▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;


▬ Histoire ;

Naître un jour de Saint Pattrick en Irlande ne peut-être qu'une bonne chose, et c'est ce qui se passa pour un certain Owen Ó Cléirigh. C'est en 1981 dans la ville de Cork qu'il vit le jour, né de l'union de deux irlandais de pure souche, il fit parti des rares chanceux à posséder un nom de famille non anglicisé, voulant dire "Le petit-fils du clerc". Ses parents étaient tout deux issus de milieu modestes, et, tout deux faisaient un travail peu reluisant. Son père était éboueur, tandis que sa mère était femme de ménage, ainsi, l'enfant ne grandit pas dans l’excès de quoi que se soit, mais, grandit heureux comme tout. Dès son plus jeune âge, ses parents -très croyants- lui inculquèrent les préceptes religieux de la chrétienté, dans l'espoir que, de toute sa vie, leur enfant reste dans le droit chemin.

A l'école, il était loin d'atteindre le niveau qu'espéraient ses deux parents. Tout deux voulaient que leur enfant réussisse pour ne pas vivre dans la même misère qu'eux, afin de pouvoir vivre décemment. Mais ... Là n'était pas sa destinée, loin de là. L'école ne l’intéressa jamais, non pas qu'il n'était pas intelligent, disons tout simplement que, des gens ne sont pas fait pour cela, et, lui en faisait parti.

C'est à ses dix ans, que sa destinée lui fut révélée, lorsqu'il vit à la télévision un combat de boxe, opposant un certain Nasseem Amhed, contre un homme que l'Histoire oubliera le nom. En tout cas, le jeune garçon fut captivé par le style de boxe de ce Nasseem, ne s'étant jamais intéressé à ce sport, il n'avait jamais imaginé que cela puisse être si intense, si impressionnant, si … Captivant. Narguant son adversaire en faisant baisser sa garde, ou en dansant lorsqu'un knock down avait lieu, son adversaire ressentait sans aucun doutes de la haine contre cet homme, mais, le toucher était bien compliqué, ayant un don pour l'esquive impressionnant, s'en suivait des contre-attaques fulgurantes, qui eurent bien vite raison de son adversaire.

Dès le lendemain, le jeune Owen montra de l'intérêt pour se sport, et voulut en pratiquer, après s'être concerté de longs moment, les deux parents l'inscrivirent dans le club local, miteux, poussiéreux, ayant très peu de membres, mais dont, les frais étaient moindres. Le professeur, un certain Tchukurka Zorita, était un ancien boxeur pro roumain sans grand palmarès, mais, qui tomba amoureux de l'Irlande. Ne sachant rien faire d'autre que boxeur, il ouvrit cette salle qui ne marcha jamais vraiment, jusqu'à l'arrivé de cet enfant. Dès le début, celui-ci montra un tallent inné pour ce sport, et des prédispositions étonnantes pour devenir un grand combattant. En très peu de temps, l'enfant prit de la masse, ses bras s’épaissirent à vue d’œil, ses muscles sur le torse ainsi que son dos se développèrent tout aussi vite, et, très vite, seul Tchukurka pouvait se tenir face à lui sur le ring, et, alors qu'il n'avait pas 15 ans, Owen réussissait à faire des frayeurs à son professeur, sur des enchaînements, des contre, ou même sur sa capacité à endurer les coups. Le roumain savait très bien que cet enfant allait réussir ce que lui n'avait jamais pu faire : percer dans la boxe.

Le jeune boxeur continuait à admirer ce fameux Nasseem, qui, avec le temps se fit surnommer « Prince » Nasseem, et personne ne trouva quoi que se soit à dire à cela. Il y avait cependant un autre boxeur qu'il admirait encore plus, un certain Joe Cazalghe, un gallois plus qu'étonnant, donnant l'image d'un char d'assaut dans ces combats. Les critiques disaient de lui que, jamais un autre boxeur n'avait montré une telle puissance de frappe dans sa catégorie, à savoir les super-moyens. Pour ceux que ça intéresse, cet homme n'a jamais perdu un seul combat en professionnel, et, fut un des rares boxeurs à unifier les ceintures de champion du monde des quatre fédération de boxe anglaise.

C'est à cet âge-là qu'Owen fit une rencontre qui changea du tout au tout sa vie. Cette rencontre était une jeune fille, un an plus jeune que lui, une certaine Erika, dès le premier regard, il tomba amoureux d'elle. Malheureusement, il ne savait pas comment s'y prendre avec les filles, et, mit quelques mois avant de pouvoir lui adresser la parole, en lui offrant des chocolats, alors qu'il était rouge de honte. A sa plus grande surprise, sa belle rougissait tout autant, et, ainsi, une belle histoire d'amour commença, comblant de bonheur le jeune boxeur, qu'il partageait avec ses deux parents, aux anges eux aussi, que leur fils trouve quelqu'un de si gentil.

Toujours la même année, Owen participa à un championnat de boxe sur le Royaume-Uni ainsi que la République d'Irlande, en tant que mi-lourds, et, l'amour lui donnant des ailes, il explosa littéralement tout ses adversaires dans les deux premiers round. Les coups ne semblaient lui faire aucun effet, tandis que les siens retentissaient comme des coups de masse sur les corps des autres concurrents. Ce fut Joe Cazalghe lui-même qui vint lui remettre la ceinture de champion, en le félicitant, avouant être étonné d'une telle frappe à son âge, et, qu'il aimerait beaucoup être son sparring partner de temps à autres, si cela l’intéressait bien entendu. Sur ses mots, le jeune champion était en larmes, mais, quand le champion du monde lui avoua qu'il suivrait avec grand intérêt son évolution dans le milieu de la boxe, plus rien ne semblait pouvoir arrêter le flot de larmes qui dégoulinait le long de ses joues.

Deux années passèrent dans un bonheur sans bornes, et, le potentiel de boxe du garçon semblait sans fond, à tel point qu'à à peine 17 ans, il arrivait à surpasser son idole, le champion du monde incontesté des poids super-moyens, sous ses applaudissements et ses encouragements. Ce fut d'ailleurs lui qui le lança dans le monde de la boxe professionnelle. Quelqu'un recommandé par un tel champion ne pouvait qu'attirer l'attention, et, lors de son premier combat, lorsqu'il vaincu son adversaire en moins de vingt secondes, tout le monde fut conquis, et tout le monde compris surtout, pourquoi Joe l'avait recommandé. Tchukurka, en plus de toujours l'entraîné, fut promu au poste de manager, et, Erika, s'occupait de soigner son petit-ami entre chaque round. Elle avait pour rêve de devenir docteur, ainsi, Owen avait eu cette idée, bien qu'il avait un peu peur que cela l'effraie au début, elle se montra très douée, bien que, sur de nombreuses rencontres, son assistance ne fut pas sollicité. Gravissant les échelons plus vite que n'importe qui, après six victoires consécutives en six mois, le manager réussit à organiser une rencontre opposant son poulain au champion du monde actuel, un certain Lorenzo Del Piero, un italien hautain et à se prendre pour le plus grand champion de tout les temps. Celui-ci accepta le combat, en promettant à la presse que le combat ne durerait qu'un round, car, il n'y avait qu'un seul homme capable de boxer en Irlande : Steve Collins, le champion du monde qui avait concédé sa ceinture à Joe Cazalghe. En réponse à cela, Owen ne put que sourire, et, le jour du combat, le gong avait sonné depuis seulement trois secondes, que, l'italien était déjà au sol, inconscient. En effet, l'irlandais s'était rué sur lui, pour lui décocher un violent crochet du droit sauté, ce qui eut raison de son adversaire. Lorsque la presse vint l'interviewer, il avoua avoir voulu respecter la promesse de son adversaire : un unique round. Puis, avec un léger sourire, le nouveau champion rejoignit le vestiaire, une lourde ceinture autour de la taille.

Ainsi commença la carrière du plus grand boxeur irlandais de tout les temps. Et, lorsqu'il obtint sa ceinture, il fit officiellement sa demande en mariage à sa belle, qui accepta, les larmes aux yeux. Le mariage eux lieu six mois plus tard à Rome, le rêve d'Erika, et, ce fut Joe Cazalghe qui fut témoin du mariage, le félicitant grandement.

Tout réussit au jeune irlandais, il offrit une vie de rêve à ses parents, leur offrant une des plus belle maison de Cork, en payant des gens pour s'occuper des tâches ménagères, ainsi, ils pouvaient prendre une retraite en or, et, le jeune homme n'avait pas trouvé meilleur moyen de les remercier pour tout ce qu'ils avaient fait pour lui. S'ils ne s'étaient pas serrés la ceinture pour lui permettre de boxer, rien de tout cela ne serait arrivé. Quant au champion, il s'était acheté une belle maison à Dublin, et une résidence secondaire à Rome, ville dont sa femme était tombé amoureuse.

Malgré tout ce bonheur, à ses vingt et un ans, sa vie bascula dans un cauchemar des plus horrible. Alors qu'ils ressortaient d'un restaurant, Erika se fit poignarder par un homme, ayant sombré dans la folie. Après enquête, l'homme avait parié toute sa fortune sur l'adversaire d'Owen lors du combat précédent, son 35°, qui se solda par une 35° victoire par K.O. Cet homme avait voulu faire ressentir au champion ce qu'était que de perdre ce qu'il avait de plus précieux. Sur son lit de mort, la belle lâcha quelques mots à son amour :  « L'homme que j'aime est le plus grand combattant de la Terre. »

Owen ne chercha pas à venger sa femme, par respect pour elle qui ne supportait pas la violence gratuite, déjà qu'elle supportait à peine la boxe, cela l'aurait tué une seconde fois. Dès lors, il arrêta le cercle professionnel, et se mit à voyager à travers le monde pour retrouver les plus grands maîtres dans leur disciplines respectives pour s'assurer que l'homme pour qui Erika eut ses derniers mots étaient bien lui.

Son premier passage fut en Chine, où il affronta de nombreux maîtres, et en défit la plupart. Cependant, quelques uns lui résistèrent, et, il resta auprès de ses maîtres deux ans, afin de perfectionner son corps et son art martial. Il y apprit comment mettre des coups de pieds, les esquiver, les parer, mais aussi comment agripper un adversaire pour retourner sa force contre lui. Suite à cela, il passa deux années en Israël, où  on lui enseigna le Krav Maga, un sport d’autodéfense créé par un grand lutteur slovaque dans les années 30, mais enseigné à la plupart des corps armées de ce pays. Le principe était de créer quelque chose pour se défendre dans le monde de nos jours, et dans cet optique, le style évolua petit à petit. Malheureusement, un nouveau drame eut lieu alors qu'il avait prit la voiture avec certains de ses condisciples pour faire quelques courses. Leur voiture se fit heurter par une autre, dans un choc des plus violents. Fort heureusement, il n'y eut aucune mort à déplorer, mais, il y eut des blessures graves. Owen lui, prit un éclat dans le visage, lui faisant perdre un œil sur le coup, tout en lui faisant bénéficier d'une hideuse cicatrice. Restant quelques temps à l’hôpital, l'irlandais comprit ce que serait son avenir : plus jamais il ne pourrait boxer. Malgré tout, il voulait respecter ce qu'avait dit sa femme, et voulait s'améliorer coûte que coûte, et, c'est là qu'on lui parla de la Russie.

. Owen se rendit près de Moscou, dans le monastère de Troitse-Serguieva, qui vit naître les moines-guerriers. Voyez-vous dans les jeux vidéos, ses fameux personnages frappant avec leur corps, dont leur classes est « moine » ? Hé bien, ce sont ces moines-là. Du point de vue de son précèdent maître, il y avait beaucoup à apprendre de ses hommes, qui pourrait l'aider à retrouver son niveau malgré sa perde. Et, en lisant les archives, il apprit de grandes choses, revit son entraînement, sa façon de frapper, sa façon d'encaisser, et bien d'autre choses. Mais, ce n'est pas la chose la plus importante qui se déroula en Russie lors de son séjour.

Un beau soir, alors qu'il étudiait des textes à la lueur d'une chandelle dans sa chambre, il entendit des bruits à l’extérieur, un groupe de jeune essayait de forcer le passage pour rentrer dans ce monastère qui, autrefois était une forteresse imprenable. Ne voulant pas attirer l'attention sur lui, le jeune homme enfila une toge de moine, et, la capuche vissée sur son crâne pour camoufler son visage, avant de partir dans la cour centrale, afin de donner une bonne leçon à chacun des intrus. Il ne fallut pas beaucoup aux jeunes gens pour les impressionner, et ceux-ci finirent par s'enfuir. Les habitants de ce lieu de culte remercièrent chaleureusement leur sauveur, en lui offrant un repas de roi, qu'il accepta avec grande joie. On lui expliqua alors que, ces jeunes appartenaient à une sorte de mafia qui sévissait dans le coin, voulant s'accaparer toute les richesses de ses terres, et qu'ils allaient sûrement revenir. Owen promis de les défendre s'ils lui ouvraient les archives privées du temple. Sûrs de la bonté d'âme de leur hôte, le doyen accepta avec un grand sourire.

Le lendemain, un groupe bien plus nombreux  fit irruption dans le temple, voulant étriper le responsable de l'attaque de la veille. Avec son déguisement de moine, l'ex-champion du monde se présenta devant eux, et, défendit le monastère qui l'avait accueilli, prenant quelques coups, dont un fini par lui ôter sa capuche, dévoilant ainsi son point faible, il avait un angle mort. Les coups commencèrent à pleuvoir de ce côté, mais, très vite le boxeur trouva le bon rythme et finit par prendre le dessus sur ses adversaires.

La promesse faite par le doyen fut respectée, et, les archives lui furent dévoilées, les textes écrits par les pionniers de l'ordre des moines-guerriers. Ils avaient découvert des façon de renforcer leurs corps, une nouvelle façon d’appréhender les coups et de se défendre. Ainsi donc, le maître israélien avait raison, un entraînement en ce lieu pourrait l'aider. Une poignée de semaine plus tard un homme arriva, richement vêtu, entouré de deux gardes du corps, ou plutôt deux armoires à glace. L'homme disait vouloir rencontrer le fameux borgne, ayant été alerté par des rumeurs sur son précédent combat, il voulait le voir de ses yeux. L'homme le reconnu de suite, fervent admirateur de boxe, il ne pouvait que se remémorer de ce visage. Ainsi donc les rumeurs étaient peut-être vraies. L'inconnu se présenta comme un membre important d'une mafia installée à New York, lui était à la recherche d'un champion pour les combats clandestins donnés là-bas. Ce genre de combats acceptait tout le monde, borgne ou non. Qu'importe où il combattrait, Owen accepterait, que ce soit dans l'ombre ou non. Malgré cette occasion rêvée, l'irlandais demanda un an de préparation en compagnie de ses moines, espérant retrouver ne serait-ce qu'une partie de son niveau d'antan. Il accepta.

Un an plus tard, l'irlandais se retrouva à New York, où il enchaîna les combats. Même s'il en gagna la plupart, son handicap était important et, il dut se résigner à en perdre certains, des adversaires armés, ou adeptes d'arts martiaux basés sur les coups de pieds le menèrent à sa perte, lui demandant un passage plus ou moins long par l’hôpital. Très vite, on lui proposa un autre travail, il combattrait moins désormais, mais, cela collerait plus au personnage. Il s'agissait d'assurer la sécurité d'une agence d'escort, ou plus précisément le bâtiment où vivait les filles de l'agence. L'agence avait certaines accointances avec la mafia et pouvait potentiellement avoir des problèmes avec certains clients, mais, la directrice avait trouvé bon de passer un contrat avec les russes. Bien qu'au début il se cantonna à ce simple poste, il dévia très vite sur quelque chose d'autre. Il arrivait aux clients d'être violent avec certaines filles, bien que ce n'était pas dans ses fonctions, Owen joua très vite le nettoyeur. La raison était simple, il était chargé de la protection, si une fille avait des problèmes c'était à lui de s'en occuper, ni plus, ni moins.

▬ Relations ;

Owen est quelqu'un d'assez accueillant, il n'a de préjugé envers personne et préfère apprendre à connaître une personne avant de se faire un quelconque avis dessus. Il apprécie les gens francs et simples avec qui il peut discuter de tout et de rien. Il ne supporte pas les hypocrites ni les nombrilistes. Concrètement, il n'a jamais été très doué pour se faire des amis, comprenez-là de véritables amis. Pour une raison qui lui échappe, ses relations finissent toujours par s'épuiser peu à peu jusqu'à disparaître, mais cela ne l'empêche pas d'être agréable avec tout le monde. Concernant les femmes, il n'a toujours pas réussi à passer le cap d'Erika, dans tout ce qu'il voit, tout ce qu'il pense, son spectre demeure, il ignore si un jour il pourra retomber amoureux, trouver quelqu'un qui lui permettra de panser ses plaies et le faire aller de l'avant.

▬ Physique ;

Owen est quelqu'un d'assez grand, et assez costaud. Mesurant un bon mètre quatre-vingt cinq, il reste ce que l'on pourrait appeler un beau bébé. Du haut de ses quatre-vingt-douze kilos de muscles, il n'a jamais rien eu à envier à qui que se soit de se côté là, et, rares ont été ceux voulant lui chercher des noises. Il reste cependant quelqu'un au visage doux, peu marqué par la boxe, lui évitant les déformations récurrentes, telles les arcades tordues, le nez aplati, les oreilles collés, ou encore les pommettes très carrées. Son visage inspire confiance, et son sourire chaleureux lui vaut bien des fans, ainsi que l’appréciation de bon nombre de demoiselles. Owen dispose d'une croix celtique faisant son dos entier, et, sur son avant bras droit, écrit dans l'alphabet Cyrillique: Erika. Enfin, on pourra remarquer la présence d'une bague en or, malgré la mort désormais lointaine de sa dulcinée.

▬ Caractère ;

Owen est communément ce que l'on appelle un bon gars. Quelqu'un de sympathique, souriant, avenant et chaleureux. Il fait parti de ces gens qui ont le contact facile, avec qui l'on peut parler librement sans le moindre mal. Cet homme a un sourire qui inspire la confiance, et, en règle générale il ne déçoit pas. Ayant toujours été bercé par les histoires emplies de légendes et de chevalerie, il en a gardé de nombreux atouts, comme l'idée de défendre « la veuve et l'orphelin » quand il le peut. Il n'hésitera pas à venir en aide à quelqu'un dans le besoin si possible. D'un autre côté, il n'a aucune pitié pour les gens au mauvais fond. Cela peut paraître étrange pour quelqu'un affilié à la mafia russe, mais … Il faut bien comprendre que, ces derniers, malgré quelques activités peu recommandables lui permettent d'exercer la seule chose pour laquelle Dieu l'a bâti : le combat. Certes, le prestige du ring est bien loin, mais, la sensation n'y est que plus forte, l'adrénaline dans ces combats clandestins où tout pourrait chavirer au moindre instant, cela le fait se sentir vivant. Il faut bien comprendre qu'il n'y a eu que deux choses dans sa vie qui ont vraiment comptées pour l'irlandais : sa femme et la boxe. La première nous ayant quitté, dans des derniers mots lui autorisant à continuer à combattre, l'encourageant même à devenir le meilleur, malgré son désaccord pour cette pratique, Owen ne put que continuer à se battre pour s'améliorer encore et encore. Dans un dernier soupir, sa belle dit être tombé amoureuse du meilleur des combattants. Longtemps Owen parcouru le monde dans le but de devenir l'homme en question, affrontant de nombreux artistes martiaux tout en apprenant auprès de maîtres, mais, au fil du temps il finit par comprendre quelque chose, quoi qu'il fasse, quoi qu'il devienne il aura toujours été cet homme qu'elle nomma. Lorsqu'elle était à ses côtés, il ne perdit pas un seul combat, jamais. Son amour lui donnait des ailes et lui fit même obtenir une ceinture de champion. Malgré tout, de part ses voyages, et même un œil en moins, l'irlandais était devenu un combattant redoutable, ce qui finit par attirer l’œil de la mafia, voulant le faire combattre pour leur compte, mais pas que. Ils avaient une autre idée pour lui, un travail de nettoyeur. Bien qu'il refusa au début, lorsqu'on lui expliqua le fond du travail, il ne put qu'accepter. L'idée était simple, s'occuper de la sécurité d'une agence d'escort, intimement liée à la mafia, ce qui pouvait s'avérer relativement dangereux, mais surtout, outre de protéger les filles, il fallait aussi les venger. La vengeance, en soit, n'est pas quelque chose que cautionne notre ami, mais, une chose est sûre, la violence sur les femmes était la chose qui le mettait le plus hors de lui en ce bas monde. Alors, faire payer ceux qui se défoulaient sur ces pauvres jeunes filles finit par lui paraître une bonne chose. Certes, comme je l'ai déjà dit, ce job n'a rien de très orthodoxe, mais avec ces compétences il pouvait faire ce qu'il appréciait tout en protégeant autrui, Erika aurait-elle cautionné cela ? Owen se plaît à l'espérer.

Cela dit, le boxeur n'a pas que des qualités non. C'est quelqu'un qui peut s'emporter très vite, certaines choses peuvent le mettre hors de lui facilement et le mettre hors de lui. C'est aussi quelqu'un d'extrêmement têtu, une fois qu'il a une idée en tête, il n'en démords pas. Enfin, ayant perdu ce qui lui tenait le plus à cœur dans sa vie, Owen à une légère tendance à la dépression et au défaitisme, chose qui peut parfois le rendre énervant.

▬ La plus grande honte du personnage ;

La plus grande honte d'Owen est en grand rapport avec la mort d'Erika, sa femme. Ce jour-là, il fut complètement impuissant, il ne vit rien venir, il ne remarqua pas l'homme au regard haineux, ni même le poignard qui fut dégainé avant de s'enfoncer profondément dans la chair de sa belle. En sang, il ne put rien faire pour l'aider, le temps que les secours arrivent il était déjà trop tard, tout ce qu'il put faire ce jour-là était de l'étreindre pour la faire partir dans ses bras, malgré ses larmes.

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;

L'enfer auquel pouvait penser Owen, il s'y trouve déjà. Il n'a eu que deux choses essentielles dans sa vie, sa femme, et la boxe. La première, il la perdit à cause d'un fanatique haineux d'avoir perdu une somme importante d'argent à cause d'un mauvais pari. La seconde, en perdant un œil dans un triste accident, l'empêchant à tout jamais de remonter sur un ring. Fort heureusement il eut la « chance » de pouvoir combattre dans l'ombre, mais s'il venait à perdre ce droit aussi, sa vie n'aurait plus aucun sens.

▬ Définition du paradis pour le personnage ;

Le paradis ? Je pense que le mot ne pouvait pas être mieux choisi. Tout ce dont Owen rêve se trouve là-bas, sa femme, sa très chère femme, tout ce qu'il voudrait serait de la retrouver, l'étreindre à nouveau, l'embrasser, voir son doux sourire, entendre sa voix, sentir son odeur. Voilà sa vision du paradis. Il aurait tant aimé continuer à vivre avec elle, fonder une famille, vieillir ensemble et mourir ensemble.

▬ Point faible du personnage ;

Vous l'aurez sans doutes déjà compris, mais, le talon d’Achille d'Owen reste le spectre de sa femme. Une simple pensée pour elle suffit bien souvent à le faire entrer dans une petite dépression. Elle lui manque horriblement et, malgré les années passées, son cœur en saigne encore. Il dispose aussi d'un autre point faible, bien plus … Physique cette fois-ci, lors de son « séjour » en Israël, l'homme perdit un œil, le droit, lui créant ainsi un angle mort et l'empêchant de reprendre la boxe pro.

▬ Point fort du personnage ;

Si vous veniez à lui poser cette question, le principal intéressé ne saurait pas vraiment quoi répondre. Certains verront là une certaine humilité, la vérité est que notre homme n'est pas des plus optimistes, bien au contraire. Son point fort est … La boxe, tout simplement. Elle fut son premier amour et sa plus grande passion, il s'est entraîné jusqu'à en vomir, jusqu'à ce que ses muscles ne puissent plus le supporter, et jusqu'à ce que ses poings saignent. Certains voyaient en lui un certain génie, mais, là, les avis divergent. De son point de vue, s'il est arrivé à ce niveau qu'était le sien sur un ring, c'est uniquement parce qu'il a eu de très bons entraîneurs et qu'il s'est entraîné comme un damné. Son niveau de boxe, il n'a pas à en rougir, considéré comme l'un des meilleurs de sa génération, cela lui a permis de survivre dans les combats clandestins, malgré un œil en moins.

▬ Casier judiciaire ;

Officiellement :
-Dépassement de la limite de vitesse autorisée
-Conduite sans permis
-Taux d'alcoolémie dépassant le seuil autorisé

Officieusement:
-Coups et Blessures graves
-Association de malfaiteurs
-Participant à de nombreux combats clandestins

▬ Prénom ou pseudo ; Green-Moon
▬ Âge ; 24 ans
▬ Où avez-vous connu le forum ; Sur PRD
▬ Connexion ; 3-4/7 BLABLABLA
▬ Code du règlement ;

Spoiler:

▬ Exemple de RP ;

Spoiler:

▬ Célébrité sur l'avatar ; Chaning Tatum
▬ Multicompte(s) ; Non
▬ Un dernier truc à dire ? ; Rien à rajouter ^^