Evy ; Time ain't gonna cure you honey . Time don't give a shit - UC

Feat "Freja Beha"

(c) Fox
_« Evy Elizabeth Annabelle Graham »_

_____ This is who I am _____

Tu sais dans la vie à part les aiguilles et les problèmes, je n'ai pas grand chose. Je suis née dans une banlieue respectable de Denver, au Colorado dans l'année 1989. J'étais vouée à un bel avenir, de longues études et une vie stable. Il faut croire que tout celà n'était pas pour moi ; Je voulais bien plus, beaucoup trop. Voilà le résultat. J'ai quitté ma ville natal après l'obtention de mon diplome et tout va un peu plus mal chaque jours. Bien que Je me sois découvert une qualité depuis mon arrivée à New York : j'ai un don de persuation exacerbé. Plutot utile quand on vit aux crochets des gens qui nous entourent. Alors je m'accroche à eux pour éviter de sombrer, malheureusement mon influence se fait souvent plus forte que la leur et je les entraine à mes cotés vers le fond. Citoyenne déchet de la grosse pomme et libertine à plein temps, je ne suis pas bonne à cotoyer. Elizabeth Annabelle Graham ou Evy pour faire plus court, enchanté.

_____ Wanna know more ? _____

▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;

velvet underground - venus in furs ; Shiny, shiny, shiny boots of leather .. Pourquoi cette chanson ? D'une part parce qu'elle est sublime et que les Velvet Underground sont grandioses. On l'adore ou on la déteste, mais elle exprime bien la dépravation et la noirceur qui a pu régner dans ma vie. Encore aujourd'hui, je passe du rang d'esclave à celui de maitre, sans jamais m'en plaindre. Je finis même par me délecter de ces deux status et m'habituer à la règle essentiel qui régit ce monde : Nous ne sommes pas tous à égalité, c'est de la pure connerie. Si l'un est en haut, l'autre se retrouvera irrémédiablement en bas.

▬ La plus grande honte du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
BLABLABLA

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
BLABLABLA

▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
BLABLABLA

▬ Taux de criminalité et pourquoi ; (sur 100, immuable et explications. Soyons bien clairs, le taux de criminalité représente une sorte de casier judiciaire. Il se base donc sur des FAITS et non sur des suppositions. Ce n'est pas parce que votre personnage est un impulsif qu'il aurait 30 % de criminalité. Il faut les "mériter " ces %. Exemple de ce qui fait grimper les % : Agressions, vols, homicides, piratages, dégradations, manque de respect aux forces de l'ordre, casier judiciaire, détention de drogues etc etc etc ... De plus, ne feront grimper le pourcentage que les actions ayant une existence aux yeux des autorités. Se faire arrêter 4 fois ivre mort au volant vous vaudra donc un taux plus élever que d'avoir tuer 4 personnes sans jamais vous faire prendre.)
BLABLABLA

_____ Behind the screen ? A player ! _____

▬ Prénom ou pseudo ; BLABLABLA
▬ Âge ; BLABLABLA
▬ Où avez-vous connu le forum ; BLABLABLA
▬ Exemple de RP ;
Spoiler:

▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) BLABLABLA
▬ Code du règlement ;
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▬ Avez vous signé le règlement ; []OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement)
▬ Célébrité sur l'avatar ; BLABLABLA
▬ Multicompte(s) ; BLABLABLA
▬ Un dernier truc à dire ? ; BLABLABLA

Histoire ;

I don't know just where I'm going
But I'm gonna try for the kingdom, if I can
'Cause it makes me feel like I'm a man
When I put a spike into my vein
And I'll tell ya, things aren't quite the same

Aujourd'hui ; ..

Assise à même le sol face à une vieille table en fer forgé, elle s'agitait. Son visage marqué par le vice n'était éclairé que d'une unique lampe posée sur un bureau à proximité. Elle paraissait euphorique et appliquée à l'on ne sait quelle tâche. Par moment, son corps était parcouru d'un spasme de désir, incontrôlable tandis qu'un bruit, une lame martelait la table avec régularité et rapidité. Une mélodie lugubre résonnant en cette chambre dépouillée, au papier peint pourris et aux murs fissurés. Une porte claqua et un léger courant d'air s'engouffra dans la pièce ; Ses cheveux virevoltèrent une fraction de seconde, se mêlant à une fine poudre blanche. Elle se raidit . Les yeux écarquillés en direction de son travail gâché, de son or envolé. Ses traits imbibé de détresse face aux quelques grains de plaisirs perdu semblèrent amuser l'homme fautif qui en une parole la sortit de sa léthargie.

- Ton cas ne s'arrange pas gamine . Dit-il d'un ton désolé et réprobateur, alors qu'il posait sa veste en cuir sur le lit miteux à quelques mètres de la porte d'entrée. Evy tourna la tête en un mouvement saccadé, un regard emplis d'une profonde haine le suivant. A cet instant, sa rage était telle qu'elle aurait pu lui sauté à la gorge et le défigurer de ses ongles acérés.

- Ferme là , Imbécile ! Aboya t-elle. Sa silhouette maigrichonne et tremblante offrait un bien triste spectacle, une véritable déchéance. Sa délicate chevelure châtain avait été ramenées en une grossière queue de cheval, ses yeux noisettes étaient soulignés de grandes cernes mauves et son teint pâle rappelait étrangement les vieux films hollywoodien de vampire. Mais l'homme ne semblait pas s'en soucier. Il s'affrontèrent du regard un court instant, puis chacun se détourna de l'autre. Lui farfouillant dans les poches de sa veste ; elle se rapprochant de la table en agrippant au passage une paille qui y trainait. Un sourire enfantin s'afficha sur sa figure alors qu'elle observait les rails de coke parfaitement dessinés par ses soins, identique à celui d'un gosse devant une tonne d'œuf en chocolat le jour de pâque. Ainsi, elle exécuta ce qui était devenu une douce habitude, un agréable réconfort. La paille glissa sur le bois vernis aspirant le succulent stupéfiant. Elle s'en éloigna, renifla.

- N'oublie pas que si tu veux continuer à vivre sous mon toit et te défoncer tranquillement, il va falloir travailler ma belle.

Il vint s'asseoir à ses côtés et limita, alors qu'elle observait avec fascination cette dégaine désinvolte et taciturne qui le caractérisait si bien. La haine qui les avaient habités paraissait déjà s'être dissipée, elle semblait même ne jamais pouvoir exister. Il s'essuya d'un revers de manche et déposa avec délicatesse, sur les jambes dénudées d'Evy, le papier qu'il avait précédemment extirpé de la poche de son cuir. Une page imprimée et légèrement froissée ; une photo y apparaissait, avec le nom, les coordonnées et quelques articles se rapportant à l'homme qu'elle représentait. La cinquantaine et homme politique, à son actif de nombreuses frasques auprès de la gente féminine et scandales qu'il essaye encore de taire.

- Tu le charme . Tu t'arrange pour qu'il te ramène chez lui et la suite tu la connais ..

Deux années plutot ; ..

Le train ralentit de nouveau, une voix lointaine et presque indéchiffrable se mit à jacasser dans les wagons comme à chaque arrêt. Tête posée contre la vitre glacée, Evy entrouvrit les paupières avec difficulté, celles-ci étaient si lourdes qu'elles déclenchaient un véritable combat intérieur pour les garder ouvertes. Au dehors la gare lui semblait familière, mais il y en était tant qui lui avait donné cette impression qu'elle ne prit pas la peine de se lever du siège pour chercher un contrôleur. Pas question d'abandonner ses affaires à la merci des charognes et des pickpocket errant dans les trains. Soudain dans tout le charabia que crachait les hauts parleurs le mot "New York" lui sauta aux oreilles lui faisant l'effet d'une décharge. Elle s'éjecta littéralement de la banquette, comme pour s'arracher à ce sommeil persistant, et agrippa ses deux énormes sacs de voyages. En jetant un sur son épaule et tenant l'autre fermement serré dans sa poigne, elle sortit avec lenteur sur le quai. Certaine personne égarèrent leurs regards curieux sur son allure si atypique, montant de ses Doc Martens à son t-shirt troué, mais ne s'y attardèrent pas. On ne vous regarde jamais vraiment à NY, on n'en a pas le temps. Elle suivit donc l'afflux de New Yorkais pressés se dirigeant vers la sortie, journaux ou café à la main.

FREJA BEHA ERICHSEN *w*
J'adore cette nana !!!

Bienvenue à toi, bon courage pour ta fiche, et hésite pas si t'as des questions, l'staff est là pour ça Smile