| Sujet: Norah Crystal Hawks : Un vent de folie souffle sur New York Ven 18 Mar - 0:31 | |
Feat "January JONES"
(c) Rusty Rokett |
▬ Nom ; Hawks ▬ Prénom(s) ; Norah, Crystal ▬ Surnom(s) ; No', ou encore Noraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! (ou Mon sucre d'orge, mais ça, c'est seulement quand Chris revient bourré de chez ses potes ^^) ▬ Âge ; 26 ans ▬ Nationalité ; Austalienne ▬ Groupe ; Cityzen ▬ Statut et activité dans la vie ; En couple avec Chris M. Azelwood. Journaliste pour le New York Times ▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle
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▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; (L'utilisation d'un lecteur exportable n'est pas obligatoire, vous pouvez aussi nous citer le nom de l'artiste et celui de la chanson qui, selon vous, conviendrait bien à votre personnage.)
▬ Histoire ; (40 lignes minimum)
Première page du nouveau journal intime de Norah Crystal Hawks [INTERDIT D'ACCES A CHRIS !] Tout commence par un regard. Tout commence toujours par un regard. Des yeux bleus magnifiques, et un regard noir intense. Un jeu de séduction, un premier rendez-vous, puis d'autres, et d'autres. Un couple se forme, un couple emménage, un couple se marrie. Et Elodie Hawks tombe enceinte. Neuf mois plus tard, je venais au monde. Histoire banale me direz vous. Pas de mari abandonnant lachement sa femme, pas de mère-fille, pas d'abandon. Juste un homme et une femme qui s'aimaient vraiment, et qui ensemble donnèrent vie à une adorable petite fille : moi. Je suis née à Sidney, le 02 janvier 1984. Sois en plein été chez nous, Australiens. Mes parents travaillaient tous les deux, mais ma mère pris un congé sans solde pour s'occuper pleinement de mois dans les deux premières années de ma vie. J'ai marché et parlé avant les autres enfants. Mes parents sont des gens intelligents, et comme on dit, tout celà est héréditaire. J'ai hérité de la beauté de ma mère, une femme mince, blonde, aux yeux bleus magnifiques. En revanche, j'ai le caractère de mon père : j'ai toujours été une battante. J'aime gagner. Il n'y a pas de mal à ça après tout. Attention, ça ne veut pas dire que je sois une mauvaise perdante (un peu quand même). Les dix premières années de ma vie furent un véritable enchantement. Je vivais dans une grande maison, à l'écart de la ville, entourée d'animaux de toute sorte. J'ai toujours adoré les animaux. Le journalisme et les animaux sont mes deux grandes passions dans la vie. Dès mon plus jeune âge, je savais déjà ce que je voulais faire : reporter, comme mon oncle, le frère de mon père. Chaque fois qu'il passait à la maison, il me racontait le monde, les endroits où il s'était rendus, toutes les fois où il avait risqué sa vie pour que le monde sache ce qui se passait là où personne ne voulait aller. Les adultes de mon monde étaient mes héros. Ma mère, qui occupait un poste important dans une grande entreprise de pub, seule femme à occuper un poste si important, mon père, grand avocat au barreau de Sidney, et mon oncle, reporter mondialement connu. Je n'ai jamais eu de frère. Ma mère n'a plus pû avoir d'enfants après moi : une erreur des médecins. Ca l'a rendue très triste, car elle rêvait d'une famille nombreuse, elle qui était fille unique, mais elle a reporté tout son amour et toute son affection sur mon père et moi, et notre famille n'a jamais été plus soudée. A l'école, j'étais en avance sur les autres élèves, et je menais paisiblement ma vie de futur journaliste, en enquêtant sur tout et tout le monde. Ca m'a souvent valu des ennuis, mais j'adorais cette prise de risque... (mes plus gros succès -à l'époque- furent la révélation de la liaison entre le directeur de mon école primaire et une maîtresse du CE2, ainsi que la résolution de l'affaire : Qui racquette l'argent pour la cantine des CP et des CE1 [c'était une grosse brute du CM2]). Durant mon temps libre, je me baladais librement au milieu des kangourous, prenant des milliers de photos (non sans un certain talent). Ce furent les plus belles années de ma vie. Et puis un jour, alors que j'entrais dans ma quinzième année, le corps de mon oncle nous fut rendus par le gouvernement libyen. Il avait été arrêté pour espionnage (autre façon de dire qu'il faisait son travail de journaliste), trouble à l'ordre public, fuite. Il avait été enfermé, et exécuté. Ce jour là, une partie de mon monde s'écroula, mais je restais forte pour mes parents. J'ai toujours fonctionné comme ça : quand tout s'écroule autour de moi, je lutte pour aider les gens que j'aime, avant de m'occuper de moi.
Mais je n'ai pas que des bons côtés. Arrivée au collège, j'ai très vite remarqué que je plaisais beaucoup aux garçons. Cette attention me touchait, et je m'en sentais grisée. Que voulez-vous, je ne suis pas une sainte, juste une jeune femme... J'ai toujours eu un certain succès auprès des garçons, et la plupart des autres filles me détestaient pour ça, ou alors faisait semblant d'être amies avec moi, juste pour approcher des garçons qui leurs plaisait. Une fois au lycée, mon succès s'est accentué, et mes "amies" m'en ont voulu. Seules Cora et Anna se moquaient de ça : c'est pour ça qu'elles étaient mes meilleures amies après tout : elle m'aimait pour moi, vraiment pour moi. A nous trois, on a fait les pires bêtises, les soirées les plus arrosées, les bars les plus mal fâmés. L'universitée fut plus un lieu de plaisir que de travail, bien que toutes les trois ayons obtenues notre diplôme, et haut la main (j'étais même majeure de ma promotion). Mais mon "problème" comme disaient Anna et Cora avec les hommes ne s'est pas arrangé. J'ai toujours ce besoin de plaire aux hommes. Tout ça à cause de lui... Il s'appelait Julian, et j'étais folle amoureuse de lui. J'ai 13 ans, il en avait 17. Une différence d'âge énorme pour notre âge. Mais il m'avait charmé, et je n'avais pas pû résister à son sourire et son adorable fossette qui formait un creux dans sa joue droite... Séduite, je m'étais donnée à lui, et il m'avait jeté comme on jette un déchet, pour une fille de 15 ans, car, d'après lui "elle (était) moins coincée, moins chiante, et plus belle, et qu'(i)l n'étai(t) sortit avec (moi) que parce que personne ne voudrait de (moi)". J'ai eu du mal à m'en remettre, et mon "problème" avec les hommes vient de là : un besoin de me rassurer peut être... de lui prouver qu'il avait tort, que les hommes me désiraient...
Je n'avais jamais eu de relation sérieuse, ou plutôt de relation Longue après lui, jusqu'à Chris. J'avais un peu plus de 24 ans. Le feu s'était déclenché chez nos voisins (c'est à dire à un peu plus d'un kilomètre de la maison de mes parents). Intriguée par tout le rafus, je m'étais rendue sur les lieux, pour voir si tout le monde allait bien, et peut être faire un papier dessus. Et il était là, si sexy dans son uniforme de pompier, à lutter pour éteindre les flammes. Une fois la maison "sauvée", je m'étais approchée de lui pour en apprendre plus sur son métier, toujours dans le but de rédiger un article. Le lendemain, il sonnait à ma porte, balbutiant quelque chose comme "je voudrais m'assurer que votre maison n'encours pas le risque de prendre feu" ou "si vous voulez des informations supplémentaires, on peut en discuter autour d'un verre". Il était tellement adorable que j'ai fondu. J'ai accepté de prendre un verre avec lui, il m'a séduite, et aujourd'hui, nous quittons Sydney pour New York. Mon Australie natale va me manquer : mes kangourous, la nature va me manquer, mais s'il veut aller à New York, alors j'irai aussi. J'ai trouvé un travail au New York Times, le journal où mon oncle travaillait quand il est mort... New-York... Je me demande bien ce qui nous attends.
▬ Relations ; (5 lignes minimum - Relations amoureuses, amicales, sexuelles ; Ce qui lui plait chez les autres, ce qui ne lui plait pas chez les autres ... Ceci est une approche de la façon dont votre personnage se comporte avec autrui.)
Je suis amoureuse. Je suis infidèle, mais je l'aime plus que tout au monde. C'est tellement compliqué tout ça, que je préfère fréquenter des gens pas trop compliqués (sourire). Je suis quelqu'un de très fidèle en amitié, et j'avoue attendre la même chose en retour : trop souvent déçue, j'apprécie la franchise. J'aime les gens qui ne se prennent pas la tête, et je déteste ceux qui sont plein de préjugés. Les gens sérieux et avec un grin de folie (ou même juste avec un grin de folie) sont ceux avec qui je m'entends le mieux. ▬ Physique ; (5 lignes minimum)
J'ai hérité des gènes physiques de ma mère, et j'en suis fière. De taille moyenne, pour ne pas dire standard, je suis mince, aux cheveux blonds et longs. Mes yeux sont bleus, pétillants de malice. J'ai les traits fins et nobles, et j'ai hérité du sourire enjoleur de mon père (le même qu'il a utilisé pour faire succomber ma mère, et qui marche très bien). J'ai la chance de n'avoir aucune cicatrice dû à une chute ou autre, chose qui arrive généralement à la plupart des enfants entre 5 et 11 ans. J'ai une tache de naissance au creux des reins, en forme de croissant de lune. J'ai quelques grains de beauté dispersés sur le corps... Que dire de plus ? Je suis le genre de fille sur laquelle on se retourne dans la rue, celle avec qui on veut danser en boîte... Et j'aime ça, attirer l'attention. ▬ Caractère ; (20 lignes minimum)
Je suis autoritaire, déterminée, forte, aguicheuse, séductrice, volage, casse-pied, collante, adorable, possessive, fragile, colérique, jalouse, boudeuse, minutieuse, volontaire, travailleuse, sérieuse, lunatique, bornée, intelligente, cultivée, et chiante. Ca, c'est pour vous donner une petite idée. J'aime faire les choses à ma manière. Je peux être cassante quand il le faut, mais ceux qui me connaissent savent que je ne le fais pas pour le plaisir, parce que j'aime voir les autres souffrir, loin de là. C'est juste que j'aime faire les choses a MON idée, parce que dans 99.99% des cas mon idée est la meilleure. Je suis quelqu'un de déterminée : quand j'ai décidé quelque chose, je le fais jusqu'au bout, et je ne lache pas tant que je n'ai pas atteint mon but. Je suis quelqu'un de fort en apparence, et c'est vrai que je le suis, par certains côtés : je suis toujours là pour soutenir ceux que j'aime, et je sais me montrer forte pour eux, même s'il y a une zone d'ombre et de fragilité au fond de moi. Je suis une femme aguicheuse et séductrice, et c'est bien là mon plus grand défaut. J'ai besoin de plaire, constamment. J'ai besoin d'être rassurée de mon pouvoir de séduction, j'ai besoin de savoir que je plais aux hommes. Je suis volage, c'est mal, je le sais... Le pire est que j'aime Chris sincèrement, mais... c'est compliqué... Je suis casse-pied, très casse-pied : quand je veux savoir quelque chose que vous refusez de me dire, je vais vous pousser à bout pour le savoir : c'est chiant, je sais, mais c'est moi ! Collante, possessive et jalouse, je ne supporte pas qu'on approche d'un peu trop près de MON chris, sinon, je sors les griffes. Je boude facilement, jamais très sérieusement ou très longtemeps. Minutieuse, j'aime quand tout est parfait jusqu'au moindre petit détail, ce qui peut s'avérer agaçant. Je suis aussi travailleuse et sérieuse, quand il le faut, et je me bats pour mes convictions et mes envies. Je suis quelqu'un de très intelligent, et je suis cultivée. Mais il y a aussi en moi ce côté un peu fo-folle : j'aime m'amuser, rire, sortir avec mes copines, aller me faire une toile, me balader sur la plage avec mon amoureux... Je suis quelqu'un d'assez romantique en son genre (oui, je sais,c'es bizarre). J'adore les animaux : j'ai toujours vécut à leur contact, et je n'imagine pas ma vie sans eux. Je suis quelqu'un de fondamentalement gentille, mais ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds. Pour ceux que j'aime, je suis prête à tout : mieux vaut ne pas leur faire de mal, ou vous le regretterez. Malgré mes nombreux défauts, j'ai de grandes qualitées, et mes amies m'aiment pour elles, mais aussi pour mes défauts. Après tout, je suis un être humain, et nous sommes faits d'un savant mélange entre défauts et qualités. Quand je fais involontairement du mal à ceux que j'aime, je culpabilise pendant des semaines, même pour les petits trucs. Je n'aime pas l'échec, je préfère réussir qu'échouer (comme tout le monde), mais je ne vais pas jusqu'à écraser les autres pour y arriver. Mais si vous cherchez à m'écraser, je serais sans pitié.
Quelle complexitée l'âme humaine... ▬ La plus grande honte du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Honte ? Le fait est que je n'ai honte de rien. Sauf peut être d'un de mes choix : être sortit avec quelqu'un de plus âgé que moi, de destructeur, qui ne m'aimait même pas, dont le seul but était de me sauter. J'ai toujours eu du mal à m'en remettre, et c'est la seule chose dont je déteste parler. Sinon, il y a toujours tous ces petits moments de honte, comme la fois où j'ai dévalé les dix dernières marches de l'université devant TOUT le monde... ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
La chose qui me fait le plus peur... A part perdre ceux que j'aime, comme lorsque j'ai perdu mon oncle, il y a de celà dix ans maintenant, c'est les fonds de mers : j'aime aller à la plage, j'aime aller me baigner, mais je suis incapable de faire de la plongée sous-marine. J'y ai été forcée lorsque j'avais dix ans et que j'étais partie en colonie de vacances, alors que je n'en avais pas envie : j'étais seule, il faisait froid. Mes larmes se mêlaient à la mer, et j'ai paniqué. LA chose à ne pas faire. Je m'étais accroché à un corail, et mon masque à oxygène s'est décroché. Je me noyais quand le maître sauveteur m'a repéré, luttant pour remonter à la surface : il m'a sortit de l'eau, mais je ne respirais plus. Durant deux minutes il a tenté de me ranimer, avec succès finalement. Mais depuis, parler moi de plonger, ne serai-ce qu'en apnée, ou même juste faire le concours de celui qui retiendra sa respiration le plus longtemps sous l'eau, et je me mets à trembler d'effroi... ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
En Australie, au milieu des kangourous, quand le soleil se couche et que le ciel se métamorphose en merveille de la nature. Allongés sur le sol, avec celui que j'aime. Des moments de purs bonheurs comme j'en ai vécut plusieurs fois dans ma vie, ça c'est mon petit paradis. Prendre une photo, immortaliser un sourire sur papier glacé, un rire d'enfant, un couple d'amoureux s'embrassant sous un arbre, un couple de seniors se donnant tendrement la main... Ou encore une journée entre amies, qu'on finit autour d'un délicieux cocktail à base de vodka. ▬ Point faible du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
Malgré mon caractère de battante, mon point faible réside quelque part au fin fond de mon esprit : ce besoin incessant de plaire, d'être désirée, de voir d'autres hommes, sans aucun sentiment, juste pour être rassurée par mon pouvoir de séduction : je sais que je m'en mordrais les doigts un jour, car si Chris l'apprend... Il y a ce mélange de culpabilité et de besoin qui m'assaillit sans cesse. Et croyez moi, ce n'est pas un très bon mélange, loin de là. ▬ Point fort du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
Ce que j'ai en "plus" ? Mon charme et mon intelligence. J'ai toujours été plus intelligente que la moyenne, ce qui m'a avantagé dans bien des domaines (par exemple, j'ai obtenu mon examen de fin de scolarité avec la mention Excellent sans avoir assisté à tout le troisième trimestre de ma dernière année). L'autre chose est donc mon charme, et ma beauté, même si quelque part, c'est aussi mon point faible. ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel.)
Casier Judiciaire Vierge [a moins que tromper son petit ami ne soit un crime digne d'y figurer] ▬ Prénom ou pseudo ; Eléonore ▬ Âge ; 17 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Par Chris ▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 4-5 ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK by Crétin ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Que faire un vendredi soir quand on n'a rien à faire ? C'était actuellement la question que je me posais. Il était 23heures à ma montre, et je venais de finir un devoir en droit. Ce dont j'avais besoin, là tout de suite, c'était de me changer les idées. Radicalement. Fonçant dans ma salle de bain, je pris une longue douche brûlante, et ressortit, sentant bon le kiwi, une serviette enroulée autour des cheveux, une autour du buste. Je farfouillais dans mon armoire, qui était juste à côté de celle d'Ellie, actuellement absente, et en sortit une robe blanche que j'adorais et que je portais rarement (allez savoir pourquoi, surtout qu'elle m'allait à la perfection et que dedans j'étais... waouh !) Après m'être séché et coiffé les cheveux, j'enfilai des sous vêtements propre, et mis la robe, que j'accompagnais de quelques bracelets en argent et d'espadrilles compensées blanches à lacets. Retournant dans la salle de bain, je me maquillais légèrement, mettant surtout l'accent sur mes yeux, bleu clair, en les faisant ressortir par une touche de crayon noir. Un soupçon de bois de rose sur les lèvres, quelques "pschitt" de Jeanne Lanvin, et oît fin prête. La boîte dans laquelle j'avais l'intention de me rendre n'étais pas loin, on pouvait aisément s'y rendre à pied, cependant, à cette heure et dans cette tenue, ce n'était peut être pas le mieux à faire. J'attrapai donc ma pochette Yves Saint Laurent préféré, y fourra mon porte feuille et mon portable, ainsi que mes clefs, et sortit de l'université. Lucky me ! Un taxi passait au même moment, et je le hélais d'un geste du bras. Il s'arrêta net, et je grimpais dedans, tout en indiquant l'adresse du TONGUE & GROOVE.Le chauffeur, assurément un connaisseur de cet endroit, me lança un clin d'oeil.
-On va décompresser ?
Je lui souris, les yeux brillants, avant d'ajouter "En effet". Il se mit à parler, et nous discutâmes le long du trajet. Quand nous arrivâmes enfin, je le payais, laissant un pourboire et, tandis que je sortais de la voiture, il me lança :
-C'est dommage que je doive bosser ce soir, j'aurais bien aimé vous avoir collé à mon bras toute la soirée.
J'éclatais de rire, et referma la portière, avant de me diriger vers le videur, que je connaissais bien, vu le nombre de fois où j'étais venue, seule ou accompagnée. Quand il me vit arriver, il ouvrit ses bras, et me serra contre lui.
-Emy ! Ça fait un bail qu'on t'a pas vu ! Tu nous avais oublié ?
-Ça c'est pas possible, tu t'en doutes....
Il s'effaça pour me laisser entrer, et je pénétrais enfin dans la boîte. Je repérais vite certains élèves de l'université, plus d'autres personnes que je connaissais de vue. Je fis un rapide tour : personne que je connaissais personnellement. Je me dirigeais alors vers le bar, pour commander un Blue Lagoon, mon cocktail préféré, et le vida rapidement, avant de me diriger vers la piste. J'adorais cet endroit pour son ambiance, et les rencontres imprévues qu'on pouvait y faire. J'adorais les gens, j'adorais la musique, j'adorais les mouvements. Petite, j'étais tombée amoureuse de la danse, de cette façon de bouger en accords avec la musique, sensuellement, mais en même temps d'une façon très technique et poussée. Je me déhanchais donc sur la piste, dansant seule et avec tout le monde, m'amusant comme une folle, quand je sentis une main sur mon épaule.
▬ Célébrité sur l'avatar ; January Jones ▬ Multicompte(s) ; Non ▬ Un dernier truc à dire ? ; Non plus ^^
Dernière édition par Norah C. Hawks le Ven 18 Mar - 20:10, édité 8 fois |
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