jamais vu, et mon bras parti sans que je cherche à le retenir, et il reçu un coup de poing dans le nez. Immédiatement, deux de ses gardes du corps me saisirent, et j'eus beau me débattre, rien à faire. J'entendis seulement : « Passez à cette petite l'envie de venger ses parents... » Ils ont bien essayé, mais mon envie de vengeance était tenace. J'avais deux côtes cassées, l'épaule droite déboîtée, un coquard, une dent cassée, la pommette en feu, et des hématomes partout. J'ai bien du passer deux heures roulée en boule dans le caniveau derrière le bistrot à essayer de passer au dessus de ma souffrance physique et de la honte que j'avais ressentis. Puis, j'ai appelé Danny et Scott qui m'ont à demi portée jusqu'à chez Steve. Et j'ai cuvé ma douleur dans la froide solitude de ma chambre, avec les reproches de Steve qui passait régulièrement s'enquérir de mes blessures. Jusqu'alors, j'avais été orgueilleuse, et avais souvent présumé de mes forces, me retrouvant dans des situations pas possibles. Désormais, je connaissais ma leçon. La vengeance est un plat qui se mange froid. Un jour mes parents seraient vengés, mais en attendant, je devais faire preuve de prudence, et non d'orgueil.
Look at me, look at you, Take my revenge that's what I'm gonna do, I'm a warrior baby, what else is new, And my blade's gonna tear through you
Dès lors, j'ai su que j'aurais besoin de puissance et d'alliés. J'ai alors deux ans plus tard, je rejoignis le gang rival de celui d'Igor. Des italiens. Je suis donc rentrée dans le trafic de drogue et d'armes. Je suis aussi entrée à NYU, en médecine. Je n'avais aucunement l'intention de faire médecin et de sauver des vies. Ma seule motivation était d'assez bien connaître le corps humain pour savoir quelles blessures infliger à Igor, pour le faire souffrir longtemps et le torturer de plaies béantes et sanglantes, sans le tuer encore. Je souhaitais voir sa vie se terminer dans une lente agonie. Mais après deux première années, on m'a dit que j'étais bien gentille, mais que dans leur intérêt et surtout dans celui de leurs statistiques, il était préférable que je m'en aille, deux années d'échec ne leur avaient pas plu, alors... Il m'ont demandé de partir. J'avais presque vingt et un ans, lorsque j'ai tué un homme pour la première fois. C'était un ordre d'exécution. Un client qui n'avait pas payé ses dettes, et qui avait fait preuve d'insolence. La sentence était la mort. J'étais accompagnée par Léo, plus vieux que moi, son premier meurtre commençait à dater, et il était chargé de terminer le boulot si je m'en montrais incapable, j'ai bien compris que si je n'en étais pas capable, je serais la prochaine victime sur la liste. Alors j'ai obéi. J'ai tué le client d'une balle dans la tête et deux dans le cœur, comme on m'avait montré, comme on avait tué mes parents. Celà faisait environ six mois que j'avais rejoins la mafia italienne, et déjà du sang commençait à couler sur mes mains. Déjà je sus, que ce ne serait pas la dernière fois.
You know that I will soon take my gun. My gun to shoot him down. Someone please call 911, I'm about to shoot him, to shoot him down, down.
Puis j'ai atteint ma majorité. J'ai prit un petit appartement dans le Bronx, pas très loin de celui de Steve. Ma vie n'était pas passionnante, pleine d'embûches. Quand on travaille dans le trafic de drogue ou d'armement, rien n'est vraiment tranquille. Je bossais plus ou moins pour le père de Danny, qui tenait un bar. Parfois je me pointais, passais la soirée en tant que serveuse, et repartais avec un peu d'argent. Une nuit, j'entendis du bruit. Je me levai et sortis de ma chambre. Quelqu'un était en train de forcer ma serrure. C'était soit un cambrioleur, soit quelqu'un qui venait pour me tuer. Danny ou Scott m'auraient appelé avant de venir et n'auraient pas forcé ma serrure. Quand à Steve, il avait un double des clefs. Je suis donc allée dans ma cuisine, et j'ai pris ce que j'ai pu trouver pour me défendre. Je n'avais aucunement l'intention d'utiliser une arme à feu pour laquelle je n'avais aucun permis chez moi. J'ai empoigné deux couteaux. Un gros et un petit. Et j'ai attendu que l'inconnu ouvre la porte, me cachant derrière J'ai entendu le clic dans ma serrure, et la porte s'entrouvrit. La première chose que je vis, fut le canon d'un revolver. Un coup de genoux dans la porte, et l'arme tomba, laissant résonner un coup de feu dans tout l'immeuble. Un coup de pied et elle glissa à l'autre bout de mon appartement. La porte s'ouvrit, et fracassa mon mur, ou le crépi tomba. L'homme entra, et sorti un deuxième flingue, et un couteau. Lança ce dernier alors que je me baissais pour me cacher derrière le plan de travail de la cuisine. Puis un deuxième coup de feu, retentit. Derrière moi, des verres éclatèrent projetant des éclats aux quatre coins de l'appartement. C'était malin, j'étais pieds nus. Tant pis. Je me levai, et lançai dans un même geste, mon petit couteau en direction de l'homme en noir. Mais manquai ma cible. Je me suis cachée de nouveau, tendant l'oreille au moindre son. Mais rien, le silence régnait. Recroquevillée j'attendais dans l'angoisse que l'homme fasse du bruit afin de le repérer et de le tuer. Puis... Surprise, il tourna à l'angle pointant son flingue, à peine le temps de me lever, que le coup parti et me toucha à la cheville. Je bondis sur lui pour l'empêcher d'utiliser à nouveau son revolver, et celui-ci tomba. Il me restait un couteau, qui se tourna vers lui, puis vers moi, et finalement, vers lui, alors que je lui faisais tomber un paquet de farine ouvert dessus pour l'aveugler. Et la lame s'enfonça dans sa gorge. Le sang me gicla à la figure, et la résistance de l'homme se fit de moins en moins faible, et il fini par s'écrouler au sol. Je me laissai glisser le long de mon mur, pantelante, exténuée, et j'entendis au loin la sirène des flics. J'étais en état de choc. Ce n'était que la deuxième vie que je prenais. Et j'avais l'impression que je ne m'y habituerais jamais.
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts A la mémoire de ceux qui sont tombés pour toi ?
Deux minutes plus tard, ils se pointèrent devant ma porte, armes dégainées. Il me pointèrent un lampe torche sur le visage et me demandèrent de me lever, mains en l'air. J'obtempérais, tremblante, choquée, j'avais envie de vomir, j'avais du mal à fermer les yeux sans voir son visage dans ses derniers instants. Ils m'énoncèrent mes droits et me posèrent des questions. Oui je l'avais tué, non je ne le connaissais pas, oui je me suis simplement défendue. On me demanda de m'habiller rapidement, et je finis une fois de plus au poste, mais cette fois-ci, je n'étais pas totalement en tord. Une fois là-bas, j'appelai Steve pour le mettre au courant. Il arriva en un quart d'heure plus tard, la joue encore incrustée des plis des draps. Le mois suivant, je fus jugée, et acquittée pour légitime défense. Peu après, je me fis tatouer le deuxième avant bras.
Oh yes I was arrested Oh god how I protested They beat me with a board It hurt just like a sword
Depuis je mène toujours ma vie, je fais collection des cicatrices, et je me drogue toujours autant. J'ai déménagé après cette histoire, mais je n'ai pas changé de quartier. Cet hiver je suis allée en France pour prendre quelques semaines de vacances, et je suis toujours autant célibataire. Les relations stables ne me conviennent toujours pas. Je suis trop obsédée par mon envie de vengeance et par la drogue. Un jour, tout s'arrêtera, et je deviendrai peut-être quelqu'un de bien, abandonnant ma vie de l'ombre, qui sait. Pour l'instant, j'attends mon heure.
Dernière édition par Rowen E. Vodyakov le Mer 5 Juin - 0:14, édité 5 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Mer 29 Mai - 22:47
Bienvenue mam'zelle
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Mer 29 Mai - 23:06
Bienvenue et bon courage pour ta fiche, miss
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 0:24
Bienvenue parmi nous !
N'hésite pas à t'adresser au staff si tu as des questions, je te souhaite bon courage pour l'écriture de ta fiche.
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 1:21
Merci à vous trois (:
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 1:24
Tegan de Tegan et Sara ? Ah je connais pas trop mais j'aime bien leur reprise de Fool to cry, .
Bienvenue donc, .
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 1:30
C'est bien elle (: Et merci à toi!
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 2:11
Bienvenue et bon courage pour ta fiche
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 2:43
Merciii ! (:
Dernière édition par Rowen E. Vodyakov le Jeu 30 Mai - 15:05, édité 1 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 6:22
Bienvenue!
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 9:18
Bonjour et bienvenue sur le forum, bon courage pour ta fiche
Anja Malkovski
Reine des Glaces Gott weiss ich will kein Engel sein
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CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
Feuille de personnage ÂGE DU PERSONNAGE: 35 ans CASIER JUDICIAIRE: RANG DE CRIMINALITÉ: CRIMINEL
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 11:39
Bienvenue ici ! Bon courage pour ce qu'il te reste à écrire
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 13:41
Bienvenue !
On a quelques points communs toi et moi ... faudra qu'on se rencontre quand tu seras installée ...
Invité
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Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 14:41
Welcome on board!
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 22:06
Merci à tous ! (: Helena - Aucun problème, c'est quand tu veux (;
Je pense avoir terminé.
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 22:34
Très intéressant personnage.
Bienvenue à toi! Et bonne validation
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Jeu 30 Mai - 23:01
Merciii (:
Anja Malkovski
Reine des Glaces Gott weiss ich will kein Engel sein
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Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Ven 31 Mai - 10:30
Je m'occupe de lire ta fiche dans la matinée
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Dim 2 Juin - 20:29
Bonsoir Rowen,
Ce message pour t'informer qu'Anja ne dispose pour l'instant pas du net en week-end. Elle sera donc à nouveau disponible dès demain pour répondre à ta demande de validation et te faire part de ses remarques vis à vis de ta fiche. Nous te remercions de bien vouloir patienter jusque là et te souhaitons une bonne fin de week-end
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Lun 3 Juin - 0:18
Okay, merci de l'information, Cash, j'commençais à me poser des questions Pas de problème, je peux attendre encore un peu.
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Lun 3 Juin - 0:42
Bienvenue (en retard). Ta chanson pour ta fiche a faillit me faire chialer, merde. Je l'ai entendue toute la semaine dans le spectacle des classes théâtres que j'aidais. Bref, je m'étale pour rien.
A bientôt après ta validation.
Anja Malkovski
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Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Lun 3 Juin - 12:12
Me revoici, désolée pour l'attente !
Alors j'ai lu ta fiche et le parcours de ton personnage est un peu trop chargé pour une jeune femme de 23 ans, c'est un peu irréaliste. Faire des sports combats + être pirate informatique + faire partie d'une mafia + faire des études de médecine + être accro aux drogues... En fait, les choses, les unes séparément des autres, sont plausibles. Mais toutes accumulées ensemble, ça fait un peu too much Les études de médecine sont quand même vachement difficile, je la vois difficilement les faire et les réussir par simple loisir et dans l'unique but de connaître les points faibles du corps humain. Pire encore, elle ne peut pas réussir d'études aussi compliquées en étant accro aux drogues et en les interrompant par des séjours en prison qui nuiraient et à sa concentration et à son assiduité.
Je vais donc te demander de devoir faire un peu le tri et peut-être retirer quelques faits, par exemple en lisant ta fiche je n'ai pas eu l'impression que ça lui apportait grand chose, au final, d'avoir hacké des sites. Ca, tu peux peut-être le retirer ? Bref, il faudrait faire quelques choix et alléger un peu ce casier judiciaire trop lourd pour quelqu'un de 23 ans. Si elle sait déjà tout faire, même pour toi ça ne va pas être très drôle à jouer ^^
Profites-en pour te relire, il y a quelques fautes qui traînent par-ci par-là. Si tu as la moindre question n'hésite pas. Bon courage pour les corrections !
Invité
Invité
Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Mer 5 Juin - 0:22
Hey ! Pas de soucis, les problème d'internet, ça arrive à tout l'monde
J'ai tenu compte de tes remarques. J'ai enlevé la partie sur le piratage informatique, repoussé son entrée dans la mafia de quasiment deux ans, soulagé son casier judiciaire. J'ai gardé la boxe, la drogue, et la mafia. Ce qui est en effet plus plausible. Quand aux études de médecine, comme je tenais au fait que Rowen ait quelques bases, j'ai dit qu'elle avait échoué deux fois sa première année avant de se faire virer de la filière de médecine, et comme elle n'est pas intéressée par grand chose à part la drogue, elle ne se réinscrit pas, et s'investit un peu plus dans ses histoires de trafic. J'ai corrigé un maximum de fautes, j'espère qu'il n'y en a plus (;
Je pense du coup avoir corrigé tout ce que tu m'avais demandé, sans réellement modifier mon personnage, ce qui me permet de garder plus ou moins l'histoire telle qu'elle est, et de coller plus à la réalité, comme demandé.
J'espère que cette fois-ci sera la bonne
Alexander - Merci ! J'adooooore cette chanson, je la trouve épique ! J'viens de jeter un coup d'oeil à ta liste de lecture, que du bon
Anja Malkovski
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Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali Mer 5 Juin - 15:59
Je vais relire tout ça mais avant de pouvoir te valider, il faut que tu rajoutes l'exemple de RP, qui est obligatoire Je ne sais pas si tu l'avais mis ou pas lors de mon premier passage, je n'avais peut-être pas fait attention, quoiqu'il en soit il faudrait que tu le rajoutes ^^
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Sujet: Re: {TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali
{TERMINEE} ▬ « La drogue est le nomadisme de l'exclu. » Jacques Attali