|
| | [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Sam 26 Oct - 23:15 | |
Identity Card
Feat "Logan Wade LERMAN"© Mendax |
Ô toi terrien qui me consulte, je te vomis. Je vomis sur tes descendances, tes proches et tes désirs. Car de ta prétendue honorable bonne foi, tu cherches à me découvrir, toi qui dans l’horreur de vivre dans l’inculture me désobéirait tant je l’arguerai de ne pas me lire. Et puisses-tu jamais trouver le retour de ce que tu me dérobera dans les quelques mots que j’hurlerai silencieusement :
De naissance on m’affubla d’un large patronyme qui fut subitement oublié, car l’on décida qu’il ne colla guère à l’enfant que l’on voulait avoir. Crachez vos violons, il n’y eut pas de tristesse dans cela, car je n’avais point encore surgit de la matrice divine. On pensa d’abord mettre au monde une demoiselle, puis l’on découvrit mon pénis. Ainsi, les nombreux prénoms du genre opposé au mien qui avaient précédemment étaient espérés furent jetés aux ordures tandis qu’on décida de celui qui me serait légalement agrafé sur le crâne, Edmund. De nom je n’eus guère le choix que porta celui de mon Deus Pater, tandis que ma soumise de mère n’osa pas porter le sien après les épousailles ridicules qu’ils vécurent dans une vieille église dégueulasse. M’a-t-on dit, il faisait soleil ce jour-là, quel ironie quand on sut que l’un et l’autre de mes deux ''engendreurs'' ne s’aimaient pas. J’étais le fruit involontaire d’une mascarade putride ; et comme si le Sort le décida, je portais le nom de Kraft, ridicule jeu de mot sur la langue Shakespearienne en ce que j’avais été conçu pour un seul but. De surnom, je ne veux pas en avoir, car rien ne me plaît. Mon égo malsain m’urgerait d’implorer qu’on me dénomme par quelque sobriquet puant dont les gamins et les fillettes raffolent tant, Ego, cela me débecte. Clairement et simplement. Car grand jamais l’on ne peut se permettre de déshonorer un prénom plus fort qu’en le réduisant à néant pour le remplacer par une vieille interjection sale et grasse. Ainsi, je refuse d’insister sur l’idée d’être surnommé. Vade Retro. J’ai vingt-deux années de blasphèmes, d’immondes choses et d’une insatiable soif dans la débauche et les vices de la vie humaine.
Ma nationalité, aussi puéril et condescendante soit-elle est celle des États-Unis d’Amérique que je déteste adorer tant. Tandis qu’on dirait de mes origines qu’elles sont profondément ancrées dans les terres germaniques de l’Allemagne ou de l’Autriche, cela n’a guère d’importance à mes yeux car je n’ai jamais vraiment cherché à découvrir auquel des deux pays d’Europe mes ancêtres auraient pu appartenir. Pourquoi ? Car je ne suis pas mes aïeux, je suis quelqu’un, pas eux. Des études je n’ai guère nécessité d’en faire, car rien ne me plaît dans le monde. Cependant, car je refuserai certainement de me voir travailler dans un vieux restaurant insalubre couvert d’huile de cuisson ou d’autres saloperies redondantes je me force à suivre un cursus universitaire aussi déplaisant soit-il, dans les choses du théâtre. C’est déplaisant, long, ennuyeux et répétitif, mais au moins, j’évite le supplice d’une politique d’emploi consistant à sourire hypocritement et vomir des « bonjour, merci, au revoir » qui me ferait tout aussi mal que d’être scalpé de la tête aux pieds. L’amour n’a d’intérêt que pour ceux qui sont incapables d’apprécier leur propre personne, je chie sur les relations de couples et je crache au visage des amoureux. Le Célibat me convient parfaitement, car il n’a pas l’inconvénient d’un esprit que je ne puis pas contrôler ; la liberté m’appartient, je n’ai besoin de personne. Outre cela, je ne fais rien d’autre qu’être un pitoyable élève studieux.
Et j'aime les mâles.
|
Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
▬ Histoire ;
À l’aube d’un rien poussant sa sortie, Expulsé comme un vieux déchet ; je suis sorti d’Elle.
Voilà, je suis venu au monde. Rien d’intéressant, ne vous attendez pas à ce qu’on y trouve un long résumé des souffrances de ma mère, ses contorsions pour me chier, ni de la présence ou de l’absence de mon père, s’il tenait la main de ma mère, s’il était distant, ou quoi que ce soit. Pourquoi n’est-ce pas décrit ? Car l’intérêt y est absent. Si vous vous attendiez à voir des longs récits sur la tristesse d’avoir un père trop absent, ou sur les joies d’un père trop présent, vous vous êtes présentés à la mauvaise porte. Rien de tout ça ne vaut la peine d’être raconté. D’autant plus que je risquerais de ne pas m’en souvenir, aussi peu humain sois-je.
Quand je suis né, j’ai gueulé. Quand j’ai gueulé, on a souri. On était heureux de m’entendre m’étouffer dans mes poumons. Tenu par un pied, tendu en l’air comme un veau sur un pic.
Comme un rat mort qu’on tendait à l’animal pour qu’il lui arrache la tête et le dévore, je rejoignis les bras poilus et sales de mon père lorsqu’on me tendit à lui, moi nu. Les poings serrés et le corps encore gluant des entrailles de ma mère, je ronflais déjà. Fatigué après avoir crié à m’en époumoner. Tordus entre ses bras, écrasés contre sa poitrine sans mamelles, moi affamé, il me regardait en souriant. Tss, comme s’il avait jamais su sourire. Ses dents jaunes et cariées dans le fond me dévisageaient tandis que j’étais endormi entre lui. Le cordon toujours pendant entre mes jambes, attendant d’être découpé ; scellant mon appartenance à la Vie. Il me regardait et je sentais qu’il se retenait de verser d’immondes larmes de fierté. À quoi bon être fier de mettre au monde ? Tu enfantes dans la pourriture et la débauche, crétin ! Pourquoi serais-tu heureux de savoir que ton enfant grandirait dans les erreurs de l'humanité ?
Crétin.
Heureux de m'avoir condamné à l'horreur d'être, il me déposa entre les bras imberbes et lumineux de ma mère, ses cheveux brûlants de rousseur étaient tâchés par la sueur de l'effort qu'elle produisit pour me chier. Elle ne pleurait pas, elle, heureusement. Elle était juste contente d'en avoir fini avec la souffrance des contractions que je lui infligeais. Elle insérait son index entre mon poing droit, le secouant et marmonnant la voix pleine d'espoir un simple « Coucou Edmund. »
Ridicule.
Elle aussi parfaitement apaisée de me voir dormir nu comme une dinde qu’on s’apprête à fourrer, je puais les substances de son intérieur si fort que c’en était détestable, je suppose. Mais cette conne, si habituée à sa propre odeur ne semblait pas gênée le moins du monde. Ce qui n’était pas le cas de mon paternel, qui pourtant s’était déjà amusé à en goûter quelques extrémités. Les deux parents heureux et l’enfant unique vomi quelques minutes plus tôt furent enfin réunis. Joie et allégresse.
Et alors quoi ? Rien. J’ai été élevé. Simplement et comme tout le monde.
Pas grand chose d'alarmant, l'habituel fils unique qu'on dorlote, qu'on trimballe un peu partout dans sa poussette brillante, le bébé qu'on présente à tous ses voisins, comme un trophée. Pour dire « Regardez ! Moi, j'ai réussi. J'ai poursuivi l'American Dream » Ce que n’importe qui ferait, en fait. Une fois qu’on a pondu son morveux, on est content de le montrer, c’est un haut-fait ! — Et gardons bien que je n’étais peut-être pas si mauvais que cela — En tout cas ; ils étaient heureux de moi. Et ça, on ne peut le leur blâmer. Si, on peut. L’abusive figure paternelle qui brillait en extérieur était iridescente de mensonge et d’un faux semblant bien plus putride que quoi que ce soit d’autres. Tandis que la soi-disant mère aimante, heureuse et forte n’était qu’une petite soumise sans grandes ambitions, tiens comme moi.
Et puis, j'ai grandi.
Et lorsque l'on grandit, on ouvre les yeux, et l'on cesse de s'embrumer dans les mensonges d'un âge révolu pathétique et pitoyable à la fois, on se lève, on marche, on parle, on hurle, on crie, on pleure, on rage, on grogne. On vit. Ô, j'ai vécu; j'ai vécu longtemps, pas assez pour que je n'en ai assez. Pas assez pour que j'en sois fatigué. Même si par pur plaisir il me viendrait à l'idée d'en finir, on me haïrait pour cela. Ainsi quand j’ai grandi, mais pas trop, sinon le fun s’en va ; j’ai grassement grandi, j’étais le petit gosse avec un large ventre plein de biscuits et d’autres saloperies. Oh vous savez bien, tout le monde connait ce genre de gosses, ceux qui du haut de leurs huit ans pensent que la vie est simple, heureuse et cætera. Bref, c’était la belle vie. Sans mentir, c’était simple, c’était facile, c’était agréable, parce que j’ignorais encore la réalité et la dureté des choses, j’étais jeune et naïf, jeune et insouciant. Les deux abrutis qui m’avaient mis au monde pour prétexter un amour indésirable me permettaient un très large panel de plaisir, puisqu’ils sortaient souvent, voir des amis, ou simplement pour aller se recueillir contre un bar ; j’étais libre. Je préparais moi-même mes repas, je m’envoyais me coucher, j’étais le boss.
Jusqu’à quinze ans.
Ne nous faisons pas de faux espoirs, il n’y eut pas de fêtes, pas d’amis invités, pas de cadeaux. Le silence d’ailleurs, c’est tout ce qu’il y avait. J’étais tout seul, assis devant cette table ronde, un chapeau en carton sur la tête, à regarder une assiette que j’avais remplie de restes froids de la veille. C’est ce jour-là d’ailleurs que je compris que le monde était pourri. Sauf moi. Du coup, je suis devenu une boule de haine, jusqu’au lendemain. Où pour l’une des très rares fois, le paternel vint me voir. Sauf qu’il fallait évidemment que ça cloche, n’est-ce pas ? Je pourrais vous faire une très courte version de ce qu’il s’est passé, mais je tiens fermement à ce que nous partagions une relation très serrée dans nos affaires.
Décadence.
Rien de bien grave, qu’on se le dise. En tout cas pas pour moi. L’homme m’emmena avec lui, dans son pavillon en bois, perché sur petite butte de terre cachée dans un bois. Bref, la cachette habituelle pour un chasseur. Et ça n’a aucun rapport. Ce qui a un rapport, c’est qu’il m’a emmené avec lui, pour chasser qu’il disait. « Devenir un homme » qu’il disait. Tss, « un homme » plutôt un monstre qu’autre chose. Ainsi, ce cher bon monsieur m’emmena à ses côtés, dans un bois, dans une cabane, à l’écart d’absolument tout, pour me viriliser, ah s’il savait. Il me tendit un fusil, me montra comment le démonter, le réassembler et le charger. Le reste, il ne me le montra pas. J’avais suffisamment vu de films pour le deviner, de toute façon. On pointe, on vise, on presse. Pan. Et boum, la cible est par terre, elle se vide tandis qu’on est heureux d’avoir vaincu. Et God Bless America. Il m’a donné une tape sur l’épaule, m’a souri, et m’a offert une bière que j’ai refusé. Et puis, nous sommes rentrés à la maison. Ça, c’est ce que j’essaie de me convaincre depuis. La vérité, c’est que j’ai accepté ladite bière, et qu’on est sortis chasser ensuite. Quinze ans et complètement con, il m’a guidé. Armé d’un putain de fusil, et parce que je lui faisais confiance, il m’a fait tirer sur une silhouette que j’avais vu. Heureusement, (Pff, la bonne blague), je n’avais blessé aucune bête. Du moins pas sauvage… Quand on est allés voir par-dessus les buissons, j’ai failli vomir. Pourquoi ? Parce que j’avais descendu un randonneur. Et la chance du débutant fit qu’il fut touché en un endroit qui le tua sur le champ. Pendant un court instant, cependant, j’ai eu la nette impression que le paternel était fier de moi. Bizarre non ?
Et ce n’est pas le plus étrange. En fait, ce monstre me fit comprendre qu’on ne pouvait pas laisser le pauvre mort là, alors lui et moi l’avons trainé jusque dans le cabanon. Là-bas, je ne me souviens plus pourquoi, ni comment, mais il m’a convaincu de faire comme lui avec le mort. Il l’a ouvert en deux, avec une longue machette, après lui avoir brisée la cage thoracique, il en a arraché les organes jusqu’à parvenir au cœur. Et l’on devine bien la suite… Plus jamais on n’en a parlé, et plus jamais je ne suis allé chasser avec lui, puisque c’était sûrement ce gibier en particulier qui l’intéressait. Du coup, j'ai grandi en connaissant ce petit sombre secret qu'il avait. Les joies du Minnesota, tout simplement. A mes dix huit ans, ce cher monsieur fut foutu en cage. Et ma maternelle et moi furent « libérés de sa présence » ; dixit les agents de police. Le randonneur n'était pas la première victime des coups de mon géniteur, l'homme était un bon meurtrier, ceux que l'on met du temps à attraper, et ceux qui ont des apprentis. Je n'irai pas jusqu'à dire que ça m'a plus, mais un peu quand même.
Fin de l'adolescence, débuts de l'adulte.
J'ai quitté le Minnesota, j'ai emménagé à N-Y-C, et je suis étudiant dans une matière choisie par défaut pour laquelle je n'ai pas grand intérêt. Mais parce que je suis quelqu'un loin d'être idiot, je m'efforce tout de même d'être le meilleur dans ce domaine-là. Et cet effort certain me permet de toucher quelques aides financières, car je suis trop orgueilleux pour vouloir m'imaginer travailler.
Ma vie est fantastique. Presque autant que vous êtes minables. Wanna know more ? ▬ La plus grande honte du personnage ;
Phylactère aux penchants mutilateurs ; Ego est capable de supporter les malheurs, car Je les veux. Je baigne dans mon sang, car je suis masochiste. Je me nourris de la haine qu’on me voue. J’ai besoin d’être détesté, autant que vous auriez besoin d’être aimé, petits personnages fragiles. Je suis prétentieux par désir d’être haït. Plus on me fera souffrir, plus je l’apprécierai, piétinez-moi le cœur ! Allons, soyez courageux comme je suis lâche ! Osez me cracher dessus, m’insulter ! Frappez-moi peut-être, si cela vous défoule. Ma haine viscérale des Hommes continuera de croître. C’est malsain, c’est immonde, c’est répugnant. C’est la vie mon petit.
Porc suicidaire repus de sa propre rage.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
La peur, c’est pour les faibles. Dit-il, ce je. Peureux, lâche, faible et incapable d’être ; c’est ça qui est effrayant. Ne pouvoir rien faire pour ne plus être. Ne plus être, en fait. Ne plus exister. Mourir. Si Je devrais m’expliquer mes peurs, elles graviteraient autour du Grand Rien. Celui après qu’on se fasse enterrer comme une vieille honte. Une fois qu’on est emprisonnés dans ces vieux cercueils en bois vernis puants. Une fois qu’on a été habillé d’un très joli costume pour l’occasion. Comme si on allait rendre visite à quelqu’un d’important alors qu’il ne se passe rien d’autre que notre décomposition et notre service comme plat du jour aux quelques vers qui viendront à trouer nôtre cercueil.
Je ne veux pas mourir. ▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Je n’ai pas besoin d’un paradis. Pas plus que j’aurai eu besoin d’un Enfer, d’une foi, d’un Dieu et peut-être d’une vie. Rien ne me plaît, rien ne me plaira jamais. Enfermé dans l’Ouroboros de l’automutilation et autres joyeusetés émotionnelles, je suis un félon aux ambitions absentes. Rien ne m’a jamais satisfait, et peut-être que rien ne le fera un jour, qui sait ? Moi je le sais, je suis le seul maître de mon vrai moi. Peut-être est-ce intentionnel. Ce serait fâcheux, je ne veux pas rester comme cette vieille loque que je déglutis devant le miroir chaque matin, cette immondice à la pomme d’Adam et à la nuque parfois mal-rasée.
J’aimerai être heureux.
▬ Point faible du personnage ;
L’enfer c’est les autres, et les autres, c’est des porcs. Edmund, je, ne peut supporter la présence des autres, c’est une tare, une horreur. L’incommensurable et détestable présence des autres dans ton terrier, ceux qui gémissent, qui respirent ou qui vivent, s’ils sont là, c’est gênant. Je ne puis comprendre la véritable nécessité d’être entouré par des « amis » c’est détestable. C’est regrettable, car Je ne puis apprécier les choses de la vie me dit-on. Foutaises, que je réponds.
Indigné par l’existence depuis sa plus tendre création, je ne peux guère apprécier les choses qu’on dirait normale, elles n’ont pas d’intérêts, elles sont plates, redondantes et ennuyeuses. J’abhorre donc l’existence simple et désuète qu’on me force à vivre. Grand poète des grandes dépressions, je ne sais rien faire de mes dix doigts, je ne suis pas débrouillard, je ne suis pas plein d’espoirs et de rêves comme beaucoup le serait. La Vie me dégoûte, mais je m’y accroche, car je suis un lâche. J’ai peur. ▬ Point fort du personnage ;
Rêver ; c’est peut-être là le problème. Edmund, égo, n’est rien d’autre que ce qu’il prétend être. Pas de faux-semblants, rien qui soit injustement éprouvé, rien qui soit dissimulé. Rien de caché, rien d’oublié, rien d’oblitéré. Je, Edmund, n’est pas en mesure de mentir, c’est inutile. Je n’en ai pas besoin. Mentir, c’est le lot des crétins et des imbéciles qui aiment qu’on les aime. Je n’aime pas être aimé, pas plus que je hais être détesté. Si je suis, alors je suis. Je ne suis pas une hypothèse de personnage, ou un semblant d’être. Je suis un complet. Un déterminant, pas un adjectif qu’on peut modifier. J’existe car Je suis. Et Je suis car j’existe. Jamais n’oserais-je prétendre vous apprécier si ce n’est le cas, et l’inverse vaut d’autant plus car je déteste les êtres humains. Vagins sur pattes, ou Pénis rampants, ça ne changera rien ; je vous hais tous.
Je suis honnête.
▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.)
Je suis autant vierge des plaisirs charnels que je le suis de la Justice, C’est-à-dire absolument pas. Je n'en parlerai jamais, car nul ne sait, j'ai goûté au cannibalisme. Dira-t-on que je suis un monstre si j'ose prétendre avoir adoré mes nombreuses consommations de substances psychotropes ? Suis-je détestable pour avoir agressé et presque violé certaines jeunes filles et certains jeunes garçons ? Dira-t-on quel porc je suis quand on saura que je suis un voleur invétéré ? Et si l'on sait que j'ai vendu quelques fois mon propre corps sur les rues New-Yorkaises ? Ces genres de vols et de prostitution digne des plus grands, me sont communs, car je suis pauvre.
Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; ANTΩINE ▬ Âge ; 18 sacrilèges ▬ Où avez-vous connu le forum ; Somewheeeeere over da ranwbaaaw ▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) ?/7 ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
Validé, par Alexis ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
RPZ DOCTOR WHO
« Moi, Mendax.
Quelle arrogance, je me souviens d’un temps où elle n’existait pas. Je me souviens d’une très ancienne époque où je n’étais rien de tout ce que l’univers m’a fait devenir. Il existait un temps où je n’étais rien du monstrueux personnage que les habitants de la galaxie du Cafard dépeignent quand ils racontent les légendes à mon sujet. Je suis le croque-mitaine de leurs enfants, le diable de leurs croyants. Et le plus horrible dans toutes leurs histoires, c’est qu’ils savent que j’existe. Ils savent que je ne suis pas le fruit d’une imagination débordante, je suis réel. Comme j’envie ceux qui ne croient pas en moi. Comme j’envie ceux qui espèrent que je sois inventé de toute pièce. Si seulement. Ô si seulement je n’avais jamais existé, Moi, Mendax. De tous ces gens, je dois être celui qui éprouve la plus complète de toutes les aversions contre moi. Ils me décrivent comme une bête sanguinaire n’ayant nul pardon, pas la moindre compassion. Une bête. Je suis une bête à leurs yeux. Et je pense qu’ils ne se trompent pas en me voyant de la sorte. Il est vrai qu’on peut apprécier les moments de lucidité qui me traversent mais pourquoi devrait-on les élever plus haut que les malheurs que j’ai engendré ? Si l’on devait les rassembler, la pile de destruction réduirait à néant la portion agréable de mes trois millénaires. Trois millénaires… Je ne m’en suis jamais rendu compte. J’ai vécu si longtemps, et je n’ai épuisé que deux vies… Je dois être un sacré veinard. La plupart de mes congénères auraient déjà épuisés leur compteur. D’ailleurs, je me suis toujours interrogé sur cette façon qu’on avait de tricher sur notre destin ; vivre éternellement, quelle foutaise. Je n’ai jamais demandé à ce qu’on m’accorde tant de vie, tant de temps. J’aurais préféré vivre moins d’une centaine d’années plutôt que d’endurer tout ça. Des millénaires de vie, de fuite, de crimes et de cavale. Et la mort, bons dieux, la mort. Je l’ai enduré plus de fois que quiconque, pas seulement la mienne. Celle des autres. Ces quelques mortels qui ont croisés ma route… À quoi bon tenir ma promesse maintenant ? Ces âmes que j’ai côtoyées, ces gens que j’ai aimés, toutes ces personnes. Mortes… Ils ne sont plus que poussière, alors que moi, je continue de fuir dans l’espace, sans rien. Cette torture insoutenable doit cesser. Moi, Mendax, doit mourir. Et si ce n’est pas de la main des autres, ce sera de la mienne. Puisque je dois mourir quoiqu’il advienne… » Il cessa son écrit et leva les yeux sur l’écran lumineux de la baie médicale qui éclairait son visage couvert d’ombre et de larmes. Le bleu immobile de ses yeux plongés dans le rouge de ses prunelles humides fixait les battements de ses cœurs, il se sentait déjà défaillir avant l’heure. Reculant son dos, il s’affala dans son siège froid et se laissa songer pendant de longues minutes, tandis que son TARDIS était immobile, dans le cosmos bruyant de silence. Mendax ne sût que faire, revoyant mentalement toutes les années de sa vie. Pourtant, il se sentait étranger à son propre passé, il ne se voyait pas, il voyait le premier de lui-même, sa première incarnation, celle qui n’avait pas encore eu de titre… Celle qui n’était pas encore devenu le menteur. Peut-être était-cela que son titre signifiait vraiment ? Qu’il n’était plus le garçon qu’il fut à l’origine… Et au fur et à mesure qu’il continuait de se souvenir il ne se reconnaissait plus, il ne savait plus qui il avait été et se demandait s’il n’était pas en plein délire, s’il n’inventait pas une vie antérieure à celle-ci. Après tout, cela faisait plus d’un millénaire qu’il avait eu cette apparence, peut-être était-il devenu complètement fou, et s’était inventé un passé usurpé de seigneur du temps. Peut-être même n’en était-il pas un. Il s’éveilla de ses pensées et passa une main sur son front, essuyant la sueur venue avec ses pleurs. La main tremblante il sera le poing et s’enlaça du mieux qu’il put, pour se réconforter. La solitude le tuait. Étalé contre lui-même il éclata en sanglots, la respiration forte et saccadée, il gémissait des sons qu’il était incapable de changer en mots. Ses cœurs battaient à le tordre de douleur et ses membres l’incommodaient. Il ne remarqua pas que son corps se balançait d’avant en arrière, comme un nourrisson demandant qu’on l’aide, la bête meurtrière était retombée dans une enfance douloureuse en une fraction de secondes. D’un coup de poing il frappa la table métallique qui lui faisait face et gémissant de plus belle, ses pleurs ne cessant pas, il avait du mal à respirer tant sa propre détresse l’étouffait. « Trois mille ans » se répétait-il à n’en plus finir, son poing ensanglanté par le choc. Les coudes sur les genoux et les mains sur le front il cessa de pleurer quelques secondes, respirant trop fort, puis recommença. Il avait l’impression qu’il finirait ses jours ici, dans son vaisseau. Enfermé dans une muraille de solitude et sans aucune autre issue que la folie qui le guettait chaque jour plus en plus, son crâne le faisait souffrir, plus que d’habitude, il entendait les voix de chacun des compagnons qu’il avait amenés à la Mort. Les cris douloureux de certains, les pleurs d’autres, et même le silence de ceux qu’il avait lâchement abandonnés. Ses yeux se fermèrent, reprenant son souffle très lentement, son sanglot cessa. Ses membres paralysés par la peur, il ne pouvait même plus sentir l’extrémité de ses mains et de ses pieds, il resta immobile, dans la même position pendant un long moment.
Une fois qu’il s’en sentit capable, il releva la tête et ouvrit les yeux. Jetant un regard évasif sur l’écran qui continuait d’afficher sa condition mourante il dévia le regard sur cette lettre qu’il avait commencé à écrire. « À qui vas-tu l’envoyer de toute façon ? Ne sois pas stupide » pensa-t-il. Alors, d’un geste il la déchira en plusieurs morceaux. Puis, se redressant sur son siège, il releva le menton et serra la mâchoire. D’un bond, il se dirigea jusqu’à la console du TARDIS, le visage aggravé par la haine et le désir d’en finir il programma une série de coordonnés spatio-temporelles et son vaisseau se matérialisa dans une ville surpeuplée ; avant d’aller ouvrir les portes il s’empressa de dévaler les couloirs du vaisseau qui ne pris pas la peine de lui poser des énigmes ce jour-là. Fait bien rare, mais on peut supposer que le TARDIS avait déjà compris ce qu’avait entamé son pilote. S’enfonçant dans des pièces toutes plus diverses les unes que les autres, traversant une allée de portraits sans-visages, sautant entre des dalles gigantesques et rampant dans une forêt, Mendax s’arrêta finalement en face d’une minuscule porte. S’allongeant par terre, il gratta du bout de l’index le métal argenté et elle s’ouvrit, laissant un chat sortir calmement. Mendax attrapa l’animal dans ses bras et revint jusqu’à la console. « Cher passager, il est temps pour toi de me quitter. Lui adressa-t-il dans le coin de l’oreille. Tu as suffisamment vécu et moi aussi… » Il gratta le sommet de la tête de l’animal et s’approcha des portes du TARDIS, elles s’ouvrirent sans qu’il n’ait à les toucher et tandis qu’il vint déposer le chat devant l’horizon de cette ville où il avait découvert le seigneur du temps et son TARDIS pour la première fois, l’animal tourna la tête dans sa direction et sembla inquiet pendant un court instant. Le Mendax, lui, esquissait un des rares sourires qu’on lui connaissait trop peu. Une fois l’animal disparu dans son environnement propre le seigneur du temps s’adossa contre l’une des portes et regarda la vie humaine. Ses yeux anciens débordaient d’une ancienne nostalgie alors que ses lèvres immobiles reflétaient ce temps trop long à vivre. Les sourcils froncés il observa longtemps tous ces gens défilant sur cette grande allée couverte des deux côtés par de grandes constructions qui frôlaient les cieux. Un léger soupir traversa les lèvres de Mendax, il se surprit à sourire et tournant les talons il s’enfonça dans son TARDIS, le renvoyant dans l’espace. Plus silencieux et moins hyperactif autour de la console qu’à l’habitude, il contemplait les mécanismes en fonction, faisant glisser ses mains sur les extrémités de la machine, tournant autour d’elle et ne constatant rien d’autre que le vide complet de l’univers à travers les écrans. Se privant de toutes pensées il agissait mécaniquement, ne voulant plus entendre la douleur des anciens personnages qu’il avait connu et ne voulant pas plus que cela s’imaginer les cris de ceux qu’il finirait par tuer au fur et à mesure du reste de sa vie. Il se retourna, croyant entendre du bruit, mais ce n’était rien d’autre qu’à l’intérieur de sa tête se disait-il. Continuant sa routine mécanique, il se sentait plus calme. Comme libéré d’un fardeau, il avait l’impression que quelque chose de nouveau s’annonçait pour lui, maintenant qu’il avait fait le deuil de son passé. De ses anciennes vies et de ses anciens compagnons. Une pensée se détacha pour le peu de personnes qui l’avaient aimé en retour. Puis il repensa à ces gens qui le haïssaient. Pressant les derniers interrupteurs le Seigneur du Temps venait d’enclencher un long voyage dont il était certain de la fin. Son TARDIS voyagea longuement dans le Vortex Temporel jusqu’à ce qu’il atteigne la galaxie du Cafard, ce lieu où on le détestait tant. Immobile et sans circuit caméléon d’activé, le TARDIS aurait été à la merci de n’importe quel autre vaisseau de l’endroit, si Mendax n’enclencha pas un système dont son espèce avait le secret. Modifiant le décalage avec le temps de son vaisseau, le TARDIS devint totalement indétectable de tout autre vaisseau. Le Chronarch se pencha devant la console, les poings servant d’appuis, il baissa la tête et prit une grande inspiration. « Une dernière prière. » Marmonna-t-il quelques instants après. Il se dirigea par la suite jusqu’à une petite pièce hermétique du vaisseau aux murs d’un blanc éclatant. La pièce isolée servait autrefois à se restaurer des suites d’une régénération trop violente, Mendax lui, l’avait convertie en petit autel duquel il pouvait, dans les moments de grands doutes et d’incroyable souffrance se tourner vers sa foi. Ainsi, il s’agenouilla et ferma les yeux, priant toutes les divinités auxquelles il croyait. Ses pensées mobilisées par sa prière, il n’entendait plus les voix qui le tourmentaient depuis si longtemps. Le cœur allégé et l’esprit plus clair, il revint auprès de la console après quelques minutes à se répéter des paroles anciennes.
Désormais habité par le courage d’en finir, Mendax commanda à son TARDIS de se matérialiser dans la bonne position temporelle, redevenant visible aux capteurs des mondes à proximités, il fit descendre lentement son vaisseau dans l’atmosphère d’un monde désertique duquel on voyait s’illuminer de nombreuses colonies. Parce qu’il souhaitait protéger le vaisseau plus qu’il n’espérait se protéger, il s’immobilisa dans le désert montagneux. D’un pas vif et bref, il alla se vêtir en toute hâte d’une manière bien plus cérémonielle que l’étaient ces vêtements terriens. Il enfila une longue robe déchirée par-dessus un genre d’amure en métal blanchâtre fissurée et salie par le temps ; elle-même couverte par une autre robe déchirée. Resserrant finalement les gants en cuir qu’il avait ramassé sur une étagère, il s’avança devant les portes du TARDIS… Écrasé par ses émotions, il fit disparaître une larme aussi vite qu’elle était apparue et serra ses mains jointes dans son dos. La voix enrouée il marmonna avec difficulté à son TARDIS les derniers mots qu’il lui adresserait. « Une fois que je serais dehors, verrouille-toi, et ne t’ouvre que si je viens de te le demander… Mais n’y compte pas. Adieux… Tu m’as sauvée plus que tu ne le pense, merci. Mais j’ai trop vécu, et je ne suis plus désiré dans cet univers. Tu pourras retourner sur Gallifrey, si cela te plaît, mais je ne pense pas que je reviendrais. » Et à cet instant, le TARDIS sembla chercher à lui répondre, les moteurs grondèrent et sur les portes d’entrées se gravèrent les mots que la machine ne pouvait prononcer. « Je t’attendrais. » Mendax ne put s’empêcher de sourire. Il sortit du TARDIS et se couvrit la tête d’une capuche. Fixant l’horizon vide et inanimé… Ou presque. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Logan Wade Lerman ▬ Multicompte(s) ; Je suis vierge. ▬ Un dernier truc à dire ? ; « BLABLABLA » est convenable.
Dernière édition par Edmund Kraft le Mer 30 Oct - 0:16, édité 39 fois |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Sam 26 Oct - 23:40 | |
Oh, Edounanet Bienvenue sur le forum Pour toutes questions, n'hésite pas à t'adresser à un membre du staff Ton code règlement est bon, je vais le valider. Bonne continuation pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Sam 26 Oct - 23:48 | |
Bienvenue & Bon courage pour ta fiche ! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Dim 27 Oct - 2:32 | |
Haaaaaaaan Logan ! *envoie Ella, son DC, dans les bras* Zut, il est gay. Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche ! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Dim 27 Oct - 9:48 | |
Bienvenue et bon courage pour ce qu'il te reste à écrire |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Dim 27 Oct - 12:18 | |
Danke Schön tout le monde \o/ - Evalyn B. Winfield a écrit:
- Haaaaaaaan Logan ! *envoie Ella, son DC, dans les bras* Zut, il est gay.
Héhéhéhé, Edmund Kraft, briseur d'espoir féminin depuis 1992. |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Dim 27 Oct - 12:22 | |
Ça fait quand même du bien d'avoir un jeune par ici ! *attend pour un lien* (a) |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Dim 27 Oct - 12:25 | |
SYMPA ELLA on voit à quoi tient ton intérêt pour un homme! Non mais je rêve. *la laisse toute seule sur le toit en plein milieu de NY* Bienvenue à toi! Et bonne chance pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Dim 27 Oct - 12:29 | |
Va donc me répondre toi, plutôt que d'être jaloux (a)
*file vite pour ne plus faire de flood* |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
| Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Dim 27 Oct - 14:21 | |
Bienvenue à New-York ! Et bonne écriture pour ce qu'il te reste à faire |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Dim 27 Oct - 14:25 | |
|
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Dim 27 Oct - 14:56 | |
Logan Bienvenue mister |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Lun 28 Oct - 18:33 | |
|
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Lun 28 Oct - 21:26 | |
|
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mar 29 Oct - 21:02 | |
Danke danke schön alles. |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mar 29 Oct - 22:58 | |
Tu as bien terminé ta fiche ? Juste au cas où tu l'aurais mis dans le titre sans faire exprès |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mar 29 Oct - 23:00 | |
À moins d'en avoir oublié quelques morceaux, j'ai bien terminé, oui |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mar 29 Oct - 23:07 | |
Okay, je me charge de lire ta fiche |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mar 29 Oct - 23:38 | |
Et je suis de retour (pour te jouer un mauvais tour)Tout d'abord, le théâtre c'est génial. Okay ? Ensuite, deux petits détails Et de un : son père a été arrêté pour quelle raison ? Et de deux : Il est étudiant, mais il vit avec quoi ? Sa mère est riche ? Une bourse ? Il vit grâce à ses vols ? Autre ? À part ça, tout est correct ! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mar 29 Oct - 23:52 | |
Évidemment que le théâtre c'est génial ! Edmund est juste un peu cocon Quant à son padré, je me suis raté visiblement dans la subtilité, s'il a été arrêté c'est of course à cause de ce qu'il faisait dans son p'tit cabanon avec son fiston Et sa vie New-Yorkaise est des plus pourrie, c'est en partie pour ça qu'il s'est souvent prostitué et a volé, pour avoir de quoi payer 8D. Sinon, parce que même si ça lui déplaît, tant qu'à faire, autant réussir pour quitter ça le plus vite possible, du coup, là aussi j'ai foiré la subtilité x) Parce qu'il se force à être bon, il aurait eut des aides, ui. J'vais ajouter tout ça ? |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mer 30 Oct - 0:09 | |
Pour le père, c'était ce que je me disais, mais au cas je préférais poser la question. L'indiquer plus clairement dans l'histoire serait bien. Peut-être rajouter oui pour que ce soit plus clair, une ligne devrait suffire dans le casier, si tu veux, en disant qu'il fait ça pour avoir de l'argent si tu veux pas toucher plus à l'histoire. |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mer 30 Oct - 0:11 | |
J'ajoute ça tout de suite ! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mer 30 Oct - 0:16 | |
Okay, j'attends de voir ça |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mer 30 Oct - 0:19 | |
And c'est ajouté ! - Edmund Kraft a écrit:
- A mes dix huit ans, ce cher monsieur fut foutu en cage. Et ma maternelle et moi furent « libérés de sa présence » ; dixit les agents de police. Le randonneur n'était pas la première victime des coups de mon géniteur, l'homme était un bon meurtrier, ceux que l'on met du temps à attraper, et ceux qui ont des apprentis. Je n'irai pas jusqu'à dire que ça m'a plus, mais un peu quand même.
Fin de l'adolescence, débuts de l'adulte.
J'ai quitté le Minnesota, j'ai emménagé à N-Y-C, et je suis étudiant dans une matière choisie par défaut pour laquelle je n'ai pas grand intérêt. Mais parce que je suis quelqu'un loin d'être idiot, je m'efforce tout de même d'être le meilleur dans ce domaine-là. Et cet effort certain me permet de toucher quelques aides financières, car je suis trop orgueilleux pour vouloir m'imaginer travailler. - Edmund Kraft a écrit:
- Dira-t-on quel porc je suis quand on saura que je suis un voleur invétéré ? Et si l'on sait que j'ai vendu quelques fois mon propre corps sur les rues New-Yorkaises ? Ces genres de vols et de prostitution digne des plus grands, me sont communs, car je suis pauvre.
|
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée Mer 30 Oct - 0:22 | |
C'est nickel ! Je te valide. Un admin passera te mettra ton rang et ta couleur, sur ce, bon jeu, et fait attention à La Fatalité |
| | | | Sujet: Re: [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée | |
|
| | | | [TERMINÉE] Edmund Kraft — La Grande Demoiselle enflamée | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|