Nom : Coltridge Prénom : Alan Surnom : Colt Âge : 47 ans Nationalité : américaine Groupe : Autorité Statut et Activité : Inspecteur à la criminelle Divers : Divorcé depuis peu et père d'une fille de 16 ans, il reprend du service après une retraite de 16 ans.
Once upon a time...
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
▬ Histoire ;
Décembre 98, les vents froid du nord portent sur huddy des miettes de brouillard qui s’étendent sur toute la surface de la rivière, l’hiver vient et je sais qu’huddy happera tous ceux qui plongeront dans ses bras gelés vers le fond et ne les relâchera qu’une fois boursoufflé et les poumons remplis de gaz de décomposition. Moi je me tiens loin de sa beauté étincelante, brillante de milles étincelles lunaires, je regarde cela attentivement, tant de choses se bousculant dans ma tête. Finalement une voix dans mon oreillette me réveil et je quitte l’aspect hypnotique d’huddy pour me préparer.
« Equipe B en place. » Me dit une voix aux accents hyspaniques, le signal que j’attendais, que l’on attendait mes collègues et moi. Je jette un regard vers le premier type derrière moi, lui il est cagoulé et sur son gilet pare-balle on peut lire DEA, sa tenue comme celle de ses collègues est d’une couleur bleu nuit, je me suis souvent demandé si c’était plus agréable qu’un bon vieux t-shirt et un jean, mais là je ne dis rien. Ya rien à dire. L’attente est longue, celle du deuxième signal et il fallait qu’il se dépêche, moi et la file de gars derrière moi étions collés contre un mur de brique froid d’un entrepôt, juste à côté de la porte, tous les bruits à l’intérieur nous parvenais. Des gens, beaucoup de gens, allaient vites, faisaient des allez-retour, chargeaient des choses, et je sais au plus profond de moi ce que c’est. Je sais que si nous n’agissons pas rapidement, un bateau va sortir de cet entrepôt qui a l’accès à l’hudson river, ou huddy comme j’aime l’appeler depuis que j’ai huit ans. Au signal, je serais le premier à rentrer dans cet entrepôt, et malgré toute la confiance que je peux placer dans les fusils d’assaut de mes camarades qui me suivront, je sais que je risque d’être le premier à terre. Mais c’est à moi de le faire, à personne d’autre, et je ne laisserais personne d’autre le faire, c’est une histoire personnelle, une histoire de dette. Je respire calmement, à l’affut de tous bruits suspects, fixant les reflets lumineux sur l’eau tumultueuse lorsqu’à nouveau mon oreillette grésille.
« Equipe C en position. » « A toute les équipes :GO ! »
Deux voix s’étaient succédée, mais au finalement ce fut ce simple mot qui réveilla tout en moi, l’adrénaline grimpa directement dans mon cerveau. D’un bond sur le côté, je me retrouvais face à la porte et lui asséna de ces coups de talons qui font sauter les portes de leurs gonds dans les films, mais là je sais juste qu’en frappant au dessus de la poignée, le bois vermoulu de la porte ne tiendra pas. Je rentre alors comme un lion dans l’arène et pointe mon colt 45 devant moi en comptant bien gueuler un bon gros « Police de New-York ! Personne ne bouge ! ». Mais au final j’ai à peine prononcé le New que la première balle qui siffle me confirme qu’ils n’en n’ont rien à faire. Je réplique alors sans attendre sachant qu’après en peu importe qui j’abats, ce sera dans l’exercice de mes fonctions, et croyez moi, j’ai une grosse envie de nourrir huddy avec le sang de ces salopards.
La fusillade n’a duré que deux ou trois minutes, mais ça m’a parut être une éternité. Je me revois courant derrière des caisses, n’importe quoi qui pouvait me servir d’abris, tandis que les gars des narco se déploient en se couvrant les uns les autres avec le chant de leurs armes. Puis les équipes B et C sont entrés en action, descendant en rappel depuis le toit à l’extérieur jusqu’à arriver à hauteur des larges fenêtres du bâtiment situées bien en hauteur et leur offrant un point de vue idéal pour tenir tout le monde en respect.
Tout le monde sauf un. Ce rat véreux qui me fait le plaisir d’essayer de s’enfuir par une autre porte. Je me lance à sa poursuite sans attendre, traversant tout l’entrepot en sprint, défonçant la porte entrouverte avec l’épaule, une balle siffle au dessus de ma tête, je le vois filer, il a tiré tout en courant, le tir n’avait pas été dangereux, je me relance alors après lui, le colt remis dans le holster, je n’ai qu’une idée en tête, c’est le rattraper, non pas parce que c’est un méchant type que je dois arrêter, ni parce que c’est mon job, mais bien parce que là, c’est entre lui et moi, je n’ai aucun support, personne pour me couvrir, ou me surveiller. Je vais le rattraper, et ce qu’il se passera ensuite sera entre lui et moi. Je cours en sachant pertinament qu’il ne peut m’échapper, il fuit, il est paniqué, sa respiration doit être saccadé et ne tardera pas à le trahir, moi je suis déterminé, je cours, la respiration controlée, je cours comme ça tous les jours à travers le parc avant d’aller au bureau alors non, c’est enfoiré ne va pas m’échapper. D’ailleurs il le sait, il tourne rapidement et je paris qu’il m’attend littéralement au tournant. La ruelle est étroite et un échange de coup de feu pourrait avoir des conséquences néfastes pour celui qui serait le plus lent à tirer, et j’ai pas envie de le trouer de balles. J’avise alors un tas de grandes caisses et y grimpe pour atteindre le toit d’un autre entrepot. Des batiments comme ça, c’est pas ce qu’il manque à chelsea. Du toit, je le vois, il m’attend, caché derrière une benne à ordure, je me dit alors que je l’y fourrerais bien. Je saute du toit pour attraper l’échelle anti incendie du bâtiment en face et je me laisse tomber ensuite.
Le choc est lourd, c’est les jambes qui prennent pour leur grade, mais j’y penserais plus tard. Le gars se retourne surpris et je lui décoche un premier crochet du gauche, mon objectif immédiat est qu’il lâche son arme, je me précipite alors sur lui et lui attrape le bras que je frappe encore et encore sur un coin de la benne, il lache rapidement mais m’assène un méchant droit dans les côtes, je réplique alors en lui faisant manger mon coude à deux reprise puis lui attrape l’épaule, lui collant par la même mon bras contre son visage pour le déranger et me fait un plaisir de le frapper plusieurs fois avec mon genou dans son ventre, son sternum, ses côtes, tout ce que je peux atteindre par ces coups de genoux. Il est a moi maintenant. Je l’assomme avec un coup de boule et le lache pour me mettre dans une position de boxer, comme quand j’étais à l’université et que je boxais pour mériter ma bourse. Je le passe a tabac, je le boxe sans relâche. Plein de rage et de haine dans les poings, il essaye de se défendre, il lève ses propres poings en signe de protection, mais il est sonné, à bout de souffle et je passe au travers de sa garde comme on défonce un mur, je lui casse des dents, lui applati son nez, lui explose lèvre et mâchoire.
« Coltridge ! Stop ! » Je vois la lumière d’une torche braqué sur moi et je la fixe, on me dira plus tard que j’avais les yeux d’un dément, la mâchoire serrée et les poings en sang. Il pointe son arme sur moi et je me rends compte alors de la violence dont j’ai fait preuve, mon suspect est méconnaissable, mais il est là prêt à être cueilli. Je me redresse alors, me détendant sans pour autant cesser de fusiller son corps immobile du regard.
« Flavio Marzonnetti, vous êtes en état d’arrestation pour complicité d’aggression sur un agent de police. Vous avez le droit de garder. Tout ce que vous direz pourra et sera retenu contre vous lors de votre jugement. Vous avez le droit à un avocat, si vous n’avez pas les moyens de vous en offrir un il vous en sera nommé un d’office. »
Les mots avaient du mal à sortir. Je ne voulais pas lire ses droits à cet enfoiré, je voulais qu’il crève ou pire, j’aimerais qu’il soit pour le reste de sa vie dans un fauteuil roulant, qu’il vive un véritable enfer pour le reste de sa vie. Mais aucune bourde dans la procédure ne devait être commise, après tout, dans la lumière de cette torche brillait le badge éclaboussé de sang qui, pendant au bout d’une chaine contre mon gilet pare-balle, représentait mon autorité dans cette ville.
Un peu plus tard, la tension était redescendu, des renforts étaient arrivés, et on avait bouclé tout le secteur, les preuves étaient ramassés dans l’entrepôt, et j’attendais, assis sur le capot d’une voiture en me nettoyant les mains dans une serviette que l’on vienne me donner les premiers résultats de notre prise. J’ai vu Flavio Marzonnetti allongé sur un brancard et sous assistance respiratoire monter dans une ambulance. Il est à la tête d’un réseau de narco trafiquant qui sévit entre ici et la Sicile. Il n’est pour l’instant pas arrêter en tant que telle mais la prise de ce soir plus les aveux de ses hommes permettront de le boucler définitivement. Pour l’instant il n’est que le complice présumé d’une agression, mais je lui ai fait payer car je sais que c’est lui qui l’a provoqué. En parlant de ça, je vois le gars de la dea chargé de ce dossier qui vient vers moi avec mon coupable de l’agression. Ce gars là n’est qu’un pion, il ne vaut même pas le coup que je m’énerve contre lui.
« Voici ton homme. Merci pour le coup de main. » Me dit il en poussant l’agresseur vers moi. Je le saisit par le bras et l’amène vers la porte arrière de la voiture de police en répondant : « Merci à toi d’avoir accepté que je vienne malgré les circonstances. » « Rien de plus normal, il fallait un gars de ton service pour justifier notre présence. »
J’enfourne le coupable dans la voiture en appuyant sur son crane sans ménagement. Je referme la porte et donne l’autorisation aux types dans les places de devant d’amener cette crapule au poste.
« Ouais bref, c’est une crapule de moins en tout cas. » « Crois pas que c’est que ça. Cette affaire va être médiatisée, et avec la rouste que tu lui as mis, tu vas être aux premières loges. » Me dit-il d’un air soucieux. « Génial, j’ai toujours adoré les journalistes. » Répondis-je en commençant à être un brin impatient. « Ouais bah garde un profil bas pendant un temps. Laisse couler, prend des vacances avec ta femme, d’ailleurs le bébé est pour bientôt non ? »
Un rire nerveux me prend, c’est vrai que je n’ai pas eu le temps de lui dire.
« Mec … Elle est en salle de travail normalement là. » « QUOI ? Mais putain casse toi d’ici !!! » Réagit-il immédiatement en me bottant limite le cul et en donnant ensuite l’ordre à un de ses gars de me servir de chauffeur.
Les lumières défilent, l’air s’engouffrent dans l’habitacle et en ressort presque aussitôt, emportant les relans blanchâtre de la fumée de cigarette sur laquelle je tire de manière anxieuse depuis le début du trajet. Je sais très bien que je devrais être heureux, je sais aussi que ma p’tite femme attend impatiemment ma présence à ses côtés comme devrait le faire tout mari digne de ce nom. Mais je sais aussi que mon coéquipier m’attend aussi là-bas, au bord de la mort, et j’ai peur. J’ai peur d’arriver trop tard.
Hopital de NewYork, 2h du matin :
Le front collé contre la vitre qui me sépare de la chambre, les yeux fermés, je retiens les larmes qui sont sur le point de s’échapper. Dans la chambre, un drap d’une couleur immaculé recouvre entièrement le corps de mon ami et partenaire depuis 7 ans maintenant, depuis que je suis devenu inspecteur. J’aimerais avoir le temps de me remémorer nos souvenir ensemble. Mais je n’ai pas le droit encore de pleurer, ma femme m’attend, je dois encore tenir le coup pour elle. Alors je prends une profonde inspiration et quitte une dernière fois mon ami.
A quelques étages de différence, l’atmosphère change radicalement, je quitte l’ambiance pesante ou la mort règne pour arriver dans un monde ou tout est en mouvement, des docteurs, des nurses vont et viennent d’une salle à l’autre avec parfois un nourrisson dans les bras, et il me vient alors en tête que l’un de ces bébés pourraient être le mien. Mon cœur se remet alors à palpiter rapidement et je me dirige d’un pas pressant vers l’accueil. En indiquant mon nom de famille, la jeune femme m’indique presque immédiatement la salle d’opération, elle y est encore et l’inquiétude revient, j’espère qu’elle va bien. J’ai besoin qu’elle aille bien, mon monde est suffisamment perturbé pour ce soir. Je me présente devant la salle et j’insiste lourdement pour entrer à l’intérieur. On me passe alors une tenue adéquate, un filet sur la tête et des gants. Puis je peux enfin la rejoindre, je rentre brutalement et me précipite directement à côté d’elle.
Pendant quelques minutes, j’oublie tous les évènements de la journée, l’heure à laquelle j’ai amené ma femme ici pour qu’elle soit préparée, la matinée à continuer d’enquêter sur le meurtre d’un homme par un des sbires de Marzonnetti et la piste qui nous as menée vers le coupable, la fusillade qui a vu une balle se loger dans un poumons de mon partenaire, et le tournant personnel que cela a eu sur cette affaire. L’aide offerte par la DEA qui était sur la trace de Marzonnetti depuis longtemps sans réussir à le coincer pour autre chose que détention de drogue. L’opération de ce soir, les balles qui ont fusés, et ce passage à tabac dans la ruelle… Tout cela disparait pour laisser la place à l’instant présent, ce moment où la vie se créer, j’ai pensé à ce moment toute la journée, celui ou ma vie allait prendre un tout autre sens, je ne chercherais plus à protéger des citoyens, je me disais que j’allais tout faire pour rendre la ville plus sûr pour ma fille.
Et dans un premier cri libérateur , Amanda vit le jour.
On me mis son corps frêle et chétif emmailloté dans des serviettes chaudes dans les bras, si petite et si fragile, elle posa ses yeux sur moi et je sus que toutes les idées que j’avais prévu à l’avance volèrent en éclat. Je ne voulais m’occuper que d’elle. Je la serrai contre moi à hauteur de visage et ne put plus retenir mes larmes, une joie immense à l’arrivée de ce petit trésor mêlée à la peine profonde de la perte de mon ami.
Les jours qui suivirent amenèrent leur lot de tumulte. L’affaire avait bien prit de l’ampleur, Bret Finch avait été jugé coupable du meurtre de mon coéquipier et de plusieurs autres meurtres, les pièces à conviction trouvés dans l’entrepôt ont bien permi de relier Flavio Marzonnetti au trafic de stupéfiants, et j’étais même pressenti pour une promotion, mon effet de zèle ayant été passé sous silence. Pourtant ce fut bien sur les marches du palais de justice ou allait être traité l’affaire que je déclarai aux journalistes :
« Je quitte le NYPD définitivement. » C’est alors que les questions fusèrent, « Pourquoi ? » « Avez-vous été la cible de menaces ? » « Est-ce dût à une quelconque pression de vos supérieur ? » « Est-ce que cela à un lien avec la rumeur comme quoi vous auriez fait du zèle lors de l’arrestation de Mr Marzonnetti ? » « Est-ce que cela à un rapport avec la mort de votre coéquipier ? », je regardais tous ces visages avides de paroles et prêts à s’accrocher aux miennes.
« Je quitte la police car je viens d’être papa, et malgré tout ce que j’ai fait, je ne suis pas irremplaçable, je laisse à quelqu’un d’autre le travail de rendre cette ville plus sur, ma femme et ma fille elles sont irremplaçables pour moi. »
Certains journaux en firent leur chou gras de cette histoire, ils se moquèrent de moi, mais honnêtement je m’en fichais, j’avais ma fille et ma femme, et pour un flic avec une carrière comme la mienne, c’est une véritable joie de pouvoir en profiter, je n’ai été que 7 ans à la criminelle, mais j’en ai connu qui ont tenus moins que cela. Ma femme reprit sa passion , elle était avocate et s’occupait de diverses affaires dans un petit cabinet, mais elle avait une forte ambition. Une très forte ambition.
16 années ont passées, et le rêve a fini par devenir un cauchemars, l’ambition de mon épouse et le fait qu’elle était la seule à avoir un salaire l’ont amenée à chercher des affaires plus juteuses, elle a fini par être avocate à la défense, et même nous évitions d’en parler, je lisais bien son nom dans les journaux, mêlés à des affaires où des personnes que j’aurais put moi-même mettre sous les barreaux étaient libérés grâce à elle. De mon côté, je dois admettre que j’étais devenu oisif, si les huit premières années j’avais été très présent pour ma fille, il fallait bien admettre que depuis qu’elle était à l’école, je n’avais plus tant de chose que cela à faire. Alors je m’occupais de la maison, je l’entretenais, j’aidais les voisins, surtout les voisines qui comme moi avait fait le choix de se consacrer à leur famille, mais ne vous faites pas de mauvaises idées, je n’ai jamais été infidèle. J’ai toujours été présent pour aider ma fille à faire ses devoirs et je suis même devenu un vrai cordon bleu. Mais tout cela n’empêcha pas les disputes de se faire plus violentes et plus souvent, je n’arrivais pas à assumer qu’elle libère des types pour lesquels mes anciens collègues risquaient jusqu’à leur vie pour arrêter, et elle me reprochait bien sur le fait que je ne travaille pas. Evidemment, cela fini en divorce, je dus quitter notre maison en banlieue et me trouver un appart miteux dans un quartier pourri du bronx, je perdis la garde de ma fille, évidemment puisque je n’avais pas de travails…
Voila ma descente aux enfers, bizarrement les papiers du divorce sont arrivés très vite, ma femme gardait tout, et je n’avais plus rien. Je n’avais plus qu’à tout recommencer à zéro, et bien sur, j’en entendis à nouveau parler dans les journaux, ma femme ayant obtenue une certaine notoriété, certains journaliste se rappelèrent de moi et titrais dans leur article « Vraiment pas irremplaçable ! ». Je me retrouvais donc seul chaque soir, une bière à la main, entendant les hurlements de mes voisins, des disputes de couple, des familles qui se crient dessus.
Alors que faire maintenant ? Déjà retrouver un boulot, reprendre ma place dans les forces de police. Heureusement pour moi, j’ai su garder quelques contacts qui ont su se rappeler de mon efficacité, grâce à cela, je peux revenir à la criminelle, 16 ans ont passés, ce n’est pas le terrain qui me fait peur, la nature humaine ne change pas, les crimes restent les même, les salopards aussi. Ce qui me fait peur, c’est la manière de faire, qu’est-ce qui a changé ? Quelle place un vieux gars de la vieille école va-t-il pouvoir se faire ? Nous verrons bien …
Wanna know more ?
▬ La plus grande honte du personnage ;
Je n'ai pas pour habitude de vivre avec des regrets, je suis quelqu'un qui préfère avancé en laissant derrière moi les choses qui arrivent. Mais s'il y a bien une douleur qui risque de me hanter toute ma vie, c'est la mort de mon collègue, un partenaire ca se protège et je ne pourrais jamais oublier le jour où il est mort. Je regrette aussi la chute de mon couple, et je crains le jour où un de mes criminels choisira mon ex femme pour avocate.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
C'est le risque de mettre ma fille en danger. Elle est ce que j'ai de plus précieux dans ma vie. Et j'ai peur à chaque fois que je l'imagine seule dans les rues de New York en pleine nuit. J'ai vu tellement d'horreur naitre des ténèbres de la nuit, je crains qu'un jour je découvre son corps froid sur une scène de crime.
▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Ce sont les dimanches ensoleillé de juillet, je m'en rappel d'un particulier où avec ma famille, nous avons profité du temps radieux pour aller nous promener à la plage, ma fille avait six ans et tout allait bien, ma femme et moi nous aimions tendrement et nous goûtions chaque seconde de ce bonheur. Ce n'est pas grand chose, ce n'est pas l'argent qui m'offrira le bonheur, ce sont les choses simple de la vie.
▬ Point faible du personnage ;
Vous vous en doutez, c'est ma fille, si jamais quelqu'un la touche, je ne sais pas ce dont je serais capable, mais il vaudra mieux m'avoir à l'oeil. Après je me fais vieux aussi et si j'ai conservé une bonne endurance, je ne pense pas pouvoir prétendre à me mesurer à un jeune en terme de force. Je me demande aussi je deviendrais pas un peu alcoolique sur les bords...
▬ Point fort du personnage ;
Une détermination infaillible et un sacré instinct, c'est ce qui faisait que j'étais bon dans ce que je faisais, je ne reculais devant rien pour arrêter les méchants, les heures sup, les manières un peu brutales... J'étais reconnu comme quelqu'un d'efficace et c'était ma plus grande force. Maintenant cette réputation, je vais devoir la refaire m'en montrer toujours digne !
▬ Casier judiciaire ;
Casier vierge.
Behind the screen...
▬ Prénom ou pseudo ; Mathieu ▬ Âge ; 24 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Top 50 rpg ▬ Connexion ;(Mettez-vous une note sur 7) 5 à 7, tout dépend des semaines ▬ Code du règlement ;
Spoiler:
OK par JED
▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ; exemple de rp tiré de mon ancien forum, il s'agit d'une ouverture de topic ici.
Spoiler:
La nuit était sombre, aucun nuage, mais les lumières de Star-city étouffaient les étincelantes étoiles, comme si la ville leur crachait dessus en disant « Je suis plus brillante que vous ! » stupide arrogance. Et pourtant cette cité, aussi glorieuse soit elle, finirait invariablement par sombrer comme avait sombrée la grande Rome, ou l’étincelant Londres, ravagés par les flammes et le chaos. Et ce chaos, il me tardait de le voir à nouveau s’abattre ici, que les habitants régressent, qu’ils s’ouvrent à nouveaux à leurs instincts les plus primaires, rétablissant ainsi la véritable facette de l’humanité. Les hommes redeviendraient des bêtes, un troupeau gigantesque pour un chasseur affamé de pratiquer son art. Pourtant dans ce ciel d’encre aux profondeurs abyssales, deux étincelles brillaient du seul éclat qui pouvait se voir ce soir, de perles de lumières qui traversaient le ciel, grandissantes, accompagné par un vrombissement de réacteur. Un jet descendait sur Star-city, un oiseau de métal gardant entre ses plumes d’acier le nouvel agent de Shadow, un agent ténébreux comme moi je le savais. Mes nouveaux plans m’obligeaient à m’éloigner du QG, l’Ombre avait néanmoins été séduite par la proposition et j’avais eu son feu vert pour commencer, avec la promesse de recevoir des hommes au moment voulu. Cette nouvelle avait bien sur enchanté Renan, celui là dès qu’il pouvait profiter de la liberté que je lui laissais, il était comme un gosse. Malheureusement pour lui, l’Ombre n’était pas encore décidé à le lâcher comme ça. Du coup, un nouvel agent ténébreux avait été dépêché pour lui servir de nounou. J’ai reçu son dossier dans la matinée. Partagé entre la satisfaction et le dédain, une tueuse experte et plutôt efficace, mais une putain de bordel de foutre de dieu de mutant. Une engeance qui doit son pouvoir à la naissance et non à un travail rigoureux comme moi. Bon peut être qu’en tant que sniper, mon don pouvait se comparé à une mutation, allez savoir, peut être étais-je moi-même un mutant qui a le pouvoir de tirer une mouche a deux km de distance avec un vent de côté à 110km.h. Vu son physique avantageux, je suppose que Renan ne va pas perdre une seconde et essayer de se la foutre dans son pieux. Foutu français. Pas comme ça qu’il aidera notre organisation. Mais je devais moi-même avouer que cette femme était plutôt à mon gout aussi. Mais cerbère à toujours faim de chair fraiche et il n’est pas difficile. Le dossier reposait sur mon bureau. Je n’avais eu que peu de temps pour m’en préoccuper, je suis quelqu’un d’extrêmement occupé comprenez, il a fallu que je visite bon nombre de lieux aujourd’hui, avec des gens que je méprisais pour l’inutilité de leur existence, des fourmis bonnes à être écrasées et remplacées dans l’instant des êtres qui restaient passifs dans leur existence tout en pensant en avoir la maitrise. Mais qu’est-ce que ces êtres inférieurs accomplissaient vraiment ? Rien du tout. J’ai mené des dizaines d’opérations dans autant de pays, j’ai tué ceux qu’on catalogue de méchant pour sauver ceux qu’on catalogue de gentil, mais au fond de moi je ne voyais aucune différence. Quand je colle l’œil à la lunette de mon fusil, toutes ces étiquettes tombent. Tous deviennent purement et simplement, des cibles. Des objets que l’on peut briser à tout moment. Lorsqu’un otage était sauvé par mon groupe, je ne le voyais que dans l’œil de mon viseur et je savais qu’il ne fallait pas tirer uniquement parce que mes hommes, à l’époque, le protégeait. J’assurais leur retraite, tuais les conducteurs qui pensaient pouvoir les rattraper. Bref j’étais leur protecteur, leur ange gardien, le mur invisible qui les gardait de la mort. Mais me montraient-ils le moindre respect, la moindre amitié en retour ? Non. Tas d’hypocrites, ils me respectaient par crainte, cela me suffisait amplement. Je prenais gout au jeu, « cache-toi ou je te tue » comme je l’appelais, et j’étais toujours vainqueur.
Aujourd’hui, je suis le corbeau porteur de sombres messages, ailes noires, noires nouvelles, je suis le chasseur qui ne perd jamais sa proie, je suis Cerbère, le gardien des âmes damnés, les ramenant en enfer pour les voir expier leur pêcher, je suis LE sniper, la légende, le meilleur au monde, mon tableau de chasse est plus mythique que mes méthodes. On me pense mort, le gouvernement croit Hunter Mitchell mort, alors je suis le tueur d’outre-tombe, qui reste dans les ténèbres et attire ses victimes dans son linceul mortuaire. Bénissez l’ignorance de mon existence, car si vous venez à me connaître, c’est que je vous connais déjà.
Le jet se laisse retomber vers le sol, glissant dans l’air, je sais tout ce que le dossier me laisse savoir. Mais je ne connais pas cette personne, j’ignore comment elle fonctionne. Forcément, je n’ai pas confiance en elle. Elle vient sur mon territoire, je suis l’âme de Star city et on l’a invité à entrer chez moi. Cette femme n’est pas encore la bienvenue, et il faudra lui faire comprendre ou elle met les pieds. Je vois l’avion se diriger vers l’aéroport, pile à l’heure. Jet qui appartient à une société écran de SHADOW dont la passagère est censée être la représentante. Les meilleurs agents ont cette couverture, SHADOW est propriétaire de plusieurs entreprises dans de nombreux secteurs, certains relevant du domaine gouvernemental comme l’armement ou la recherche. Nous faisons notre argent sur le dos du contribuable et avec le consentement des dirigeants de ce pays qui baignent dans l’ignorance la plus totale. C’est si … jouissif. L’avion se posera dans cinq minutes sur le parvis de l’aéroport, il s’arrêtera devant une limousine qui attend là-bas déjà depuis une heure. Porte ouverte, champagne à l’intérieur, le grand luxe. Le chauffeur au garde à vous pour accueillir la nouvelle arrivante. C’est à mes ordres qu’il obéit et quitte à mourir, il n’écoutera pas ce que la jeune femme lui ordonnera. Peut-être une seule pièce manquait à ce spectacle, moi. Oui en tant qu’Agent Ténébreux déjà sur place, on m’a dit qu’il serait de bon ton que je sois celui qui accueille la nouvelle arrivante. Mais pour qui m’a-t-on prit ? L’abbé Pierre ? Pourquoi devrais-je me déranger pour elle ? Je vous l’ai dit, je suis le maître ici. Mais ne vous en faites, je garde un œil sur elle. Je suis là quelque part. Invisible comme une ombre.
▬ Célébrité sur l'avatar ; Sean Bean ▬ Multicompte(s) ; Nop. ▬ Un dernier truc à dire ? ; WINTER IS COMING *sort*
Hola, je te souhaite la bienvenue parmi nous. Je t'aurais bien souhaité bonne chance pour la rédaction de ta fiche mais... elle est déjà faite donc, tant pis.
Bonjour et bienvenue sur TDS ! Quel chouette choix d'avatar Ja valide ton code règlement et t'informe que l'on se chargera prochainement de lire ta fiche.
C'est un beau personnage que tu nous as fait là, mais je ne peux malheureusement pas te valider parce que et je cite : WINTER IS COMING ! =>
Alors, il y a quelques fautes dans ta fiche, mais rien de bien grave pour ta validation. Toutefois, fais tout de même attention à bien te corriger dans tes RPs <3 Du coup, je te valide et je t'invite à générer ta feuille de personnage et à remplir ton casier judiciaire (Vierge, cela va de soi XD). N'oublie pas d'aller te recenser